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  1. Pas un concours, plutôt un appel à contribution pour bonifier une exposition de photographie qui va avoir lieu au parc Bellerive dans le quartier Sainte-Marie intitulée ''Le fleuve, le pont et l'Homme'' Voici les détails:
  2. walker

    L'HOMME de Calder

    La sculpture "L'Homme" d'Alexander Calder, sur le site d'EXPO 67, serait, d'apres la revue MONTREAL centre-ville (printemps 2008), " la plus importante oeuvre d'art de la collection municipale d'art de la ville de Montreal, mais aussi la plus grande oeuvre de valeur au Canada ". Sa valeur serait evaluee a 50 millions de dollars americains (Quoiqu'avec la valeur du dollar americain, on ne sait plus si c'est un " plus value" )
  3. Une femme meurt écrasée par un bloc de béton Catherine Handfield La Presse Une femme de 33 ans est morte ce soir dans le centre-ville de Montréal, écrasée sous un bloc de béton qui s'est détaché du 17e étage d'un immeuble. Le tragique accident est survenu vers 18h, à la résidence Inn Marriott, située sur la rue Peel, à l'angle de l'avenue De Maisonneuve.La victime et son conjoint, également âgé de 33 ans, soupaient au rez-de-chaussé de l'immeuble quand le bloc s'est détaché, a traversé la verrière et terminé sa chute sur la dame. Son décès a été constaté à l'hôpital. Le conjoint, qui a été également blessé, a subi un important choc nerveux. L'homme, dont la vie est hors de danger, a perdu des doigts, selon Olivier Lapointe, porte-parole de la police de Montréal. Les enquêteurs sont sur les lieux pour élucider les causes du drame, qui semblent pour l'instant accidentelles.
  4. Publié le 18 août 2009 à 14h10 | Mis à jour à 15h00 Un laveur de vitres fait une chute de 20 étages Tristan Péloquin La Presse Un laveur de vitres qui travaillait au dernier étage du 555, rue Sherbrooke ouest, a connu une fin tragique cet après-midi. Pour une raison toujours inconnue, la nacelle à bord de laquelle il venait de monter a cédé, l'entraînant dans une chute mortelle d'au moins 15 étages. L'homme n'a eu aucune chance. À l'arrivée des services d'urgence, son corps reposait partiellement sous la nacelle, qui s'est écrasée sur le toit d'un restaurant de jazz situé à l'extrémité sud-est de l'édifice. Un autre homme a dû être traité pour un choc nerveux. Kate, une employée qui se trouvait au 11e étage de l'immeuble lorsqu'est survenu l'accident, dit avoir vu un câble céder: «J'ai ensuite entendu crier, puis ça a fait un bruit sourd», raconte-t-elle. Selon le capitaine Daniel Lalonde, du Service de sécurité incendie de Montréal, la victime a fait une chute de 15 ou 20 étages. «La nacelle se trouvait à égalité avec le toit lorsqu'est survenu l'accident. Ce que nous comprenons, c'est que la chute s'est produite alors que l'homme montait à bord. Nous n'avons aucune idée pourquoi ça a cédé ni comment il a été entrainé dans la chute de la nacelle. C'est quelque chose qui sera déterminé lors de l'enquête». Des enquêteurs de la Commission de la santé et de la sécurité au travail sont attendus sur place pour recréer la scène du drame avec l'aide des policiers montréalais. Il s'agit du deuxième accident mortel impliquant des laveurs de vitres en hauteur à survenir au Québec depuis octobre 2000, selon les données fournies par la CSST. «Les travailleurs de ce domaine doivent obligatoirement avoir complété une formation sur les risques d'utilisation d'un treuil et les risques de chute, indique la porte-parole Julie Melancon. Les travailleurs doivent aussi porter un harnais qui les relie à la nacelle par un cordon.»
  5. Aucun lien avec mtlurb, mais l'article est vraiment très intéressant: L'Entrevue - Sans viande, pas d'humanité Le Devoir Fabien Deglise Édition du lundi 13 juillet 2009 Mots clés : Humanité, Végétariens, Viande, Consommateur, France (pays) La préhistorienne Marylène Patou-Mathis est spécialiste du Néanderthal. Coup dur pour les ayatollahs du tout végétal. En courant après des régimes alimentaires de plus en plus végétariens ou encore en sacralisant à outrance les animaux, au point de leur accorder plus de considération qu'à ses voisins d'en face, l'être humain serait sérieusement en train de faire fausse route. Une route «dangereuse» d'ailleurs, qui l'amènerait à rompre avec la dimension fondamentale de sa personne: son humanité, estime la préhistorienne française Marylène Patou-Mathis dans une étonnante brique qui retrace l'apport incontestable de la viande à... la grande aventure humaine. Avec Mangeurs de viande. De la préhistoire à nos jours (Perrin), la spécialiste du Néanderthal, qui promène sa passion pour le Paléolithique moyen entre son bureau du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et celui du Muséum national d'histoire naturelle de Paris, n'y va pas par quatre chemins. «La consommation de viande a été le catalyseur de la séparation entre les grands singes, principalement végétariens frugivores, et les Australopithèques, les premiers hominidés, lance-t-elle à l'autre bout du fil. C'est donc par la viande que nous devenons des humains, puis des hommes sociétaux. Et il ne faut pas chercher à l'oublier.» Dans la dernière décennie, les avancées technologiques, mises au service de la recherche préhistorique, ont d'ailleurs contribué à éviter l'amnésie. «Nous savions que les premiers hominidés consommaient des produits carnés, d'abord par l'entremise des insectes, puis par les petits animaux», poursuit Mme Patou-Mathis. Or pour la première fois, grâce aux analyses biogéochimiques d'os fossiles de Néanderthaliens et d'Hommes modernes, les spécialistes de la préhistoire, en sondant désormais l'ADN de certains isotopes inscrits dans ces restes humains, sont en mesure de quantifier cet apport. «Et les courbes de consommation de viande que nous obtenons sont énormes. On s'est rendu compte qu'elles étaient même identiques à celles du loup.» Beau temps, mauvais temps, en période glaciaire -- où les végétaux se font plus rares -- et dans des moments plus tempérés, depuis près de trois millions d'années, l'homme -- et la femme par la même occasion -- mangent donc de la viande. Ce type de nourriture trouve d'ailleurs sa place dans un régime varié propre aux omnivores, régime qui avec le temps, forcément, s'est inscrit durablement dans le code génétique de l'Homo habilis, de l'Homo erectus et de leurs trillions de descendants. Et pour cause. «La consommation de viande, avec son apport élevé de protéines, fournissant l'énergie indispensable au bon développement et au bon fonctionnement du cerveau, a favorisé l'innovation technologique et modifié les comportements», résume la préhistorienne, qui étudie le rapport entre hommes et animaux en ces temps que les moins de 250 000 ans ne peuvent pas... «La viande devient aussi une force de cohésion grâce à laquelle se soudent les communautés et se construisent les alliances.» C'est un trait de caractère. Alors que l'herbivore conjugue son existence au temps de l'individualisme, le carnivore, lui, en quête quotidienne de chair à se mettre sous la dent, devient très vite social. Autour de la chasse, forcément, et des activités connexes. «C'est un moteur important à la construction de l'homme sociétal, dit-elle. La viande fait apparaître des structures: la coopération [pour trouver et abattre l'animal], le partage, la division du travail... En somme, elle outrepasse, plus que tout autre aliment, la fonction nutritionnelle.» Retrouver l'animal en nous Manifestation de l'inconscient collectif qui a façonné l'esprit humain dans l'espace et le temps, la consommation de viande et son préalable, la chasse, s'accompagnent donc d'un corollaire simple: sans elle, pas d'humanité. Et notre ère moderne semble un peu mal à l'aise avec cette réalité, déplore Mme Patou-Mathis. «La course au progrès nous amène à rejeter de plus en plus notre nature animale et à rompre avec notre part de virilité, dit-elle. Nous voulons tellement nous affirmer comme des êtres de culture dont le bien-être, détaché de nos racines, ne peut être que technologique et matériel, que tout ça finit par aller contre nature.» Traduction, selon elle, d'une «crise existentielle», d'un «mal-être» dans une époque en «phase de transition», ce refus de l'animalité -- et des morceaux de muscle grillés, braisés, bouillis, marinés qui viennent avec -- trouve son expression dans les appels au végétarisme portés par des groupes plus ou moins radicaux. Le courant animaliste, en ascension depuis quelques années autour des phoques, des oies gavées, des poulets industriels et autres bêtes d'élevages dont la souffrance est régulièrement dénoncée, vient également apporter de l'eau au moulin du malaise collectif. «Nous sommes devant un grand paradoxe, lance la préhistorienne. Ces gens-là, en cherchant au nom d'un certain respect, à sacraliser la nature, finissent par nuire à cette même nature qu'ils ne reconnaissent plus comme telle. En fait, ils veulent faire de la nature un monde culturel. C'est dangereux. Ça va finir par nous rendre complètement schizophrènes et nous conduire à poser des gestes pathologiques.» Alors que l'humanité, confrontée à des «moments difficiles» -- les dérèglements climatiques, la chute de la biodiversité, par exemple -- se cherche, c'est pourtant davantage d'équilibre dont l'humain semble aujourd'hui avoir besoin pour affronter la situation, plaide la scientifique. «Il faut raison garder, dit-elle, et il faut aussi renouer avec notre dimension naturelle, ancestrale, en mangeant de la viande.» De la viande, certes, mais dans des proportions adaptées à nos modes de vie urbains, souligne-t-elle, et que nos ancêtres néanderthaliens auraient certainement trouvées faméliques. «Pour qu'il y ait une cohérence, cette viande doit aussi trouver sa place dans la variété d'un régime omnivore, avec des fruits et des légumes. C'est une question d'équilibre. La démesure, dans un sens comme dans l'autre, n'est jamais bonne.» Autre prescription pour aider l'homme moderne à se trouver, puisqu'«il ne sait plus où il habite», dit la préhistorienne: «Il faut désacraliser les animaux, accepter une bonne fois pour toutes leur différence et surtout le fait qu'ils ne sont pas humains», dit Mme Patou-Mathis. «L'animal est un animal. Le reste est anthropomorphisme. Quand on cherche à leur donner plus de droits qu'aux hommes, on se perd»... et on confirme au passage ce que la préhistorienne vient de disséquer sur plus de 400 pages: pas de doute, depuis la nuit des temps, les «frères inférieurs», dixit l'historien Jules Michelet, les «frères d'en bas», pour Georges Clemenceau, ou les «enfants muets de la terre», comme disent les Orientaux, nous amènent sans relâche à mettre en question notre humanité. http://www.ledevoir.com/2009/07/13/258846.html
  6. Après toutes ces discussions divisives de nature politique, du aux deux élections récentes, je crois qu'on devrait changer le ton sur le forum et parler de quelque chose qui rassemble! Notre ville! Quel est votre "spot" préféré en ville et pourquoi? Moi j'ai 3 places que j'adore... 1. Le belvedère du Mont Royal (pour la vue incroyable) 2. Le bord de l'eau de l'ile Sainte-Hélène sur le côté nord, là ou il y a l'Homme de Calder (encore pour la vue incroyable de la ville) 3. La Place du Canada (parce que c'est paisible et en plein centre du 1000 de la G, de la PVM, de la tour CIBC et du 1250. Des tours en hauteur dans toutes les directions à partir de ce parc!
  7. L'homme d'affaires Stephen Jarislowsky estime qu'Ottawa doit faire des investissements massifs pour aider à relancer l'économie. Pour en lire plus...
  8. MI Developments procédera à l'essaimage de sa filiale de courses de chevaux, Magna Entertainment à ses actionnaires, tandis que l'homme d'affaires Frank Stronach en prendre le plein contrôle. Pour en lire plus...
  9. Les technologies de l'information et des communications (TIC) telles que le courriel, les intranets, les collecticiels, les systèmes de réunion électronique et les systèmes de communication mobile bouleversent en profondeur les modes d'organisation du travail dans les entreprises. Pour en lire plus...
  10. L'homme d'affaires Benoit Laliberté vient de subir une autre cuisante défaite dans un litige connexe à l'affaire Jitec. Vendredi, un jugement a clairement rejeté sa poursuite de plus de 2 millions de dollars contre l'ex-courtier Marc Beaudoin. Pour en lire plus...
  11. L'homme d'affaires Thomas Nakos n'a pas le choix: il doit transmettre à deux importants investisseurs montréalais les états financiers d'un Casino grec grâce auquel il a encaissé 34 millions de dollars. Pour en lire plus...
  12. Je vous invite a voter pour la photo gagnante du premier concours de photographie : http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=5484
  13. Repenser l'économie pour l'homme 5 juin 2008 - 06h25 La Presse Rudy Le Cours «L'économie est faite pour les gens. À ce titre, elle a une obligation de résultat. Elle doit contribuer à leur bien-être.» Ainsi commence le préambule de la Charte de l'Association internationale des investisseurs dans l'économie sociale (INAISE) qui doit être adoptée demain à Québec dans le cadre du premier Sommet mondial de la finance sociale et solidaire où sont conviés 160 financiers provenant de 39 pays. «Nous poursuivons trois objectifs, explique en entrevue Giovanni Acquati, président d'INAISE. Nous sommes un lieu de débats et d'études sur les finances solidaires et sociales. Nous voulons participer au développement d'instruments financiers, participer à la naissance d'institutions et nous voulons faire de la finance à caractère social.» Bref, créer de la richesse qui lie les dimensions sociale, économique et environnementale de la vie plutôt que de simplement gonfler les avoirs de Wall Street. L'événement se déroule à Québec grâce à l'engagement de la Caisse d'économie solidaire Desjardins. Forte de 10 293 membres, elle a un volume d'affaires de quelque 845 millions de dollars et se classe 47e rang au chapitre de l'actif parmi les 536 caisses du réseau de l'institution lévisienne. «Nous voulons avec l'INAISE lancer un réseau mondial d'institutions où se font du microcrédit, du capital-risque et des fonds d'investissement axés sur l'économie sociale et solidaire», poursuit Clément Guimond, organisateur principal du Sommet et coordonnateur de la Caisse, de 1986 à 2007. L'INAISE a choisi Québec comme ville hôtesse de son premier Sommet pas tant parce qu'elle célèbre ses 400 ans, mais pour marquer la volonté de l'organisme d'assurer sa présence sur les cinq continents. Créée en 1989 à Barcelone, l'INAISE compte 48 membres répartis dans 28 pays, à majorité européens. Ensemble, elles ont un actif qui dépasse les 5 milliards d'euros (7,8 milliards CAN). Outre la Caisse d'économie solidaire, l'INAISE compte parmi ses membres la banque néerlandaise Triodos, à vocation environnementale, la Banca Etica d'Italie, dont M. Acquati est membre fondateur, la Charity Bank du Royaume-Uni et plusieurs institutions scandinaves. «La finance sociale et solidaire préconise le respect de l'homme et de l'environnement, poursuit M. Acquati, diplômé en comptabilité qui a fait ses classes dans une banque lombarde. On ne cherche pas seulement à faire de l'argent. On veut lui donner du sens.» Voilà pourquoi les dimensions formation et échange revêtent tant d'importance. Les écoles d'économie ou de finances classiques fournissent un bon bagage théorique et technique, mais offrent peu de savoir en matière de solidarité ou de respect de l'environnement. Les délégués auront droit à une présentation de Riccardo Petrella, président du Groupe de Lisbonne qui a amorcé une réflexion critique sur les limites du libéralisme il y a une vingtaine d'années. Il parlera des enjeux de ce qu'il appelle la «financiarisation» de l'économie mondiale. Les délégués échangeront sur leurs expériences et les possibilités de créer un modèle économique de rechange dans un contexte de mondialisation. Ils se pencheront aussi sur le financement d'énergies soutenables et approfondiront le concept d'investissement socialement responsable. Les délégués mettront fin à leurs travaux avec l'adoption de la Charte dont le texte leur sera soumis demain. Ils se donneront rendez-vous l'an prochain au Luxembourg. L'assemblée de l'INAISE, qui aura alors un nouveau président, coïncidera avec les assises quadriennales du Réseau international d'économie sociale et solidaire (RIPESS). Présents sur cinq continents, les représentants américains de son conseil d'administration sont Gérald Larose et Éthel Côté. Ils seront très actifs aujourd'hui et demain à Québec. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080605/LAINFORMER/806050800/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
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