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  1. http://www.lapresse.ca/arts/television/201402/20/01-4740668-un-documentaire-sur-jean-drapeau-en-preparation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS2 Publié le 20 février 2014 à 08h40 | Mis à jour à 08h40 Un documentaire sur Jean Drapeau en préparation Jean Drapeau en novembre 1982. PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE =author%3AAndr%C3%A9+Duchesne&sort=recent"]ANDRÉ DUCHESNE La Presse Le réalisateur Bruno Boulianne prépare actuellement un documentaire sur l'ancien maire de Montréal Jean Drapeau. Le projet est une initiative de Marc Laurendeau, a appris La Presse. «Marc Laurendeau a toujours été fasciné par Jean Drapeau. Journaliste, il l'a interviewé quelques fois; dans Les Cyniques, il s'est moqué de lui et il voulait faire un film sur lui. De fil en aiguille, j'ai été approché comme réalisateur», explique M. Boulianne. Le film est construit à partir d'entrevues avec des gens qui ont connu Jean Drapeau et d'archives visuelles. Lise Bissonnette, Lise Payette, Jean-Claude Germain, Richard Bergeron ainsi que deux journalistes de La Presse, Guy Pinard (à la retraite) et l'éditorialiste François Cardinal, font partie de ceux qui livrent un témoignage devant la caméra. «C'est la première fois que Guy Pinard acceptait de parler de ce sujet parce qu'il avait été commissaire à la commission Malouf (sur le scandale des coûts associés aux Jeux olympiques d'été de 1976)», indique Bruno Boulianne. À La Presse, M. Pinard a talonné l'administration Drapeau durant de longues années. «Marc Laurendeau a voulu faire ce film pour mieux faire connaître Jean Drapeau aux jeunes générations, enchaîne M. Boulianne. Et c'est avec François Cardinal qu'on amorce l'histoire lorsqu'il raconte avoir couvert les funérailles du maire (en 1999) alors qu'il commençait sa carrière au Devoir. Il est le seul regard plus extérieur au personnage. Les autres qui témoignent ont travaillé avec Drapeau, l'ont critiqué ou l'ont couvert parce qu'ils étaient journalistes.» Un personnage fort Avocat de formation, Jean Drapeau s'est fait connaître des Montréalais dans les années 1940 par son opposition à la conscription, et au début des années 1950 par les enquêtes qu'il a menées avec Pacifique Plante sur la corruption et la moralité à Montréal. Il est élu maire de la ville en 1954, mais est défait par Sarto Fournier en 1957. Il reprend la mairie en 1960 et se fait réélire sans interruption jusqu'en 1986, année où il tire sa révérence. Le film se concentre sur les années de vie politique du maire et son influence sur Montréal. «Ce qui est fascinant avec Jean Drapeau, c'est que son discours est particulier dans chaque décennie, dit Boulianne. Il s'est construit politiquement dans les années 1940 avec la crise de la conscription, puis il a fait son premier mandat de maire dans les années 1950. Il est bâtisseur dans les années 1960 (la Place Ville Marie, la Place des Arts, Expo 67). Dans les années 1970, il est plus contesté parce qu'il devient plus autocrate. Arrivent enfin les Jeux olympiques et un long déclin jusqu'à son départ. Dramatiquement parlant, on a un personnage fort.» Marc Laurendeau n'apparaît pas à la caméra, mais sa présence est constante. Il mène les entrevues et fait la narration hors champ. Le tournage du film a eu lieu l'été dernier. Bruno Boulianne et son équipe en sont maintenant à la postproduction. Le documentaire devrait être diffusé en 2016 sur les ondes de Radio-Canada.
  2. Voilà un quartier tranquille dont on entend rarement parler et dont je ne visite vraiment pas souvent. Il ne semble pas s'y passer grand chose. Par contre il y a un petit projet signé Mondev. http://www.mondev.ca/le-laurendeau-nouveau-projet-condo-neuf-au-sud-ouest-1-et-2-chambres_fr.html?ProjetID=106
  3. La Presse Le lundi 16 avril 2007 Les Habitations Laurendeau construiront sous peu un nouveau complexe résidentiel à l'angle de la Promenade Ontario et de la rue Valois, dans Hochelaga-Maisonneuve. Avec des formes hors du commun, le projet sera traversé par un corridor de verdure qui reliera entre eux deux parcs du quartier. L'arrondissement vient de donner le feu vert à la construction des Cours Valois. Le constructeur lancera les travaux en mai, et espère livrer ses premiers appartements avant Noël prochain. Au total, 46 nouveaux condos viendront s'ajouter au quartier en pleine revitalisation. «La Ville, les résidants du quartier et les commerçants ont depuis longtemps entrepris de rendre sa beauté au secteur, constate Marc Laurendeau, coprésident des Habitations Laurendeau. Nous souhaitons participer à ces efforts.» «On ne veut pas qu'Hochelaga-Maisonneuve deviennent un deuxième Plateau-Mont-Royal, ajoute Roger Gallagher, directeur général de la Promenade Ontario, mais l'arrivée de jeunes professionnels dans ces appartements donnera encore plus de vigueur au quartier.» Pendant leurs emplettes, les passants pourront circuler sous les arbres, entre les trois nouveaux bâtiments. «On crée une rue verte pour les piétons, explique M. Laurendeau. Cette voie sera aménagée par la Ville et elle sera suffisamment éclairée pour être sécuritaire.» Le promoteur a fait appel au bureau d'architectes Boutros et Pratte pour dessiner les plans des futurs immeubles et leur environnement. L'équipe a notamment signé le projet Europa à Outremont, dont la phase 4 a été primée aux 22e Prix d'excellence de l'Ordre des architectes du Québec. L'architecte Raouf Boutros estime que son bureau a su créer un équilibre entre la vie urbaine et la verdure. «J'aime les édifices denses, affirme-t-il. C'est une des meilleures façons de vivre en ville et de se sentir en sécurité. Dans le cas des Cours Valois, la densité est agréable parce que les résidants partagent un espace vert central où ils peuvent se connaître.» Du petit et du grand Afin d'éviter que cette voie verte soit étouffée par les édifices de trois étages qui la bordent, les architectes ont suggéré l'utilisation de bois pour les murs extérieurs face au parc. Ce matériau réfléchira davantage la lumière que la brique utilisée pour les façades sur les rues Ontario, Valois et Nicolet. Les 46 appartements des Cours Valois sont susceptibles d'attirer un public très large. Habitations Laurendeau offrira des espaces de 515 à 1218 pieds carrés. Plusieurs appartements compteront aussi deux étages. «La clientèle d'Hochelaga-Maisonneuve est relativement jeune, et très ouverte. On peut oser davantage, et ça donne des espaces intéressants», fait remarquer Marc Laurendeau. Pour la première phase du complexe, donnant dans la rue Ontario, le promoteur fixe le prix des appartements à environ 200 $ le pied carré (entre 135 900 $ et 214 000 $, taxes incluses).
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