Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'lecture'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

9 résultats trouvés

  1. Le PTI 2009-2010-2011 de l'AMT, comme le budget 2009, est sur le site Internet de l'agence. Bonne lecture! http://www.amt.qc.ca/corpo/documents/budgets.asp
  2. On parle ici d'une maison à Westmount, qui est qualifiée de "Number one home in Canada" dans un article du Architectural Digest. Je vous en recommande fortement la lecture. L'article dans Architectural Digest. La firme d'architectes: http://www.ericjsmitharchitect.com Designer d'intérieurs: http://www.davideastoninc.com/
  3. Si la simple lecture des journaux depuis quelques semaines vous fait craindre pour votre emploi, rassurez-vous. Les mises à pied massives ne sont pas dans les plans de nos entreprises pour demain matin. Pour en lire plus...
  4. D'innombrables documents encombrent vos tiroirs et vos placards. Lesquels jeter, que conserver, combien de temps? À détruire après lecture ou à conserver en coffret de sûreté? Méthode et conseils d'un professionnel du renseignement (c'est-à-dire un archiviste). Pour en lire plus...
  5. C'est une bonne lecture, tres intéressante http://www.macleans.ca/canada/national/article.jsp?content=20080402_25296_25296&page=1
  6. Éducation: le Québec, 6e au monde Alain Dubuc La Presse Si le Québec était un pays, ce serait l’un des cinq meilleurs pays du monde pour les résultats de son système d’éducation. C’est ce que nous dit une nouvelle enquête internationale menée dans 57 pays par l’Organisation de coopération et de développement économiques. Le PISA, ou Programme international pour le suivi des acquis des élèves, est un vaste projet de l’OCDE, réalisé auprès de 400 000 jeunes de 15 ans dans 57 pays. En 2006, il en était à sa troisième édition. Comme en 2003 et en 2000, le Québec et le Canada ont obtenu d’excellents scores. L’enquête, très sophistiquée, mesurait la performance des élèves en mathématiques, en lecture et, cette fois-ci, portait une attention particulière aux sciences. Cette enquête n’est pas un concours, et son intérêt réside bien moins dans le classement des pays que dans la compréhension qu’elle permet des succès et des carences des systèmes scolaires. En insistant sur son côté palmarès, je ne fais donc pas honneur à cette étude. Mais mon sursaut de chauvinisme a un but. Le fait d’insister sur les excellents succès du Québec nous amène à réfléchir à notre système d’éducation d’une autre façon. On sait à quel point nous sommes critiques : sur les connaissances des élèves, sur la compétence des enseignants, sur nos structures, sur la réforme pédagogique. Il n’est donc pas mauvais de rappeler que le système scolaire québécois est l’un des meilleurs. Le verre n’est pas à moitié plein, mais bien aux trois quarts plein. En mathématiques, le Québec obtient les meilleurs résultats des provinces canadiennes, ce qui le classerait au cinquième rang mondial, derrière Taipei, la Finlande, Hong-Kong et la Corée. En lecture, le Québec, au sein du Canada, se retrouve derrière l’Alberta, l’Ontario et la Colombie-Britannique. Mais comme pays, il se retrouverait encore une fois au cinquième rang. Derrière la Corée, la Finlande, Hong-Kong et le Canada. En sciences, les résultats sont un peu moins satisfaisants. Au Canada, le Québec est encore au quatrième rang, derrière les trois mêmes provinces, mais au septième rang mondial, derrière la Finlande, Hong-Kong, le Canada, Taipei, l’Estonie et le Japon. Le Québec est donc en tête de peloton. En tenant compte des trois classements, il serait, en gros, sixième au monde. Des pays auxquels nous nous comparons souvent sont loin derrière, comme les États-Unis, autour du trentième rang, ou la France, autour du vingtième rang. Ces données ont d’ailleurs suscité tout en émoi en France. Et ça fait quand même un petit velours de savoir que, pour la lecture, nous sommes loin devant nos cousins d’Outre-Atlantique, qui sont au vingt-et-unième rang. Ce succès s’explique en partie par ce que le PISA mesure. Il évalue la littéracie, c’est-à-dire la capacité d’utiliser la lecture dans différents contextes, comprendre ce qu’on lit, utiliser l’information, réfléchir à partir de sources écrites, qu’elle soient des textes littéraires, des articles, ou des diagrammes. C’est donc une définition fonctionnelle, pas mal dans la logique des compétences transversales, et qui ne mesure pas seulement l’accumulation des connaissances ou la culture littéraire. Mais cette enquête nous rappelle aussi le chemin à parcourir. Tout d’abord, si le Québec fait bien, le Canada dans son ensemble réussit encore mieux : troisième en sciences, septième en maths et quatrième en lecture. Et si le Québec est sixième au monde, le même procédé classerait l’Alberta au quatrième rang, et l’Ontario au cinquième. Cela permet d’ailleurs de croire que le succès du Québec s’inscrit dans une dynamique canadienne. À l’échelle internationale, il n’est pas mauvais de noter les succès remarquables de la Finlande, un petit pays qui nous ressemble à plusieurs égards. Et ces succès ne doivent pas non plus nous faire oublier les faiblesses de nos systèmes scolaires. D’abord, le problème des inégalités, moins marqué au Canada qu’ailleurs, mais néanmoins présent. Ensuite, le fléau du décrochage, qui n’est pas mesuré par l’étude, parce qu’elle est réalisée auprès d’écoliers et que le décrochage survient d’habitude après l’âge des participants. Reste aussi la réforme, qui n’est pas testée, parce que cette cohorte n’y a pas été soumise. Mais ces résultats changent complètement la perspective. Il ne s’agit pas de sortir le système de la déchéance, mais d’améliorer un bon réseau d’éducation. Il ne s’agit pas de rescaper nos enfants, mais de les aider à aller plus loin et en plus grand nombre sur la voie du savoir. Et surtout, ces données nous disent que nous pouvons nous fixer des objectifs extrêmement ambitieux. Le Québec, par exemple, pourrait parfaitement vouloir produire le meilleur système d’éducation au monde, parce que nous savons que cela est dans le domaine du possible.
  7. En science Les élèves canadiens sont les 3e meilleurs du monde La Presse Canadienne 04/12/2007 17h37 En science - Les élèves canadiens sont les 3e meilleurs du monde © Rob Melnychuk/Corbis Les étudiants de la Finlande seraient les meilleurs au monde en science, d'après une étude publiée ce mardi par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Les élèves de 15 ans de Hong Kong et du Canada se sont respectivement classés en deuxième et en troisième positions. L'Alberta a obtenu le plus haut score des 10 provinces canadiennes, suivie dans l'ordre par la Colombie-Britannique, l'Ontario et le Québec. Les élèves de Terre-Neuve-et-Labrador, de l'Ile-du-Prince-Edouard, de la Nouvelle-Ecosse, du Nouveau-Brunswick, du Manitoba et de la Saskatchewan ont un rendement égal ou supérieur à la moyenne de l'OCDE, mais celui-ci est significativement inférieur à la moyenne du Canada. L'Alberta est la seule province à afficher un rendement significativement supérieur à la moyenne canadienne. L'OCDE a évalué pour cette étude plus de 400 000 élèves dans 57 pays. L'évaluation s'intéressait principalement aux sciences, mais les élèves étaient aussi interrogés sur leurs connaissances en mathématiques et sur leur habileté à la lecture. La Grande-Bretagne a terminé en 14e place, tandis que la France s'est classé 25e et que les Etats-Unis ont obtenu le 29e meilleur score. Les élèves du Canada se sont en moyenne classés parmi les meilleurs des pays étudiés dans toutes les matières à l'évaluation. Entre 2003 et 2006, le rendement des élèves canadiens s'est maintenu au même niveau en lecture et en mathématiques, mais davantage de pays devancent désormais le Canada dans ces domaines. Les Québécois se classent au-dessus de la moyenne canadienne en mathématiques et obtiennent la moyenne en lecture, tandis que l'Ontario, le Manitoba, l'Alberta et la Colombie-Britannique ont un rendement égal à la moyenne canadienne en lecture comme en mathématiques. Les autres provinces sont en-deça de la moyenne nationale dans les deux matières. Au Canada et dans la plupart des autres pays, aucune différence entre les sexes n'est constatée en sciences, ni sur l'échelle globale, ni sur l'échelle du sous-domaine de l'utilisation des faits scientifiques. Cependant, les garçons ont de meilleurs résultats pour ce qui est d'expliquer les phénomènes de façons scientifiques, tandis que les filles devancent les garçons lorsqu'il faut identifier des questions d'ordre scientifique. «Les garçons semblent avoir plus de facilité à maîtriser les connaissances scientifiques, tandis que les filles semblent avoir une meilleure vue d'ensemble, qui leur permet d'identifier les questions d'ordre scientifique dans une situation donnée», lit-on dans un document d'analyse conjoint de Ressources humaines et Développement social Canada, de Statistique Canada et du Conseil des ministres de l'Education du Canada. Si on se réjouit des résultats globaux de l'étude de l'OCDE dans le document d'analyse, on y identifie malgré tout certains points préoccupants, notamment le fait que le pays en tête de liste dans chacun des domaines évalués devance largement le Canada sur le plan du rendement des élèves. «En outre, des écarts provinciaux considérables subsistent dans plusieurs domaines», poursuit le document.
  8. Le Québec est-il à la page? Mise à jour le vendredi 30 novembre 2007, 16 h 53 . Les enfants québécois de 10 ans lisaient un peu moins bien en 2006 qu'en 2001. C'est ce que révèle un rapport publié par le Programme international de recherche en lecture scolaire (PIRLS), à la suite d'un test administré dans plusieurs pays. Le PIRLS a testé les aptitudes de lecture de quelque 215 000 enfants de 4e année de 40 pays, l'an dernier. La Fédération de Russie, Hong Kong et l'Alberta sont montés sur le podium. À l'échelle du Canada, cinq provinces ont participé à l'épreuve: outre l'Alberta qui s'est classée au 3e rang et le Québec au 23e, il y avait la Colombie-Britannique (5e), l'Ontario (7e), la Nouvelle-Écosse (16e). Il reste que le Québec a terminé au-dessus de la note moyenne de 500. Les questions du test évaluent la capacité de: se centrer sur l'information et les idées directement énoncées; les extraire; réaliser des déductions ou inductions directes; interpréter et intégrer les idées et l'information; examiner et évaluer le contenu, la langue et les éléments textuels. Constatations importantes En 2006, le PIRLS a fait trois constatations importantes: l'aptitude de lecture des filles était supérieure à celle des garçons; l'intérêt et le plaisir des enfants pour la lecture baissent; les pays peuvent améliorer la performance de leurs élèves. Selon les codirecteurs de PIRLS, Ina Mullis et Michael Martin, du Boston College, les pays peuvent utiliser les données du rapport pour améliorer l'enseignement de la lecture. Le rapport, ajoutent-ils, confirme la place de la famille comme premier, et peut-être le plus important, enseignant de la lecture. D'ailleurs, en 2001, lors du premier test du PIRLS, le Québec, avec ses 537, devançait la Fédération de Russie et Hong Kong avec leurs 528 points. Au cours des cinq années qui ont suivi, les deux pays ont, selon les codirecteurs du PIRLS, amélioré l'enseignement de la lecture, ce qui leur a permis de se hisser aux premiers rangs. Les comportements et attitudes Le PIRLS 2006 a recueilli aussi de l'information sur les comportements et les attitudes des élèves à l'égard de la lecture. On a demandé aux élèves, à leurs parents, aux enseignants et aux directions d'école de remplir des questionnaires sur les habitudes en lecture. Les réponses ont permis au PIRLS de décrire la façon dont la lecture est enseignée et apprise à la maison et à l'école. Le choix des écoles au Canada Pour chaque province canadienne participante, Statistique Canada a choisi de façon aléatoire des classes de 4e année, autant dans des écoles de langue française que de langue anglaise, afin qu'elles participent à l'étude.
  9. Urbania Célèbre Montréal. Urbania présente son émission, diffusé dès l'automne 2007 sur les ondes de TV5 et sur le web à http://www.mtl12.com,'>http://www.mtl12.com, pendant 13 semaines, Montréal en 12 lieux est une série documentaire télé, une expérience immersive en ligne mais surtout une réflexion articulé de manière originale autour de lieux symbolisant la vie urbaine. Si vous n'avez jamais entendu parler d'Urbania, jetez y un coup d'oeil, c'est de la merveille de lecture. http://www.mtl12.com http://www.urbania.ca
×
×
  • Créer...