Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'logements'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Nom: Holiday Inn Montréal Centre-Ville Hauteur en étages: 37 Hauteur en mètres: 120 Coût du projet: Promoteur: Canvar Architecte: Architex Group Entrepreneur général: Emplacement: coin sud-ouest intersection René-Lévesque / Lucien L'Allier Début de construction: Fin de construction: Site internet: http://www.himtl.com Lien webcam: Autres informations: 250 logements, 220 chambres d'hôtel dans les 10 premiers étages Rumeurs: Aperçu artistique du projet: Maquette: Autres images: Vidéo promotionnelle:
  2. jeudi 17 mai 2007 Un an après l'abandon du projet de déménagement du casino, le quartier Pointe-Saint-Charles de Montréal fait l'objet de nouvelles propositions de développement. Le propriétaire des anciens terrains du Canadien National (CN) veut y aménager de 800 à 1000 nouveaux logements, en plus de relancer les ateliers d'entretien de trains dans les anciens hangars ferroviaires, selon les informations obtenues par Le Devoir.
  3. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/10/20141016-043657.html RÉGION - MONTRÉAL Regroupement UTILE Une coopérative de logements étudiants pour 2017 Première publication 16 octobre 2014 à 04h36 Par Anne-Marie Provost | Agence QMI Le regroupement UTILE, qui souhaitait mettre la main sur l'îlot voyageur pour y construire du logement étudiant abordable,achètera d'ici quelques semaines un terrain pour bâtir unecoopérative d'habitation étudiante d'ici 2017. Le projet d'environ 125 places, évalué à 10 millions $, serafinancé à 75 % par un prêt hypothécaire. Le gouvernement du Québec investira de son côté un montant de 2 millions $ non récurrent, à travers un programme pilote de la Société d'habitation du Québec. «Nous sommes en attente d'un montant de 500 000 $ en provenance de la ville de Montréal», a ajouté Laurent Lévesque, coordonnateur général d'UTILE. Pas dans le Quartier latin Le projet de logements locatifs ne sera toutefois pas situé dans le Quartier latin, comme prévu au départ. «Développer du logement abordable est impossible dans ce secteur à cause des prix. Et puis, la population étudiante habite le long des axes de métro en dehors du centre-ville», a-t-il affirmé en invoquant une étude de marché. Cette coopérative, la première du genre à Montréal selon UTILE, se veut également en rupture avec les résidences étudiantes. «Le seul critère d'admission est d'être aux études. Nous sommes ouverts à l'ensemble de la population étudiante des universités, et peut-être même des cégeps, nos logements ne sont pas rattachés à une institution», a indiqué le coordonnateur général. Il n'est pas question d'avoir une subvention au loyer, comme c'est le cas dans les coopératives traditionnelles. Le projet d'UTILE sera financé par les loyers partagés en colocation et les logements offriront de trois à six chambres. Projets à venir Le regroupement considère la nouvelle coopérative comme un projet pilote et souhaite à terme développer un parc de logements étudiants abordables à Montréal, entièrement autofinancé. «Nous sommes conscients du contexte budgétaire au Québec, nous ne voulons pas dépendre du financement public pour la suite», a souligné Laurent Lévesque. UTILE prévoit également annoncer en janvier la création d'une plate-forme web pour accueillir et intégrer les nouveaux étudiants à Montréal. Plusieurs nouveaux arrivants se font notamment offrir des logements au prix plus élevé que le cours normal et le regroupement souhaite créer un guichet unique pour le logement étudiant.
  4. Places L'Acadie et Henri-Bourassa - Des condos et des HLM à la place des taudis? Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du jeudi 17 avril 2008 Mots clés : condos, HLM, Groupe Tyron, Investissement, Habitation, Montréal Le Groupe Tyron rachète les immeubles insalubres avec l'intention de tout raser et de reconstruire Tristement célèbres pour leur état d'insalubrité chronique, les immeubles Places L'Acadie et Henri-Bourassa seront vraisemblablement démolis pour accueillir un nouveau complexe résidentiel de 1200 unités. La Ville de Montréal a annoncé hier que le Groupe Tyron s'était porté acquéreur des immeubles décrépits au coût de 14,8 millions de dollars en promettant de construire des logements sociaux et abordables. Le maire Gérald Tremblay soutient que ce sont la persévérance de la Ville et le millier de constats d'infraction expédiés aux propriétaires négligents qui ont fini par les convaincre qu'il valait mieux pour eux de céder les Places L'Acadie et Henri-Bourassa. Le complexe résidentiel, situé dans l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et construit dans les années soixante, comporte plusieurs immeubles, dont six ont dû être barricadés compte tenu de leur insalubrité. La Ville consacrera 600 000 $ pour reloger temporairement les 146 ménages, dont une quarantaine d'enfants, qui vivent toujours dans les immeubles visés. Cette somme servira à payer à chaque famille les trois premiers mois de loyer, leurs frais de déménagement, de même que les coûts de rebranchement des services publics, tels que le téléphone. C'est l'Office municipal d'habitation de Montréal qui s'occupera de trouver un toit à ces locataires. Ceux-ci seront d'ailleurs rencontrés individuellement au cours des prochaines semaines. Tyron entend procéder aux réparations urgentes dans les logements actuels, mais le promoteur envisage sérieusement de raser les immeubles afin de construire 1200 unités de logements en partenariat avec la Société d'habitation et de développement de Montréal. De ce nombre, 15 % des unités seront du type abordable et 15 % seront composées de logement social. Le reste sera constitué de logements pour personnes âgées et de condos. L'ensemble des locataires forcés de quitter les lieux pourront bénéficier d'un appartement dans les nouveaux immeubles, a promis Gérald Tremblay. Le maire a toutefois été incapable de garantir que le coût des loyers serait le même. «Nous avons un propriétaire responsable qui a déjà réalisé un projet semblable à Saint-Léonard et qui s'est engagé à faire des logements sociaux», a-t-il insisté. À ceux qui affirment que les propriétaires délinquants s'en tirent à bon compte avec cette transaction, Gérald Tremblay réplique que la vente ne signifie pas l'abandon des procédures judiciaires contre eux. De plus, a-t-il fait valoir, les propriétaires des Places L'Acadie et Henri-Bourassa réclamaient 32 millions pour leurs immeubles alors que le prix de vente a finalement été réduit à 14,8 millions. Ces arguments sont loin d'avoir convaincu Dominique Perrault, du Comité logement Ahuntsic-Cartierville. Le laxisme de la Ville au cours des dernières années a fait en sorte qu'une majorité des 500 ménages qui vivaient autrefois à cet endroit ont déjà quitté les lieux, a-t-elle rappelé, reprochant à la Ville de n'avoir jamais appliqué sa réglementation de façon assez rigoureuse et d'avoir omis de procéder aux travaux aux frais du propriétaire. Selon elle, les propriétaires ont beau jeu puisqu'ils encaissent un chèque de 15 millions de dollars alors qu'ils ont récolté des amendes ne totalisant que 100 000 $. «Le relogement que la Ville offre, c'est le strict minimum qui est prévu dans le Code civil du Québec. Ce n'est pas la mer à boire, ce que vient d'annoncer la Ville», a-t-elle dit. Elle n'est guère optimiste quant à l'avenir des locataires. «On fait du condo que personne à Place L'Acadie ne pourra se payer et on va faire, peut-être, 180 logements sociaux et là-dessus, seulement 90 seront subventionnés. Les locataires ne pourront pas plus payer ce loyer-là», a-t-elle conclu. http://www.ledevoir.com/2008/04/17/185489.html (17/04/2008 06H42) Complétés en 2011 : HLM, phase 1 - 7 étages : HLM, phase 2 - 7 étages : Cité l'Acadie, phase 1 - 12 étages :
  5. Venez découvrir le Saint-Laurent, un projet immobilier à Brossard sur le bord de l'eau. Situé à quelques minutes du Pont Champlain et de l'autoroute 10, c'est l'endroit idéal pour mener une vie en ville et en banlieue ! Le projet compte 3 bâtiments de 60 logements et 2 bâtiments de 77 logements donnant sur la rue Saint-Laurent au bord du fleuve. Idéales pour les couples et les célibataires actifs, les unités varient entre 700pi2 et 1300pi2. Votre vie vous attend ! http://www.condoslestlaurent.com/accueil
  6. Dans le quartier Sainte-Marie http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,80081586&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=5418&ret=/pls/portal/url/page/arrond_vma_fr/rep_annonces/rep_actualites/detail_actualite Le deuxième projet propose la démolition de l'église Saint-Anselme, sérieusement endommagée par un incendie en 2011, et de son presbytère pour les remplacer par un immeuble résidentiel. Sis au 2700, rue de Rouen, il compterait 4 étages et 114 unités d'habitation, ce qui contribuerait à atteindre l'objectif de 2000 logements, tel que suggéré dans le Programme particulier d'urbanisme du quartier de Sainte-Marie. Rappelons que les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble font toujours l'objet d'une consultation publique. Pour ces quatre projets, l'assemblée publique de consultation est prévue le 19 décembre 2012.
  7. http://plus.lapresse.ca/screens/e23181dd-903c-4f4b-8467-0e46c17d0fdc__7C___0.html?utm_medium=Facebook&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen&fbclid=IwAR0SOyIOn-W5z5ZJxkSAeiDY0HLbsKmyza2u7OItxNfOnSIdDBkaYW4nw54 PRIX DES LOGEMENTS À MONTRÉAL PLAIDOYER POUR LA DENSIFICATION DE MONTRÉAL Le promoteur immobilier Prével appelle à une augmentation de la densité du patrimoine bâti pour prévenir une flambée des prix des logements. ANDRÉ DUBUCLA PRESSE La société Prével, qui se spécialise dans l’offre de logements destinés aux premiers acheteurs dans les quartiers centraux de Montréal, craint de devoir abandonner son modèle d’affaires en raison des frais toujours plus élevés que la Ville impose aux promoteurs pour toutes sortes de bonnes raisons. « On en discute beaucoup à l’interne. C’est quelque chose qui nous préoccupe », répond la coprésidente Laurence Vincent quand on lui demande de quoi l’avenir sera fait. « Ça insécurise. C’est devenu de plus en plus compliqué de faire des projets à Montréal, alors qu’on est accueilli à bras ouverts en banlieue. Mais aujourd’hui, on s’entête. Est-ce que l’avenir va prouver qu’on a eu tort ? » On doit à Prével les lofts Imperial, dans l’ancienne manufacture de tabac de Saint-Henri, et les lofts Lowney, dans Griffintown. SURCHARGES À COMPENSER Toutes ces charges pour les parcs et les logements sociaux sont nécessaires, reconnaît Mme Vincent, mais elles devraient être accompagnées d’une augmentation de la densité du patrimoine bâti pour compenser les surcharges. Sinon, l’offre de logements ne suivra pas la demande dans les quartiers centraux et les prix des logements grimperont encore plus vite, ce qui rendra à terme Montréal aussi inabordable que Vancouver ou Toronto. « Il faut juste s’assurer qu’il y a un partage des frais pour ne pas que ça soit l’acheteur en fin de compte qui supporte l’entièreté du poids [des exigences en matière de logement social]. » — Laurence Vincent, coprésidente de Prével Le 10 avril, la Ville a annoncé le report au 17 juin du dépôt de son règlement sur l’inclusion des logements sociaux, lequel prévoit que tout nouveau projet résidentiel d’une certaine taille devra inclure 20 % de logements sociaux, 20 % de logements abordables et 20 % de logements familiaux. Il devait être déposé initialement en avril. Une étude indique que ce règlement, s’il est adopté sans aucune compensation, ferait grimper le coût des logements de 16 %. Mme Vincent s’est réjouie de ce report, elle qui siège à la table des partenaires en habitation et qui est à la tête du comité habitation de l’Institut de développement urbain, le lobby des promoteurs. « Ça va nous donner du temps pour discuter davantage. » CONTRE L’ÉTALEMENT URBAIN Aux détracteurs de la densification, Mme Vincent leur pose la question : que voulons-nous pour notre ville ? « Il va falloir faire des choix. On est pour le développement durable. Le trafic nous coûte 4 milliards. Qu’est-ce qu’on veut faire ? Où sont les universitaires pour se prononcer sur ce qui est le mieux en termes de développement ? Où veulent-ils les mettre, les 320 000 nouveaux ménages que l’on attend dans l’île d’ici 10 ans ? » Selon elle, la solution de rechange au refus d’une plus grande densité dans l’île est l’étalement urbain dans les couronnes. « En périphérie, à Vaudreuil-Dorion, on demande de faire 10 étages dans certaines zones, alors qu’à Montréal, on arrive près d’une station de métro et on a de la difficulté à obtenir 8 étages », dénonce-t-elle. Actuellement, les droits aériens au-dessus des édicules de métro restent inutilisés, comme au métro Radisson, dans l’Est, tandis qu’on va vouloir construire des 20, 30 et 40 étages à Brossard et à Pointe-Claire, là où il y aura des gares du Réseau express métropolitain (REM), le train électrique de la Caisse de dépôt et placement.
  8. (C'est un vieil article, mais ça résume bien le projet) Un nouveau projet de logements abordables à Laval-des-Rapides Par Claude-André Mayrand Mardi 29 octobre 2013 15:46:30 HAE LAVAL - La Société d’habitation du Québec (SHQ) a dévoilé lundi après-midi les grandes lignes d’un important projet d’habitation de coopérative qui comptera 166 logements et qui sera érigé à proximité du métro de la Concorde, dans le secteur Laval-des-Rapides. Le projet de la Coopérative de solidarité du Bois Ellen, dont les coûts de construction sont évalués à environ 23 M $, sera financé à moitié par la SHQ. La Ville de Laval fournit de son côté 3.5 M $ ainsi que des rabais de taxes pour cinq ans et des ristournes sur les droits de mutation. «Nous prévoyons lancer l’appel d’offres après les vacances Noël et ouvrir le chantier dès avril 2014, affirme Aziz Dennoune, chargé de projet pour le groupe de ressources techniques Réseau 2000+, qui copilote le projet avec la Coopérative de solidarité. On aimerait compléter le projet entre juillet et septembre 2015.» M. Dennoune a parlé du projet comme un besoin pour la communauté. «Si on se fie au bilan de développement de Laval pour la période 2006-2011, il y a un accroissement flagrant au niveau des personnes de 65 ans et plus, des femmes monoparentales et des familles issues de l’immigration, illustre-t-il. Les objectifs de la coopérative sont la solidarité, l’intégration et l’apprentissage par l’implication.» Deux édifices de 13 et six étages seront construits en forme de «L», annexés à un édifice d’un étage qui comptera une cuisine, une salle à manger et une salle communautaire. Des 166 unités, 56 seront destinées aux personnes autonomes et 110 aux personnes en légère perte d’autonomie. Le terrain, une cour à bois de vocation résidentielle depuis peu, propriété de Mandy Ellen, a été acquis en décembre 2011 au montant de 2.2 M $. Volonté de mixité sociale Le député Léo Bureau-Blouin parle d’un projet qui a été construit avec des objectifs de mixité sociale pour ses résidents. «La mixité sociale contribuera à la création d’une richesse où les forces de chacun pourront être utilisées pour le bien-être de tous et cette solidarité intergénérationnelle est une valeur très importante pour notre gouvernement, explique le jeune député de Laval-des-Rapides, qui représentait le ministre responsable de la SHQ, Sylvain Gaudreault, lors de l’annonce. Le futur complexe permettra à des familles et à des aînés d’évoluer dans un environnement de qualité et adapté aux besoins de chacun.» Francine Néméh, directrice générale de la Fédération des coopératives d’habitation intermunicipale du Montréal métropolitain, a profité de l’annonce de lundi pour rappeler l’importance des logements sociaux. «Chaque dollar investi dans le logement social, il y a 2,30 $ injectés dans l’économie, en plus du surplus de flexibilité financière de 152 M $ par année réalisées par le logement social pour les personnes à faibles revenus, sans compter les économies sur l’aide à itinérance, aux handicapés et les services de santé mentale. Nous voulons voir ce genre d’investissement de multiplier», précise-t-elle. Le projet inclut des mesures d’efficacité énergétique novatrices telles qu’un système de récupération de chaleur et un système de préchauffage d’air par l’énergie solaire. http://www.hebdosregionaux.ca/laval/2013/10/29/un-nouveau-projet-de-logements-abordables-a-laval-des-rapides ------- Source : http://fechimm.coop/fr/cooperatives/bois-ellen Il s'agit de la grue qui se trouve à côté du Logix depuis quelques mois déjà. Selon l'article, le projet sera complété cet été. On peut mal juger le design parce que l'image ci-haut est le seul "rendu" disponible. En tout cas, c'est un projet bien situé et doté d'une mission claire.
  9. Extrait du bulletin de Saint-Laurent: Le conseil a approuvé plusieurs projets de construction d'envergure, dont deux ensemble de développement résidentiel comprenant des commerces et des services de proximité qui favoriseront une densification urbaine dans une perspective de développement durable. Situé sur une partie du quadrilatère formé par la rue Grenet, le chemin Laval et les boulevards Marcel-Laurin et Henri-Bourassa, le premier comprendra environ 340 logements et permettra l'intensification et la diversification d'activités aux abords de la gare et de la future station de métro Bois-Franc. (...) Ces projets ne sont qu'une première étape d'une planification de quartiers plus larges autour de la gare Bois-Franc et du secteur Thimens/Lucien-Thimens. La démolition du Monsieur Muffler est entamée. Ce sera voisin du Phoenix et de la Place de la gare Bois-franc. Au coin de Marcel-Laurin et Henri-Bourassa http://www.vslcondos.com
  10. Une photo dont je n'avais pas vu avant, qui montre la Coopérative Tiohtiake - on devrait peut-être avoir un fils pour cet immeuble? [ATTACH=CONFIG]14166[/ATTACH] La Coopérative Tiohtiake, construite en même temps que le complexe Le Canal, se trouve à l’arrière, à l’extrême droite, rue des Seigneurs. Source: Griffintown: l'embarras du choix
  11. Un projet TOD de 546 logements remplacera l’ancien Zellers Un nouveau projet résidentiel de 125 M$ verra le jour sur le terrain de l’ancien Zellers, au coin des boulevards Saint-Francis et Saint-Jean-Baptiste à Châteauguay. La firme de construction Habitations Trigone, propriétaire du terrain, a obtenu le feu vert du conseil de Ville de Châteauguay, en mai, pour construire sur cet espace cinq bâtiments de 4 à 6 étages qui compteront au total 546 unités de logement. Deux des immeubles projetés abriteront des condos destinés à la vente. Les trois autres immeubles seront composés d’unités locatives en formule «tout inclus», destinées à une clientèle autonome de 50 ans et plus. Première phase en septembre Le projet, qui porte le nom de «Square St-Francis», sera réalisé en deux phases. «La première commencera dès la fin août, avec la démolition de l’immeuble qui abrite l’ancien Zellers» a confirmé au Journal Sophie Pepin, directrice du marketing chez Habitations Trigone. Deux premiers immeubles seront ensuite construits sur l’axe du terrain qui longe le boulevard Saint-Francis. Un premier de 4 à 6 étages qui comprendra 166 unités de logements locatifs. Un second de 4 étages qui comprendra 53 unités de condos. La livraison de cette première phase est prévue à l’été 2019. La deuxième phase du développement (trois immeubles supplémentaires) s’amorcera subséquemment. Selon Mme Pepin, le marché de l’immobilier est actuellement «favorable», et le promoteur est certain de vendre et de louer rapidement les unités prévues au projet. «Ce n’est pas notre premier projet du genre, dit-elle, et dans notre historique, ça va toujours bien». Vocation TOD Le Square St-Francis sera développé dans une zone ciblée par la Ville de Châteauguay pour devenir une aire TOD (Transit oriented development). Habitations Trigone dit d’ailleurs se spécialiser dans les projets de ce type, qui constituent, nous dit Mme Pepin, un «nouveau mode de vie basé sur un accès facile aux transports en commun et aux commerces». Les nouveaux immeubles seront à ce propos situés à proximité du stationnement incitatif de Châteauguay, situé sur le boulevard Saint-Jean-Baptiste. «Les bâtiments disposeront également de stationnements intérieurs, ce qui permet de réduire les ilots de chaleur», précise Mme Pepin. Celle-ci indique que la mixité commerciale et résidentielle, souvent encouragée dans les projets TOD, ne sera pas exploitée dans le projet, qui comprend majoritairement de logements et des condos. Modification au zonage La réalisation de ce projet a nécessité une modification au règlement de zonage par le conseil de Ville de Châteauguay en février dernier. Modification qui a permis d’abaisser la hauteur minimum permise des immeubles pour ce secteur de huit à quatre étages. «En imposant un minimum de quatre étages plutôt que huit, ça lui permet (à la firme Habitations Trigone) de développer le secteur à plus bas prix», avait expliqué le maire Pierre-Paul Routhier lors de l’adoption de la résolution modifiant le zonage. https://www.cybersoleil.com/projet-tod-remplacera-lancien-zellers/
  12. nightmare http://www.groupegeyser.com/nouvelles/groupe-kehilla-montreal-i/ Renseignements sur l'objet des activités de lobbyisme Domaine(s) d'intérêt Santé Autres : Hébergement et soins de longue durée Objet L'attribution d'un permis, d'une licence, d'un certificat ou d'une autre autorisation Précisions Représentations afin d’obtenir l’autorisation du ministre de la Santé et des Services sociaux en vertu de l’article 260 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux (RLRQ, chapitre S 4.2) afin qu’elle puisse octroyer une servitude à titre gratuit sur une parcelle d’un immeuble dont elle est propriétaire connu et désigné comme étant le lot UN MILLION CINQUANTE-TROIS MILLE CINQ CENT CINQUANTE-NEUF (1 053 559) à Les Résidences Caldwell (« Caldwell ») à laquelle servitude interviendra Le Groupe Kehilla Montréal I (« GKMI ») afin de permettre à GKMI de réaliser un projet de logements sociaux sur une partie d'un immeuble connu et désigné comme étant le lot UN MILLION CINQUANTE-TROIS MILLE SIX CENT TRENTE-SIX (1 053 636) du Cadastre du Québec, circonscription foncière de Montréal, et étant situé sur l'avenue Caldwell entre le chemin Mackle et le chemin Kildare. Caldwell et GKMI sont deux organismes constitués en vertu de la Partie 3 de la Loi sur les compagnies (RLRQ, c. C-38) Période couverte : 2017-10-02 au 2018-03-31
  13. http://journalmetro.com/actualites/montreal/983950/hippodrome-les-citoyens-veulent-y-construire-un-village/ 22/06/2016 Mise à jour : 22 juin 2016 | 18:21 Hippodrome: les citoyens veulent y construire un village Par Laurence Houde-Roy Métro Les citoyens ont parlé: ils souhaitent que l’ancien site de l’hippodrome de Montréal devienne un véritable petit village au coeur de Montréal. La Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges (CDC), qui regroupe plusieurs citoyens et organismes communautaires de Côte-des-Neiges, a dévoilé mercredi ce qu’ils aimeraient avoir comme aménagement de l’ancien site de l’hippodrome de Montréal, à l’angle de l’autoroute 15 et 40, non loin du site du futur centre commercial Royalmount. Les citoyens veulent littéralement un petit village, le plus vert possible, sans tour à condos, mais plutôt des logements de 3 à 6 étages avec une diversité d’habitants et d’habitations. Cette idée émane d’un forum citoyen tenu en 2014, en collaboration avec la firme d’architecture et design urbain Rayside Labossière. Il faut surtout que tout le projet soit bien pensé en amont, disent-ils, et que chaque aspect de la construction respecte tous les citoyens, peu importe leur âge, sexe, origine ou condition physique. «Il ne faut pas morceler le projet, commencer à construire sans avoir pensé au plan général avant», fait valoir Jennifer Auchinleck, organisatrice communautaire à la CDC. Bien sûr, ils gardent le même message qu’ils ont depuis plus de 10 ans: le site doit accueillir au moins 2500 logements sociaux pour répondre aux besoins des gens du quartier. Ils font valoir que 5060 ménages de Côte-des-Neiges dépensent plus de 80% de leur revenu pour se loger. Alors que la Ville promet que 15% des logements qui seront construits sur l’ancien site de l’hippodrome seront des logements sociaux, la CDC maintient que ce n’est pas assez pour répondre aux besoins de la population. Mais au-delà de cette demande, les citoyens souhaitent que ce terrain réponde à l’ensemble des besoins des citoyens, et que tout soit accessible facilement et rapidement. Selon la première ébauche élaborée par Rayside Labossière (voir photo), une artère principale traverserait le quartier en partant de la station de métro Namur sur laquelle on retrouverait tous les services comme les écoles, les épiceries, les restaurants (abordables et sains, demandent-ils), la bibliothèque, etc…«Une artère qui donne une âme au quartier», résume Ron Rayside, de Rayside Labossière. Deux «pôles communautaires» (points mauves sur la photo), où les habitants pourront se rassembler et fraterniser, pourraient être aménagés à deux endroits sur cette artère. Les différents parcs seraient reliés entre eux par des corridors verts. Tant qu’à rêver, pourquoi ne pas également y imposer des exigences de développement durable, comme utiliser la géothermie dans les logements, encourager les initiatives d’économie sociale, réguler les prix des baux commerciaux, limiter la place de l’auto, aménager de rues de moins de deux voies et adopter une politique d’embauche locale, se disent-ils. «C’est un terrain public, et il est vide, on peut en profiter pour faire les choses autrement, on peut faire tout ce qu’on veut», ajoute Mme Auchinleck. Pour répondre aux besoins d’un maximum d’habitants de Côte-des-Neiges, la CDC souhaite accueillir le plus de personnes possible dans ce petit village. Ainsi, les maisons avec une cour seraient à proscrire, croient-ils, pour maximiser l’espace. La CDC souhaite au moins 7500 unités de logement, dont 2500 logements sociaux. Ceci correspond à la densité de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. M. Rayside croit que le site peut facilement accueillir 4000 ou 5000 logements. Puisque la voie ferrée se trouve non loin du site, la question de la densité pourrait poser problème, reconnaissent-ils, considérant les nouvelles normes de sécurité imposées à la suite des événements de Lac-Mégantic. Le site, qui appartient au gouvernement du Québec, doit être cédé à la Ville de Montréal avant que les constructions débutent. La condition, avant la signature, est que le bâtiment de l’ancien hippodrome soit démoli. Le gouvernement vient d’obtenir le certificat de démolition.
  14. Je n'ai pas beaucoup de détail sur ce projet mais en me baladant j'ai aperçu un avis de la ville sur l'immeuble existant et j'ai été ravi de lire que la proposition comporte un immeuble de 6 étages avec du commercial au rez-de-chaussée et des logements aux étages. En plein sur Jean-Talon ouest au nord de la Petite-Italie et à la limite de ce qu'on appel maintenant le Mile-x, un nouveau quartier en pleine transformation mais à échelle humaine. Sur le site il y a présentement un Mike's sous-marin qui est fermé. Voici l'avis: L'objet du projet de résolution est à l'effet d'accorder la demande d'autorisation pour la construction d'un bâtiment de 6 étages, avec construction hors toit, abritant plus de 36 logements et dont le rez-de-chaussée, face à la rue Jean-Talon, sera uniquement occupé à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 400 mètres carrés et dont une partie du rez-de-chaussée de la rue Clark sera occupée à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 50 mètres carrés http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16597.pdf
  15. 242 logements. Coin De Grobois/Contrecoeur. Photos : Groupe Module Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  16. Projet presque complété dans le quartier Villeray, face au parc le Prévost, à proximité de la Plaza St-Hubert et à une distance de marche du Marché Jean-Talon. Titre: Quarry Adresse: 7221 rue de la Roche, Villeray Usage: Residentiel / 2 logements Architecte: ADHOC Architectes Promoteur: KnightsBridge Particularités: Très grands logements de 3 et 4 chambres à coucher, répondant aux besoins des familles. La certification LEED Platine est visée. Pour plus de details: Le Quarry Photos prisent sur le chantier (presque terminé) en ce 27 janvier 2017
  17. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Mentana Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 7 013 m² Implantation du bâtiment : 4 465 m² Taux d’implantation : 64 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20.5 m Surface totale du bâtiment : 21 511 m² Densité : 3.07 Nombre de logements : 152 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à utiliser la typologie le plus efficacement possible afin de maximiser l’emprise au sol et de proposer un bâtiment de 6 étages. Sur ce site, séparé en deux lot par la rue Boyer, le bâtiment épouse l’espace public, laissant peu d’espace résiduel non construit sur le périmètre externe. Les façades sur 4 côtés bénéficient de l’espace dégagé des voies publiques maximiser les ouvertures et les vues, spécialement sur le parc Laurier au sud. Afin de laisser pénétrer un maximum de lumière dans la cour, le niveau 6 est construit partiellement, offrant des terrasses extérieures privatives et des ouvertures. Le bâtiment entre Boyer et Christophe-Colomb, à cause de l’étroitesse du lot, bénéficie de cours ouvertes orientées vers le sud qui apportent une ensoleillement abondant à tous les logements, ainsi que des espaces verts qui bénéficient autant aux résidents qu’à l’espace public. Le projet atteint une densité de 3.07, valeur un peu inférieure aux petits projets de la rue Rivard et de la rue Drolet à cause de la nécessité de laisser la cour centrale non construite sur tout sa longueur.
  18. bonjour, je me pose des questions sur "acheter ou louer". Je vous explique mon projet: j'habite avec ma blonde a montreal depuis 4ans,je suis charpentier menuisier dans la construction et ma blonde infirmiere. Nous sommes français et nous voulons rentrés en france definitivement dans 3 ou 4 ans. nous aimerions acheté une maison ou un 3 logements a rénover (par mes soins et dans mes capacités). Et revendre par la suite. Pour le 3 logements, nous y habiterons dans 1 et les 2 autres seraient en location. Je pense que tout cela serai rentable si nous restions ici et sur du long terme. On m'a parler de faire 1 flip. Nos revenus mensuel chacun sont 3000$ par mois. Notre but est de faire le plus d'argent possible avant de partir. Je me demande si c'est plus rentable d'acheter ou juste de louer un logement et de mettre des économies de coté. On se donne un budget location de 1300$ maximum. Merci de vos reponses.
  19. ANDRÉ DUBUC La Presse Le marché de la construction résidentielle se porte mieux que prévu après six mois en 2016. C'est particulièrement vrai dans l'île de Montréal, où le nombre de mises en chantier a doublé au deuxième trimestre 2016 par rapport à la même période l'année précédente. La statistique a été reprise par le Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui l'a publiée dans le plus récent numéro de son bulletin hebdomadaire Montréal économique en bref. Au total, 1534 unités ont été mises en chantier dans l'île d'avril à juin 2016, comparativement à 766 à la même période en 2015, une hausse de 100,3 %. La moitié sont des copropriétés et 37 %, ou 570 unités, sont des logements locatifs. Depuis le début de l'année, les mises en chantier sont en progression de 28 % dans l'île de Montréal. De janvier à la fin de juin, 4751 logements sont sortis de terre, comparativement à 3704 au cours du premier semestre l'an dernier. Quand on regarde la région de Montréal dans son ensemble, la progression des mises en chantier s'élève à 12,5 %, 7510 mises en chantier en 2016 contre 6674 en 2015. <iframe name="fsk_frame_splitbox" id="fsk_frame_splitbox" frameborder="0" allowfullscreen="" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" style="width: 633px; height: 0px; border-style: none; margin: 0px;"></iframe> PROGRESSION DE 9 % AU QUÉBEC Pour ce qui est de la province de Québec, la construction de logements connaît une progression de 9 % dans les centres urbains de 10 000 personnes et plus depuis le début de l'année. On y dénombre 14 441 mises en chantier au premier semestre 2016 par rapport à 13 198 au cours des 6 premiers mois de 2015. La plupart des économistes des organismes du domaine de l'habitation prévoyaient en début d'année une stabilisation, voire une légère baisse du nombre de mises en chantier au Québec en 2016 par rapport aux quelque 38 000 mises en chantier enregistrées en 2015. Ils n'ont pas revu leur prévision depuis. EN CHIFFRES Mises en chantier au premier semestre 2016 Nombre var. par rapport à 2015 Île de Montréal 4751 + 28 % Région de Montréal 7510 + 12,5 % Province de Québec 14 441 + 9 % (Centres urbains de 10 000 personnes et plus) Source : SCHL http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201607/28/01-5005174-montreal-forte-hausse-du-nombre-de-mises-en-chantier.php
  20. http://www.lapresse.ca/actualites/201607/22/01-5003797-tabagisme-les-logements-prochain-champ-de-bataille-.php Publié le 23 juillet 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Tabagisme: les logements, prochain champ de bataille ? Aux États-Unis, les organismes antitabac ont fait des représentations auprès des compagnies d'assurances pour qu'elles accordent des réductions aux immeubles interdisant la fumée dans tous les appartements. Mathieu Perreault La Presse Les occupants des appartements subventionnés par le gouvernement fédéral américain pourraient bientôt perdre le droit de fumer à la maison. Le département du Logement et du Développement urbain envisage une telle règle, que les autorités de santé publique réclament à cors et à cri. Cette bataille a un écho au Québec, où des groupes antitabac tentent de convaincre des coopératives d'habitation et certains grands propriétaires d'immeubles résidentiels d'emprunter la même voie. « Le débat est certainement lancé au pays », dit François Damphousse, de l'Association pour les droits des non-fumeurs. « Par exemple, la Société de logement communautaire d'Ottawa a adopté un règlement interdisant de fumer dans les logements, mais avec une clause grand-père pour les résidants fumeurs qui habitaient déjà les immeubles. Un règlement similaire est entré en vigueur en 2010 pour les logements sociaux de la ville de Waterloo en Ontario. » « Au Québec, nous accusons un certain retard en comparaison d'autres provinces, mais je crois que le mouvement pour des immeubles résidentiels complètement sans fumée va devenir de plus en plus populaire. » - François Damphousse, Association pour les droits des non-fumeurs M. Damphousse a notamment eu en 2009 un avis juridique d'un grand cabinet d'avocats qui affirme qu'une telle clause pourrait être valide devant la Régie du logement. Aux États-Unis, les organismes antitabac ont fait campagne auprès des compagnies d'assurances pour qu'elles accordent des réductions aux immeubles interdisant la fumée dans tous les appartements, selon Alan Charles Geller, spécialiste de la question de l'Université Harvard qui vient de publier un éditorial en ce sens dans le prestigieux Journal of the American Medical Association. « Certains affirment qu'en interdisant la cigarette dans les HLM, on fait la guerre aux pauvres, dit le Dr Geller. Je pense que si on préserve un préau abrité où il est possible de fumer, dans le stationnement de l'HLM en question, c'est parfaitement équitable. » UN IMMEUBLE SANS FUMÉE La Coopérative du lac St-François, à Valleyfield, a interdit il y a deux ans la cigarette dans tous ses appartements. « Après l'incendie dans la résidence pour personnes âgées dans le Bas-du-Fleuve [à L'Isle-Verte à la fin 2014), au C.A., on a décidé de sensibiliser les locataires et de faire un sondage, explique Roland Deschênes, préposé à la recherche de la coopérative. Seulement deux ou trois appartements sur 24 avaient des fumeurs. On leur a offert une clause grand-père, mais ils n'ont pas voulu s'identifier comme fumeurs. » Aucun espace extérieur couvert pour les fumeurs n'est offert. L'une des fumeuses qui ne s'est pas prévalue de la clause grand-père est la soeur de M. Deschênes, Jeanelle. « C'est merveilleux parce que j'ai eu un cancer de la gorge et que j'ai dû arrêter. J'ai commencé à fumer à 9 ans, j'ai arrêté à 68 ans. J'aurais peut-être recommencé sans ça. » - Jeanelle Deschênes Certains se sont montrés récalcitrants. Une nouvelle locataire, qui n'était pas couverte par une clause grand-père, a fini par quitter la coopérative peu après s'y être installée, selon M. Deschênes. Une autre, qui était voisine de Mme Deschênes et dont les deux grands garçons fumaient sur le balcon en contravention avec les règlements, a déménagé au rez-de-chaussée pour qu'ils puissent s'éloigner de l'immeuble. « Des fois, je sentais ça sur leur balcon, ça me donnait envie d'aller m'en chercher », dit Mme Deschênes. Au Front populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), un groupe de défense des droits des locataires, l'interdiction de fumer dans les appartements d'un immeuble suscite l'inquiétude. « A priori, il ne faut pas qu'un fumeur soit expulsé de son logement ou harcelé, dit Marie-José Corriveau du FRAPRU. S'il s'agit d'une décision de tous les membres d'une coopérative et qu'on ne touche pas aux fumeurs, là c'est O.K. Mais dans le cas du logement social, pourquoi appliquer une règle qui n'est pas imposée aux propriétaires privés de logements ou aux syndicats de copropriété ? C'est deux poids, deux mesures. Souvent, quand on sent la cigarette d'un autre logement, c'est un signe de mauvais entretien. Il ne faut pas faire porter ça au locataire. Je ne dis pas qu'il n'y a pas de problème avec la cigarette, je suis moi-même une ancienne fumeuse. Mais après ça, est-ce qu'on va interdire de cuire du poisson parce que les autres n'aiment pas l'odeur ? Ça n'a pas de bon sens. » «20 % Proportion des femmes québécoises adultes qui fumaient en 2010 17 % Proportion des femmes québécoises adultes qui fumaient en 2014 27 % Proportion des hommes québécois adultes qui fumaient en 2010 22 % Proportion des hommes québécois adultes qui fumaient en 2014 17 % Proportion des femmes canadiennes adultes qui fumaient en 2010 15 % Proportion des femmes canadiennes adultes qui fumaient en 2014 24 % Proportion des hommes canadiens adultes qui fumaient en 2010 21 % Proportion des hommes canadiens adultes qui fumaient en 2014 Source : Statistique Canada»
  21. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  22. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  23. Akelius Canada, filiale de la suédoise Akelius Residential Property, vient d'acquérir quatre immeubles d'habitation au centre-ville de Montréal, un investissement de 120 millions pour 415 logements. Il s'agit du Westmount Estates, au 1800, De Maisonneuve Ouest, du Plaza Drummond, au 3435, Drummond, du 3421, Drummond et du 4555, Bonavista, dans Côte-des-Neiges. Les propriétés étaient auparavant contrôlées par Cromwell Management, propriété de George Gantchev et Stanley Zipkin. Akelius est entrée au Canada en 2011. Elle se concentre dans les marchés de Toronto et Montréal pour le moment. Elle vient de franchir le cap des 1000 logements à Montréal avec ces dernières acquisitions. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201601/26/01-4943781-un-groupe-suedois-investit-120-millions-au-centre-ville.php
×
×
  • Créer...