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  1. Le cellulaire au volant bientôt interdit Photo Martin Chamberland, Archives La Presse Sidhartha Banerjee Presse Canadienne Montréal Deux provinces canadiennes sont sur le point d'interdire l'utilisation du téléphone cellulaire au volant, suivant ainsi l'exemple de Terre-Neuve-et-Labrador, première à l'avoir fait. Les gouvernements du Québec et de la Nouvelle-Écosse espèrent que les nouvelles lois devant entrer en vigueur mardi permettront d'accroître la vigilance des automobilistes et de réduire les accidents mortels sur les routes. Les appareils à mains libres seront toujours autorisés dans les deux provinces, mais certains observateurs avancent que l'interdiction des cellulaires ne constitue pas la voie à suivre. Raynald Marchand, du Conseil canadien de la sécurité, affirme que les interdictions des cellulaires détournent l'attention du vrai problème, qui est la distraction des conducteurs. «Des études démontrent que (les cellulaires ne sont) pas le problème», a déclaré M. Marchand lors d'une entrevue accordée depuis Ottawa. «Le problème est le niveau de distraction, qu'il s'agisse d'un cellulaire tenu à la main ou d'un appareil à mains libres. Le cellulaire à mains libres n'est pas sans distraction», a-t-il ajouté. «Pour plusieurs personnes, le cellulaire à mains libres pourrait être pire parce que certaines études démontrent que les gens ont tendance à parler plus longtemps avec un tel appareil, qu'elles ne roulent pas à droite et ne ralentissent pas», a poursuivi M. Marchand. «Je ne suis pas certain que nous fassions la bonne chose», a-t-il enfin indiqué. Au Québec, la composition d'un numéro au volant constitue une question sérieuse. Le bureau du coroner du Québec a fait état d'au moins 24 décès survenus à la suite d'accidents lors desquels le cellulaire a constitué un facteur. Dans la province, l'utilisation du cellulaire au volant sera passible d'une amende d'environ 100$. La nouvelle loi sera plus sévère en Nouvelle-Écosse, où les conducteurs feront face à une amende de 164,50$ pour une première infraction. L'amende augmentera à 222$ à la suite de la deuxième infraction et passera à 337$ pour chacune des suivantes. Selon un sondage mené par la Canadian Traffic Injury Research Foundation, 37 pour cent des automobilistes ont reconnu avoir utilisé leur cellulaire tandis qu'ils se trouvaient au volant en 2007. http://www.cyberpresse.ca/article/20080330/CPACTUALITES/80330074/6488/CPACTUALITES
  2. Le ministre des Finances invite l'opposition à lui laisser les mains libres pour injecter rapidement des fonds destinés à stimuler l'économie. Pour en lire plus...
  3. Logiciels libres : le gouvernement québécois poursuivi Marie-Eve Morasse, Technaute.ca 28 août 2008 | 10 h 13 Un organisme québécois qui fait la promotion des logiciels libres intente une poursuite contre le gouvernement provincial, qu'il accuse de privilégier les logiciels de Microsoft au détriment d'autres solutions. La poursuite a été déposée en Cour supérieure le 15 juillet et a été rendue publique hier. L'organisme Facil (FACIL, pour l'appropriation collective de l'informatique libre) reproche au gouvernement québécois de ne pas respecter le processus d'appel d'offres quand il s'agit d'acheter des logiciels. Le gouvernement québécois utilise une disposition qui lui permet d'acheter sans appel d'offres quand il veut se procurer des logiciels couverts par des droits exclusifs. Facil accuse Québec d'abuser de cette disposition. Le groupe estime que le gouvernement dépense annuellement 80 millions $ pour des licences d'exploitation du système d'exploitation Windows. Selon la poursuite, entre les mois de février et juin 2008, le gouvernement québécois aurait attribué pour plus de 10 millions de dollars de contrats à Microsoft, sans appel d'offres. «Trop souvent l'administration québécoise refuse d'envisager et même d'évaluer l'option du logiciel libre», déplore le groupe dans un communiqué. Facil estime qu'une «politique rigoureuse et déterminée d'utilisation de logiciels libres permettrait la création de très nombreux emplois durables, ainsi que des économies substantielles en licences de logiciels et inutiles mises à jour». Dans sa poursuite, Facil donne l'exemple de pays comme la France où depuis deux ans, une partie de l'administration française, dont les députés, est passée à Linux. La France avait alors estimé que les logiciels libres allaient lui permettre de réaliser de «substantielles économies».
  4. Quebecor World hors de l'édifice de Quebecor 26 juin 2008 - 16h04 Presse Canadienne Signe de plus que Quebecor (QBR.B) et Quebecor World (IQW) prennent des chemins séparés: l'imprimeur déménagera cet automne son siège social à l'extérieur de l'édifice du conglomérat médiatique. Les deux entreprises n'ont pas réussi à s'entendre sur le renouvellement du bail pour les locaux que Quebecor World loue à Quebecor au siège de cette dernière, en face du square Victoria, à Montréal. C'est ce que révèle le plus récent rapport du contrôleur de Quebecor World, la firme comptable Ernst & Young, déposé plus tôt ce mois-ci en Cour supérieure du Québec. Quebecor World a donc fait le tour des locaux disponibles au centre-ville de Montréal et a déniché trois étages libres au 999 de Maisonneuve ouest, un édifice appartenant à la firme torontoise OP Trust Office. Selon des documents déposés au tribunal, Quebecor World économisera 3 ,1 M$ sur dix ans en optant pour le 999 de Maisonneuve. Quebecor World s'est placée à l'abri de ses créanciers en janvier et tente actuellement de se restructurer sous la protection des tribunaux au Canada et aux États-Unis.
  5. Le taux d'inoccupation moyen des immeubles du secteur privé de trois logements et plus s'établissait à 2,5% dans les centres urbains du Québec ce printemps. Pour en lire plus...
  6. Le Journal de Montréal 13/06/2007 Ça bouge dans les centres commerciaux du pays! La consommation roule à fond de train, les joueurs internationaux cognent à notre porte mais on manque de place pour les accueillir. Quand les ventes au détail sont fortes, les propriétaires de centres commerciaux ont le cœur à la fête. Personne n’avait donc l’air déprimé, hier, à la conférence annuelle de l’ICSC (International Council of Shopping Centers), au Québec. L’association regroupe toute une panoplie de professionnels gravitant dans le milieu des centres commerciaux. Pour ouvrir la journée, le nouveau président du conseil de l’ICSC et PDG d’Ivanhoé Cambridge, René Tremblay, a rappelé à quel point les ventes avaient été soutenues depuis 2003. «Il n’y a pas eu de récession dans les centres commerciaux depuis 1993», a-t-il plus tard affirmé en rencontre de presse. «Pour les 18 prochains mois, la situation s’annonce très bonne», a-t-il ajouté. M. Tremblay a aussi fait le tour des tendances qui touchent le secteur. L’une d’elles est la «mondialisation croissante des activités immobilières commerciales». En d’autres mots, les joueurs étrangers s’intéressent à nos actifs et vice-versa. Peu de locaux libres On n’a donc pas fini de voir des entreprises étrangères mettre la main sur des détaillants canadiens, comme l’ont fait Limited Brands avec La Senza ou encore Bain Capital avec Dollarama. Autre conséquence de la mondialisation : plusieurs concepts d’ailleurs veulent s’implanter au Canada. M. Tremblay a notamment mentionné les noms d’Aéropostale, Lucky Brand Jeans, Plato’s Closet, L.A. Fitness, Panera Bread, Fauchon, Hot Topic, Forever 21 et Michael Kors. Le hic, c’est que les centres commerciaux manquent d’espaces libres. «Les taux d’occupation n’ont jamais été aussi élevés qu’actuellement», a soutenu M. Tremblay. Seulement 3 ou 4% des espaces seraient libres, ce qui, forcément, ralenti les ardeurs de certains détaillants. Agrandissements difficiles Reprenant son chapeau de PDG d’Ivanhoé Cambridge, M. Tremblay a convenu que le manque d’espaces vacants dans les centres commerciaux traditionnels était un «défi». «L’expansion des centres commerciaux existants est pour nous une priorité, a-t-il fait savoir. On regarde des solutions très créatives qu’on n’aurait pas envisagées il y a 15 ans.» Les centres commerciaux doivent trouver des solutions originales car ils n’ont souvent pas l’espace pour agrandir. Afin de ne pas gruger dans les espaces de stationnement, ils envisagent souvent la construction en hauteur ou au-dessus de ces derniers. - M. Tremblay est le sixième Canadien à présider le conseil d’administration de l’ICSC, depuis sa fondation en 1957. - L’ICSC est la plus importante association de professionnels du domaine des centres commerciaux dans le monde, avec 66 000 membres de 92 pays.
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