Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'leau'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. a Résidence au Fil de l’Eau s’agrandit ! Au terme des travaux, dès l’été 2017, ce sont 80 unités supplémentaires qui seront disponibles. Tous des spacieux 4 1/2 conçus avec goûts et commodité. Passez-nous voir ou appelez-nous pour plus d’informations Phase III | Au fil de l'eau
  2. http://www.lapresse.ca/environnement...de-petrole.php Publié le 24 juillet 2016 à 21h54 | Mis à jour le 24 juillet 2016 à 21h54 Les eaux de Prince Albert souillées par un déversement de pétrole La Presse Canadienne Ma Presse La ville de Prince Albert, en Saskatchewan, aux prises avec un déversement de pétrole, recevra de l'eau acheminée par un tuyau de plusieurs dizaines de kilomètres dont la construction vient de commencer, ont annoncé dimanche les autorités de la province. Sam Ferris, de l'Agence de sécurité de l'eau de la Saskatchewan, a affirmé qu'une conduite d'irrigation de 20 centimètres de diamètre était en construction. Celle-ci puisera de l'eau en provenance de la rivière Saskatchewan Sud, près de la réserve de Muskoday, à une distance entre 20 et 30 kilomètres de Prince Albert. La municipalité de plus de 35 000 habitants s'apprêtait déjà à fermer ses entrées d'eau habituelles. L'eau de la municipalité provient principalement de la rivière Saskatchewan Nord, où entre 200 000 et 250 000 litres de pétrole brut se sont déversés jeudi. Une brèche s'est formée dans l'oléoduc de Husky Energy, près de Maidstone. La compagnie a depuis interrompu le transport d'hydrocarbures et a installé des barrières à environ 40 kilomètres, soit au nord de la ville de North Battleford. Cette municipalité a déjà dû fermer ses conduites d'eau, vendredi, et ses résidants doivent respecter des restrictions en matière d'utilisation de l'eau. Prince Albert dispose déjà d'eau emmagasinée dans des réservoirs. Le contenu des bassins de rétention d'eau pluviale de la municipalité sera également traité, tel qu'annoncé samedi. Les autorités de la Saskatchewan ne savent pas combien de temps durera l'écoulement de l'eau contaminée par la fuite d'hydrocarbures, a indiqué Wes Kotyk de la division de protection de l'environnement de la province. La substance qui flotte en suspens est constituée d'un mélange de pétrole et d'un hydrocarbure moins concentré, appelé diluant. Le directeur général de la ville de Prince Albert, Jim Toye, a par ailleurs affirmé que la ligne d'irrigation en construction pourra entrer en activité plus tard cette semaine, opérant 30 pompes de 400 chevaux-vapeur de puissance. «Selon ce que nous savons, la problématique (d'approvisionnement en) eau pourrait durer jusqu'à deux mois», a-t-il ajouté.
  3. À quand une belle grande patinoire sur le canal de Lachine? 17 février 2014 16h27 | Marco Fortier | Le blogue urbain http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/400206/a-quand-une-belle-grande-patinoire-sur-le-canal-de-lachine Une belle patinoire sur le canal de Lachine pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal. Chaque hiver, sur les eaux glacées du canal de Lachine, dans le sud-ouest de Montréal, une toute petite patinoire prend vie. Entretenue par des enfants, et peut-être leurs parents. Une toute petite patinoire juste assez grande pour faire une partie de hockey. Nos amis de l'Association du design urbain du Québec ont posé récemment une très bonne question : pourquoi ce fabuleux canal long de 14,5 kilomètres n'héberge-t-il pas une patinoire digne de ce nom? Une vraie belle patinoire pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal, un peu comme la patinoire du canal Rideau fait la réputation d'Ottawa comme ville d'hiver. Le canal de Lachine est bien beau en été, mais en hiver, c'est le désert. Il ne s'y passe pas grand-chose. Le canal longe pourtant Griffintown et Pointe-Saint-Charles, deux des quartiers les plus dynamiques de Montréal, qui connaissent une sorte de renaissance après des années difficiles. «Il y a tout un potentiel aux abords du canal de Lachine. On pourrait y aller étape par étape, en aménageant une patinoire entre le bassin Peel et le marché Atwater, par exemple», dit Jérôme Glad, de l'Association du design urbain du Québec. Pour lui, le canal représente une belle occasion de «mettre Montréal sur la mappe» en hiver. Aux Pays-Bas, les multiples canaux sont pris d'assaut par les patineurs durant la saison froide. Même chose ailleurs au Canada : la rivière Assiniboine, à Winnipeg, se transforme en piste cyclable — et de ski de fond — durant l'hiver. Benoit Dorais, maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, est bien d'accord avec l'idée d'aménager une patinoire sur le canal de Lachine. Il rappelle qu'en 2009, une pétition signée par plusieurs centaines de résidants du quartier avait réclamé une patinoire sur le canal. L'arrondissement ne roule pas sur l'or, mais le maire serait favorable à répartir sur 12 mois, plutôt qu'uniquement en été, le budget des activités prévues au canal. «Ça peut être une patinoire sur le canal, ou encore des pistes de ski de fond, de raquette ou de vélo le long du canal», dit-il. Le problème avec le canal, c'est que l'eau est instable, explique-t-il. De l'eau chaude est rejetée par des industries dans certains secteurs à l'ouest de l'échangeur Turcot. Chaque année, au moins une personne est secourue dans le canal parce que la glace a cédé sous son poids. Une des plus belles sections, entre le Vieux-Port et le marché Atwater, est propice au patinage. Avouez qu'une belle grande patinoire aiderait sans doute à profiter de l'hiver. En attendant les jours pas si lointains où on pourra enfin ressortir les kayaks... Une belle patinoire sur le canal de Lachine pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal. L'hiver, il ne se passe pas grand chose actuellement sur le canal de Lachine. Aux Pays-Bas, les multiples canaux sont pris d'assaut par les patineurs durant la saison froide.
  4. Je ne sais pas si c'était dejas proposer, mais je pense que un très bonne idée, c'est de ajouter des lumière tout sur la périphérie de le point jacque-cartier, et utilize les turbine de l'eau pour l'electrification. Que penser vous? Genial? Je pense que ils sont fait ca avec le Bay Bridge de SF, si je me trompe pas.
  5. Bonjour à tous, Je suis à la recherche d'un condo, et peut-être que vous serez en mesure de m'aider à trouver un condo parfait pour moi. Voici mes critères : - Vue sur l'eau avec balcon - Construction neuve ou de 3-4 ans max - Rayon de 5km d'un métro (Laval ou Montréal) - Immeuble de plusieurs étages (4++) - Je dois emménager en 2014 - Budget de 230k$ avant taxe, environ 250k$ tx incluse maximum Merci d'avance
  6. Le 15 octobre 2013 Changement de cap à Saint-Eustache Le projet Eau Habitat Riverain, du Groupe Cholette, à Saint-Eustache. Danielle Bonneau Des condos contemporains à Saint-Eustache? C'est ce que se prépare à offrir le Groupe Cholette, au bord de la rivière des Mille Îles. En tout, 2 immeubles de 6 étages, de 35 condos chacun, pourraient ainsi être érigés à la place de 2 vastes propriétés le long du chemin de la Grande-Côte, en bordure de la rivière. «Les maisons au bord de l'eau sont recherchées, mais elles coûtent plus de 1 million, fait valoir Philippe Cholette, vice-président développement immobilier et innovation au sein du Groupe Cholette. Dans le complexe Eau Habitat Riverain, les gens pourront avoir une vue sur l'eau à partir de 180 000$. » Le promoteur a demandé à l'agence Forme Studio Morand Émond architectes de concevoir les immeubles de façon à ce que tous aient une vue sur la rivière. «Ce souci a dicté la forme des édifices, explique Guy Morand, architecte responsable du projet. Les deux immeubles s'élargiront à partir du milieu, en escalier, pour se rejoindre près de la rue. Grâce aux décrochés et aux grandes fenêtres, même les appartements sur le côté auront une vue sur l'eau dans les espaces de vie.» Le terrain étant en pente, deux appartements seront aménagés sur deux niveaux dans chacun des immeubles, face à la rivière, au rez-de-jardin et au rez-de-chaussée. Ces maisonnettes, adossées au stationnement souterrain, auront chacune leur garage privé. «Cela n'aurait pas de sens de consacrer ces espaces de choix à du stationnement, estime M. Morand. Ces appartements seront très intéressants avec leurs vues directes sur l'eau. » Pour profiter au maximum de l'emplacement du terrain, une piscine extérieure et un espace de détente avec un foyer sont prévus près de la rive. Le bureau des ventes devrait être inauguré à la mi-novembre et la construction devrait débuter le printemps prochain, si tout va comme prévu. Les prix des condos et des appartements-terrasses oscilleront entre 171 120 et 564 701$ (taxes en sus), pour des superficies variant entre 620 et 1638 pi2. Les quatre maisons en rangée, quant à elles, coûteront entre 530 567 et 545 284$ (taxes en sus), selon le bâtiment. D'une superficie de 1771 pi2, elles auront chacune trois espaces de stationnement intérieur. Un secteur en mutation Eau Habitat Riverain s'intègre dans un quartier en transformation. Dans le cadre de la revitalisation de la route 344, ancien chemin rural devenu une des artères principales de Saint-Eustache, plusieurs maisons ont été rénovées au cours des dernières années. Le chemin de la Grande-Côte est aussi graduellement refait afin de favoriser la marche, le vélo et les transports en commun. La proximité de la rivière des Mille Îles, de plus, soulève l'intérêt de plusieurs promoteurs immobiliers. Eau Habitat Riverain sera le troisième complexe en copropriété proposé dans le même quadrilatère. Juste à côté, un autre promoteur a en effet lancé ses travaux d'excavation et un troisième complexe prend forme tout près de la rivière. «Le Plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) a amené la Ville à se demander comment atteindre ses objectifs de densification, indique le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron. La Ville veut aussi offrir d'autres types d'habitations à ceux qui demeurent depuis longtemps à Saint-Eustache et ne veulent plus entretenir leur terrain.» Résultat: les règlements concernant la hauteur et la densité des bâtiments ont été assouplis dans le secteur du chemin de la Grande-Côte, où se trouvent des terrains vagues et plusieurs vastes propriétés au bord de l'eau, explique Normand Rousseau, directeur du service de l'urbanisme de la municipalité. Des règles très claires ont été établies pour qu'il y ait une certaine continuité entre les projets et éviter qu'ils ne soient disparates, prend soin de préciser le maire Charron. Eau Habitat Riverain innovera en étant le premier complexe résidentiel à Saint-Eustache, à avoir deux étages de stationnement intérieur. «Ce sera plus agréable visuellement, car il y aura moins d'asphalte et plus d'espaces verts, souligne M. Charron. On voit cela d'un très bon oeil!» Info: groupecholette.com
  7. Bientôt en prévente! Où l'eau et le ciel se rencontrent: à la hauteur de vos attentes. Situé sur plus d'un acre de terrain parfaitement manucuré, en bordure de l'eau avec accès direct à la rivière, l'élégance et le charme des 75 nouveaux condominiums saura vous faire choisir votre résidence de rêve, au bord de l'eau
  8. Montréal Des chercheurs travaillent sur un asphalte anti-nids-de-poule Agence QMI Véronique Prince 12/03/2012 18h48 MONTRÉAL - La Ville de Montréal doit investir cette année 2,5 millions $ pour colmater entre 35 000 et 50 000 nids de poule. Les opérations débutent cette semaine. Pendant ce temps, des chercheurs de Montréal travaillent pour améliorer la qualité de l'asphalte au Québec. Au Laboratoire sur les chaussées et les enrobés bitumineux de l'École de technologie supérieure (ÉTS), on cherche le mélange parfait pour éviter la formation de trous dans la chaussée, c'est-à-dire un asphalte dans lequel le gravier va s'emboîter comme des pièces de casse-tête. Si on réussit à boucher le vide entre les granulats, l'eau va moins s'infiltrer et causera moins de dommages. Il faut donc agencer exactement les bonnes quantités de sable, de gravier, de cailloux et de bitume. Après avoir mis les différents «ingrédients» dans un malaxeur géant, les techniciens font chauffer le mélange et le déposent dans un moule. Une roue fait ensuite plusieurs mouvements de va-et-vient en appliquant des charges sur l'asphalte dans le moule, ce qui permettra de le compacter. Cet enrobé bitumeux «maison» servira d'échantillon pour réaliser plusieurs tests. Les morceaux d'asphalte sont par exemple trempés dans l'eau, avec ou sans sel. Placés dans un réfrigérateur, certains morceaux subissent l'alternance gel-dégel depuis au moins trois ans. Lorsqu'une centaine de cycles seront complétés, nous saurons finalement si le bon mélange a été trouvé. Pendant ce temps, d'autres échantillons sont soumis à des tests de pression ou aux passages répétés d'un camion puisqu'un poids lourd est 50 000 fois plus dommageable qu'une voiture. «Quand on voit des nids-de-poule, on se retrouve devant une structure qui a atteint sa durée de vie. On est à la fin», a expliqué Daniel Perraton, le responsable du laboratoire. Est-ce que les projets de l'École de technologie supérieure peuvent contribuer à trouver une solution pour augmenter la durée de vie? «C'est certain que les projets permettent d'avoir des matériaux plus performants, assure M. Perraton. Cependant, il faut qu'on fasse une construction rigoureuse à toutes les étapes». Selon lui, un bon asphalte ne fera aucune différence dans l'apparition des nids-de-poule si les autres couches en dessous manquent de qualité. Difficile de porter plainte À Montréal, on compte 1000 km de chaussée, cinq fois moins qu'à Toronto. Pendant qu'ici, on colmate jusqu'à 50 000 nids-de-poule par année, là-bas, on parle de 240 000. Certains automobilistes qui se disent victimes des nids-de-poule essaient de se faire indemniser par leur assurance, mais ils sont peu nombreux à obtenir gain de cause. «C'est très difficile d'avoir des recours lorsqu'un bris survient à sa voiture à cause d'un passage sur un nid-de-poule», a reconnu Cédric Essiminy, du CAA-Québec. En 2010, le ministère des Transports a donné raison à seulement 29 automobilistes qui ont subi des dommages sur leur voiture, moyennant un total de 62 000 $ d'indemnisation, d'après les données obtenues par la Loi sur l'accès à l'information. La ville de Montréal a quant à elle accepté d'entendre 51 plaintes. Impossible cela dit de connaître le montant des dédommagements. Vous devez être tenaces pour faire une réclamation, selon M. Essiminy. «On vous conseille de prendre des photos de la voiture, des dommages, du nid-de-poule. Vous pouvez aussi mesurer le nid-de-poule, faire une inspection valide et officielle pour savoir quels sont les bris sur la voiture, parlez à des témoins.» Pour éviter tout ça, en attendant que la recherche permette de trouver l'asphalte parfait, voici un petit conseil : n'appuyez pas sur le frein quand vous roulez sur un nid-de-poule. Relâchez plutôt l'accélérateur pour minimiser l'impact. Des pneus gonflés à la bonne pression feront aussi la différence.
  9. Intéressant!............. http://www.quaisduvieuxport.com/bota-bota-spa-sur-leau.html
  10. Géothermie: Hydro-Québec vise une centrale-pilote Jean-François Cliche Le Soleil (Sherbrooke) Il n'y a pas que l'industrie des gaz de schiste qui a un oeil sur le sous-sol du sud de la province. Hydro-Québec aussi lorgne de ce côté, mais pour des raisons autrement plus «vertes» : c'est là, en effet, que la géothermie offre les potentiels les plus intéressants pour d'éventuelles centrales électriques. La société d'État vise même la construction d'une centrale-pilote pour 2015. C'est ce qu'il a été possible d'apprendre lors d'une conférence prononcée mardi au 79e congrès de l'Acfas, à Sherbrooke, par Vasile Minea, chercheur et ingénieur pour la société d'État. M. Minea y a principalement présenté l'évaluation qu'il a faite du potentiel géothermique québécois pour la production d'électricité. Intuitivement, on est porté à croire que la température est plus faible sous terre qu'à la surface, mais ce n'est vrai que jusqu'à une certaine profondeur - relativement faible, d'ailleurs - , sous laquelle la chaleur augmente. Après tout, on estime que la température du noyau de la Terre atteint 4000 °C, et celle de son «manteau» (couche d'environ 3000 km d'épaisseur située entre le noyau et la «croûte», la couche externe de 30 km), environ 1000 °C. À partir de données provenant de 980 forages pétroliers et gaziers creusés principalement entre Québec et Montréal, mais qui incluent un certain nombre de «trous» en Ontario et dans les Maritimes, Vasile Minea a colligé pas moins de 25 000 lectures de température à des profondeurs allant jusqu'à 4,4 km. Il a ainsi pu calculer qu'à 6 km, la température moyenne est de 120 °C dans le sud du Québec et d'environ 113 °C en Gaspésie et dans le golfe du Saint-Laurent. Mais il s'agit là d'une moyenne, la chaleur remontant mieux en certains endroits. Sans gaz à effet de serre Si l'on pouvait «récolter» seulement 2 % de cette énergie thermique, puis amener seulement 10 % de cette «récolte» jusqu'à la surface, puis transformer 13 % de la chaleur remontée en électricité, il y aurait moyen de produire ainsi 40 000 mégawatts (MW) de courant - soit l'équivalent de la capacité actuelle totale de production d'Hydro-Québec. Le tout, évidemment, sans gaz à effet de serre ni grandes étendues inondées. Il y a déjà quelques centrales électriques dans le monde qui génèrent de l'électricité de cette manière. Le principe, explique M. Minea, consiste à injecter de l'eau sous haute pression à grande profondeur. La pression du liquide crée ou agrandit alors des crevasses qui permettent à l'eau de circuler, et donc de recueillir la chaleur de la roche. Un second forage est percé à quelques centaines de mètres pour permettre à l'eau chaude de remonter - ce qu'elle fait à cause de la pression - , puis on en tire de la vapeur qui fait tourner une turbine. Si tout se passe bien, dit M. Minea, c'est-à-dire si d'autres études confirment l'intérêt de l'entreprise, Hydro-Québec pourrait construire une centrale géothermique dès 2015 pour tester la technologie. Mais dans tous les cas, on ne verra pas de sitôt d'exploitation à grande échelle, nuance-t-il. Projet stratégique «À Hydro-Québec, c'est vu comme un projet stratégique, projet à long terme. On vise une application pour l'horizon 2030 à 2050», dit M. Minea. Et pour cause : les coûts de pareilles centrales sont encore très loin d'être compétitifs. Construire une centrale moyenne, a calculé l'ingénieur, coûterait environ 26 millions $ sans compter les imprévus, ce qui donnerait environ 10 400 $ par kilowatt installé; par comparaison, le projet de La Romaine, sur la Basse-Côte-Nord, coûtera environ 5000 $/kW. Mais comme la technologie des forages de grandes profondeurs coûte de moins en moins cher, on peut imaginer que cette source d'énergie pourrait devenir rentable dans, disons, un «avenir envisageable». lien: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201105/12/01-4398731-geothermie-hydro-quebec-vise-une-centrale-pilote.php
  11. Sans vouloir paraphraser le discours de Guy Laliberté et sa fondation One Drop mise en évidence lors de son voyage dans l'espace, nous avons ici un problème et une solution à une partie du budget provincial en sérieux déséquilibre par manque de milliards. L'eau est en train de devenir une ressource de plus en plus rare pour plusieurs pays dans le monde. Tandis qu'ici au Québec, terre d'abondance, certaines compagnies n'hésitent pas à s'approvisionner gratuitement, à même nos réserves municipales, et la vendre à grand profit ici et dans le monde sans aucune véritable retombée positive pour la population locale. C'est une pratique scandaleuse qui doit être fortement encadrée afin premièrement de protéger notre ressource, et ensuite de s'assurer que chaque utilisateur paie le prix réel pour sa consommation ou sa vente. Le gouvernement hésite à demander une taxe directe qui officialiserait l'exploitation de l'eau au même titre qu'une marchandise ou une ressource ordinaire. Pendant ce temps ces compagnies profiteuses engrangent des millions aux dépends des municipalités et des citoyens, qui eux, subventionnent largement le traitement de l'eau potable. En attendant de légiférer sur le phénomène, on pourrait au moins aisément taxer l'eau embouteillée qui est en réalité un produit de luxe que l'on paie des milliers de fois plus cher que la même quantité de cette même eau puisée de notre propre robinet. Cette taxe élevée aurait en même temps le mérite de remplir les coffres de l'état en retournant aux payeurs de taxes une partie des profits que ces compagnies retirent impunément de notre richesse collective. Puisque tout le monde au Québec a accès à une eau municipale de qualité, la consommation d'eau embouteillée devient alors un choix personnel pour lequel il faut payer le prix juste. Il se consomme, au Québec seulement, plus d'un milliard de ces bouteilles par année. On peut alors imaginer les revenus important qu'une taxe sur ce produit apporterait au trésor public. Cette eau ne répond finalement à aucun besoin véritable et peut très facilement être remplacée par la même eau non embouteillée accessible à tous. Bien sûr certaines eaux ont des propriétés particulières et viennent de sources naturelles. Mais elles n'en sont pas moins des produits de luxe, non essentiels, qui doivent donc être taxées pour représenter leur véritable coût de revient pour la société. Cette taxe aurait plusieurs vertus dont la première aiderait à équilibrer le budget provincial, en dangereux manque de ressources, sans toutefois pénaliser la majorité de la population qui continue à avoir accès à une eau de qualité et sans frais supplémentaires. Cette taxe aurait aussi un effet réducteur sur la consommation de ces bouteilles qui pénaliserait les profits de ces compagnies qui abusent d'un système non prévu à cette fin. Un autre avantage viendrait de la réduction considérable de bouteilles de plastique qui entrent dans notre consommation générale de produits fossiles, un sérieux déséquilibre dans notre marché extérieur puisqu'on importe ce pétrole pour fabriquer ces dernières. Et finalement ce serait un grand pas dans la bonne direction pour l'écologie puisqu'encore là on retrouve une grande quantité de ces bouteilles dans la nature parce qu'elles sont consommées partout et jetables après usage. Elles aboutissent donc dans les décharges publiques, dans nos rivières et un peu partout où elles coûtent encore des sommes d'argent pour en disposer. Dans ces années de crise où les budgets gouvernementaux ne suffisent plus à payer les nombreux services à la population, nous avons une option qui ne comporte pratiquement que des avantages. En puisant dans la consommation d'eau embouteillée on évite alors d'augmenter les coûts pour d'autres services essentiels ou même le pétrole pour lequel le gouvernement hésite avec raison à augmenter encore les taxes sans incidence sur l'inflation. Bien sûr en bout de ligne on aura tué la poule aux oeufs d'or, les grosses multinationales risquent de ne plus trouver leur profit et cesseront leur activités abusives. Les revenus du gouvernement provenant de cette filière baisseront et avec un peu de chance la crise se sera aussi résorbée. Quant à Mère Nature, elle, ne s'en portera que mieux.
  12. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  13. Après toutes ces discussions divisives de nature politique, du aux deux élections récentes, je crois qu'on devrait changer le ton sur le forum et parler de quelque chose qui rassemble! Notre ville! Quel est votre "spot" préféré en ville et pourquoi? Moi j'ai 3 places que j'adore... 1. Le belvedère du Mont Royal (pour la vue incroyable) 2. Le bord de l'eau de l'ile Sainte-Hélène sur le côté nord, là ou il y a l'Homme de Calder (encore pour la vue incroyable de la ville) 3. La Place du Canada (parce que c'est paisible et en plein centre du 1000 de la G, de la PVM, de la tour CIBC et du 1250. Des tours en hauteur dans toutes les directions à partir de ce parc!
  14. Publié le 23 avril 2009 à 12h13 | Mis à jour à 14h15 Nombre record de travaux d'infrastructures à Montréal Lia Lévesque La Presse Canadienne Montréal Les Montréalais devront être plus patients que jamais: un nombre record de chantiers de réfection des infrastructures seront lancés au cours des prochaines semaines, totalisant 608 millions $, tant pour les routes que pour l'eau. Le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Sammy Forcillo, en a fait l'annonce, jeudi, entouré d'excavatrices, de niveleuses et autre machinerie lourde. Plus précisément, la Ville dépensera 350 millions $ pour divers projets de gestion de l'eau, touchant les aqueducs et les conduites d'eau, et 250 millions $ pour la voirie. L'an passé, à titre de comparaison, la Ville avait dépensé 220 millions $ pour l'eau et 200 millions $ pour la voirie. Ce seront 359 segments de route qui seront ainsi réparés, réaménagés, refaits. Et ces chantiers n'incluent même pas les chantiers locaux qui seront lancés par les arrondissements de Montréal, ni même ceux, à venir, qui seront payés par le programme fédéral-provincial des infrastructures. «Actuellement, c'est un mal nécessaire. Il faut comprendre que plus de 60 pour cent du réseau routier artériel est un réseau qui a plus de 50 ans d'âge, donc, vraiment, on a dépassé la vie utile», a commenté Robert J. Marcil, directeur de la Division de la réalisation des travaux. «Quand on regarde également au niveau des fuites dans le réseau d'aqueduc, l'âge des conduites, on parle de vieilles conduites. On remplace des conduites actuellement qui datent de 1838 sur la rue Notre-Dame. C'est extrêmement vieux; je crois qu'on n'a pas le choix.» De ce montant de 608 millions $, entre 100 et 150 millions $ proviendront des gouvernements fédéral et provincial, par le biais de la Société de financement des infrastructures locales. Cette somme servira surtout à la remise à niveau des infrastructures de gestion de l'eau. M. Forcillo n'a pu dire combien de ces projets ont été attribués à des entreprises appartenant à l'homme d'affaires Tony Accurso - l'ancien président du comité exécutif, Frank Zampino, a admis avoir voyagé sur son yacht. «Je ne suis pas en mesure de vous dire combien les filiales de M. Tony Accurso peuvent avoir. Mais je peux vous dire que tous les contrats qui ont été accordés au niveau de la Ville de Montréal ont été en conformité des lois que le Québec nous a édictés. Et c'est tout conforme au niveau de l'adjudication des contrats», a soutenu M. Forcillo. Il a fait valoir que les documents relatifs à l'octroi de ces contrats sont publics «C'est très transparent et c'est très crédible comme mécanisme», a-t-il affirmé. Il a aussi juré que ces investissements records dans les infrastructures n'avaient rien à voir avec l'année électorale à Montréal. Les infrastructures sont la priorité numéro un des citoyens montréalais, a-t-il relevé, ajoutant que la propreté est la seconde.
  15. 350 millions pour améliorer la gestion de l'eau à Montréal Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mercredi 18 mars 2009 Mots clés : gestion de l'eau, Investissement, Municipalité, Montréal La Ville de Montréal investira 350,7 millions de dollars dans son programme de gestion de l'eau cette année, soit 140 millions de plus qu'en 2008. Outre la réfection du réseau d'aqueducs et d'égouts, la Ville amorcera l'installation de compteurs d'eau dans les commerces et les industries et poursuivra la modernisation de son réseau afin de mieux traquer les fuites. Dressant le bilan de l'année 2008, au cours de laquelle la Ville a dépensé 210 millions, le responsable des infrastructures au comité exécutif, Sammy Forcillo, a donné hier un avant-goût de la saison des travaux qui s'amorce. Des 350 millions qui seront investis en 2009, un montant de 181 millions sera destiné à la production de l'eau potable, dont la mise aux normes des usines de filtration. Une somme de 34,2 millions sera consacrée à l'épuration des eaux usées et 127,5 millions seront dépensés pour la gestion des réseaux, notamment la réfection des infrastructures souterraines, rudement mises à l'épreuve au cours de l'hiver. Rappelons que le mois de janvier s'était soldé par 135 bris de conduites d'eau alors qu'à la même période l'an dernier, la Ville en avait dénombré 102. Même s'il est encore difficile de mesurer les progrès avec précision, l'état du réseau souterrain s'est amélioré grâce aux investissements massifs des dernières années, soutient le directeur de la gestion de l'eau à la Ville, Réjean Lévesque. Au cours de 2009, certains travaux seront entrepris et ils devraient, à plus long terme, permettre à la Ville de déceler rapidement les fuites dans son réseau. Ainsi, Montréal entreprendra l'installation des compteurs d'eau dans les industries, les commerces et les institutions (ICI). D'ici la fin de l'année, 7000 d'entre eux devraient entrer en fonction. La Ville commencera également la mise en place de régulateurs de pression de l'eau sur son territoire. Ces dispositifs, contrôlés à distance, permettront aux autorités de mesurer avec précision la consommation d'eau de chacun des 75 secteurs de la ville. Mais surtout, ils permettront de détecter rapidement toute fuite dans le réseau d'aqueducs. Au dire de Réjean Lévesque, il s'agira d'une véritable «révolution». Ce projet d'envergure s'échelonnera sur plusieurs années et les premiers régulateurs de pression seront installés dans Pierrefonds et Saint-Laurent. http://www.ledevoir.com/2009/03/18/240217.html (18/3/2009 10H59)
  16. Le président du Conseil mondial de l'eau fait une mise en garde contre le gaspillage dans le contexte du réchauffement climatique et de la crise économique. Une vingtaine de personnes sont arrêtées. Pour en lire plus...
  17. Des projets sur le bord de l'eau. http://www.kranhaus1.de/eng/start.html Une place à aller voir selon le NY Times. http://www.nytimes.com/interactive/2009/01/11/travel/20090111_DESTINATIONS.html
  18. Voici ma proposition pour le bord de l'eau de Longueuil (sud du pont Jacques-Cartier) 2015. C'est ambitieux et modeste en même temps... Les chiffres = nombre d'étages P = stationnement Rendus 3D a venir Voici encore en plus gros:
  19. L'échec de l'acquisition de BCE porte à près de 100 milliards $US la valeur des rachats par endettement annulés depuis que les marchés du crédit ont commencé à se gripper. Pour en lire plus...
  20. S'il fallait un autre signe que l'économie mondiale entre en hibernation, le voici: les mers du globe sont devenues bien tranquilles. Moins de navires chargés de matières premières voguent vers les économies émergentes, moins de conteneurs remplis de jouets et de gadgets électroniques sont chargés en direction de l'Occident. Pour l'instant, le Port de Montréal réussit à garder la tête hors de l'eau malgré la crise. Et maintient le cap sur ses projets d'expansion. Pour en lire plus...
  21. Les fonds spéculatifs qui résistaient assez bien à la tempête financière depuis un an commencent à prendre l'eau. Et certains pourraient couler rapidement. Pour en lire plus...
  22. Les réserves d'eau douce du Canada pourraient s'épuiser Le Canada compte un cinquième de l'approvisionnement mondial en eau douce. (Photo Ivanoh Demers, La Presse) Presse Canadienne Ottawa Un rapport interne d'Environnement Canada paru récemment met le gouvernement en garde contre des pénuries d'eau douce qui pourraient menacer l'économie canadienne et créer des conflits entre les provinces. Le rapport, rédigé au mois de décembre dernier, prévient que les changements climatiques et l'augmentation de la population vont mener à l'épuisement des ressources. La Presse Canadienne a obtenu copie du document de 21 pages en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. Le rapport suggère au gouvernement fédéral d'adopter un rôle plus direct quant à sa gestion de l'eau douce au pays, qui est présentement en grande partie sous le contrôle des provinces. Ottawa exploite néanmoins la majorité de l'eau douce provenant des régions du nord, par le biais de régies des eaux. Le Canada compte un cinquième de l'approvisionnement mondial en eau douce. Seulement sept pour cent de cette quantité est renouvelable, tandis que le reste provient de glaciers de la période glaciaire et de sources d'eau souterraine. Les précipitations permettent quant à elles de renouveler un pour cent de l'approvisionnement en eau du pays, selon le rapport. Les conservateurs avaient promis un plan de stratégie nationale de l'eau lors du discours du trône, l'automne dernier, mais l'opposition leur reproche depuis d'annoncer des projets fragmentaires. Les conservateurs, tout comme le gouvernement libéral qui les a précédé, tardent à publier les rapports annuels requis par la loi qui font état de la façon dont sont utilisés et entretenus les réserves d'eau. Le dernier rapport publié sur le site internet d'Environnement Canada date de 2005-2006. Le nouveau rapport du ministère établit qu'Ottawa ne connaît pas suffisamment le dossier pour bien gérer la ressource. «Un plan de prévision nationale sur la disponibilité en eau au pays n'a jamais été élaboré parce que, traditionnellement, nous considérions que notre utilisation de la ressources était illimitée», indique le rapport, intitulé A Federal Perspective on Water Quantity Issues. Les données que possède le gouvernement fédéral sur les réserves d'eau souterraine du pays sont considérées comme «rares et souvent inadéquates» par Environnement Canada. Le Canada partage des réserves d'eau souterraine avec son voisin du sud et le rapport indique que «notre manque de données place le Canada dans une situation de désavantage stratégique quant aux négociations bilatérales avec les États-Unis». Le document prévoit également des périodes de sécheresse dans les Prairies et des pénuries d'eau souterraine en Colombie-Britannique et dans le bassin Grands Lacs-Saint-Laurent. Le lac Supérieur a atteint son niveau le plus bas, au mois de septembre. Les niveaux d'eau des lacs Michigan et Huron étaient quant à eux inférieurs de 50 centimètres par rapport aux moyennes de l'automne dernier. Le rapport indique qu'une diminution du niveau d'eau de 0,08 à 1,18 mètres, dans les Grands Lacs, engendrerait des coûts de 240 millions $ à 350 millions $ par année à l'industrie hydro-électrique. Le rapport avise également d'un «risque accru» d'épreuves de force entre les provinces, ainsi qu'entre le Canada et les États-Unis, si l'approvisionnement en eau diminue trop. Le Canada insiste que ses réserves d'eau ne sont pas à vendre, mais son voisin du sud pourrait bien faire pression pour se faire envoyer de l'eau si ses réserves se tarissent. Personne n'était disponible au ministère de l'Environnement, mercredi, pour commenter le rapport. Le porte-parole du Parti libéral sur la question de l'eau, Francis Scarpaleggia, a affirmé quant à lui qu'Ottawa devait se doter d'un ministre de l'eau de second rang qui puisse se concentrer sur cet enjeu.
  23. Le mouvement qui vise à bannir l'eau en bouteille des édifices publics fait bouillir les embouteilleurs d'eau du Québec. Pour en lire plus...
  24. Pour garder la tête hors de l'eau, il faut faire preuve d'imagination, coûte que coûte. Et les transporteurs n'en manquent pas. Nécessité fait loi. Pour en lire plus...
  25. Je décide de mettre mes photos d'Israël ici, c'est un voyage qui date de plus de un an, mais je me suis dit que ça pouvait enrichir la collection de photos du forum Les photos sont pêle-mêle, il y a les villes de Eilat, Jérusalem et Tel-Aviv. J'ajouterai peut-être des photos de l'Égypte aussi. Jérusalem --------------------------> Jérusalem vu du mont des Oliviers, il y avait un smog intense ce jour là. --------------------------> --------------------------> --------------------------> La Mer Rouge, à Eilat. (c'est pas parce ce que c'est dans le désert que l'eau est chaude! Elle était très froide) --------------------------> --------------------------> http://farm3.static.flickr.com/2148/2237293436_86ef47aa3a_o.jpg[/
×
×
  • Créer...