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  1. Afin de souligner l'œuvre remarquable du chanteur montréalais Leonard Cohen, décédé en novembre dernier, ses textes seront projetés sur le silo numéro 5, dans le Vieux-Port de Montréal. L'installation du Musée d'art contemporain, intitulée For Leonard Cohen, s'inscrit dans la programmation de l'exposition hommage Leonard Cohen : une brèche en toute chose / A Crack in Everything, à laquelle participent les musiciens Lou Doillon, Jean Leloup et Ariane Moffatt. La projection conçue par l'artiste américaine Jenny Holzer mettra en valeur des textes en anglais et en français tirés des poèmes, chansons et autres écrits de Cohen. Jenny Holzer a réalisé ce type d'œuvre dans le passé à Rome, sur le Castel Sant'Angelo, et à Paris, sur la pyramide du Louvre. La projection sera visible à partir du 7 novembre, lors du premier anniversaire du décès de Cohen. L'exposition Leonard Cohen : une brèche en toute chose / A Crack in Everything, mise sur pied par John Zeppetelli et Victor Shiffman, réunira 25 œuvres inédites conçues par des artistes d'ici et d'ailleurs issus des arts visuels, de la performance, de la musique, de l'écriture et du cinéma. Certains événements et concerts spéciaux seront également captés et diffusés sur les différentes plateformes de Radio-Canada. Le silo numéro 5 demeure une des structures les plus célèbres de Montréal. Sa revalorisation a fait l'objet, depuis 30 ans, de nombreux projets, qui n'ont toutefois jamais abouti. En octobre dernier, l'architecte Pierre Thibault et l’homme d’affaires Benoît Berthiaume ont proposé d'en faire un pôle touristique « de calibre mondial » qui inclurait une terrasse, un circuit piétonnier surélevé inspiré du High Line de New York et un hôtel. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1011791/les-textes-de-leonard-cohen-illumineront-le-silo-numero-5
  2. Expo universelle de 2025: deux elus veulent que Montreal soit candidate | Pierre-Andre Normandin | Montreal Publié le 15 janvier 2017 à 05h00 | Mis à jour à 06h59 Expo universelle de 2025: deux élus veulent que Montréal soit candidate Marvin Rotrand, conseiller de la Ville et chef du parti Coalition Montréal Photo OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE Pierre-André Normandin La Presse Alors que Montréal souligne cette année le 50e anniversaire d'Expo 67, deux élus montréalais proposent d'inviter à nouveau le monde dans la métropole québécoise en organisant l'Exposition universelle de 2025. Justine McIntyre, conseillère de la Ville et chef de Vrai changement pour Montréal Photo tirée du compte Facebook de Vrai changement pour Montréal Les conseillers Marvin Rotrand et Justine McIntyre proposeront à l'administration Coderre, lors du prochain conseil municipal, « d'examiner la possibilité de déposer au Bureau international des expositions la candidature de la Ville de Montréal pour l'Expo 2025 ». Ils comptent rendre publique demain leur évaluation des coûts et des retombées économiques de l'événement. Le temps presse toutefois puisque les villes intéressées ont jusqu'au 22 mai pour entrer officiellement dans la course. En effet, la France a présenté le 22 novembre dernier la candidature du Grand Paris en vue de 2025. En vertu des règles d'attribution de l'Exposition universelle, ce dépôt a déclenché le compte à rebours de six mois pour les mises en candidature. Novembre 2018 Moment où sera connu le choix de l'hôte pour l'Exposition universelle de 2025 au terme d'un processus de sélection parmi les différents candidats. Dans une motion qu'ils déposeront le 23 janvier au conseil municipal, les deux élus montréalais soulignent qu'Expo 67 a eu d'importantes retombées pour Montréal, de la construction du métro à l'aménagement de l'île Notre-Dame en passant par l'arrivée d'une équipe professionnelle de baseball. La Ville de Toronto a sérieusement envisagé une candidature en vue d'Expo 2025, mais a fini par renoncer l'automne dernier, en raison des risques financiers. « Chaque fois que Toronto a dit non à quelque chose d'important, ça a fonctionné à l'avantage de Montréal », a indiqué Marvin Rotrand, qui vient de prendre la tête du parti Coalition Montréal. Celui-ci rappelle que la métropole québécoise a obtenu Expo 67 après que la Ville Reine s'est montrée peu intéressée par la tenue de l'événement, que le Canada convoitait à l'époque. « Le reste fait partie de l'histoire », poursuit M. Rotrand. Et de deux? Il n'est pas rare que l'Exposition universelle soit présentée à plusieurs reprises par une même ville. Seule candidate pour l'heure en vue de 2025, Paris l'a déjà organisée six fois. Bruxelles (Belgique) l'a présentée à quatre reprises. Les villes de Londres (Royaume-Uni), Barcelone (Espagne) et Milan (Italie) l'ont organisée chacune deux fois. Les règles du Bureau international des expositions, qui gère l'événement, prévoient un délai d'au moins 15 ans entre deux présentations de l'Exposition dans un même pays. La dernière présentation de l'événement au Canada remonte à 1986, à Vancouver. Détail important, la candidature doit être présentée par un État - le Canada, donc, dans le cas de Montréal. Si elle décide de se lancer, la métropole québécoise devra ainsi convaincre rapidement le gouvernement Trudeau d'embarquer dans l'aventure. Si le délai pour présenter une candidature montréalaise devait être jugé trop serré, Marvin Rotrand et Justine McIntyre proposent d'envisager une candidature pour l'Expo spécialisée prévue en 2027 ou 2028.
  3. http://www.lapresse.ca/maison/decoration/amenagement/201504/28/01-4865137-amenagement-les-finissants-sexposent.php Publié le 28 avril 2015 à 12h25 | Mis à jour à 12h25 Aménagement: les finissants s'exposent Le vernissage aura lieu le jeudi 30 avril à partir... (Photo fournie) Agrandir Le vernissage aura lieu le jeudi 30 avril à partir de 18h, et l'exposition sera ouverte au public le vendredi 1er mai et le samedi 2 mai entre 12h et 16h. PHOTO FOURNIE Ma Presse Sophie Ouimet-LamotheSOPHIE OUIMET La Presse Comme chaque année, la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal ouvre ses portes au public pour son exposition de finissants. Plus de 250 projets seront présentés dans les locaux de la Faculté, toutes disciplines confondues: architecture, architecture de paysage, design industriel, design d'intérieur, design urbain et design de jeux. Cette année, l'exposition explore la dualité entre le fond et la forme dans la création. Le vernissage aura lieu le jeudi 30 avril à partir de 18h, et l'exposition sera ouverte au public le vendredi 1er mai et le samedi 2 mai entre 12h et 16h. Fond Forme Université de Montréal, Faculté de l'aménagement 2940, chemin de la Côte-Sainte-Catherine amenagement.umontreal.ca sent via Tapatalk
  4. Dubaï souhaite un accord de jumelage avec la Ville de Montréal Dubaï a embauché un lobbyiste la semaine dernière afin qu'il fasse la promotion, à l'Hôtel de Ville de Montréal, d'un accord de jumelage entre les deux villes. Une telle entente de coopération a généralement pour but de permettre le transfert d'informations, de savoir-faire et d'expertises sur des sujets d'intérêts et de compétences communs. Selon la Chambre de commerce et d'industrie de Dubaï, qui a embauché le lobbyiste, la conclusion d'une entente de jumelage vise notamment la signature d'un accord de collaboration en vue de l'exposition universelle de 2020 de Dubaï, « afin de partager l'expertise de Montréal dans le domaine de l'horticulture ». L'expertise de Montréal en matière d'horticulture s'est développée au fil des années, avec le Jardin botanique, mais aussi, notamment, grâce à l'exposition internationale les Floralies, en 1980, suivies de trois éditions des Mosaïcultures internationales dans les années 2000. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/21/dubai-desire-montreal-comme-jumelle_n_6516102.html
  5. Les trésors de Napoléon à la basilique Notre-Dame Du 16 mai au 1er septembre, les curieux pourront faire une incursion dans la vie de Napoléon Bonaparte en découvrant plus de 350 objets qui lui ont appartenu. Un texte de Valerie-Micaela BainTwitterCourriel Ces pièces provenant des collections privées du Français Pierre-Jean Chalençon et du sénateur Serge Joyal sont exposées à la crypte de la basilique Notre-Dame. Bien que plusieurs de ces items aient déjà été présentés ailleurs dans le monde, l'exposition montréalaise a été créée spécialement pour le public québécois. « Le Québec c'est tellement francophile. Napoléon n'y est jamais venu, mais il y a quand même beaucoup de ses hommes qui sont venus après la chute de l'empire et il y avait un sens culturel entre la France et le Québec. » — Pierre-Jean Chalençon, collectionneur Des objets mythiques L'exposition comprend des objets mythiques comme son chapeau de feutre et son portrait équestre intitulé Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard, mais aussi des sculptures, des dessins, des gravures, de la porcelaine, du mobilier, des vêtements et des bijoux qui caractérisent le style Empire. « L'exposition que nous avons réalisée à basilique de Montréal, c'est une exposition flamboyante et glamour », explique Pierre-Jean Chalençon. Un personnage intemporel Le sénateur Serge Joyal croit que Napoléon Bonaparte continue de marquer l'imaginaire 193 ans après sa mort. « Le personnage de Napoléon est intemporel à toute fin pratique, il traverse les frontières. C'est plus qu'un général français, c'est un général universel. Napoléon est probablement le seul personnage universel qui a autant d'impact que ce soit dans la culture d'expression française ou que ce soit dans la culture britannique, ou même dans la culture américaine », explique Serge Joyal qui a aussi rédigé un essai sur l'empereur. Serge Joyal souligne que l'empereur a aussi laissé sa marque sur les Canadiens français. « Ceux-ci l'ont très tôt adopté comme modèle de bravoure, de résistance, de courage, capable de faire face à ses adversaires ». Une exposition en cinq temps La visite à travers les objets d'art s'effectue en cinq temps : Joséphine et le couronnement, Marie-Louise et le roi de Rome, Napoléon et sa famille, les arts dans la cour de Napoléon et Napoléon à l'île Sainte-Hélène. « On va très simplement apprendre que Napoléon était un passionné, un self-made man, un homme qui était comme les autres, c'était quelqu'un d'une grande simplicité. » — Pierre-Jean Chalençon, collectionneur http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/05/15/006-exposition-napoleon-bonaparte-basilique-notre-dame-collection-chalencon-joyal.shtml
  6. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/03/17/002-2013-annee-record-pour-le-beaux-arts-demontreal.shtml
  7. Un autre exemple des créations de Montréal qui s'exporte L'exposition du MBAM sur Jean Paul Gaultier sera à Paris en 2015 22 janvier 2014 11h53 | La Presse canadienne | Actualités culturelles Photo : Pedro Ruiz - Archives Le Devoir La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée «historique». L'exposition La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles, initiée, produite et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal avec la collaboration de la Maison Jean Paul Gaultier, sera présentée à Paris du 1er avril au 3 août 2015. Il s'agira d'une dixième étape pour l'exposition, après Montréal, Dallas, San Francisco, Madrid, Rotterdam, Stockholm, Brooklyn, Londres et l'Australie. La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée « historique » et a indiqué, par communiqué, vivre « une joie sans précédent de partager le message profondément humaniste et tolérant de ce fils prodigue de retour dans sa Ville lumière ». L'exposition propose des pièces inédites de haute couture et de prêt-à-porter créées entre 1970 et 2013. La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles a par ailleurs accueilli son millionième visiteur lors de son passage au Brooklyn Museum, à New York. En 2014, elle voyagera au Barbican Art Centre de Londres du 9 avril au 25 août et poursuivra sa route vers d'autres destinations qui seront annoncées prochainement.
  8. Dans le cadre de l'éventuelle tenue de l'Exposition Universelle de 1897 à Montréal, un certain Mainville avait proposé ce projet (bien avant Drapeau, héhéhé!!!).
  9. Article intéressant sur l'histoire de l'enfouissement des fils électrique à Montréal. Éric Clément La Presse Les rues de Montréal ont bien changé depuis qu'on a enterré 688 km de fils électriques. On doit cette initiative d'enfouir les fils à la Commission des services électriques de Montréal (CSEM), qui fête ses 100 ans. Pour l'occasion, le musée Pointe-à-Callière présente, du 29 juin au 29 août, l'exposition 100 ans sous terre, qui lui est consacrée. L'exposition 100 ans sous terre aura lieu à la station de pompage D'Youville, la première qui a fonctionné à l'électricité. Les photographies de Montréal prises de 1910 à nos jours permettent de constater l'énorme tâche que fut d'enfouir les fils des grandes artères de Montréal. La CSEM est une créature administrative issue du génie des hommes politiques de l'époque. En effet, elle fonctionne de façon indépendante de la Ville de Montréal ou du gouvernement du Québec depuis le début. L'exposition nous apprend qu'au début des années 1900, Montréal était en plein développement. «C'est alors l'apogée de Montréal, dit Serge A. Boileau, président de la CSEM. Les plus grosses fortunes du Canada étaient à Montréal. Le développement de la métropole a entraîné son électrification rapide et le développement de réseaux de télégraphie, de téléphonie et de tramways.» Mais cette prolifération de fils a fini par ralentir le développement de Montréal. Du coup, la Ville a commandé un rapport sur l'enfouissement des fils à C.E. Phelps, ingénieur en chef de la Ville de Baltimore. Puis, la Canadian Fire Underwriters Association, représentant des compagnies d'assurances, s'est plainte que Montréal, à cause des fils électriques qui provoquaient de nombreux incendies, était la ville la plus dangereuse du pays. En mai 1909, le gouvernement du Québec a donc autorisé Montréal de «construire, administrer et entretenir (...) un système de conduits souterrains où devront être placés tous les fils». La CSEM fut alors créée, le 27 juin 1910. Québec, Trois-Rivières, Sherbrooke et Hull avaient aussi reçu l'autorisation de créer une commission électrique, mais aucune ne s'en est prévalue. «La CSEM devenait une structure unique car autonome financièrement, dit M. Boileau. C'est en fait le premier PPP de l'histoire, car ce sont les usagers privés et publics du réseau électrique qui la financent.» Ces usagers, ce sont Hydro-Québec - qui, selon le principe de l'utilisateur-payeur, assume 70% des coûts ayant 70% du réseau -, la Ville de Montréal et les entreprises qui utilisent le sous-sol, telles que Bell ou Vidéotron. Gaz Métro ne participe pas, n'utilisant pas les mêmes conduits. De 1915 à aujourd'hui L'exposition nous montre que le premier projet d'enfouissement a été réalisé en 1915 rue Sainte-Catherine, entre Atwater et Papineau. On appelait la Sainte-Catherine la Great White Way car on était passé de l'éclairage au gaz à l'éclairage électrique, qui donnait une lumière blanche. L'enfouissement des fils se poursuit avec la rue De Bleury puis l'avenue du Parc, les alentours du canal de Lachine et du parc LaFontaine. Jusqu'en 1930, la CSEM enfouit pratiquement tous les fils du centre-ville et du Vieux-Port et ceux des artères principales: Sherbrooke, Mont-Royal, Saint-Laurent, Saint-Denis et Rachel. Aujourd'hui, 688 km de rues sont exemptes de fils aériens. La CSEM, qui a construit 21 000 km de conduits dans la ville, effectue pour 60 millions de travaux par an pour enfouir les fils. Le coût est d'environ 2 millions par kilomètre. Tous ces travaux sont financés par les usagers du réseau de conduits. «Avec l'augmentation des moyens de communication, le développement de la fibre optique, du câble coaxial, les mises aux normes et les grands projets de développement urbain, il y a de plus en plus de travaux à faire, dit M. Boileau, ingénieur civil de formation. Avec nos 120 employés, nous effectuons 15 000 interventions par année.» M. Boileau dit que la CSEM est une structure unique. «Non seulement elle est indépendante financièrement, mais elle fait des travaux à des coûts que ne pourraient pas assumer entièrement nos usagers, qui payent 4000$ du kilomètre pour nos immobilisations et l'entretien du réseau.» L'exposition montre qu'avant la création de la CSEM, Bell enfouissait son filage depuis 1894 dans des conduits en bois. Pour l'électricité, on a placé les fils dans des tuyaux en terre cuite vitrifiée, comme on le faisait aux États-Unis. Puis, on a utilisé des tuyaux en carton rigide goudronné dans les années 1918-1920 jusqu'au début des années 50 où les conduits de plastique puis de PVC se sont imposés. Les visiteurs du musée pourront aussi voir les isolateurs de verre utilisés auparavant sur les lignes électriques et les couvercles pour atteindre les tuyaux sous les trottoirs. L'exposition permet de voir l'évolution technologique au cours des 100 dernières années. «On présente aussi des pelles de l'époque et on fait le pendant avec les excavatrices d'aujourd'hui, dit Sophie Limoges, directrice de la conservation et des programmes publics au musée. C'est aussi un hommage à ces ouvriers de la CSEM qui ont travaillé avec la commission, autant dans les bureaux que sur le terrain, au cours des 100 dernières années.» L'exposition 100 ans sous terre permet de prendre conscience de l'importance qu'a l'enfouissement des fils, pas encore complètement terminé, pour l'économie de Montréal, son patrimoine, sa sécurité et son esthétisme. «Ce travail de la CSEM a contribué à la qualité de vie des Montréalais et à la mise en valeur des sites, comme celui du quartier historique», dit Mme Limoges. 100 ans sous terre, à la station de pompage D'Youville du musée Pointe-à-Callière, du 29 juin au 29 août 2010.
  10. Le Service de la gestion des documents et des archives de HEC Montréal présente l'exposition virtuelle: Dupuis et Frères, le Magasin du Peuple (1868-1978) http://experience.hec.ca/dupuis_et_freres/
  11. Montréal | Mercredi 03 sep 2008 | 12:36 L'Expo 2020 à Montréal? (INFO690)- Le maire de l'arrondissement de Ville-Marie et chef de l'Opposition officielle de la Ville de Montréal, Benoît Labonté, souhaite la tenue de l'Exposition Universelle de 2020 à Montréal. Le processus de mise en candidature pour l'Exposition de 2020 sera lancé au début de l'année 2011. Monsieur Labonté a annoncé la formation d'un comité chargé de préparer le dossier de Montréal. Pierre Laporte / Info690 ............................................................................................... MAJOR COMPETION AHEAD.....GOOD LUCK!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ------------------------------------------------------- Expo 2020 From Wikipedia, the free encyclopedia Jump to: navigation, search 2020 is a Universal scale Registered Exposition time slot which can be sanctioned by the Bureau of International Expositions, Paris between 2011 and 2014. Once a city has lodged a bid with the BIE other cities will have six months to respond. The earliest allowed time to lodge a bid is 2011, and the latest is 2014. As a Registered Exposition it must be six months in length and adhere to a wide universal theme that applies to all humanity. Recent themes of Universal Expositions include "Man and His World" Montreal Expo 67, and "Discovery" Seville Expo 92. The following cities have indicated an interest in hosting Expo 2020: * o Copenhagen, Denmark (proposed bid)[1] o Houston, Texas, United States (proposed bid)[2] o Manila, Philippines (proposed bid) o New York City, New York, United States (proposed bid) o San Francisco, California, United States (proposed bid)[3] o Brisbane, Queensland, Australia (proposed bid)[4] In particular, the Brisbane bid co-incides with the 250th Anniversary of Australia 1770-2020 and with a possible Olympics Games bid for the same year[5]. :crowded: :crowded: :)
  12. EXPOSITION UNIVERSELLE DE SHANGHAI 2010 - MONTRÉAL DÉVOILE LA MAQUETTE DE SON LIEU D'EXPOSITION En prévision de l'Exposition universelle de Shanghai 2010, Montréal a dévoilé les principaux aspects de son lieu d'exposition intitulé Espace Montréal, un lieu unique qui offrira aux visiteurs une expérience des plus spectaculaires. L'Espace Montréal sera situé dans le secteur réservé aux meilleures pratiques urbaines, une zone rassemblant une cinquantaine de villes du monde. D'une superficie de près de 500 mètres carrés, l'Espace Montréal proposera aux visiteurs de découvrir le Complexe environnemental de Saint-Michel et ses innovations technologiques par l'entremise d'une projection multimédia sur une maquette évolutive qui les fera vivre virtuellement les grandes métamorphoses de ce quartier de Montréal. L'Exposition universelle de Shanghai se déroulera du 1er mai au 31 octobre 2010 sous le thème Meilleure ville, Meilleure vie. Plus de 200 pays et organisations internationales participeront à cet événement d'envergure. Pour la première fois dans l'histoire des Expositions universelles, les villes sont invitées à y participer.
  13. J'ai fait une petite tournée de l'exposition qui est très intéressante sur le construction de la PVM Début des travaux des fondations en 1959 Désolé pour la qualité de la photo La place avant la construction du 5 PVM A l'avant plan c'est l'emplacement de la tour KPMG (anciennement les Coopérants) avec l'église anglicane Doit dater de 1961-1962 Quelques photos bonus qui n'étaient pas à l'exposition Marriott (auparavant le Château Champlain) Tour CIBC (Construit en même temps que PVM) Question quiz, quel est cet édifice, indice, c'est un bunker, c'est une erreur d'urbanisme et c'est en 1970?
  14. Les traditions funéraires, un patrimoine bien vivant Le Devoir Hélène Clément Édition du vendredi 29 mai 2009 Mots clés : traditions funéraires, Musée du Château Dufresne, Culture, Montréal, Québec (province) Le Musée du Château Dufresne propose un regard historique sur le rituel funèbre québécois Le repos Saint-François-d'Assise Vue du cimetière Le Repos Saint-François-d'Assise, dans l'est de Montréal. Si de nos jours le rituel funéraire s'effectue de façon plus discrète dans les grandes villes, il n'y a pas si longtemps encore il occupait une place notable dans le coeur des gens. Présence du prêtre auprès du mourant, derniers sacrements, veillée mortuaire à la maison et cérémonie à l'église étaient des conditions sine qua non de la «bonne mort», la garantie d'une résurrection triomphante. Regard historique sur les cimetières, les rites et l'art funéraire québécois du XIXe siècle et du début du XXe, au Musée du Château Dufresne. Vêtu d'une longue tunique, une balance dans la main droite, un parchemin enroulé dans celle de gauche, l'ange saint Michel, peseur d'âmes, accueille le visiteur. «La balance sert à peser les âmes afin de faire la part entre le bien et le mal et le parchemin enroulé sert à évoquer la liste des justes et des damnés», explique Stéphane Chagnon, commissaire chargé de l'exposition. L'imposante oeuvre en pin du sculpteur Louis Jobin, autrefois située sur le portail d'entrée du cimetière Saint-Joseph Deschambault, à côté de l'ange à la trompette du Jugement dernier, est le point de départ de la petite mais dense exposition Le patrimoine funéraire, un héritage pour les vivants, qui se tient au Musée du Château Dufresne jusqu'au 30 août prochain. Ambiance morbide? Pas du tout! Le sujet n'est pas la mort. Enfin, pas vraiment... «On ne rentre ni dans une église ni dans un salon funéraire, précise Paul Labonne, directeur général du musée. L'exposition jette un regard historique, culturel et ethnologique sur les cimetières, de l'inhumation ad sanctos au centre funéraire d'aujourd'hui via le cimetière paroissial, ainsi que sur les rites et l'art funéraire au XIXe siècle. En parallèle, l'exposition cherche à rendre hommage aux régions du Québec qui ont su conserver leur patrimoine religieux, comme en témoigne ce catafalque blanc d'enfant fabriqué en 1920 par Omer Létourneau, charron de métier à Saint-Joseph-de-Beauce. Ou encore ce petit sarcophage en fonte prêté par le Musée Missisquoi. Bière, cénotaphe, columbarium, enfeu... Le visiteur est initié au lexique funèbre. Puis on entre dans le monde des cimetières. L'exposition a d'ailleurs pris sa source dans le très bel ouvrage publié en 2008 aux Éditions GID, Cimetières - Patrimoine pour les vivants, de l'ethnologue Jean Simard et du photographe et cinéaste François Brault. Avec les photos de ce dernier, des oeuvres d'artisans et d'artistes complètent l'exposition: stèles, mobiliers funéraires... Des pièces signées Alfred Laliberté, Louis-Philippe Hébert, Jean-Baptiste Côté. «Au départ, le cimetière paroissial situé à proximité de l'église demeure le lieu de sépulture pour la majorité de la population, note Stéphane Chagnon. À la fin du XVIIe siècle, on apprend que l'ensevelissement des défunts ordinaires se fait de façon anonyme et souvent dans des fosses communes. C'est seulement dans la première moitié du XIXe siècle que, peu à peu, la concession de lot et le monument vont permettre l'individualisation du site de sépulture. Quant aux cimetières ad sanctos, ils existaient déjà au XVIIe siècle. «Réservé à une certaine élite, l'enterrement sous les églises constituait une source de revenus considérables pour les fabriques mais n'était pas exempt d'inconvénients. Comme dans les anciennes églises il fallait déplacer les bancs et ouvrir le plancher pour procéder aux inhumations, les fidèles risquaient de tomber sur des planchers devenus moins plats à la longue. Sans compter les fortes odeurs qui émanaient du sous-sol. Au XIXe siècle, un interdit judiciaire a mis fin à cette pratique.» L'exposition traite aussi de la façon dont les confessions religieuses se souciaient de leurs morts aux XVIIIe et XIXe siècles. «En 1776, l'une des premières nécropoles juives d'Amérique est inaugurée au faubourg Saint-Antoine, à Montréal, angle nord-ouest des rues Peel et De La Gauchetière. «En 1779 apparaissent le cimetière catholique du faubourg Saint-Antoine et le second cimetière protestant de Montréal. Les premiers immigrants chinois sont inhumés dans les grands cimetières protestants devenus très tôt multiconfessionnels», souligne Stéphane Chagnon. Dans la chambre du mourant, les aiguilles de l'horloge murale sont figées à l'heure du décès. Au pied du lit, un prie-Dieu. «On faisait la toilette du mort, on le recouvrait d'un suaire, on bouchait les châssis, on allumait des cierges. Le jour, on disait le chapelet aux heures, la nuit aux heures et demie», raconte Victor Bélanger, l'un des fondateurs de la municipalité de Saint-Guy, dans les Basques. Il suffit de soulever le récepteur pour entendre le récit du conteur de 94 ans. Par respect pour le disparu, une tradition établie en 1684 interdit de transporter les morts en voiture. Mais la route est souvent longue et compte quelques pentes raides. Il faut régler l'avatar. Les premiers modèles de corbillards hippomobiles apparaissent au milieu du XIXe siècle pour pallier les problèmes causés par de longues processions funéraires dans les campagnes. On peut admirer, en fin d'exposition, un corbillard noir hippomobile sur patins d'acier, utilisé pour des enterrements l'hiver. Peu agrémenté, il servait à des défunts moins fortunés. Le Musée du Château Dufresne offre une série de conférences sur les rites funéraires des grandes religions: judaïsme, hindouisme, bouddhisme et islam, ainsi que des visites commentées des cimetières Notre-Dame-des-Neiges et du Repos-Saint-François-d'Assise, associés au Musée du Château Dufresne pour mettre en valeur le patrimoine funéraire d'ici. Collaboratrice du Devoir - Musée du Château Dufresne: 514 259-9201, http://www.chateaudufresne.com.. http://www.ledevoir.com/2009/05/29/252572.html (29/5/2009 7H03)
  15. Sondage Un grand projet pour Montréal Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h04 - Mise à jour 18/02/2009 12h19 http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/02/20090218-090400.html Après avoir perdu le Grand Prix de Formule Un et passé l'année 2008 dans l'ombre du 400e de la ville de Québec, les Montréalais rêvent de grands projets. Deux Montréalais sur trois souhaitent voir la Ville de Montréal investir dans un projet touristique majeur qui pourrait remplacer le Grand Prix de F-1, selon un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. De plus, l'idée de poser la candidature de Montréal pour la tenue de l'exposition universelle de 2020, lancée par le candidat à la mairie Benoît Labonté, plaît à une grande majorité des personnes sondées. «Les Montréalais croient que leur ville est mûre pour de grands projets mobilisateurs», analyse le président de Léger Marketing, Jean-Marc Léger. Selon le sondeur, l'exemple donné par la Ville de Québec avec les festivités du 400e anniversaire donne envie aux Montréalais d'en faire autant. «Les Montréalais ont regardé et aimé ce qu'ils ont vu à Québec avec les festivités du 400e qui ont eu un grand succès. C'est certain que ça les motive à en vouloir autant pour la métropole», note-t-il. Labonté jubile Plutôt malmené dans la première partie du sondage qui ne lui accordait, plus tôt cette semaine, un maigre 4% dans les intentions de vote, le chef de Vision Montréal, Benoît Labonté, se réjouit de voir les Montréalais appuyer son projet d'exposition universelle. «Quand on traverse une crise comme celle-ci, il faut des projets rassembleurs. Et la candidature pour l'expo de 2020, ce n'est pas seulement un projet à long terme. Il faut déposer le projet pour 2011 et ensuite, c'est parti pour neuf ans de grands changements et de développement pour Montréal», explique le chef de l'opposition. Selon M. Labonté, Montréal a besoin d'un projet qui leur redonnerait de la fierté. «Regardez l'impact qu'a eu l'Expo 67 sur Montréal, pendant 20 ans. Que serait Montréal aujourd'hui si l'exposition universelle n'avait pas eu lieu?»
  16. La Banque de Montréal est exposée à hauteur de 51 G$ tandis que l'exposition de la Banque TD a été estimée à 46 G$, estime un analyste. Pour en lire plus...
  17. Source: Créativité Montréal À la fois guide touristique et ressource bibliographique, le "Guide de l'architecture contemporaine de Montréal" offre de l'information essentielle à la découverte du patrimoine urbain: les cartes de 15 quartiers et arrondissements accompagnées de suggestions de circuits (Plateau Mont-Royal, Saint-Henri/Canal Lachine/Petite-Bourgogne, Quartier International, etc.), et pour chaque bâtiment, une photo ainsi qu'une illustration ou un plan, une description du projet, le nom de l'architecte et l'année de réalisation. Depuis 1981, Nancy Duton a collaboré à divers projets et a organisé des programmes publics sur l'architecture, notamment des programmes universitaires et professionnels au Centre canadien d'architecture (CCA). Elle a aussi été, à titre de consultante, commissaire de l'exposition "Qim: un quartier sur mesure", en 2006. Nancy Duton a coécrit ce guide avec Helen Malkin, qui possède plus de 20 ans d'expérience en coordination de projets d'expositions et de publication sur l'architecture et la ville. Après avoir travaillé pendant plusieurs années au CCA, elle est aujourd'hui consultante en gestion artistique et culturelle.
  18. Lundi 16 Juillet 2007 Au début du printemps les autorités municipales, avec roulement de tambour, avaient annoncé que le 40e anniversaire de l'Expo 67 sera dignement célébré. Que les fêtes seraient hautes en couleur, voire même inoubliables. Certes, les festivités vont bon train...mais les rares vestiges qui restent de l'exposition universelle de 1967 sont laissés dans un état lamentable. La Place des Nations représente un danger pour ceux qui osent s'y aventurer. Aux dires de plusieurs personnes qui se sont rendues sur l'île Ste-Hélène au cours des derniers jours, la passerelle menace même de s'écrouler. À l'été 67, cette place était le théâtre de manifestations populaires et culturelles lors des Journées nationales des pays participants. Liée par un réseau de passerelles, la Place des Nations pouvait accueillir plus de 7000 personnes. Ceux qui se rendent sur l'île pour se remémorer des souvenirs de l'Expo 67 vont avoir un pincement au cœur en marchant jusqu'à la Place des Nations. L'endroit est laissé à l'abandon." La végétation a même envahi le pourtour à un point qu'à plusieurs endroits, il est impossible de distinguer les structures de béton à leur base. De plus, la plaque commémorative de cuivre n'a jamais été remplacée depuis son vol" a constaté Robert Tremblay. Aux dires de M.Tremblay, les structures de bois sont pourries et les traverses métalliques qui supportent les escaliers de bois et les passerelles sont aussi rongées par la rouille. " J'ai avisé la Ville lundi dernier du danger que représentait une passerelle. Un responsable aux urgences m'a répondu qu'une équipe serait envoyée pour rendre les lieux sécuritaires et bloquer l'accès. Pourtant, j'y suis retourné jeudi et rien n'a été fait," déplore M.Tremblay qui a pris plusieurs photos de ces scènes de désolation. "Bruxelles, qui a accueilli l'exposition universelle de 1958, a injecté 25 millions d'euros pour rafraîchir les installations en vue des célébrations du 50e anniversaire. L'Atomium a été restauré au complet. Les travaux ont presque duré deux ans afin que tout soit prêt pour 2008 et le tout a été livré deux ans plus tôt," conclut M.Tremblay. La passerelle de la Place des Nations à l’île Ste-Hélène constitue un danger. (photo Collaboration spéciale, Robert Tremblay)
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