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  1. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/international/2016/06/25/006-brexit-jeunesse-colere-referendum-royaume-uni-union-europeenne.shtml International La grande désillusion des jeunes Britanniques Publié le samedi 25 juin 2016 à 21 h 27 Le reportage de Jean-François Bélanger Disparités entre les classes sociales, opposition entre les régions... et choc des générations : les résultats du référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE) mettent en lumière d'importantes divisions au sein de la société britannique. Des jeunes, en colère, sont convaincus d'avoir été trahis par leurs élites. Un texte de Vanessa DestinéTwitter Courriel Pour beaucoup de jeunes Britanniques, le réveil a été brutal le 24 juin. La victoire du camp pro-Brexit leur laisse un goût amer auquel se mêlent également l'incompréhension et la peur. Environ 75 % des 18 à 24 ans ont donné leur appui au camp « rester » contre 39 % des 65 ans et plus, selon un sondage du groupe YouGov, réalisé après la fermeture des bureaux de vote. Le camp « Partir » a finalement remporté la victoire avec 52 % des voix. Incertitude économique De nombreux jeunes redoutent les conséquences du Brexit sur leur génération. Des inquiétudes relatives aux contrecoups économiques ont régulièrement été soulevées au cours des derniers jours. Les souvenirs de la crise financière de 2008 restent particulièrement vifs dans l'esprit de bien des jeunes interviewés par les médias britanniques. Selon une étude de l'Institute for Fiscal Studies, un groupe de recherche anglais, même si tous les groupes d'âge ont vu leurs revenus fondre au cours de la crise de 2008, les personnes âgées de 30 ans et moins sont celles qui ont subi les impacts les plus importants. Les jeunes Britanniques craignent qu'une situation similaire se reproduise avec les résultats de vendredi. C'est notamment le cas de Megan Dunn, de l'Union nationale des étudiants, une organisation qui représente près de 600 associations étudiantes. Elle croit que le résultat « aurait des conséquences importantes sur les étudiants et leur futur ». Dans une lettre ouverte envoyée à David Cameron quelques heures avant sa démission, Mme Dunn soutient que « la voix des jeunes devait dorénavant être plus entendue et représentée dans les étapes à venir » pour officialiser la sortie du Royaume-Uni. Nous savons que cette décision affectera plus les jeunes que tous les autres groupes et il serait mal avisé que les générations plus âgées dominent la conversation et les décisions. Un extrait de la lettre de Megan Dunn Une autre inquiétude soulevée par la victoire des troupes de Nigel Farage, chef du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni, est celle de la normalisation des discours nationalistes de droite. Pour des sympathisants du camp « rester », la décision de sortir de l'UE repose, entre autres, sur des courants xénophobes. Ils craignent de voir leur pays se refermer sur lui-même et que leur gouvernement soit moins enclin à accueillir des réfugiés. Réactions sur les réseaux sociaux De nombreux jeunes internautes se sont emparés des réseaux sociaux pour partager leurs émotions. Sur Twitter notamment, les mots-clics #NotInMyName (pas en mon nom), #IVotedRemain (j'ai voté pour rester) et #WhatHaveWeDone (qu'avons-nous fait) réunissent des membres des générations Y et Z, mais aussi de jeunes parents issus des X, qui se disent inquiets pour l'avenir de leurs enfants. La jeunesse britannique ne mâche pas ses mots envers ses aînés. Certains de ses représentants vont même jusqu'à accuser les baby-boomers d'avoir carrément hypothéqué leur futur. « Je suis tellement en colère. Une génération qui s'est tout fait donner : l'éducation gratuite, des fonds de pension dorés, une grande mobilité sociale. [Cette génération] a voté pour arracher tout futur à la mienne », écrit Adam Newman, un résident de Bristol, sur Twitter. « Je me suis endormi au 21e siècle. Je me suis réveillé dans une espèce de cauchemar d'extrême droite à l'accent médiéval. Je m'inquiète pour l'avenir de mes enfants », écrit pour sa part Frazer Lee. « Rendu là, je préférerais faire partie seulement de l'Union européenne plutôt que du Royaume-Uni », dit Leigh. « Honnêtement, je n'ai jamais été aussi dégoûtée des Anglais. Le racisme, la peur et l'ignorance ont gagné », a partagé Kate Llewellin. À quelle génération appartenez-vous? Pour la plupart des sociologues, les baby-boomers regroupent les individus nés entre 1947 et 1966. La génération X englobe les individus nés entre 1967 et 1981 et celle des Y, les individus nés en 1982 et 1996. Finalement la Z représente les personnes nées à partir de 1996. L'appellation millenials ou génération du millénaire en français, regroupe quant à elle les individus des générations Y et Z. Avec CBC et CNN
  2. Mise a jour du classement des villes entrepreneuriales 2016 - Un regain d'optimisme propulse MONTRÉAL, le 29 nov. 2016 /CNW Telbec/ - En 2016, six villes québécoises figurent dans les 20 premières places du classement des villes entrepreneuriales au Canada selon les résultats mis à jour de l'étude de la FCEI. D'autres villes ont également effectué un bond appréciable dans ce portrait des communautés entrepreneuriales. « Les signaux sont encourageants pour plusieurs collectivités québécoises cette année. En fait, les perspectives des entrepreneurs sur l'environnement d'affaires se sont avérées plus positives au Québec que dans d'autres régions du Canada. Cela explique notamment la remontée de plusieurs villes du Québec dans le classement, car il s'agit là d'une composante de l'indice que nous calculons. Cela étant, on voit aussi qu'il reste du travail à faire dans toutes les municipalités pour offrir un environnement d'affaires plus propice à l'essor des PME », constate Martine Hébert, vice-présidente principale de la FCEI. Six villes du Québec dans le top 20 et Rivière-du-Loup première au Canada Six villes québécoises figurent dans le top 20 des 121 agglomérations et régions métropolitaines de recensement de plus de 20 000 habitants canadiennes qui ont été analysées dans cette étude. Rang au Canada Ville Cote 0-100 1 Rivière-du-Loup 72,2 3 Saint-Georges 72,1 9 Saint-Hyacinthe 67,2 12 Val-d'Or 65,6 16 Sherbrooke 64,8 19 Victoriaville 64,2 « Nous félicitons les villes qui font bonne figure cette année. Sachant que les PME jouent un rôle de premier plan dans la vitalité de nos économies locales et qu'aucune ville n'obtient un score parfait, il importe toutefois qu'elles poursuivent leurs efforts en vue d'améliorer le climat d'affaires sur leur territoire. Nous encourageons également toutes les municipalités à adopter des mesures favorisant un fardeau fiscal et réglementaire plus équitable pour les PME », commente Simon Gaudreault, directeur des affaires économiques à la FCEI. Des progrès notables pour plusieurs villes québécoises Plusieurs villes du Québec présentent également un portrait nettement plus favorable en 2016 par rapport à 2015. En fait, les villes québécoises ont fait meilleure figure dans le classement en 2016 notamment parce que l'optimisme quant à l'avenir et à l'évaluation que se faisaient les entrepreneurs de la situation de leurs affaires était plus élevé qu'ailleurs au Canada. Ainsi, Montréal a quitté la dernière place du classement, qu'elle occupait depuis les deux dernières années pour atteindre la 94e place, soit une remontée de 27 échelons. « Cela laisse présager qu'on peut inverser la vapeur à Montréal. Des actions concrètes entreprises par l'administration actuelle, comme un meilleur contrôle des dépenses ou les mesures fiscales pour les immeubles non résidentiels adoptées dans le dernier budget, peuvent contribuer à améliorer le climat d'affaires. Évidemment, il reste beaucoup à faire, mais au moins, on avance », relève Martine Hébert. Toujours au chapitre des grandes villes, Québec a également connu une progression intéressante passant de la 114e place à la 74e. « Les grandes villes partent souvent de plus loin dans ce genre de classement relatif, car, intrinsèquement, elles ont souvent plus de taxes et plus de règlements. Cela étant, elles demeurent à plusieurs égards en compétition avec d'autres villes de plus petite taille, c'est pourquoi elles ont avantage à s'y comparer », précise M. Gaudreault. Enfin, d'autres collectivités ont connu des remontées importantes, ayant aussi profité d'une nette amélioration des perspectives affichées par leurs entrepreneurs : La banlieue de Montréal s'est hissée à la 35e place (+69 rangs). Gatineau a progressé de la 112e à la 49e place (+63 rangs). Alma arrive à la 51e place (+62 rangs). Trois-Rivières est au 48e rang (+45 rangs).
  3. Chronique d'un entrepreneur Nicolas Duvernois http://www.lesaffaires.com/blogues/nicolas-duvernois/pourquoi-je-suis-contre-le-salaire-minimum-a-15/590729 Depuis quelques mois, plusieurs acteurs du monde des affaires et du milieu de la politique se sont exprimés en faveur du salaire minimum à 15 dollars. Est-il vraiment réaliste de croire que cette proposition améliorera la situation de centaines de milliers de travailleurs québécois? On ne peut être contre la vertu et s’opposer à l’idée que des gens moins nantis puissent hausser leur niveau de vie. Il est inadmissible qu’une personne se retrouve sous le seuil de la pauvreté en travaillant 40 heures par semaine. Collectivement, nous ne pouvons pas accepter cette situation et devons trouver des solutions au problème. Augmenter le salaire minimum est la solution miracle qui vient spontanément à l’esprit. Je n’y crois pas. Voici pourquoi. Hausser le salaire minimum est l’équivalent de mettre un pansement sur une plaie nécessitant des points de suture. Ça soulage le mal temporairement, mais ça ne règle pas le problème. Le problème n’est pas tant le salaire minimum que le manque de formation qui permettrait a plus d’un million de travailleurs d’accéder à un salaire supérieur. Confucius avait raison. Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. Dans la majorité des cas, le salaire dépend de nos dernières études. Tant que nous accepterons que les jeunes puissent arrêter l’école au secondaire cinq (et même avant), la situation va perdurer. Pourquoi ne pas rendre obligatoire ne serait-ce qu’une formation professionnelle pour que nos jeunes qui sortent de l’école aient la garantie qu'ils pourront obtenir plus que le salaire minimum? Le calcul est simple. Une meilleure formation mène à un meilleur salaire. Plutôt qu’offrir plus d’argent, pourquoi ne pas proposer quelques avantages aux travailleurs les moins bien rémunérés? Comme des coupons repas pour le midi (comme en France), des cartes de transport en commun à prix réduit, des assurances… Des avantages financiers qui, sans augmenter le salaire minimum, permettront au travailleur d’en avoir plus en poche à la fin du mois. À mon avis, offrir un salaire minimum «confortable» comporte des risques à long terme. On ne veut pas d’une société où le travailleur est satisfait de faire le minimum, on veut une société où le travailleur veut faire mieux. Il ne faut pas faire l’autruche. Ce n’est pas le gouvernement qui paiera pour cette hausse, ses employés gagnant tous plus de 15 dollars l’heure. Et ce ne sont pas les multinationales qui verront la différence dans leurs états financiers. Ce seront les dizaines de milliers d’entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises qui paieront la note. L’immense majorité des entreprises au Québec sont de toutes petites entreprises. 99.8% des entreprises de la province sont des PME. Sur les 250 000 qu’on dénombre au Québec, plus de 72% comptent moins de 10 employés. La hausse du salaire minimum aura un effet catastrophique sur ces organisations, puis sur leurs employés eux-mêmes. On ne se cachera pas, pour respecter leur budget, les entrepreneurs auront comme premier réflexe de couper dans les heures de leur personnel. Un salaire minimum qui passe de 10,75$ à 15$ représente une augmentation de 40%. Rare sont les PME qui verront leurs revenus, même sur une période de 5 ans, augmenter autant. Il n’y a pas de solution miracle. Améliorer les conditions de travail de centaines de milliers de travailleurs ne se fera pas en criant «ciseaux». Afin de régler le problème une fois pour toutes, prenons le temps de trouver les meilleures solutions à long terme en impliquant les travailleurs et les employeurs.
  4. Page not found | Montreal Impact <header style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: arial, sans-serif; font-size: 20px;">[h=1]Un nouveau mini-terrain de soccer au centre-ville de Montréal[/h]4 Novembre, 201614:24 EDT Communiqué [TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] </header>Fruit d'un partenariat entre l'arrondissement de Ville-Marie et l'Impact de Montréal, un nouveau mini-terrain de soccer aux couleurs du club montréalais a été inauguré vendredi, à l'angle des rues Saint-Alexandre et Saint-Edward. Cette initiative de MLS Works, Canada Soccer, Southern New Hampshire University (SNHU) et adidas a donné naissance au tout dernier de 20 mini-terrains de soccer installés dans divers quartiers à travers l'Amérique du Nord. « Mon intérêt pour le sport est bien connu, a souligné M. Denis Coderre, maire de Montréal. Il est essentiel d'offrir aux jeunes Montréalais des espaces de qualité pour s'adonner à leurs activités ou leurs sports favoris. Je suis ravi de cette collaboration entre l'arrondissement de Ville-Marie et l'Impact qui permet d'offrir une nouvelle installation collective, le tout dans l'esprit de la Politique du sport et de l'activité physique que Montréal a adoptée. » « En tant que club professionnel, nous toujours dit que notre implication à l'extérieur du terrain était tout aussi importante que nos succès sur le terrain, surtout quand il s'agit d'aider les enfants, a déclaré le président de l'impact de Montréal, M. Joey Saputo. L'inauguration de ce nouveau mini-terrain, au c??ur de Montréal, va dans ce sens. » Chaque nouveau mini-terrain offre aux enfants des quartiers un endroit sécuritaire où jouer, encourageant la pratique du soccer dans les communautés locales, tout en soutenant la croissance de ce sport. Des joueurs de la première équipe du club, le gardien Evan Bush, le défenseur Kyle Fisher et les attaquants Anthony Jackson-Hamel et Michael Salazar ont tous participé à l'événement, tout comme les joueurs de l'Impact U13 qui ont disputé le tout premier match pour inaugurer le terrain.
  5. “Le sentiment se répand que l’ère des icônes est bel et bien terminée, que les architectes doivent délaisser les skylines pour redescendre au niveau des rues.” http://www.courrierinternational.com/article/architecture-biennale-de-venise-une-conscience-sociale-retrouvee Ce 28 mai s’ouvre la Biennale internationale d’architecture de Venise. Cette quinzième édition marque un tournant, selon le Financial Times : finie l’ère des starchitectes et de leurs débauches, l’époque exige une architecture socialement engagée. “C’est la première Biennale post-Piketty”, annonce le Financial Times. Ce 28 mai, la Biennale de Venise, vitrine mondiale de l’architecture contemporaine, repart pour une quinzième édition. Huit ans après l’explosion de la crise financière et la multiplication des mouvements Occupy, alors que l’Europe est confrontée à l’afflux de réfugiés, le malaise est perceptible, relève le quotidien britannique : “Le sentiment se répand que l’ère des icônes est bel et bien terminée, que les architectes doivent délaisser les skylines pour redescendre au niveau des rues.” Fini donc, le règne des starchitectes ? Depuis la fin des années 1990, Daniel Libeskind, Frank Gehry, Lebbeus Woods ou encore Zaha Hadid s’étaient fait une spécialité de construire des édifices de prestige au cœur des villes. “Ces projets étaient avant tout une affaire de statut et se souciaient peu du paysage urbain dans lequel ils s’inscrivaient, du fonctionnement de la ville et du quotidien des habitants”, rappelle le Financial Times. L’heure de la contrition En 2016, l’heure serait à “la contrition”, à un retour de balancier vers une “conscience sociale”, assure le quotidien britannique. Toute la question est de savoir comment la culture de l’architecture peut négocier cette transition de la célébrité mondiale aux bidonvilles de l’hémisphère Sud.” Mais le quotidien reconnaît que, avec Alejandro Aravena aux manettes, la Biennale a trouvé un commissaire qui parvient “à équilibrer les deux”. Récipiendaire du prix Pritzker 2016, l’équivalent du prix Nobel en architecture, le Chilien s’est fait un nom en construisant des écoles et des lotissements pour les plus modestes. Il est aussi l’inventeur d’un système de “demi-maisons” : des demeures que les habitants peuvent moduler et agrandir selon leurs besoins et leurs moyens. L’Irak pleure trop tard sa star Zaha Hadid Pour cette Biennale 2016, Alejandro a posé pour thème “Des nouvelles du front”. Tragédie des migrants en Méditerranée, guerre en Ukraine, réfugiés climatiques, pollution, les champs d’exploration sont multiples. Voici quelques-uns des événements qui, selon le magazine d’architecture et de design Deezen, sont à ne pas manquer : - Dans les pavillons allemand et finlandais, des expositions consacrées à l’accueil des réfugiés. - Dans le pavillon danois, un village capable de produire sa nourriture et son énergie, dessiné par le studio Effekt. - Dans les pavillons espagnol et belge, des expositions sur l’impact de la crise économique sur les villes. - Dans les pavillons suisse et israélien, des gros plans sur de nouveaux procédés de construction (robots, impression 3D, fibre carbone, dessins inspirés du vivant…). - Un hommage à Zaha Hadid, disparue le 31 mars dernier. - Un Lion d’or sera remis à Paulo Mendes da Rocha, figure du modernisme brésilien, pour l’ensemble de son œuvre. sent via Tapatalk
  6. L’eldorado ontarien? Un mythe, révèle la deuxième livraison de l’indice de l’équité entre les générations. Les jeunes Québécois ont désormais un meilleur niveau de vie que leurs voisins. http://www.lactualite.com/societe/mieux-vaut-etre-jeune-au-quebec-quen-ontario/
  7. Le 30 mars prochain la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM)organise une conférence sur les Grands projets pour la ville de Montréal. La conférence aura lieu au Palais des congrès et plusieurs conférenciers viendront faire une mise à jour de l'avancement de leurs projets. Le Maire de Montréal ouvrira le bal avec un mot d'introduction. Il y aura trois thèmes : 1- Cap sur les grands projets privés 2- Les grandes infrastructures de santé 3- Les grands projets institutionnels Trois conférenciers retiennent particulièrement mon attention. 1- Cameron Charlebois de la (SIC) Société immobilière du Canada viendra nous faire une mise au point sur le Silo no5 et les Bassins du nouveau Havre. 2- Maryse Bertrand de Radio-Canada nous expliquera où en est le projet de développement du site de Radio-Canada (d'après mes sources il y aura des développements très prochainement). 3- Salvatore Iacono, de Cadillac Fairview, nous parlera du projet de l'Ilot Windsor. Plusieurs autres conférenciers seront présent pour nous parler de leurs projets dans leurs domaines respectifs. J'espère que nous aurons alors de bonnes nouvelles, de grandes nouvelles car il y a déjà quelques mois que tout se beau monde semble dormir, en commencant par le Maire. Peut-etre, après tout, que ce beau monde ne dormait pas vraiment mais travaillait fort, nous le saurons la semaine prochaine. Dommage que le billet soit de $410 car j'aurais bien aimé y passer la journée. Voici le lien avec les infos de l'évènement ainsi que l'invitation, au cas ou : http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-forums_strategiques_GrandsProjets
  8. Les Affaires CONNEXION | INSCRIPTION BLOGUES ACCUEIL > BLOGUES > JULIEN BRAULT image INTELLIGENCE ARTIFICIELLE JULIEN BRAULT Neoshop, une boutique venue d'Europe, veut vous vendre des produits technos québécois Publié à 13:05 Lancée à Laval (en France) en 2013, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. La première boutique Neoshop hors France devrait ouvrir ses portes à Montréal en septembre prochain. Exploitée par le Quartier de l’innovation, la boutique aura pour mission de supporter les start-ups québécoises en leur permettant de tester leur produit plus rapidement auprès des consommateurs. L’emplacement de la première incarnation de la boutique n’a pas été déterminé, si ce n’est qu’elle aura pignon sur rue à l’intérieur de la zone dont se réclame le Quartier de l’innovation. À terme, toutefois, Neoshop devrait déménager dans l’ancien Planétarium Dow, qu’on est en train de rénover. Lancée à Laval (en France) en 2013 par l’organisme de développement économique Laval Mayenne technopole, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. Après avoir ouvert une boutique éphémère à Paris en décembre, l’organisme veut maintenant exporter son concept. Selon Gabrielle Langlois, directrice des opérations du Quartier de l’innovation, l’organisme est en négociation avec des partenaires dans une douzaine de villes européennes, qui sont intéressés à ouvrir des boutiques Neoshop. La boutique Neoshop à Montréal devrait ainsi offrir des produits de start-ups européennes, mais réserver la plupart de ses tablettes aux produits locaux. En contrepartie, cette affiliation européenne pourrait permettre à des start-ups québécoises d’introduire leurs gadgets en Europe. Validation de produits innovateurs Les vendeurs de Neoshop recevront une formation qui leur permettra de donner de la rétroaction aux entrepreneurs, pour qui Neoshop servira de terrain d’essai dans le monde du détail. Si certains d’entre eux choisiront sans doute de retourner à la planche à dessin, les autres se verront offrir des services d’accompagnement à la commercialisation par Neoshop. Alors que la France ne manque pas de start-ups à l’origine de produits physiques, c’est moins le cas au Québec, où Neoshop pourrait avoir du mal à garnir ses tablettes. Lorsque je lui ai demandé si elle considère un vêtement de bébé en chanvre comme un produit de start-up, Gabrielle Langlois m’a assuré que non. «Ça peut être low tech, mais il faut qu’il y ait de l’innovation dans le produit; on ne veut pas être un deuxième Salon des métiers d’art.» sent via Tapatalk
  9. Le 1000 de la Gauchetière est le plus haut édifice de Montréal avec ses 51 étages et ses 205 mètres (niveau de la rue de la Gauchetière O). Cet édifice rîme avec prestige et élégance par sa construction et par ses services. Seule partinoire intérieure dans un édifice de Montréal, on peut y patiner toute l'année. Le nombre appréciable de restaurants permet aux travailleurs, aux patineurs et aux visiteurs de manger dans un environnement des plus exquis du centre-ville (en comparaison avec Eaton Center ou Montréal Trust). Avec ses 5 étages de stationnement souterrain, cet édifice possède une des plus grande capacité de stationnement intérieure du centre-ville avec service de lave-auto. Connecté au Montréal Souterrain (RESO), on peut facilement accéder directement à la Place Bonaventure, à la Gare Centrale, au Centre Bell, au 1250 Boul. René-Lévesque Ouest (IBM Marathon) et à la Gare Windsor. On peut également accéder directement, sans sortir dehors aux Stations Bonaventures, Lucien l'Allier et Square Victoria. Le 1000 de la Gauchetière est également un terminus d'autobus du nom du Terminus du Centre-Ville de l'Agence Métropolitaine de Transport où on y retrouve les circuits du Longueuil RTL, des C.I.T et d'autres organismes de transport en commun. On y retrouve également une billetterie au niveau des restaurants et de l'Atrium du 1000. Dans cette discution, j'invite les membres de d'apposer leurs photos, leurs anecdotes, leur histoires personnelles, leurs expériences dans cet édifice. Il serait apprécié d'avoir des photos de sa construction.
  10. Inscription gratuite pour visionner les documents des appels d'offres https://www.seao.ca/index.aspx Le site officiel des appels d’offres du Gouvernement du Québec. Les avis publiés sur le site proviennent des ministères et organismes publics, des municipalités, des organisations des réseaux de la santé et des services sociaux ainsi que de l’éducation. À propos de SEAO SEAO est l’acronyme de « Système électronique d’appel d’offres », approuvé par le gouvernement du Québec. C'est une application accessible par Internet - à l'adresse www.seao.ca - qui rassemble les différents avis de marchés publics provenant de la plupart des organismes publics du Québec, soit les ministères et organismes publics de l'administration gouvernementale, les organismes du réseau de l'éducation, les organismes du réseau de la santé et des services sociaux ainsi que les municipalités et les autres organismes municipaux. Ces organismes sont tenus d'utiliser le SEAO pour la publication de leurs avis, la distribution de leurs documents d'appel d'offres et la publication des renseignements de leurs contrats. D'autres organismes peuvent aussi utiliser le SEAO, comme les sociétés d'État à vocation commerciale ou industrielle, les organismes à but non lucratif et autres entreprises privées. Les fournisseurs intéressés par les marchés publics peuvent y consulter les avis publiés et se procurer les documents afférents lorsqu’ils sont distribués par le SEAO. https://www.seao.ca/Inscription/abonnement_type.aspx Inscription gratuite SEAO Aucuns frais mensuels
  11. Tres bonne nouvelle! Personnellement je n'ai jamais comprit le besoins de légiférer en matières des heures de commerces mais bon au Qc rare est le chantier économique qui n'est pas viser par le gouvernement. A quand les Home Depot de Laval ouvert jusqu’à 21h un samedi? And this is one way that will help Downtown set itself apart from Royalmount for example though I think this unfair to every other retailer outside this zone. **** Dès lundi, les commerces du centre-ville pourront ouvrir leurs portes 24 heures sur 24. Le gouvernement du Québec vient d'autoriser la demande de la Ville de Montréal de donner le statut de «zone touristique» pour cinq ans à la rue Saint-Catherine Ouest, au Quartier des spectacles, au Quartier latin et au Village. Le secteur du Casino sur l'île Notre-Dame, le Quartier chinois et le Vieux-Montréal, qui avaient déjà ce statut, le voit prolongé du même coup. Les bars ne seront toutefois pas touchés par cette mesure puisque c'est la Régie des alcools qui a pleine juridiction sur leurs opérations. «Je remercie le gouvernement du Québec pour cette décision qui aura un impact majeur sur la vitalité de nos commerces, sur l'attractivité et la compétitivité de notre centre-ville et sur l'ensemble de l'économie montréalaise. En établissant une zone touristique unique dans laquelle les commerces pourront ouvrir 24 heures par jour, 7 jours par semaine, nous répondons à la fois aux demandes de nos détaillants et à celles de leurs clients, qui recherchent une plus grande flexibilité dans les horaires de magasinage», a déclaré le maire de Montréal, Denis Coderre, dans un communiqué. Le centre-ville de Montréal compte environ 3000 commerces. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201505/22/01-4871718-commerces-ouverts-24-heures-au-centre-ville-quebec-donne-son-accord.php http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201505/22/01-4871718-commerces-ouverts-24-heures-au-centre-ville-quebec-donne-son-accord.php
  12. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/401435/arteres-commercantes <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">DE GRANDES AVENUES EN MUTATION Artères commerçantes sous perfusion Les grandes rues de la métropole montréalaise se cherchent un second souffle </header>1 mars 2014 | Isabelle Paré | Actualités en société <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Jacques Nadeau - Le DevoirLe boulevard Saint-Laurent, à Montréal, doit revenir à ses sources pour retrouver sa vigueur commerciale d’antan.</figcaption></figure><section class="retenir retenir_paysage" style="box-sizing: border-box; width: 230px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-right: 20px; margin-bottom: 10px; margin-top: 10px;">À lire aussi: La Main retourne à ses sources Avancées piétonnières sur Sainte-Catherine L’avenue du Mont-Royal atteint un plateau La rue Saint-Denis sur la touche Un enjeu de hauteur à Québec</section>Pendant que la rue Saint-Denis périclite, l’étoile de la rue Mont-Royal faiblit et la Main flirte avec l’art et le Web pour sortir de sa morosité. Au moment où le maire Coderre annonce un vaste chantier pour piétonniser la rue Sainte-Catherine, Le Devoir est allé prendre le pouls de ces grandes artères de la métropole, à la recherche d’un second souffle. La complainte du Dix30, plusieurs commerçants de la métropole en ont soupé. « La faute aux banlieues, c’est trop facile. Les centres commerciaux, ça existe depuis les années 70. Mais la Ville se fout des artères commerçantes alors qu’il se construit des milliers de condos à Montréal. Qu’est-ce qui cloche ? », fustige un commerçant rencontré dans la rue Saint-Denis cette semaine. Mieux vaut le dire tout de suite, l’ambiance est morose dans plusieurs des grandes rues qui ont été au coeur du commerce de détail dans la métropole depuis cent ans. Immeubles à vendre, commerces vacants, ou loués à des vendeurs de pacotille : plusieurs secteurs de Saint-Laurent, Sainte-Catherine ou Saint-Denis ont perdu de leur lustre d’antan. Et dans la foulée, leurs clients. Si les détaillants en ont marre de se faire rebattre les oreilles avec la concurrence venue des « power centers » qui poussent comme des champignons en banlieue, le diagnostic, lui, est implacable. Pour Jacques Nantel, professeur titulaire de marketing à HEC, il est clair que ce qui fait mal aux artères commerciales de Montréal, c’est que les plus grands consommateurs de produits, les familles, ont massivement migré vers les banlieues. « Le plus bel exemple est la rue Sainte-Catherine, qui attirait autant des résidants de Montréal que de l’extérieur. La population environnante n’est plus là », dit-il. Mais ce n’est pas du tout. « Une artère, c’est quelque chose qui se travaille. Ça ne se maintient pas tout seul. Ça prend une concertation intense des commerçants », ajoute ce spécialiste, qui compare la situation vécue sur certains segments de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent « à un désastre ». La clé du succès est simple comme une recette de gâteau quatre-quarts, plaide-t-il. « Il faut une mixité parfaite, avec un tiers de services, un tiers de produits et un tiers de divertissements. Il faut des commerces de détail, mais aussi des services, des restos, des cafés, des cinémas. Une rue bourrée de restaurants, ça tombe le jour où les gens découvrent autre chose de plus intéressant à faire ailleurs. » Revitaliser pour séduire La rue Prince-Arthur en sait quelque chose. Ce tronçon piétonnier couru pour ses terrasses animées et ses bars il y a 30 ans est aujourd’hui un corridor désert balayé par le vent huit mois sur douze. Frappées de plein fouet par le syndrome décrit par la fameuse chanson des Colocs (Y’est tombé une bombe su’a rue principale, depuis qu’y ont construit : le centre d’achat !), des dizaines de villes ont fait appel depuis ces dernières années à la Fondation Rues principales. Gatineau, Saguenay, Dorval, le Sud-Ouest de Montréal… Les symptômes sont généralisés. « La montée des banlieues, c’est vrai, mais ce n’est pas tout. Il faut de la concertation, de l’animation, rendre le secteur attrayant à l’année. On ne peut pas se contenter de rénover des façades, puis se croiser les doigts. Pour revitaliser de façon durable, il faut s’attaquer à tous ces volets en permanence », dit Émilie Têtu, coordonnatrice aux communications à Rues principales. Preuve que le repositionnement est possible, la rue Fleury et même le marché Jean-Talon, semi-couvert, ont réussi à « s’imposer 52 semaines par année », soutient Jacques Nantel. Savant mélange de commerces, offres de transport en commun, stationnements intelligents, supports à vélo et mobilier urbain invitant : aucun détail ne doit être laissé au hasard pour assurer la vitalité d’une artère. « Si on regarde la rue Sainte-Catherine, aucune de ces conditions n’existe ! », tranche Jacques Nantel, qui donne l’exemple des mesures prises par Strasbourg, Toulouse et Chicago pour renouveler leur centre-ville. « À Strasbourg, la ville a pris les grands moyens. Le centre-ville est quasiment entièrement piétonnier et le tramway, omniprésent. » Nouveaux résidants sur la touche Il y a sept ans, une étude réalisée sur les achats faits par les résidants du centre-ville (rue de la Commune au sud, Sherbrooke au nord, Griffintown à l’ouest, et de Bleury à l’ouest) a démontré que ces derniers concluaient 60 % de leurs achats sur la Rive-Sud.« Une catastrophe ! » selon Jacques Nantel. Pourtant, ce n’est pas la population qui manque, relance ce dernier. Deux mille condos ont poussé dans Griffintown et 7000 sont en cours de construction ou projetés en plein centre-ville de Montréal. Comment s’explique alors l’asphyxie des artères de la métropole ? « Dans certains quartiers, la densité s’accroît, mais personne ne planifie de trame commerciale conséquente. Où vont ces gens pour acheter des meubles ou des électroménagers ? La Rive-Sud. C’est comme si on avait jeté l’éponge », dit-il. Du côté de l’alimentation, certains géants commencent déjà à redéployer des « petites surfaces urbaines » pour répondre à cette nouvelle clientèle. La chaîne Métro installera deux marchés, l’un dans la future Tour de l’avenue et l’autre dans Griffintown. Un marché Adonis ouvrira ses portes dans le projet Séville, rue Sainte-Catherine. Paradoxalement, le boom immobilier vécu dans le secteur résidentiel à Montréal a aussi nui aux artères commerçantes, où les coûts de location caracolent, fragilisant les petits commerces. Selon plusieurs détaillants, de nombreux propriétaires refilent la totalité du bond observé sur leur avis d’imposition aux locataires. « La spéculation dans le secteur résidentiel a incité des propriétaires à garder leurs locaux vacants pour mettre en vente leurs immeubles, recherchés par les promoteurs de condos. Ça, c’est le début de la fin pour une artère commerçante », dit-il. Peut-on encore renverser la vapeur ? Une bonne dose de volonté politique, le prix de l’essence et la gifle assenée par le cybercommerce à plusieurs géants des grandes surfaces annoncent des jours meilleurs pour les centres-villes, disent plusieurs spécialistes. « Je suis prêt à parier que d’ici quelques années, les gens vont faire leurs achats ennuyants sur Internet et réinvestir leur temps dans les commerces de proximité, plus personnalisés. » La sape du commerce électronique Depuis que le lèche-vitrines peut se faire dans le confort douillet de son salon (12 % des achats se concluent au bout d’un clic — en excluant les secteurs de l’alimentation et de l’automobile), plusieurs détaillants en arrachent. « Les commerces doivent se distinguer par l’offre d’une expérience unique et le service à la clientèle. Autant de choses qu’on ne retrouve ni sur Internet ni dans une grande surface de banlieue », affirme Jacques Nantel, professeur de marketing à HEC. *** Taux d’inoccupation de certaines artères commerçantes de Montréal (hiver 2013) SDC avenue du Mont-Royal : 5 % SDC promenade Fleury : 3 % SDC Ontario et Sainte-Catherine Est : 13 % Promenade Masson : 3 % Plaza Saint-Hubert : 3 % Petite-Italie et marché Jean-Talon : 11 % Moyenne des artères : 8 % Source PR@M-Commerce, Ville de Montréal
  13. Je me permets de publier cet éditorial du devoir que j'ai mis originalement dans la section politique. Comme c'est un sujet qui concerne tout le monde, j'ai pensé qu'il était plus pertinent de le mettre dans les discussions générales et ainsi ouvrir la porte à un débat plus large. http://www.ledevoir.com/politique/canada/421057/conjoncture-chaud-devant CONJONCTURE Chaud devant! 15 octobre 2014 |Jean-Robert Sansfaçon | Canada Alors qu’Ottawa et les provinces poursuivent avec acharnement leurs efforts de compression budgétaire, l’économie canadienne fait du sur-place et subit les contrecoups de la faible croissance à l’échelle mondiale. S’ils n’y prennent garde, nos gouvernements aggraveront le mal qu’ils disent vouloir combattre. Chacun de son côté, les principales provinces canadiennes et le gouvernement fédéral ont entrepris une course contre la montre pour revenir à l’équilibre budgétaire. Dans le cas du Québec, l’opération est d’autant plus difficile que l’emploi progresse très lentement, avec les conséquences que l’on sait sur les recettes de l’État. À Ottawa, les choses vont mieux grâce aux revenus pétroliers et aux cotisations à l’assurance-emploi largement plus élevées que les prestations versées aux chômeurs, dont 38 % seulement ont désormais accès au programme. Or cette situation pourrait tourner rapidement si le prix du pétrole continuait de baisser comme c’est le cas depuis l’été. Plusieurs experts prédisent même une chute du prix du baril jusqu’à 70 $US comparativement à plus de 110 $ le printemps dernier et à 82 $ hier. Si c’était le cas, non seulement les recettes des gouvernements en seraient affectées, mais ce serait aussi la fin temporaire du boom d’investissements dans les sables bitumineux. Cette baisse de prix est due à la conjoncture économique mondiale défavorable, tant en Asie et en Amérique du Sud qu’en Europe, où le FMI évalue à 40 % le risque d’une troisième récession en sept ans. Bien sûr, pour l’instant la situation n’est pas si difficile chez notre principal partenaire, les États-Unis. Mais cela pourrait ne pas durer puisqu’étant devenus de grands producteurs de pétrole et de gaz de schiste, ils subiront à leur tour les effets d’une baisse des prix qu’ils appelaient pourtant de tous leurs voeux lorsque le pétrole provenait des pays de l’OPEP. En conséquence, les gouvernements qui comptent largement sur les ressources, tels l’Alberta et le gouvernement fédéral, risquent d’être directement touchés. Le Québec ne produit pas de pétrole, mais il subit aussi les contrecoups du ralentissement mondial de la demande en ressources. Et même si les libéraux de Philippe Couillard se veulent rassurants, ils ont très peu d’influence sur les investisseurs qui préfèrent attendre des signaux positifs du marché avant d’aller de l’avant avec leurs projets de mines et d’usines de transformation. Devant tant d’incertitudes, il est décevant de constater qu’on s’entête à placer ses ambitions politiques devant les exigences de la conjoncture. C’est vrai pour le Québec aux prises avec un manque à gagner plus important que prévu. Ce qui devrait inciter les libéraux à revoir leur échéancier de retour à l’équilibre sous peine de comprimer les dépenses au-delà de ce qui est raisonnable. Mais c’est surtout vrai du fédéral, dont c’est la responsabilité première de veiller à la stabilité économique du pays. Au lieu de promettre des bonbons, les trois principaux partis fédéraux devraient s’engager dès maintenant à stimuler l’activité économique en rehaussant de façon importante le programme des infrastructures, surtout en matière de transports collectifs, si peu développés chez nous, et en redonnant accès à l’assurance-emploi aux travailleurs mis à pied. Après tout, contrairement à l’idéologie d’un parti, l’économie d’un pays n’est pas un long fleuve tranquille sur lequel il suffit de se laisser glisser pour se maintenir au pouvoir.
  14. à voir si les banques baissent leurs taux hypothécaires... via LaPresse.ca La Banque du Canada abaisse son taux directeur à 0,75% Publié le 21 janvier 2015 à 10h04 | Mis à jour à 10h04 RUDY LE COURS La Presse À la surprise générale, la Banque du Canada abaisse son taux directeur dans le but d'adoucir les effets négatifs de l'effondrement des cours du pétrole. Le taux cible de financement à un jour passe de 1% à 0,75%. Il n'avait pas bougé depuis septembre 2010. Le choc pétrolier ralentit déjà la croissance réelle qui passera à 1,5% en rythme annualisé au premier semestre tout en faisant plonger le taux d'inflation sous la barre de 1% durant la plus grande partie de 2015 avant de revenir près des 2% à la fin de 2016. «La mesure de politique prise par la Banque vise à offrir une assurance contre ces risques, à favoriser l'ajustement sectoriel nécessaire au renforcement des investissements et de la croissance, et à permettre à l'économie canadienne de retourner à son plein potentiel et l'inflation à la cible», expliquent les autorités monétaires. Reste à voir maintenant si les institutions financières abaisseront à leur tour leur taux préférentiel consenti à leurs meilleurs clients. Il est fixé à 3,0%, lui aussi depuis septembre 2010. Ce taux influence les prêts à taux variable. Dans son nouveau scénario économique, la Banque fait l'hypothèse que le cours moyen du baril de pétrole West Texas Intermediate sera de 60 $ américains d'ici la fin de 2016. Cela suppose qu'il se raffermira au cours des prochains mois. D'ici là, il pourrait diminuer encore à court terme. La Banque fait aussi l'hypothèse que le taux de change moyen du dollar canadien sera de 86 cents US durant la période tout en admettant que son annonce-surprise est susceptible de l'affaiblir à court terme Pour l'ensemble de 2015, le taux d'expansion réelle est ramené de 2,4% à 2,1% alors qu'il est augmenté d'un dixième à 2,4% pour l'an prochain. La diminution est surtout attribuable aux investissements des entreprises. En octobre, la Banque s'attendait à ce qu'ils soient un facteur de croissance. Désormais, c'est l'inverse bien qu'elle prévoit un redressement solide l'an prochain, parallèlement à la remontée attendue des cours pétroliers. L'autre grand changement à son scénario économique porte sur le revenu intérieur brut, une mesure fiable du pouvoir d'achat. Estimée à 1,7% en octobre, sa croissance est ramenée à 0,7% seulement. Cela signifie que les ménages et les entreprises ne sentiront pas l'enrichissement associé en général à la croissance. Autrement dit, l'équivalent de la baisse d'impôt associée à la chute des prix des carburants aura des effets de courte durée. Les conséquences négatives sur les investissements des entreprises et sur la valeur des exportations liées au pétrole prendront progressivement le dessus. Un prix plus faible du brut affaiblit la valeur des exportations alors que la baisse du dollar canadien augmente celle des biens importés. «L'affaiblissement des termes de l'échange du Canada aura un effet défavorable sur les revenus et la richesse, et influera de ce fait sur la consommation et les finances publiques.» Cela signifie que bien des ménages auront le sage réflexe de mettre de l'argent de côté, surtout dans les provinces pétrolières où les mises à pied vont se multiplier. Bref, l'argent en plus venu de la baisse du prix de l'essence ne sera pas automatiquement consommé ailleurs. C'est aussi un signal aux ministres des Finances d'aiguiser leurs crayons et de revoir leurs prévisions budgétaires, compte tenu de la chute anticipée de l'inflation qui va ralentir la croissance de l'assiette fiscale. La prochaine date de fixation du taux directeur sera le 15 avril.
  15. Seriez-vous capable d'identifier une ville par son réseau routier? Testez vos connaissances: http://www.washingtonpost.com/blogs/wonkblog/wp/2015/01/09/quiz-can-you-name-a-city-just-by-looking-at-its-streets/ --- Beaucoup plus facile que l'autre (métros) mais j'en ai quand même manqué une: 9/10
  16. http://ici.radio-canada.ca/emissions/c_est_pas_trop_tot/2014-2015/chronique.asp?idchronique=358943 Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Photo : Cadillac Fairview / iStockphoto Contrairement aux prévisions, les baby-boomers ne semblent pas vouloir revenir s'installer plus près du centre-ville, observe le chroniqueur François Cardinal. Cette nouvelle donne pourrait non seulement ralentir le « boom des condos », mais aussi l'aménagement des banlieues. « On n'a peut-être pas envie à 65 ans d'une vie urbaine trépidante », soumet M. Cardinal comme hypothèse. Il faut dire que beaucoup de familles choisissent de s'établir en périphérie, notamment à cause du prix des maisons. Leurs parents, les baby-boomers, font donc peut-être le choix de rester près de leurs petits-enfants, ajoute le journaliste sent via Tapatalk
  17. http://techno.lapresse.ca/nouvelles/mobilite/201411/14/01-4818909-gare-au-mobile-pianoter-ou-marcher-il-faut-choisir.php Publié le 14 novembre 2014 à 09h41 | Mis à jour le 14 novembre 2014 à 09h41 Gare au mobile: pianoter ou marcher, il faut choisir! Selon les secouristes, entre 2009 et 2013, 122 blessés ont dû être pris en charge par une ambulance à la suite d'accidents causés par des piétons accros à leurs téléphones portables au gigantesque carrefour tokyoïte de Shibuya, l'un des plus fréquentés du monde. Ma Presse ALASTAIR HIMMER Agence France-Presse TOKYO Quand les voitures s'arrêtent au gigantesque carrefour tokyoïte de Shibuya, l'un des plus fréquentés du monde, des centaines de personnes foncent tête baissée pour traverser... les yeux rivés sur leur téléphone intelligent, à leurs risques et périls. Ce spectacle étonnant mais désolant inquiète les autorités japonaises, car si tout le monde se met à agir ainsi, c'en est fini de la sécurité piétonnière. Une simulation réalisée par NTT Docomo, premier opérateur nippon de services cellulaires, l'a prouvé: si 1500 individus restaient regard plongé dans leur écran en franchissant ce croisement multiple, il en résulterait 446 collisions et 103 chutes. Un tiers seulement des piétons arriveraient de l'autre côté sans encombre. Conclusion: «si les gens continuent d'arpenter les rues en regardant leur téléphone, le nombre d'accidents va augmenter», avertit Tetsuya Yamamoto, un haut fonctionnaire chargé de la prévention des risques chez les pompiers de Tokyo. Déjà, selon lui, «41 % des accidents liés au téléphone mobile sont le fait de personnes qui l'utilisent en marchant ou se déplaçant à vélo». Les automobilistes qui papotent ou surfent ne sont donc pas les seuls dangers publics. Et nous ne parlons pas ici de quelques désagréments anodins entre deux personnes qui se bousculent et s'excusent vaguement, mais d'individus qui finissent à l'hôpital. Selon les secouristes, entre 2009 et 2013, 122 blessés ont dû être pris en charge par une ambulance à la suite d'accidents causés par des piétons accros à leurs téléphones portables. Un fléau urbain international Tous les adultes japonais ont un mobile - la moitié de type téléphone intelligent - et la proportion d'enfants également équipés tend à croître. Selon des recherches effectuées par NTT Docomo, le champ de vision d'une personne qui concentre son regard vers le bas, sur l'écran de son mobile, est réduit à 5 % de ce qu'il est en temps normal. «C'est dangereux, particulièrement pour les enfants, et il est de notre devoir de faire en sorte que ce type de comportement n'existe pas», explique Hiroshi Suzuki, directeur de la responsabilité sociale de Docomo. Dont acte: M. Suzuki fait la tournée des écoles pour apprendre aux petits l'art et la manière de faire un usage responsable de leur «sumaho». «Nous nous appuyons sur l'histoire du lièvre et de la tortue», explique-t-il. «Le lièvre avance en utilisant son téléphone intelligent et tombe dans un trou. Nous voulons que les enfants sachent qu'ils pourraient être le lièvre». Faut-il dès lors obliger les piétons à porter un casque ? «Je ne pense pas que cela devienne nécessaire dans un proche avenir, mais notre message est que cela pourrait arriver. Nous sommes tous des victimes potentielles», prévient M. Suzuki. Des affiches sur les quais de gare, des coups de sifflet des agents de police et autres initiatives sont également prises pour lutter contre ce fléau des temps modernes, dont Tokyo n'a cependant pas l'apanage: Londres, New York, Paris ou Hong Kong déplorent aussi la présence massive de toxicomanes du mobile. En Chine, un parc d'attractions situé dans la mégalopole de Chongqing (sud-ouest) a trouvé la parade: il a divisé les trottoirs en deux voies, pour les piétons sans ou avec mobile. Ceux qui choisissent d'emprunter la seconde le font en connaissance de cause: ils sont responsables des conséquences de leur attitude. Une ville de l'État de New York a quant à elle songé à une loi réglementant l'usage des appareils mobiles sur la chaussée.
  18. http://www.ledevoir.com/international/etats-unis/421603/etats-unis-27-000-foyers-prives-d-eau-a-detroit ÉTATS-UNIS 27 000 foyers privés d’eau à Detroit Des experts de l’ONU dénoncent les coupures 21 octobre 2014 |Agence France-Presse | États-Unis Des manifestants dénonçant les coupures d'eau courante à Detroit en juillet dernier. Photo: Getty Images Agence France-Presse Des manifestants dénonçant les coupures d'eau courante à Detroit en juillet dernier. Des experts de l’ONU chargés des droits de la personne ont fermement condamné lundi les coupures d’eau courante à Detroit pratiquées contre des milliers de personnes qui n’arrivent plus à payer leurs factures. Dans un communiqué publié après trois jours de mission dans la ville, les rapporteurs spéciaux des Nations unies, Catarina de Albuquerque et Leilani Farha, ont estimé que couper l’eau courante à 27 000 foyers en raison de factures impayées violait les droits de la personne. « C’est contraire aux droits de l’homme de couper l’eau courante à des gens qui n’ont tout simplement pas les moyens de payer leurs factures », a relevé Catarina de Albuquerque. Les résidents noirs de Detroit sont souvent « contraints de faire des choix impossibles : payer leur facture d’eau ou payer leur loyer », a-t-elle ajouté. Et le problème a été accentué par une hausse brutale du prix de l’eau, qui visait à couvrir les coûts des fuites dues à une infrastructure en mauvais état, ont expliqué les rapporteurs de l’ONU. « Cela, combiné à un nombre décroissant de clients et un taux de chômage en hausse, a fait que les factures d’eau sont devenues de plus en plus inabordables pour des milliers de résidents de Detroit vivant sous le seuil de pauvreté », selon Catarina de Albuquerque. « De surcroît, des cas répétés d’erreurs grossières sur des factures d’eau ont été signalés, qui ont aussi servi de motif à des coupures » d’eau. « Dans la pratique, les gens n’ont aucun moyen de prouver qu’il s’agit d’erreurs et se retrouvent avec des factures impossibles à payer. » Ancien berceau de l’industrie automobile américaine, Detroit est devenue la plus grande ville des États-Unis à avoir déposé un dossier de faillite en juillet 2013. Les autorités ont commencé à couper l’eau plus tôt cette année à tous les foyers qui n’avaient pas payé leurs factures durant deux mois. Leilani Farha a estimé que cette politique allait à l’encontre « des normes sur les droits de l’homme internationalement reconnues ». Sa collègue Katarina de Albuquerque a indiqué avoir recueilli les témoignages de plusieurs habitants frappés par cette mesure. « Une femme dont l’eau courante avait été coupée a expliqué que ses filles adolescentes devaient se laver avec une bouteille d’eau durant leurs règles et éviter de tirer la chasse des toilettes pour économiser l’eau », a-t-elle raconté.
  19. Après le mile-End, voici le Mile-Ex. Source: Face/Ad/Bloghttp://www.faceadblog.com/mileex/ Photos: Julia Marois
  20. Tres intéressant. À Concordia, en français et organisé par L'Association francophone pour le savoir (l'Acfas)! http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/600/616/c
  21. http://www.papiermontreal.com/ Bienvenue à la foire Papier13 À l'angle des rues De Bleury & Ste-Catherine 26 au 28 avril 2013 Papier13 revient au cœur du Quartier des spectacles pour célébrer la richesse d'un élément fondamental dans la création contemporaine : le papier. Pour sa 6e édition, cet événement réunira sur quatre jours, du 25 au 28 avril 2013, un nombre encore plus important d'artistes et de galeries venus de tous les horizons du Canada. Que vous soyez amateurs ou néophytes, nous vous invitons à venir découvrir leurs œuvres où le papier sera mis en valeur sous toutes ses formes : estampe, dessin, installation, sculpture, etc. Cette nouvelle édition sera l'occasion de montrer une fois de plus le dynamisme et la richesse de la scène actuelle. La foire Papier Depuis sa création en 2007, Papier a su mettre en valeur toute la versatilité de ce médium. En l'utilisant comme support ou comme concept, les artistes qui exposent chaque année à la foire nous en font découvrir toutes les facettes à travers leurs oeuvres (photographies, dessin, estampes, sculpture, installation, etc.) En mettant en lumière le médium papier, la manifestation se démarque des autres foires en Amérique du Nord. Elle démocratise l'art en accueillant un large public et en s'adressant tout autant aux experts et aux connaisseurs, qu'aux novices et aux curieux désireux de découvrir les arts visuels. Contact Association des galeries d'art contemporain 372, rue Sainte-Catherine Ouest, suite 318 Montréal (Québec) H3B 1A2 Téléphone : (514) 798-5010 Télécopieur : (514) 798-5009 Informations : info@agac.qc.ca
  22. Les Canadiens sont toujours en voie d'atteindre une année record en ce qui a trait au niveau d'endettement personnel, même s'ils ont terminé 2013 en réduisant légèrement la somme d'argent qu'ils doivent à leurs créanciers, a indiqué mercredi l'agence de surveillance du crédit TransUnion. À la fin de l'année, les Canadiens cumulaient en moyenne des dettes de 27 368 $ sur diverses lignes de crédit, cartes de crédit et prêts automobiles, a indiqué TransUnion dans une étude dévoilée mercredi. Ce montant est en baisse de 117 $, soit 0,42%, par rapport à celui de 27 485 $ du quatrième trimestre de 2012 - le plus haut niveau d'endettement jamais affiché, en excluant les dettes hypothécaires. «Nous nous sommes fait dire encore et encore et encore, de la part de tant de personnes, que nous devions réduire cette dette, mais nous n'y arrivons pas», a observé le vice-président des services d'analyse et de décision de TransUnion, Thomas Higgins. TransUnion prévoit toujours que la dette moyenne des consommateurs canadiens, en excluant les prêts hypothécaires, atteindra le sommet record de 28 853 $ d'ici la fin de 2014. «Il n'y a rien qui nous laisse croire que les niveaux d'endettements vont commencer à reculer de façon assez importante», a poursuivi M. Higgins depuis Toronto. «En ce moment, nous nous dirigeons toujours (vers une plus haute dette), certainement.» Les Canadiens ont commencé à accumuler des dettes dans les années précédant la récession de 2008, a expliqué M. Higgins. Selon lui, il faudrait que la dette personnelle des Canadiens diminue de façon soutenue d'entre 500 $ et 1000 $ sur quatre à six trimestres avant de pouvoir dire qu'une tendance à la baisse se dessine. Au cours du dernier trimestre de 2013, la dette sur les cartes de crédit et les lignes de crédit des consommateurs a légèrement reculé, a noté M. Higgins. Mais si les consommateurs ont moins dépensé pendant leurs courses des Fêtes, ce n'est que parce qu'ils ont profité de «meilleurs rabais», et non parce qu'ils ont volontairement réduit leurs dépenses, a-t-il estimé. L'étude a en outre montré que les taux de délinquance sur les prêts du trimestre terminé le 31 décembre avaient reculé, ce qui signifie que les consommateurs sont en mesure de faire les paiements minimaux sur leurs dettes. M. Higgins a cependant prévenu que si quelque pépin devait survenir et avoir un impact sur l'économie, les marchés ou les taux d'intérêt, les taux de délinquance seraient normalement les premiers à être touchés. Entre-temps, l'étude a permis de montrer que les résidents de Vancouver sont les Canadiens qui ont le plus augmenté leur endettement - il a atteint 41 077 $ à la fin de l'année, en hausse de sept pour cent par rapport à 38 357 $ en 2012. Les Montréalais, à l'inverse, ont réussi à réduire leur dette de 5,5% et celle-ci est passée de 19 651 $ à une moyenne de 18 563 $, la plus faible parmi les résidents des grandes villes canadiennes. Selon M. Higgins, les Vancouvérois jouissent généralement de salaires plus élevés qui leur permettent de contracter de plus grosses dettes, tandis que les consommateurs de Montréal économisent habituellement avant d'effectuer de gros achats, ou bien règlent leurs factures avec des cartes de débit. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/26/01-4742513-endettement-eleve-au-canada-mais-pas-autant-a-montreal.php
  23. Quelqu'un serait au courant des projets Accès Condo à venir qui ne sont pas encore annoncés officiellement ? Normalement les projets du genre sont en construction bien avant leurs annonces... Merci
  24. Un autre bon article qui met les choses en perspective en pesant sagement le pour et le contre du mouvement syndicaliste. D'ailleurs trop de gens sautent aux conclusions en méprisant les syndicats, comme si la société irait mieux sans leur précieuse contribution. C'est indéniablement faire preuve d'aveuglement volontaire et d'ignorance que de porter un jugement aussi sévère, sur une institution encore aussi indispensable aujourd'hui, qu'au début de la lutte des travailleurs. Rien n'est parfait dans ce bas-monde, et sans contre-poids, tous les pouvoirs finissent par abuser, sous une forme ou une autre d'injustice. Ainsi tout comme en physique: pour trouver et conserver l'équilibre, tout mouvement a besoin d'une force contraire et équivalente qui s'applique de manière aussi constante. Publié le 07 janvier 2014 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 L'année du syndicalisme? Ma Presse Brigitte Breton Le Soleil (Québec) C'est le temps des résolutions, et le mouvement syndical québécois a de l'ambition. La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) veut faire de 2014 l'année du syndicalisme. La Fédération des travailleurs du Québec souhaite pour sa part que le monde syndical se mobilise pour défendre ses valeurs face au régime conservateur et aux attaques de la droite. Elles ne manqueront pas de boulot. Les organisations syndicales ont en effet une pente à remonter, et leur perte de popularité a débuté bien avant que la commission Charbonneau étale les comportements douteux et mafieux d'un Jocelyn Dupuis à la direction de la FTQ-Construction et l'apathie du président de la FTQ, Michel Arsenault, pour y mettre fin. Les belles années des syndicats sont derrière eux. Les citoyens, y compris ceux qui sont syndiqués, sont plus individualistes et croient moins en la force de l'action regroupée. Dans la tête de certains, les syndicats sont des empêcheurs de tourner en rond, des créatures qui n'agissent que par intérêts corporatistes. Ils sont un frein à leurs ambitions et à leur rémunération personnelles, un fardeau pour les gouvernements, les municipalités et les employeurs, et une cotisation syndicale ne représente qu'une inutile ponction sur leur chèque de paye. Pour eux, si les syndicats n'existaient pas, tout irait tellement mieux dans la société. Les taxes et les impôts seraient forcément plus bas, la dispensation des services plus efficace et moins onéreuse. Le travail de chacun, du simple manoeuvre au professionnel, serait évidemment payé à sa juste valeur, sans arbitraire, et pas un employeur ne rognerait sur les conditions de travail de ses employés pour verser plus de dividendes aux actionnaires ou pour hausser davantage sa propre rémunération. Jamais, jamais. Que les 100 patrons les mieux payés au Canada gagnent 171 fois le salaire moyen de leurs employés serait chose du passé. Tout le monde serait content comme au Walmart. Et quelle est cette prétention que le rôle des organisations syndicales va au-delà de la négociation d'un contrat de travail? Les gouvernements et les employeurs n'avaient pas besoin de l'avis des syndicats pour fixer un salaire minimum, des normes minimales de travail ou des règles strictes en matière de santé et de sécurité au travail. Pas plus que leur intervention n'était nécessaire pour faire adopter une loi sur l'équité salariale, prévoir des congés parentaux ou pour bâtir un réseau de services de garde de qualité. Ils auraient accordé tout ça aux Québécoises et aux Québécois, syndiqués ou non, sans la pression des porte-parole syndicaux. Il faut une méconnaissance des gains sociaux acquis grâce à la contribution et à la détermination des syndicalistes, ou vouloir surfer sur le sentiment antisyndical ambiant, pour croire que tout ira mieux pour M. et Mme Tout-le-Monde si les méchants syndicats étaient condamnés au mutisme et à l'inaction. Bien sûr, il faut viser un équilibre. Trop de pouvoir aux syndicats n'est pas plus sain que trop de pouvoir au patronat. Il faut tenter de concilier les intérêts de chacune des parties, s'ajuster de part et d'autre aux besoins changeants, aux préoccupations de la main-d'oeuvre d'aujourd'hui, aux transformations du marché du travail et aux effets de la mondialisation. Les organisations syndicales ont raison de s'inquiéter et de se mobiliser contre certaines mesures préconisées par le gouvernement Harper. Accusant les syndicats de défendre des intérêts corporatistes, celui-ci réplique qu'il continuera «à maintenir les taxes et les impôts bas pour les contribuables, ainsi qu'à prioriser l'économie et la création d'emplois». Comme si l'objectif des syndicats était de nuire à l'économie, de perdre des jobs et d'alourdir le fardeau fiscal de leurs membres. Les conservateurs veulent plutôt réduire au silence les voix critiques et discordantes.
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