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  1. L'entrepreneuriat en croissance au Québec, selon une étude de l'UQTR PUBLIÉ LE MERCREDI 28 SEPTEMBRE 2016 De plus en plus de Québécois démarrent leur propre entreprise, selon une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les professeurs Étienne St-Jean et Marc Duhamel ont présenté mercredi les données concernant l'activité entrepreneuriale québécoise, issues de l'enquête 2015 du Global Entrepreneurship Monitor (GEM). On y apprend qu'en 2014, les données démontraient un grand intérêt de la part des Québécois pour mettre sur pied une entreprise, une volonté qui s'est concrétisée en 2015. Le taux d'entrepreneuriat émergent est passé de 10,5 % (en 2013) à 13,5 % (en 2015). Le Québec est vraiment un des leaders sur la planète pour l'intention [entrepreneuriale] et pour l'activité entrepreneuriale. On remarque que le contexte économique semble favorable à la création d'entreprises. Marc Duhamel, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR L'étude révèle aussi que les jeunes Québécois sont très dynamiques sur la scène entrepreneuriale. La tranche des 18-24 ans est plus encline à passer à l'action que dans le reste du Canada ou dans d'autres pays comparables. C'est le cas également des 45 à 54 ans.* '' Les entrepreneurs au Québec sont fortement innovants et sont dans des créneaux de niche et ça, c'est une excellente nouvelle pour le développement économique, puisque quand on a des entreprises qui innovent, on a plus de chances d'avoir des entreprises pérennes, qui vont se distinguer des autres.'' -Étienne St-Jean, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR Tournés vers l'international : un exemple shawiniganais Les chercheurs de l'UQTR ont constaté que les entrepreneurs québécois sont davantage tournés vers les marchés internationaux qu'ailleurs au Canada. La compagnie SIM à Shawinigan se spécialise notamment dans les services de formation en santé et sécurité au travail aux entreprises. Elle compte de nombreux clients à l'étranger. « Souvent, nos clients ne sont pas des entreprises du Québec, confirme la présidente-directrice générale Chantal Trépanier. Ce sont des multinationales qui ont des sites ailleurs dans le monde et qui nous amènent à travailler avec eux sur leurs sites. » ''C'est comme une condition, une évidence. On ne pourrait pas dire : On va travailler juste au Québec.'' -*Chantal Trépanier, PDGSim La PDG croit qu'il est essentiel pour les entreprises d'ici de se tourner vers l'international. SIM compte une centaine d'employés. D'après les informations de Marie-Pier Bouchard http://ici.radio-canada.ca/regions/mauricie/2016/09/28/006-entrepreneuriat-etude-uqtr-trois-rivieres-professeurs-st-jean-duhamel-demarrage-entreprise.shtml
  2. Le parc Roland-Giguère a été conçu par la firme NIP Paysage dans le cadre d'un concours mené conjointement par l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et l'équipe de Design Montréal. Roland Giguère (Montréal, le 4 mai 1929- Montréal, le 17 août 2003) était poète, typographe, éditeur, maquettiste, graveur, lithographe et vivait dans le quartier Ahuntsic. Le parc est situé près de l'intersection des boulevards Henri-Bourassa et de l'Acadie, au coeur d'un ensemble immobilier résidentiel d'envergure, Cité l'Acadie, qui comptera à terme plus d'un millier de logements. Réalisé avec l'appui financier du ministère de la Santé et des Services sociaux et l'Institut national de la santé publique du Québec, le parc constitue un espace de verdure significatif pour les résidents et contribue à la réduction des îlots de chaleur urbains. De plus, il comporte la particularité d'être doté d'un système de brumisation permettant de rafraîchir les aires de jeux en période estivale.
  3. je ne crois pas que cet article à été publier encore... quand même intéressant. La souveraineté ne serait pas « mauvaise » pour le Québec Le 29 juin 2012 à 14h11 | ARGENTMise à jour le 21 février 2013 à 15h53 Olivier Bourque Argent Un chercheur de l'Institut Fraser croit que la souveraineté ne serait pas mauvaise économiquement pour le Québec. Il compare la province à la Slovaquie qui a vécu un véritable essor après l'éclatement de la Tchécoslovaquie en 1989. « Ça pourrait avoir un effet positif sur le Québec. En tout cas, ça ne serait sûrement pas la crise que certains anticipent. Je crois même que les liens avec les autres Canadiens seraient plus chaleureux », a souligné le chercheur Filip Palda, appelé à commenter un sondage soulignant que la moitié des Canadiens sont peu inquiets quant à une possible séparation. Cette position semble surprenante pour l'Institut Fraser. Leur dernière étude, qui date d'environ 20 ans, indique que les coûts de la séparation « seraient très élevés pour le Québec » et qu'un tort serait porté « aux deux économies ». « L'étude de l'institut a été publiée à une autre époque lorsque la situation était différente », a souligné M. Palda qui a confirmé que cette nouvelle position était la sienne. Il a ainsi fait une comparaison avec la Slovaquie qui est devenue un pays en 1989 après la Révolution de velours. « Avant que ça devienne un pays, nous étions pessimistes. Il était isolé, sans aucune nouvelle technologie, et recevait une péréquation. Mais les Slovaques ont généré un taux de croissance impressionnant à un rythme spectaculaire », a souligné le chercheur. « Je ne crois pas que le Québec souffrirait s'il perdait sa péréquation (NDLR: une balance de 4,4 milliards $). Pour le Québec, c'est un mauvais encouragement pour les politiciens », a-t-il poursuivi. M. Palda croit que l'avenir sera aux petites nations qui pourront tirer profit du nouveau contexte économique. « L'appartenance à un grand pays est en train de disparaître. Car la technologie permet d'avoir accès à de grands marchés. […] Avant, le commerce s'effectuait Est-Ouest au Canada, mais maintenant c'est Nord-Sud », a-t-il poursuivi. L'IREC… en accord Fait inusité, cette position rejoint celle de l'Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), jugée à gauche sur l'échiquier économique. Le chercheur Robert Laplante croit que la comparaison avec la Slovaquie n'est toutefois pas tout à fait correcte. « Le Québec a davantage de ressources et de moyens. Mais il est vrai que la Slovaquie a profité de sa séparation pour s'ouvrir économiquement », a-t-il souligné. M. Laplante croit surtout que la fédération canadienne actuelle est très loin d'aider l'économie québécoise. « On le voit très bien, a-t-il soutenu. Les sables bitumineux font hausser le dollar canadien et cela fait mal à nos exportations. Donc pour le Québec et même l'Ontario, ce n'est pas du tout viable économiquement de rester dans le Canada. » Mais comment le Québec pourrait-il aller combler le montant de péréquation qu'il reçoit chaque année? Le chercheur croit que la province pourrait couper dans le gras. « Bien sûr, c'est préoccupant. Mais il faut savoir qu'on pourrait très bien équilibrer nos finances publiques en éliminant les doublons. Il y en a beaucoup actuellement. Et les dépenses ne seraient pas les mêmes dans un Québec souverain. Pas sûr qu'on se payerait des F-35 à 30 milliards $ », a-t-il constaté. Imprimer http://argent.canoe.ca/nouvelles/affaires/souverainete-mauvaise-quebec-29062012
  4. Plus de 500délégués d'une vingtaine de pays participent, à compter de lundi, à la troisième Conférence internationale sur l'uranium, organisée par l'Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole. Pour en lire plus...
  5. La popularité des condos en hausse au Québec La Presse Canadienne Québec La popularité des condominiums prend de l'ampleur au Québec. Cet attrait est particulièrement important en milieu urbain et chez les ménages avec peu ou pas d'enfants. Ces résultats sont tirés des données sociodémographiques de l'Institut de la statistique du Québec qui indiquent que la demande pour ce type de propriétés a bondi de 49 pour cent entre 2001 et 2006.L'Institut soutient que 94 pour cent des propriétaires de condos étaient concentrés dans l'une des six régions métropolitaines de recensement, en 2006: les trois quarts avaient opté pour celle de Montréal. Malgré cette progression notoire, la proportion de propriétaires de condos par rapport à l'ensemble des types de propriétés représente moins de 15 pour cent dans toutes les régions du Québec. Ailleurs au Canada, le rapport est nettement supérieur. En Colombie-Britannique, par exemple, certains secteurs voient le tiers de leur parc immobilier dominé par les condos. Cette situation fait en sorte que les chiffres du Québec paraissent plutôt faibles lorsqu'on les compare au marché canadien. Toutefois, l'Institut soutient que la tendance observée au cours des 15 dernières années laisse présager que l'intérêt, loin de s'estomper, ira en s'accélérant.
  6. (Montréal) Les déboires de la Caisse de dépôt et placement en 2008 ont un impact tel sur le Régime des rentes du Québec (RRQ) qu'il risque l'épuisement 12 ans plus tôt que prévu, soit dès 2037. Selon un rapport de l'Institut CD Howe publié hier, les «pertes inattendues» de 9 milliards du fonds de réserve du RRQ ont «aggravé la situation et accentué le sentiment d'urgence» envers la suffisance à long terme de la caisse de retraite collective des Québécois. Pour réduire ce risque, le gouvernement du Québec n'aurait guère le choix de rehausser rapidement les cotisations salariales au RRQ, selon l'Institut CD Howe. La hausse requise serait de l'ordre d'au moins un point de pourcentage dès l'an prochain, ce qui ferait passer le taux de cotisation de 9,9% à 11,1% à compter de 2010. Toutefois, souligne l'Institut CD Howe, pareille hausse de cotisation salariale risque aussi de nuire à la compétitivité de l'économie du Québec par rapport aux provinces voisines. Ces provinces, rappelle l'Institut, fonctionnent avec le Régime de pensions du Canada (RPC) qui a subi une perte bien moindre que le RRQ en 2008. Par conséquent, pour réduire la hausse de cotisation requise au RRQ, le gouvernement québécois devrait aussi décréter le gel des prestations du régime aux retraités actuels «pendant une période d'à peu près dix ans». Dans son plus récent sommaire financier, le RRQ confirme que son fonds de réserve a été amputé de 9 milliards ou 26% en 2008. Ce fonds cotait à 25,7 milliards au 31 décembre dernier, contre 34,7 milliards un an plus tôt. Quant aux flux financiers du RRQ, les rentrées de fonds par cotisations -9,9 milliards en 2008- sont encore supérieures aux sorties de fonds pour les prestations, qui ont coûté 9,2 milliards en 2008. Toutefois, la direction du RRQ estime la durée de ce surplus financier à «encore quelques années» seulement. Appelée à commenter le rapport publié hier par l'Institut CD Howe, la direction du RRQ a indiqué par courriel qu'il s'agissait d'un document qui «est du nombre» de ceux attendus lors de la prochaine consultation publique sur l'avenir du régime québécois, l'automne prochain. Lien
  7. Le revenu disponible moyen des femmes était alors de 22 840$, comparativement à 30 244$ pour les hommes, selon l'Institut de la statistique du Québec. Pour en lire plus...
  8. La valeur totale des actifs des Québécois atteignait un peu plus de 94 milliards au troisième trimestre de 2008, selon les données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). Pour en lire plus...
  9. Michel Kelly-Gagnon quitte le Conseil du patronat 12 novembre 2008 - 13h39 LaPresseAffaires.com Michel Munger Olivier Bourque Après moins de trois ans à la tête du Conseil du patronat du Québec (CPQ), Michel Kelly-Gagnon repart diriger l'Institut économique de Montréal. Il partira le 23 janvier pour entrer en poste le 9 février, selon l'annonce faite mercredi par Hélène Desmarais, présidente du conseil d'administration de l'IEDM. En attendant son arrivée, Marcel Boyer, vice-président et économiste en chef, dirigera par intérim. M. Kelly-Gagnon a déjà été à la tête de ce think tank montréalais qui prône la liberté économique, soit de 1999 à 2006. Son mandat ? Accroître la présence de l'IEDM dans les débats publics sur la scène fédérale afin d'avoir une mission pancanadienne. Click here to find out more! «Au moment où le grand public vit le choc de la crise financière et où nous sommes confrontés à un ralentissement à l'échelle mondiale, l'expérience de M. Kelly-Gagnon à la tête de l'Institut, bonifiée par celle de principal porte-parole des entreprises du Québec, a constitué un élément décisif en faveur de sa candidature», indique Hélène Desmarais. «Son réseau de contacts étendu constituera un atout important pour que l'IEDM franchisse une autre étape dans son développement», ajoute la présidente du conseil. Le principal intéressé dit vouloir renforcer l'orientation de l'Institut, qui place la recherche accessible au grand public et l'approche du libre marché au cœur de ses priorités. M. Kelly-Gagnon cherche aussi à faire valoir son point de vue de façon plus marquée. «J'ai grandement apprécié mon travail de représentation du milieu des affaires, mais la liberté d'action et de parole propre à un think tankme manquait beaucoup». John LeBoutillier, président du conseil du CPQ, a salué le travail récent de M. Kelly-Gagnon. «En moins de trois années, il a entrepris avec succès une refonte de nos instances afin de les redynamiser. Il a également redonné à notre conseil d'administration un rôle de premier plan en y recrutant des gens d'affaires de haut niveau.» «Sous sa direction, ajoute M. LeBoutillier, le CPQ a connu une consolidation de ses ressources humaines et financières et une gestion efficace des enjeux stratégiques du patronat québécois», a-t-il ajouté. M. Kelly-Gagnon a invité les employeurs à continuer de soutenir le Conseil du patronat. «Le Québec a besoin d'un CPQ fort et j'invite de tout coeur les employeurs à maintenir, voire à augmenter, leur appui à cette importante organisation qui défend leurs intérêts.»
  10. L'Institut économique de Montréal annonce la nomination de Michel Kelly-Gagnon à titre de président. Ce dernier quitte le Conseil du patronat, un poste qu'il a occupé durant trois ans. Pour en lire plus...
  11. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 21H38)
  12. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 7H08)
  13. Selon l'Institut Fraser, nombre de provinces canadiennes dépenseront dans moins de 30 ans plus de 50% de leurs recettes fiscales pour la santé. Pour en lire plus...
  14. L'Institut national de la statistique et des études économiques prévoit une contraction du PIB français au troisième et quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  15. Un administrateur indépendant, c'est bien, mais un administrateur légitime et crédible, c'est encore mieux, selon l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques. Pour en lire plus...
  16. Le Québec, un des pires marchés du travail sur le continent 28 août 2008 - 09h50 Presse Canadienne Une étude conclut que le Québec se classe à l'avant-dernière place en matière de performance de son marché du travail au Canada, l'une des pires en Amérique du Nord. L'étude publiée jeudi par l'Institut Fraser compare la performance du marché du travail dans les 10 provinces canadiennes et les 50 États américains. Jean-François Minardi, analyste de politiques publiques à l'Institut, indique que le Québec souffre d'un taux de chômage élevé, d'un important chômage de longue durée et la province affiche également l'un des plus mauvais résultats en matière de productivité du travail dans toute l'Amérique du Nord. L'étude comprend une mesure de la performance du marché du travail fondée sur cinq indicateurs soit la croissance totale du niveau d'emploi, celle de l'emploi dans le secteur privé, les taux de chômage, la durée des périodes de chômage et la productivité du travail sur une période s'étalant de 2003 à 2007. Le taux de chômage et la durée de recherche d'un emploi associés à la productivité des travailleurs ainsi que la mauvaise performance en matière de création d'emplois dans le secteur privé ont eu une influence négative sur le résultat global de la province. L'Alberta a le marché du travail le plus performant de toute l'Amérique du Nord, tandis que la Colombie-Britannique se classe deuxième au Canada et 11e en Amérique du Nord. En matière d'emploi dans la fonction publique, un écart est visible entre les provinces canadiennes et les États américains. Le Québec se classe 51e sur 60 en raison de son taux élevé d'emploi dans la fonction publique qui représente 19,8% de l'emploi total de la province. L'étude révèle aussi que le Québec a un taux de syndicalisation de 40,2%. Une raison expliquant ce taux de syndicalisation élevé est la législation du travail québécoise qui est, selon l'Institut, favorable aux syndicats. Or, la recherche démontre que les lois qui régissent les rapports entre employeurs et employés freinent la performance des marchés du travail lorsqu'elles favorisent un groupe au détriment d'un autre.
  17. Une étude de l'Institut Fraser conclut que le Québec se classe à l'avant-dernière place en matière de performance de son marché du travail au Canada, l'une des pires en Amérique du Nord. Pour en lire plus...
  18. L'Institut économique de Montréal (IEDM) estime que le Québec devrait tirer profit de la demande croissante d'eau en préparant le terrain à des exportations d'eau en vrac qui pourraient rapporter à la province des milliards de dollars par année. Pour en lire plus...
  19. Selon un analyste de l'Institut Fraser, le financement public des événements bien établis, tels le Festival Juste pour rire et le Festival international de jazz de Montréal, devrait être aboli. Pour en lire plus...
  20. Organisation internationale dédiée au développement durable et aux droits humains - L'Institut des Affaires Culturelles International s'établit à Montréal MONTREAL, le 25 juin /CNW Telbec/ - En collaboration avec Montréal International (MI), l'Institut des Affaires Culturelles International (ICAI) inaugure officiellement aujourd'hui son secrétariat, situé en plein coeur du centre-ville de Montréal. L'organisation internationale, précédemment établie à Bruxelles, en Belgique, regroupe un réseau de 31 organisations nationales travaillant à la promotion de la culture comme levier du développement humain. "C'est un jour important pour Montréal, le Québec et l'ensemble du Canada puisque nous accueillons aujourd'hui une organisation reconnue mondialement pour ses efforts visant à réduire la pauvreté, à renforcer l'autonomie des femmes, à freiner la propagation du VIH-SIDA et à soutenir l'agriculture durable", a déclaré M. Dave Murphy, vice-président, Organisations internationales, à Montréal International. "ICAI se joint ainsi officiellement aux 70 organisations internationales déjà présentes sur le territoire montréalais. Chacune d'elle contribue au développement économique de notre région ainsi qu'à son rayonnement international", a-t-il ajouté. Selon M. Lambert Okrah, secrétaire général de l'Institut des Affaires Culturelles International, "le transfert du secrétariat d'ICAI à Montréal représente une étape importante pour l'organisation qui continue de croître en s'appuyant sur 40 ans de travail en développement humain à travers le monde. Montréal est une ville captivante, diversifiée et internationale qui offre une foule de possibilités. Sa situation géographique est particulièrement stratégique à un moment où ICAI cherche à élargir la portée de son rôle et de son influence quant à l'élaboration de politiques de développement à l'échelle mondiale". M. Okrah a reconnu le soutien important de Montréal International à l'occasion de ce transfert et est heureux qu'ICAI puisse se joindre à la communauté stimulante et en pleine croissance des organisations basées à Montréal et impliquées dans le développement international. "Nous nous réjouissons de ces nouvelles occasions d'apprendre et de former des partenariats et collaborations", a-t-il ajouté. L'appui de Montréal International à ICAI a été rendu possible grâce aux efforts concertés et au soutien financier de ses partenaires : Développement économique Canada, le ministère des Relations internationales du Québec et la Ville de Montréal. Les nouveaux bureaux d'lCAI sont situés au 555, boulevard René-Lévesque Ouest, à Montréal. A propos de l'Institut des Affaires Culturelles International (http://www.ica-international.org) Fondé en 1977, l'Institut des Affaires Culturelles International (ICAI) est une organisation internationale à but non lucratif dédiée exclusivement au traitement des enjeux liés à la pauvreté, aux conflits et à l'injustice en utilisant la culture comme levier du développement humain. ICAI, qui regroupe un réseau de 31 organisations nationales, utilise une approche unique et participative qui permet aux communautés de déterminer et de gérer leur propre développement, en plus de défendre des causes politiques, économiques et sociales associées à certains défis. ICAI met en oeuvre de nombreux programmes et effectue de la recherche ainsi que des activités dans le domaine de la politique mondiale. A propos de Montréal International (http://www.montrealinternational.com) Créé en 1996, Montréal International est issu d'un partenariat privé-public. Il a pour mission de contribuer au développement économique du Montréal métropolitain et d'accroître son rayonnement international. Montréal International a comme mandats d'attirer dans la région métropolitaine les investissements étrangers, les organisations internationales et la main-d'oeuvre stratégique, ainsi que de soutenir le développement de l'innovation et des grappes de haute technologie. L'organisme est financé par le secteur privé, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Ville de Montréal ainsi que les gouvernements du Québec et du Canada. Depuis l'an 2000, Montréal International a contribué à la réalisation de 422 projets d'investissements directs étrangers totalisant 6,3 milliards de dollars. Ces investissements ont permis de créer plus de 31 500 emplois et d'en maintenir plus de 5 500.
  21. Aérospatiale: le dollar entraînerait des déménagements 18 juin 2008 - 11h57 Presse Canadienne L'industrie aérospatiale canadienne profitera d'une remontée de la production pour afficher cette année son niveau de bénéfice le plus élevé en cinq ans, estime le Conference Board du Canada. L'institut de recherche économique avertit toutefois que la vigueur du huard pourrait entraîner au cours des prochaines années des transferts de production - incluant les appareils de la Série C projetée par Bombardier (BBD.B) - au profit d'autres pays plus concurrentiels. Dans sa note de conjoncture sectorielle du printemps sur l'industrie aérospatiale, l'institut de recherche écrit que les bénéfices escomptés cette année s'élèveront à 533 M$, soit leur plus haut niveau depuis 2003. De 2009 à 2012, ils devraient afficher une croissance à deux chiffres, soutient le Conference Board, mais les marges de profit demeureront minces par rapport aux niveaux enregistrés jusqu'à présent dans l'industrie. En outre, deux facteurs instables risquent d'entraîner une détérioration de la conjoncture dans l'industrie, soit les cours record du pétrole et la vigueur du dollar canadien. Ce dernier élément, qui rendrait le Canada moins attrayant que d'autres pays comme lieu de production, pourrait entraîner le déménagement de la production dans d'autres pays, y compris la fabrication des pièces des avions de 100 à 149 places de la Série C que Bombardier songe à lancer cette année, écrit le Conference Board du Canada. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080618/LAINFORMER/80618122/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  22. L'Institut Fraser a fixé au 19 juin la journée d'affranchissement de l'impôt pour les Québécois, une amélioration de quatre jours depuis l'an dernier. Pour en lire plus...
  23. Bernard Lord se joint à l'Institut économique de Montréal à 11h56, le 17 juin Équipe rédactionnelle - Jminforme.ca nouvelle@jminforme.ca L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick vient de se joindre à L’institut économique de Montréal (IEDM), un institut de recherche et d’éducation indépendant, sans but lucratif, à titre de membre du conseil. M. Lord, qui est depuis le mois de mai, le premier professeur en résidence de l’Institut d’analyse stratégique et d’innovation du Centre universitaire de santé McGill, travaillera à l’élaboration d’études stratégiques sur les politiques de santé, axées sur la responsabilisation des citoyens envers la gestion de leur santé. «Il est important de rechercher des solutions nouvelles qui nous permettront de relever le défi démographique et d'aider les gens à vivre en santé plus longtemps», affirme Bernard Lord. L’IEDM propose des solutions afin de susciter l'élaboration de politiques publiques optimales en s'inspirant, notamment, de réformes appliquées avec succès ailleurs dans le monde. L’institut étudie aussi le fonctionnement des marchés dans le but d'identifier les mécanismes et institutions susceptibles de favoriser une prospérité et un bien-être accrus et durables.
  24. Exploration minière: le Québec, chouchou des investisseurs 19 avril 2007 - 06h00 La Presse Philippe Mercure Le Québec est le deuxième endroit le plus intéressant de la planète pour faire de l'exploitation et de l'exploration minière. C'est en tout cas la conclusion d'une vaste enquête menée par l'Institut Fraser auprès de 333 entreprises de partout dans le monde. Cette enquête annuelle, publiée en mars dernier, montre que seul le Nevada devance le Québec dans ce concours de popularité qui prend en compte autant fois la richesse du sous-sol que le contexte qui permet de l'exploiter - lois, régime fiscal, normes environnementales, infrastructures, main-d'oeuvre, conflits avec les autochtones et bien d'autres. Comment expliquer une telle performance? «C'est très simple, répond Fred McMahon, coordinateur de l'étude à l'Institut Fraser. D'abord, vous êtes chanceux - votre potentiel minier est extrêmement riche. Et il y a une chose que vous faites comme il faut: mettre en place un cadre réglementaire prévisible, clair et transparent.» Selon M. McMahon, le fait que les entreprises soient satisfaites des lois en vigueur ici ne signifie pas qu'elles ont le champ libre pour polluer l'environnement ou brimer les droits des autochtones. «Certains croient qu'il y a une contraction entre avoir un cadre légal qui encourage l'industrie et des facteurs comme la protection de l'environnement. Ils ont tort, tranche-t-il. L'industrie n'est pas opposée à la réglementation. Elle veut avoir des règles du jeu claires et transparentes, et avoir l'assurance que si elle les suit, il n'y aura pas de surprise.»
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