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  1. Je l'ai déjà dit ici: on est en train de rater le bateau de l'économie du 21e siècle. Cette obsession harperienne pour le pétrole de l'Alberta nous coûtera cher..... Certains d'entre vous seront furieusement contre cette opinion. Mais je réitère. http://www.cyberpresse.ca/place-publique/editorialistes/francois-cardinal/201101/26/01-4364008-innover-ou-decliner.php
  2. Publié le 04 octobre 2010 à 06h29 | Mis à jour à 06h29 (Montréal) Ils déposent plus de brevets, lancent plus d'entreprises et attirent plus de capital-risque que quiconque sur la planète. Malgré un territoire pauvre en ressources naturelles et une situation politique instable, les Israéliens se sont hissés au sommet des indicateurs internationaux d'innovation. Le Québec, qui traîne la patte en la matière, peut-il s'inspirer de l'État hébreu? > Suivez Philippe Mercure sur Twitter Lundi dernier, à Québec. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, lance les mises en candidature pour combler un tout nouveau poste: celui de «scientifique en chef». La personne choisie deviendra à la fois le chef d'orchestre, le conseiller du gouvernement et le porte-parole de tout ce qui touche à la recherche québécoise et son financement. Ce rôle, les Israéliens le connaissent bien. Ils comptent sur un scientifique en chef depuis 1984. Le parallèle n'est pas fortuit. «Mon idée de créer le scientifique en chef est venue quand j'ai regardé ce qui se passe en Israël - un petit pays, mais qui a des gains de productivité très élevés», a révélé à La Presse Affaires le ministre Gignac lors du dévoilement de la stratégie québécoise sur l'innovation, au printemps dernier. Cet exemple illustre un fait méconnu, mais facile à vérifier: le milieu de l'innovation québécois a les yeux rivés sur Israël, un territoire qui compte une population et un PIB similaires à ceux de la province, mais qui innove beaucoup plus. «Israël est un monde que je connais particulièrement bien et qui a influencé mes réflexions depuis sept ans», dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys - plus important réservoir de capital-risque du Québec et de tout le Canada avec 700 millions sous gestion. M. Bernier dit aller en Israël en moyenne une fois par année. Il y a deux ans, Raymond Bachand, actuel ministre des Finances qui occupait à l'époque le siège de M. Gignac au Développement économique, s'y est aussi rendu avec une importante délégation commerciale. But de la mission: tisser des liens, mais aussi prendre quelques notes. «Israël est similaire au Québec à plusieurs points de vue, observe M. Bachand en entrevue. Il y a la taille, il y a ses secteurs porteurs qui sont très similaires à ceux du Québec - la biotechnologie, la pharmaceutique, les technologies de l'information. Et Israël est un leader mondial à la fois dans les secteurs technologiques et le capital-risque.» «Pour motiver un changement de perspective sur la technologie au Canada ou au Québec, Israël est le pays qui nous offre la plus belle occasion», dit carrément Céline Bak, du Russell Mitchell Group, groupe de consultants en technologie établi à Ottawa. Pourquoi Israël? «Quand on parle de la Chine, les gens nous disent: ils sont un milliard et demi, il n'y a pas de démocratie, ce n'est pas la même chose, répond Mme Bak. Avec Israël, on n'a pas d'excuse. C'est un pays où il n'y avait rien ou si peu il n'y a pas si longtemps, et tout d'un coup il se retrouve chef de créneau dans plein de secteurs.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/international/201010/04/01-4329218-israel-les-lecons-pour-le-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  3. Le «modèle» finlandais: des leçons pour le Québec? Édition du samedi 28 février et du dimanche 01 mars 2009 L'actuelle période d'incertitude économique suscite des questions sur le rôle de l'État et le maintien d'un équilibre harmonieux entre le développement économique et social. Un examen de l'expérience finlandaise offre dans ce contexte des leçons qui pourraient inspirer le Québec, notamment au chapitre de l'éducation et de l'innovation. La mesure du succès Les pays nordiques, selon le jugement du réputé économiste Jeffrey Sachs, «ont réussi à combiner une forte protection sociale avec de hauts niveaux de revenus, une croissante économique forte et une grande stabilité macroéconomique. Ils respectent également les critères les plus élevés en matière de gouvernance». Il convient de se demander comment ces pays ont atteint ces objectifs. L'examen d'un cas moins connu que l'emblématique modèle suédois, celui de la Finlande, est éclairant. La réussite de ce pays suscite d'ailleurs l'intérêt des Suédois eux-mêmes. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a récemment fait l'éloge des politiques économiques de la Finlande en disant qu'elles représentaient «un modèle non seulement pour l'Europe mais pour le monde entier». Les Finlandais ont dû composer avec des circonstances difficiles au début des années 90, soit une récession doublée de l'effondrement de leur plus important marché, l'Union soviétique. La Finlande a pourtant retrouvé rapidement le chemin du progrès au point de devenir une référence et un modèle de réussite pour les Scandinaves eux-mêmes. Quels sont donc les fondements du «modèle» finlandais et à quelle aune peut-on juger son succès? L'équilibre paraît être la clé du succès. Divers classements montrent que la croissance économique n'est pas incompatible avec la poursuite d'objectifs sociaux. NationMaster (2007), par exemple, accorde le premier rang à la Finlande en matière de développement technologique, de capacité concurrentielle, de développement culturel et de transparence des décisions publiques. Les conditions de la réussite La prospérité finlandaise repose principalement sur l'innovation et la compétitivité de son secteur d'exportation. La Finlande se situe au premier rang mondial pour le nombre de chercheurs par habitant et vient de remplacer la Suède au premier rang pour la part de son PIB consacrée à la recherche et au développement (4 %). Le système institutionnel appuyant cet effort en matière d'innovation est imposant et comprend notamment l'Académie de Finlande, l'Agence finlandaise de financement de la technologie et de l'innovation (Tekes), le Centre finlandais de recherche technologique (VTT) et le Fonds finlandais pour l'innovation (SITRA). La performance finlandaise au chapitre de l'innovation repose sur un système d'éducation considéré par plusieurs comme le meilleur au monde. Les élèves finlandais se classent régulièrement en tête des épreuves internationales de lecture, de sciences et de mathématiques. Cette réussite s'explique selon plusieurs par la capacité du système scolaire finlandais à former et à recruter des enseignants extrêmement compétents. Le rendement du système d'éducation finlandais est à la mesure de la valorisation de la profession d'enseignant dans ce pays. L'originalité finlandaise se manifeste aussi sur le marché du travail. La Finlande se classe notamment au premier rang en matière de protection contre les congédiements illégaux et au deuxième rang relativement à la sécurité économique de ses travailleurs et à la formation de sa main-d'oeuvre. La vitalité du mouvement syndical finlandais n'a pas constitué un frein à la croissance. Le patronat et les syndicats reconnaissent la nécessité de s'adapter à l'évolution technologique et d'assurer aux employés une formation adéquate pour s'y adapter. Le rôle de l'État La confiance relativement élevée envers le gouvernement finlandais a permis à l'État de faciliter la concertation entre les acteurs sociaux. Une gestion financière prudente a fait le reste. Les programmes sociaux finlandais se sont développés en fonction de la croissance de la richesse collective et de la capacité financière du gouvernement. L'État finlandais a joué un rôle important dans la promotion de la culture et de l'identité nationale, de même que dans la promotion de l'éducation et de l'innovation. Il a pu s'appuyer sur un large consensus reconnaissant le bien-fondé d'une fiscalité progressive visant à assurer une protection sociale adéquate pour les citoyens et à réduire les inégalités. Des services de garde de qualité ont facilité la participation des femmes au marché du travail et contribué à faire en sorte qu'elles soient aujourd'hui les plus scolarisées et les mieux rémunérées d'Europe. Le bilan de l'expérience finlandaise présente aussi ses zones d'ombre. Les problèmes sociaux n'y sont pas absents (consommation élevée d'alcool, taux élevés d'homicides et de suicides), mais le bilan finlandais en matière de santé et de gestion des problèmes sociaux reste extrêmement positif. Les leçons à tirer L'originalité du modèle finlandais repose sur l'équilibre entre les exigences de la compétition internationale et les impératifs du développement social. L'État finlandais garantit une protection exemplaire à ses citoyens face aux aléas de l'économie, mais son rôle essentiel consiste à leur assurer une sécurité durable en facilitant leur adaptation au changement par un soutien systématique à la recherche et à l'innovation. Le développement économique et social du Québec passe par un appui vigoureux du gouvernement à l'innovation et au développement technologique. Cette politique ne produira les fruits escomptés que si le système d'éducation québécois dispose de ressources adéquates qui devront servir prioritairement à améliorer la formation, le recrutement et les conditions de travail des enseignants. Le Québec ne parviendra à atteindre cet objectif que si l'éducation est au coeur de son projet de société. C'est à cette condition que les enseignants québécois pourront donner leur pleine mesure et que le système d'éducation du Québec deviendra l'un des meilleurs au monde. Il s'agit là sans doute de la principale leçon que le Québec pourrait tirer de la réussite finlandaise.
  4. Les petits secrets de la réussite de Lassonde: l'innovation et la distinction. Pour en lire plus...
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