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  1. Le Mouvement Desjardins réussit son pari hors Québec 6 septembre 2014 Au-delà de cette crise financière et de cette Grande Récession qui l’a interpellée dès les premiers instants de son nouveau mandat, Monique Leroux reconnaît que le thème de l’expansion hors Québec du Mouvement Desjardins résume bien sa présidence. Un graphique d’aujourd’hui juxtaposant une carte géographique du Canada de 2010 démontre l’ampleur d’un rayonnement pancanadien vécu en accéléré entre ces deux dates. « C’est connu. Une entreprise qui n’est plus en croissance et en développement recule, périclite »,lance-t-elle. Les acquisitions se sont enchaînées au cours des dernières années. La financière MGI puis la plateforme de courtage et de gestion de patrimoine QTrade sont venues bonifier l’offre de Desjardins Sécurité financière. Dans l’assurance, de gros morceaux se sont greffés aux activités hors Québec de l’institution québécoise, Western Financial puis State Farm venant consolider la présence du Mouvement Desjardins sur les marchés de l’Ouest canadien et du sud de l’Ontario. « Ce sont autant d’emplois et d’expertise qui se développent ici. » Des partenariats avec des caisses et des crédits unions, et celui des plus stratégiques réalisé avec le français Crédit Mutuel venant décupler l’expertise de chacun dans la monétique, complètent l’expansion de l’institution coopérative. Une expansion qui englobe l’élargissement du réseau de relations de Développement International Desjardins, notamment dans la finance de proximité. « La finance inclusive, solidaire, c’est un métier que l’on maîtrise bien »,met en exergue Monique Leroux, au cours d’un entretien au Devoir. Sans dénaturer sa mission Dit autrement, le mouvement coopératif québécois fait la preuve qu’il peut rayonner et se développer hors Québec sans dénaturer sa mission. La présidente et chef de la direction aime bien revenir aux origines du Mouvement et à la philosophie du fondateur. Elle se demande sans cesse, telle une obsession, si les gestes posés traduisent ou respectent cette pensée originelle. « Alphonse Desjardins était un entrepreneur. Le développement et la croissance étaient omniprésents dans son discours. Il rêvait d’un mouvement économique fort au Québec, basé sur la confiance, dans une perspective canadienne et internationale, selon le principe “aide-toi toi-même”. C’est ce que nous faisons. » Les résultats financiers sont au rendez-vous. Depuis 2000, l’actif a été multiplié par trois pour dépasser les 221 milliards au 30 juin dernier, et les fonds propres, par 3,5 fois. Au terme de l’exercice financier 2013, l’institution québécoise a continué à dégager des excédents avant ristournes de plus de 1,5 milliard, situant le rendement sur fonds propres autour de 10 %. Cette croissance se veut organique dans une proportion de 70 %. Et Monique Leroux de rappeler que « nous sommes dans une logique de créer de la richesse pour en faire bénéficier la société, pas pour faire monter le prix d’une action ». Plus concrètement, cette santé financière sous-tend un investissement massif du Mouvement dans la technologie, au rythme annuel de 750 millions. « Le client veut un accès direct, multiplateforme. Nous devons suivre l’évolution technologique tout en favorisant la relation personnelle. Le grand enjeu consiste à faire tout cela, avec fluidité. » Paiement mobile Desjardins, annoncé cette semaine, y fait largement écho. Monétique, vecteur de développement La présidente revient à ce partenariat avec le Crédit Mutuel. Un pont est ainsi établi pour les entreprises des deux côtés de l’Atlantique, dans un environnement de libre-échange entre l’Europe et le Canada. Avec ce joueur de premier plan dans la monétique, il a également été possible de donner naissance en 2013 à Monetico International, une société conjointe dont le siège social est basé à Montréal et qui se positionne parmi les dix plus grandes organisations spécialisées dans les paiements électroniques. « Nous avons, là, un joueur doté d’une masse critique dans le système de paiement, résilient à l’évolution de la réglementation mondiale. » Cette monétique, véritable vecteur de développement, devient ainsi l’un des grands piliers du développement futur de Desjardins en parallèle à son essor dans l’assurance et la gestion de patrimoine. S’ajoute la volonté, pour l’institution, de poursuivre les rapprochements avec les crédits unions et leur caisse centrale, dans un environnement de contraintes réglementaires particulièrement exigeantes sous Bâle III. « Ce qui ne nous empêche pas de nous doter d’un plan de match pour le Québec se voulant à la fois solide et dense »,insiste Mme Leroux. Il faut notamment s’attendre à une multiplication des vitrines ou des points de services, aussi à des initiatives ciblées auprès de communautés visées. « Je crois en la capacité de Desjardins d’évoluer,résume Monique Leroux. Une entreprise, quelle qu’elle soit, a, à titre de citoyen corporatif, une responsabilité. Celles qui réussissent le mieux vont se démarquer par leur performance et par l’usage qu’elles font de cette performance. » La présidente veut laisser au Mouvement un héritage de croissance, d’innovation, d’adaptation dans un monde global, un Mouvement de 6 millions de membres qui se veut à la fois solide et performant. « La crise de 2008 est venue challenger la pérennité des entreprises et des institutions, et imposer le thème de la croissance responsable, d’une croissance pérenne », insiste-t-elle. Alphonse Desjardins rêvait d’un Grand rassemblement coopératif à Québec. Ce sera fait. Du 6 au 9 octobre, la Vieille Capitale sera l’hôte du Sommet international des coopératives. Ce deuxième rendez-vous capitalise sur le succès remporté en 2012 et, souhaite-t-on, positionne Québec comme étant le pôle d’expertise mondial du modèle coopératif. Le thème principal de cette deuxième édition réunissant des invités venant d’une centaine de pays ? Le pouvoir d’innover des coopératives. « Ce sommet nous amène à partager les perspectives et les expériences. À nous demander si nous pouvons contribuer davantage en matière de création d’emplois, d’innovations ou de soutien au développement des entreprises »,résume Monique Leroux. Sous le titre principal s’ajoutent cinq grands chapitres : le développement de l’entreprise coopérative et mutualiste, le financement et la capitalisation, la sécurité alimentaire, les soins de santé et les services à la personne, et l’emploi. « Ce sont des grands thèmes, des grands enjeux mondiaux qui collent bien à notre modèle d’affaires. Il peut être difficile de confier des problématiques liées à la santé ou à la sécurité alimentaire à des entreprises cotées en Bourse, ancrées sur le retour immédiat aux actionnaires »,lance la présidente du Mouvement Desjardins. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/417765/le-mouvement-desjardins-reussit-son-pari-hors-quebec
  2. Desjardins hausse ses profits de 7,3% 15 août 2008 - 10h17 LaPresseAffaires.com Michel Munger Monique Leroux, grande patronne de l'institution financière, estime que Desjardins se tire bien d'affaire malgré les facteurs qui échappent à son contrôle. La météo a bien affecté le secteur de l'assurance habitation au deuxième trimestre, mais les services aux particuliers et entreprises ont largement stimulé la rentabilité du Mouvement Desjardins. Ainsi, le mouvement coopératif dévoile vendredi des profits en hausse de 7,3% à 338 M$. Ce résultat inclut un gain de valeur sur le papier commercial adossé à des actifs, grâce à la restructuration du secteur et à une légère amélioration des conditions sur le marché. Sans cet élément inhabituel, les profits augmentaient de 5,7% à 333 M$. Le réseau des caisses a accru sa rentabilité de 29%. L'assurance habitation a été affectée par davantage de sinistres que d'habitude, ce que Desjardins attribue à la météo maussade. L'assurance de personnes a aussi connu sa part de problèmes en raison des réclamations plus élevées, comparativement à un deuxième trimestre solide en 2007. Le revenu total de Desjardins a grimpé de 10,5% à 2,44 G$. Si les particuliers et entreprises ont beaucoup contribué à cette croissance, les difficultés des marchés financiers ont fait chuter les revenus de courtage, fonds de placement et de fiducie de 19,1%. «Si l'on fait exception des éléments de nature conjoncturelle qui sont hors de notre contrôle, nos résultats témoignent de la progression continue de la performance financière du Mouvement Desjardins et du rôle moteur que jouent les caisses à ce chapitre», déclare Monique Leroux, présidente et chef de la direction de Desjardins. À la fin du trimestre, l'actif de Desjardins s'élevait à 151,9 G$, soit 6,3% de plus qu'à pareille date en 2007. Le rendement des capitaux propres a été stable à 14,3% au deuxième trimestre. La provision pour les ristournes aux membres s'est élevée à 172 M$, une baisse de 5M $ comparativement à la même période l'an dernier. La provision pour pertes sur créances était stable à 46 M$ tandis que le ratio de prêts douteux bruts s'élevait à 0,39%. Pour les six premiers mois de l'année, Desjardins déclare des profits en baisse de 30% à 405 M$. La provision de 220 M$ pour le PCAA comptabilisé au premier trimestre a fait particulièrement mal. L'institution financière croit qu'elle se tire plutôt bien d'affaire. «Malgré les conditions de marché particulièrement difficiles et la crise financière en cours depuis l'été 2007, dit Monique Leroux, le Mouvement Desjardins maintient une solidité financière qui lui confère la capacité de faire face aux soubresauts des marchés financiers, tout en étant en mesure de rassurer ses membres et clients et de poursuivre son développement à long terme.»
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