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  1. Montréal dévoile la plus coûteuse oeuvre d’art public au Québec Le collectif d’artistes BGL réalisera l’oeuvre de 1,1 million de dollars 30 août 2013 | Isabelle Paré , Frédérique Doyon | Arts visuels <section class="retenir retenir_paysage">Tous nos textes sur l'art public Pour lire notre série Décryptage sur l'art public </section>La Ville de Montréal annoncera ce vendredi matin l’octroi de 1,1 million de dollars au collectif d’artistes BGL art contemporain de Québec pour la réalisation de la plus coûteuse oeuvre d’art public jamais réalisée au Québec. Intitulée « La vélocité des lieux », l’oeuvre monumentale dominera du haut de ses 63 pieds le carrefour réaménagé à l’angle des boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa, dans l’arrondissement Montréal-Nord. Le concept du collectif d’artistes, entériné ce mercredi par le comité exécutif, sera dévoilé par le maire de Montréal, Laurent Blanchard, et la conseillère indépendante Hélène Ayotte, responsable de la culture, du patrimoine et du design. Au cours des derniers mois, la question de l’art public, dopée par le débat sur le déplacement de L’homme de Calder, a divisé les divers partis municipaux, devenant un des nombreux enjeux électoraux. Choisie à l’unanimité par le jury le 19 juillet dernier, l’oeuvre de BGL sera la plus imposante jamais réalisée au Québec dans le cadre de concours tenus par le Bureau d’art public de Montréal et par le Bureau d’intégration des arts à l’architecture du ministère de la Culture. Le budget dépasse largement le « 1 % » du budget global de construction normalement dévolu aux oeuvres d’art public. L’installation trônera sur la nouvelle « entrée de ville » du carrefour Pie-IX/Henri-Bourassa, dont la réfection atteindra à terme près de 50 millions (chiffres de 2012) et s’échelonnera jusqu’en 2016. Le comité exécutif soutient que l’oeuvre contribuera à faire de ce carrefour un lieu « identitaire et emblématique » pour Montréal. Le carrefour routier ainsi enjolivé deviendra la plus distinctive des six portes d’entrée du nord de l’Île. Le coût de l’oeuvre est compris dans les 14,5 millions prévus au Programme triennal d’immobilisations 2013-2015 pour la transformation de cet échangeur dangereux, depuis longtemps considéré comme une plaie urbaine. La vélocité des lieux bouleversera la notion d’oeuvre d’art et « développera un nouveau public pour l’art contemporain », indiquent les artistes dans leur descriptif. L’installation doit prendre la forme d’un arc constitué d’autobus, faisant le pont au-dessus d’un groupe d’arbres et de maisons, ajoutent-ils. Le collectif BGL (Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière) s’est fait remarquer depuis 16ans par ses installations audacieuses qui remettent en question le rapport de l’homme à son environnement et le caractère factice de l’objet. Plusieurs de leurs oeuvres font partie des collections du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée des beaux-arts de Montréal et du Musée d’art contemporain de Toronto. « Championne » toute catégorie des budgets d’art public, La vélocité des lieux, qui sera installée à l’automne 2015, devance de loin le montant record de 723 000 $ attribué le printemps dernier à Sans titre, de Stephen Schofield, qui ornera en 2014 la rue Jeanne-Mance, au sud de la place des Festivals. Troisièmes au palmarès municipal, les sculptures de Melvin Charney, installées en 1992 sur la place Émilie-Gamelin, avaient coûté à l’époque 350 000 $
  2. Le Louis-Bohème : parfaitement hideux Le Crystal : look de parvenu Place Dupuis : insipide et fade Hydro Québec : perdu entre l'Art Déco et Mies Van Der Rohe Maison Astral : trop tronquée, dommage Y'en a plein d'autres bien entendu.
  3. Un petit reportage sur la multiplication des galeries d'art contemporain dans Griffintown... http://video.telequebec.tv/video/12713/la-ruee-vers-l-art-dans-griffintown
  4. Publié le 22 août 2009 à 12h21 | Mis à jour le 22 août 2009 à 12h24 Art mural à Montréal : MU-tation urbaine L'art mural, très populaire à Montréal dans les années 70, est en train de retrouver ses lettres de noblesse. Daphné Cameron La Presse Les HLM de Montréal sont sans doute les derniers endroits que les amateurs d'art public songeraient à visiter. La donne est en train de changer grâce à MU, un organisme qui tente de ramener les fresques sur les murs des bâtiments de Montréal. L'initiative pourrait même redonner à la métropole son titre de capitale canadienne de l'art mural. Depuis le début de l'été, les 1800 résidants des Habitations Jeanne-Mance dans le Quartier latin vivent au rythme d'une métamorphose artistique. Dans le petit chalet du parc logé au coeur du complexe de logements sociaux, une dizaine de locataires bricolent des mosaïques. Une fois terminés, les motifs seront apposés sur une fresque d'une trentaine de mètres de largeur plaquée sur la façade d'une tour grise à l'aspect anonyme. À l'extérieur, deux artistes superposent les couches de peinture sur le mur brun de l'un des 30 logements des Habitations Jeanne-Mance afin de créer un tableau hivernal. Aux quatre coins du site, les bacs de déchets sont ornés de motifs urbains qui évoquent la nature. Cette revitalisation artistique est l'initiative de MU, un organisme à but non lucratif qui tente de donner à l'art mural une vocation communautaire. Au cours des trois dernières années, l'organisation a déjà commis une douzaine d'oeuvres aux quatre coins de la ville, dont deux autres dans des HLM de Saint-Michel et de Villeray. D'autres murales ont été brossées grâce à du financement de la fondation One Drop ou pour le compte de l'Association des commerçants du Quartier latin. «Notre but, c'est de faire de Montréal une galerie d'art à ciel ouvert», explique la cofondatrice de l'organisme, Elizabeth-Ann Doyle. La femme de 40 ans espère que son projet pourra un jour redonner le titre de capitale canadienne de l'art mural à Montréal. «C'était une tendance très forte dans les années 60-70. Mais la forme a véritablement pris son envol avec Expo 67, lorsque Montréal s'est mis à investir pour embellir la ville avant d'accueillir une masse de visiteurs. Cela s'est étiré jusqu'aux Jeux olympiques de 1976, pour finalement s'estomper dans les années 80.» À partir des années 90, les murales peintes par des artistes graffiteurs sont devenues l'une des marques de commerce du paysage montréalais. Sans complètement délaisser le genre, MU a entrepris de ressusciter l'art mural, mais dans sa forme d'exécution un peu plus traditionnelle. La canette est encore utilisée, mais les rouleaux et les pinceaux sont de retour en force. «On ne préconise toutefois pas une esthétique, précise Elizabeth-Ann Doyle. Comme Montréal est une ville éclatée, il est intéressant que l'art le reflète. Par contre, on voulait que la facture soit contemporaine.» L'art pour tous L'idée est également de permettre aux citoyens de se réapproprier l'art. «Ce qui est enthousiasmant dans ce projet, c'est qu'on ne travaille pas en vase clos», explique Phillip Adams, l'un des deux artistes peintres embauchés pour créer deux murales aux Habitations Jeanne-Mance. «On reçoit du feedback non censuré des passants tous les jours. C'est intéressant parce que leurs commentaires ne sont pas filtrés par le vocabulaire démesurément intellectualisé que l'on entend dans les galeries.» «Leur présence a une influence sur l'oeuvre finale, ajoute son coéquipier, David Guinn. Par exemple, il y a une femme qui passe tous les jours devant la murale avec son petit chien Vénus. Sans m'en rendre compte, j'ai peint Vénus dans le haut de la première murale!» Inspirées par Philadelphie Doyle et sa partenaire Emmanuelle Hébert se sont rencontrées alors qu'elles travaillaient pour le Cirque du Soleil. C'est après une visite dans la ville de Philadelphie qu'elles ont eu l'idée de mettre MU sur pied. Grâce à un programme similaire fondé il y a 25 ans, 3000 murales ont été réalisées dans la ville américaine. «Comme à Philadelphie, MU tente de démocratiser l'art, surtout auprès des jeunes. C'est pourquoi chaque fois que nous réalisons un projet, on y greffe un volet de six ateliers d'art qui leur sont destinés.» L'an dernier, Elizabeth-Ann Doyle et sa partenaire Emmanuelle Hébert ont remporté le prix d'entreprise d'économie sociale de l'année, ainsi que le prix d'entrepreneuriat féminin du Concours québécois en entrepreneuriat. Si les choses vont bien, Doyle souligne toutefois qu'à chaque nouveau projet, le montage financier est à refaire. «Montréal métropole culturelle, tout le monde en parle, mais les festivals mis à part, je trouve qu'il manque de projets publics qui peuvent toucher tout le monde, sans vendre des billets ou sans avoir de gros événements. Je suis la première à profiter des festivals, mais il y a plein de petits organismes comme nous qui offrent autre chose.» Les trois murales des Habitations Jeanne-Mance seront officiellement inaugurées le 18 septembre.
  5. Une centaine de galeristes de l'Europe et des Amériques sont attendus à la plus grande foire canadienne consacrée à l'art actuel. Une vingtaine sont du Québec. Pour en lire plus...
  6. Le cliché voulant que l'art et l'argent ne fassent pas bon ménage a la vie dure. Plus pour longtemps. Pour la première fois, des financiers et des as de l'industrie musicale unissent leurs forces. Leur but: créer un fonds qui servira de tremplin aux artistes. Et faire beaucoup d'argent. Pour en lire plus...
  7. Je vous mets la programmation pour ce cycle de conférences. ------------------------------------------------------------ 22 janvier 2008 Conférence « Les ingrédients de l'art urbain pour embellir la ville » Pour une quatrième année, le Département d'études urbaines et touristiques (DEUT) de l'École des sciences de la gestion (ESG) de l'UQAM présente le Forum URBA 2015. Organisé à l'initiative de Florence Junca-Adenot, professeure associée au DEUT, ce forum propose des activités (conférences, débats, séminaires, publications, etc.) sur des thèmes et des projets novateurs et provocateurs, qui façonneront la ville créative et durable de demain. Toutes les conférences URBA se déroulent à 17 h 30 à la salle D-R200 du pavillon Athanase-David de l'UQAM (1430, rue Saint-Denis, métro Berri-UQAM). Depuis sa création, le Forum a accueilli des milliers de participants. Programmation hiver 2008 Mardi 22 janvier Les ingrédients de l'art urbain pour embellir la ville Denis Proulx, architecte, urbaniste, professeur, études urbaines et touristiques, ESG UQAM L'art urbain, ou approche de design urbain, s'appuie sur la multidisciplinarité qui vise à améliorer la qualité du cadre de vie en agissant tant sur le volet architectural, que celui du design, du mobilier, du paysage ou de l'ingénierie. Il intègre les fondements économique, social et environnemental du développement durable. Mercredi 13 février La réussite de Barcelone peut-elle représenter un modèle pour Montréal? Jordi Hereu, Maire de Barcelone (à confirmer) Mercredi 30 avril Quelques conditions gagnantes pour réussir des grands projets urbains Florence Junca-Adenot, professeure associée, DEUT, ESG UQAM Mardi 20 mai Le tourisme urbain : nouvelles perspectives de développement pour les villes Rémi Knafou, directeur de l'IREST (Institut de recherche et d'études supérieures en tourisme), Université de Paris I L'entrée aux conférences est gratuite, mais les places sont limitées et l'inscription obligatoire sept jours avant l'événement. Renseignements et inscription : 514 987-3000, poste 2264, urba2015@uqam.ca Les personnes n'ayant pu assister aux premières saisons du Forum URBA 2015 peuvent désormais se procurer les cahiers portant sur les 16 premières conférences, de même que les 12 cas de recherche URBATOD. Ces documents sont disponibles au Département d'études urbaines et touristiques. Renseignements : 514 987-4121 Séparateur Source : Jenny Desrochers, conseillère en relations de presse Division des relations avec la presse et événements spéciaux Service des communications Tél. : (514) 987-3000, poste 7730 desrochers.jennifer@uqam.ca 08-024 (18-01-08)
  8. Montréal, le 20 décembre 2007 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, est heureux d'annoncer que la Ville de Montréal offrira une œuvre de Michel Goulet à la Ville de Québec pour célébrer le 400e anniversaire de sa fondation. L'œuvre, Rêver le nouveau monde de Michel Goulet, sera installée sur la place de la Gare et sera inaugurée l'automne prochain. « Cette œuvre que nous offrons à la Ville de Québec témoigne des liens solides d'amitié et de solidarité qui unissent la capitale nationale et la métropole. Rêver le nouveau monde de Michel Goulet, de l'un de nos sculpteurs les plus renommés, veut également exprimer notre volonté de bâtir ensemble un avenir prometteur », a déclaré M. Gérald Tremblay. Rêver le nouveau monde – des « chaises poèmes » L'œuvre a été retenue à la suite d'un concours lancé auprès des artistes montréalais l'été dernier. Elle prendra pour éléments clés la chaise et le poème. La chaise est un motif récurant dans l'œuvre de Michel Goulet, et est, d'une certaine façon, la signature de sa sculpture. Pour l'artiste, la chaise a toujours été le prétexte de rencontres, de mise en commun, d'échanges et le révélateur de ce qui nous singularise mais aussi de ce qui nous rassemble, nous positionne. Michel Goulet a conçu Rêver le nouveau monde pour être située le long d'un sentier de la place qui jouxte la Gare du Palais. L'œuvre sera formée de quarante chaises représentant un portrait de la société et les rapports entre les individus. Les quarante chaises porteront quarante fragments de textes de quarante poètes écrit entre le premier jour de la fondation de Québec et aujourd'hui. L'artiste : Michel Goulet Artiste sculpteur né à Asbestos au Québec, Michel Goulet vit et travaille à Montréal. Il est considéré comme l'une des figures marquantes de sa génération en sculpture. Son travail a fait partie de nombreuses expositions importantes dans plusieurs lieux prestigieux au Canada et à l'étranger dont au Musée d'art contemporain de Montréal, au Musée national des beaux-arts du Québec et au Centre international d'art contemporain. Reconnu pour sa contribution indéniable à l'art public ici et à l'étranger, il a créé plus de vingt œuvres permanentes depuis vingt-cinq ans. Il était en 1990 le premier artiste canadien invité par le Public Art Fund à montrer une œuvre publique sur Doris Freedman Plaza, à New York et, la même année, la Ville de Montréal lui commandait Les Leçons singulières, une œuvre phare de l'art public pour la Place Roy et le belvédère du Parc Lafontaine. En 2000, il a réalisé, en collaboration avec Réal Lestage, urbaniste et Julie St-Arnault, architecte paysagiste, Le Jardin des curiosités, intégré au Jardin de Montréal, sur le Belvédère Abbé Larue à Lyon. En 2002, il inaugurait Fair Grounds, une œuvre permanente commandée par la Corporation Tridel, à Toronto. Il participait en 2003 au Vancouver International Sculpture Project et en 2006 à la Biennale d'art contemporain du Havre, en France. Il a représenté le Canada à la Biennale de Venise en 1988, considéré comme le plus grand événement international en art contemporain. Michel Goulet est lauréat du Prix Paul-Émile-Borduas, la plus haute distinction accordée par le Gouvernement du Québec, à un artiste en arts visuels. Le concours Le Bureau d'art public de la Ville de Montréal a tenu l'été dernier un concours par avis public à l'intention des artistes professionnels résidant dans la ville de Montréal. Les trois finalistes : Marie-France Brière, Michel Goulet et Gilles Mihalcean ont été désignés par un jury de sélection dont six des sept membres provenaient de Québec. Ce jury réunissait Mme Line Ouellet, directrice des expositions et des publications, au Musée national des beaux-arts du Québec, Mme Francine Chainé, directrice du programme de maîtrise en arts visuels à l'Université Laval, Mme Nicole Catellier, muséologie, directrice de Cinémanima, M. Jean-Pierre Morin, sculpteur, M. David Naylor, professeur au département d'arts visuels de l'Université Laval, Mme Josée Bonneau, responsable de l'art public au Service de la culture de la Ville de Québec et de Mme Francyne Lord, commissaire à l'art public de la Ville de Montréal. SOURCEhttp://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=65,106529&_dad=portal&_schema=PORTAL&_piref65_263689_65_106529_106529.next_page=htdocs/portlet/communiques/fr/detail.jsp&_piref65_263689_65_106529_106529.id=9207&annee=2007&mois=12
  9. Montréal, le 19 novembre 2007 - La Ville de Montréal et l'arrondissement du Sud-Ouest ont inauguré le 14 novembre dernier une œuvre d'art public installée dans la nouvelle mairie du Sud-Ouest. Intitulée LE PASSAGE — Regarder, entendre, échanger et faire le Sud-Ouest, l'œuvre a été réalisée par l'artiste montréalaise Suzelle Levasseur, à la suite d'un concours tenu dans le cadre de l'initiative l'Art public dans les arrondissements de Montréal. La mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, Mme Jacqueline Montpetit, s'est réjouie que, dès leur entrée dans leur hôtel de ville local, les citoyens du Sud-Ouest aient accès à une œuvre de cette qualité. « Par son intégration à l'architecture du bâtiment et aux multiples fonctions du lieu, cette œuvre confère à notre mairie d'arrondissement, déjà fort originale puisqu'elle a été aménagée dans une ancienne usine, une personnalité tout à fait unique. Elle offre aux citoyens un contact privilégié avec l'art et jette un regard neuf sur notre identité. » La mairesse a salué l'initiative mise de l'avant par la Ville de Montréal pour accroître la présence de l'art public dans les arrondissements. Elle a également souligné l'expertise du Bureau d'art public de la Ville pour l'encadrement de tels projets. L'œuvre Constituée de sept tondi (châssis de format rond) aux couleurs vives, l'œuvre mise sur la capacité de la couleur de faire pénétrer la lumière et de créer de l'espace. Chaque tondo agit comme un tableau, une fenêtre percée dans le mur. Les trois principaux tondi rappellent des constructions de grande envergure liées au destin du Sud-Ouest, entre autres le canal de Lachine et l'échangeur Turcot. Les quatre autres tondi évoquent les regards de ceux qui ont pris part à ces constructions, aujourd'hui transformées par d'autres. Installée au bureau Accès Montréal dans l'entrée principale de la mairie d'arrondissement, l'œuvre a été créée pour habiter ce site multifonctionnel, à la fois espace de transit, d'accueil, de rencontres et de travail. Ses formes rondes font oublier les appareils utilitaires et les limites physiques du lieu. Elles se veulent aussi des métaphores de la bonne humeur communicative à partager entre citoyens et employés. L'artiste : Suzelle Levasseur Suzelle Levasseur s'intéresse au corps. Une figuration qui se transforme, un corps qui se déconstruit pour se soustraire à la pesanteur et explorer des positions de flottement ou de chute, une quête de l'instable, du déséquilibre. Née à Trois-Rivières, l'artiste a étudié à l'Université du Québec à Montréal. Depuis 1976, ses recherches soutenues l'ont amenée à présenter plus de 30 expositions personnelles et à participer à une cinquantaine d'expositions collectives, au Canada, aux États-Unis et en France. En 1987, le Musée d'art contemporain de Montréal lui a consacré une importante exposition. Les œuvres de Suzelle Levasseur font partie de nombreuses collections privées et publiques : Musée national des beaux-arts du Québec, Musée d'art contemporain de Montréal, Musée d'art de Joliette, Banque d'œuvres d'art du Conseil des arts du Canada, Loto-Québec, collection Prêt d'œuvres d'art du Québec, collection Desjardins d'œuvres d'art, Air Canada, Pétro-Canada, Communauté urbaine de Montréal, Université de Montréal, Université de Sherbrooke, Galerie Éric Devlin, Centre d'art de Baie-Saint-Paul, Musée du Bas Saint-Laurent et Musée de Rimouski. Le concours C'est à la suite d'un concours sur invitation s'adressant aux artistes professionnels que l'artiste a été sélectionnée par un jury formé de deux spécialistes en arts visuels, de l'agent culturel de la maison de la culture Marie-Uguay et d'un employé de l'arrondissement du Sud-Ouest. L'initiative l'Art public dans les arrondissements de Montréal s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Politique de développement culturel de la Ville de Montréal et de la tenue de «Montréal métropole culturelle, Rendez-vous novembre 2007». Elle vise à encourager les arrondissements à mettre de l'avant des projets d'art public dans les quartiers montréalais. Pour chaque dollar investi par un arrondissement, la Ville offre la somme équivalente, jusqu'à un maximum de 10 000 $ pour un projet. L'investissement total dans ce projet est de 20 000 $, assumé à parts égales par l'arrondissement du Sud-Ouest et la Ville de Montréal.
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