Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'larrondissement'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Ce projet est situé sur la rue St-Jean-Baptiste, au Sud de la rue Notre-Dame. L'inauguration prévue en 2014. Rendus de l'arrondissement : Voici le site avant le début des travaux : Photographie de Google StreetView
  2. Le vendredi 04 juil 2008 Un pont entre Verdun et L'Île-des-Soeurs? Simon Coutu La Presse Après des années de tergiversations, l'arrondissement de Verdun s'est prononcé en faveur de la construction d'un pont de services entre L'Île-des-Soeurs et la terre ferme. Le projet, estimé à entre 15 et 20 millions de dollars, serait réservé aux véhicules d'urgence, aux autobus, aux vélos et aux piétons. Lors de la réunion du conseil d'arrondissement de mercredi, le maire, Claude Trudel, a rendu publiques les conclusions d'un comité de réflexion qui recommande à l'unanimité la construction d'un pont de services. «L'arrondissement ne paiera pas pour ce projet, affirme-t-il. La Ville de Montréal ou le ministère des Transports se chargera des dépenses. On doit aussi faire approuver le pont par la majorité des habitants.» Au printemps, la firme Léger Marketing a sondé l'ensemble des Verdunois. Ils se sont prononcés à 71% en faveur de la construction d'un pont de services. «Si la population est d'accord, que nous ne déboursons pas un sou et que la sécurité est améliorée, je crois que c'est une bonne nouvelle», affirme la présidente de l'Association des propriétaires et résidants de L'Île-des-Soeurs, Juliette Barcelo. Soixante-quatorze pour cent des habitants de L'Île-des-Soeurs approuvent le projet de pont de services. Des résultats qui prouvent qu'ils font preuve de beaucoup plus d'ouverture, selon le maire. «Jusqu'en 2002, il y avait un mouvement pour que l'île se sépare de l'arrondissement de Verdun. On vient de faire un pas de géant.» Le maire Trudel avance que le pont devrait vraisemblablement s'ériger dans l'axe de la rue Galt à Verdun et du boulevard Marguerite-Bourgeoys à L'Île-des-Soeurs. Il aimerait que le projet se réalise dans les délais les plus courts. Le projet résidentiel de l'arrondissement prévoit que la population de L'Île-des-Soeurs passera de 17 000 à 23 000 personnes dans les prochaines années. Bell Canada installera aussi ses bureaux dans l'île en septembre prochain. La pression est grande, mais les Verdunois sont majoritairement contre la construction d'un pont tout usage. Seuls 41% appuient cette idée. Malgré tout, le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, craint qu'on n'érige un pont au nom des transports collectifs, pour ensuite y faire passer des voitures. «C'est l'attrape-nigaud habituel du marketing politique. L'idéal serait d'installer un tramway sur le pont. C'est de la fiction de penser que les habitants de L'Île-des-soeurs utiliseront l'autobus.» M. Bergeron se dit toutefois en faveur d'un pont de services. «Il faut construire quelque chose de spectaculaire. Pas un vulgaire pont en béton, dit-il. Mais c'est une bonne idée, ne serait-ce que pour permettre aux Verdunois de voir la beauté de L'Île-des-Soeurs à vélo.»
  3. Entre la rue de la Rivière et de Rouen dans le quartier Sainte-Marie Démolir les batiments existants pour permettre la construction de 2 bâtiments de 3 étages comportant 6 unités résidentiels chacun pour une total de 12. Source: Demande de démolition datée le 31 janvier 2015 de l'arrondissement Ville-Marie sent via Tapatalk
  4. à cet endroit, la limite Sud de RdP c'est Henri-Bourassa et non la 40, donc techniquement, le centre serait dans Pointe-aux-Trembles via LaPresse : Publié le 09 juillet 2014 à 11h29 | Mis à jour à 14h11 Rivière-des-Prairies accueillera le centre de compostage Le croquis du futur centre de compostage. IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL KARIM BENESSAIEH La Presse Neuf mois après avoir annoncé qu'il «tirait la plogue» sur le centre de compostage dans Saint-Michel, le maire Denis Coderre a présenté ce matin son choix de rechange : un parc industriel de l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Situé à l'angle des boulevards Saint-Jean-Baptiste et Métropolitain, ce futur centre qui commencera ses activités en 2019 est situé à 1,5 kilomètre des résidences, «soit trois fois la norme de 500 mètres», a précisé en point de presse à l'hôtel de ville le maire. Le terrain appartient à la Ville et n'exige pas de travaux importants de décontamination, a-t-il assuré. «Aujourd'hui, nous tenons parole, a-t-il déclaré. Tout le monde veut une ville plus verte. Nous comprenons que l'emplacement puisse être un irritant pour certains, mais je le répète souvent, gouverner c'est choisir. Nous avons effectué le choix le plus équitable possible, bénéfique pour le plus grand nombre.» Le centre de compostage traitera 29 000 tonnes de résidus verts et de «digestat», la matière résiduelle après qu'on ait extrait le méthane des déchets. Il fera l'objet d'une consultation publique que l'Office de consultation publique de Montréal sera appelé à organiser cet automne. L'administration Coderre souhaite que le rapport soit déposé avant la fin de l'année. Une solution «pratico-pratique» Ce centre est la cinquième infrastructure qui sera construite à Montréal dans le but d'éliminer l'enfouissement des déchets en 2020. La construction des cinq centres coûtera 237 millions, dont 130 proviendront de Québec et d'Ottawa. On espère produire 65 800 tonnes de compost annuellement, essentiellement pour les besoins horticoles de la Ville et la décontamination des sols. Les trois autres centres de traitements des matières organiques seront construits à Saint-Laurent, Montréal-Est et LaSalle. Un autre centre pilote de prétraitement devrait être construit sur le site de l'ancienne carrière Demix. Tous devraient être fonctionnels en 2019 à l'exception de LaSalle, dont l'ouverture est prévue en 2024. C'est au nom de l'équité territoriale que les administrations précédentes avaient choisi, pour la partie nord, le Complexe environnemental de Saint-Michel (CESM). En optant plutôt pour Rivière-des-Prairies, on choisit «une solution pratico-pratique, dans un site industriel», estime M. Coderre. Le CESM continuera quant à lui à servir au compostage de quelque 19 000 tonnes de résidus verts chaque année. «Il y a une réalité politique à laquelle on est confronté, il y avait une situation par rapport aux résidants de Saint-Michel, a rappelé le maire. C'est sûr qu'il y a des gens qui ne seront pas contents, c'est pour ça qu'on fait une consultation publique. On va se parler.» Impact limité Le responsable de l'environnement au comité exécutif, Réal Ménard, a rappelé qu'à peine 11 % des déchets étaient aujourd'hui «revalorisés», alors que la Ville a techniquement l'obligation d'atteindre le seuil des 60 % dès l'an prochain. Concrètement, chaque Montréalais produit 514 kg de matières résiduelles par année dont seulement 21 sont revalorisés. «On n'est pas en avance, mais plutôt sous le sceau de l'urgence», a-t-il reconnu. Il a qualifié l'annonce de ce matin de «journée historique pour l'environnement» et s'est dit assuré que le projet de centre ne suscitera pas de levée de boucliers. «Nous sommes sûrs qu'au niveau des odeurs, du camionnage, ça va être compatible avec le milieu d'insertion. La Ville de Montréal n'aura pas le choix de déposer une étude de dispersion des odeurs et du camionnage qui montre qu'on respecte les critères.» Pour la mairesse de l'arrondissement, Chantal Rouleau, l'implantation de ce centre est une occasion en or de donner un coup de pouce à un parc industriel dont les infrastructures sont déficientes. «Nous voulons devenir une destination de choix pour les entreprises en technologie propre. Grâce au centre de compostage, nous cultiverons nos actifs. Le compost produit contribuera à la décontamination des sols de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles.» «De la petite politique» Le chef de l'opposition officielle, Richard Bergeron, a dénoncé le fait que le quartier Saint-Michel continuera à accueillir des activités de compostage à ciel ouvert. Il estime que l'équipe Coderre, et notamment la mairesse de l'arrondissement Anie Samson, ont «menti et manipulé la population de Saint-Michel» en campagne électorale. «On est dans la bien petite politique. La population va continuer de souffrir.» Le porte-parole de Projet Montréal en matière d'environnement, Sylvain Ouellet, estime que «le statu quo est pire que le projet qui était présenté». Le compostage de résidus verts qui se fait depuis une dizaine d'années au CESM «génère plus d'odeurs et de camionnage que le centre de compostage projeté». Sa collègue Laurence Lavigne Lalonde, conseillère dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, estime quant à elle que le principe d'équité territoriale n'est pas respecté, avec trois installations dans l'est de Montréal. «L'Est paie déjà sa juste part, avec des raffineries, un incinérateur de boues municipales, un centre de transbordement de déchets et 16 entreprises liées à la gestion des matières résiduelles.» Le Conseil régional de l'environnement de Montréal a quant à lui accueilli avec satisfaction cette annonce. «Avec ses deux sites de traitement des matières organiques, l'Est de Montréal a une formidable occasion de déployer un pôle d'industries vertes, a déclaré par communiqué Coralie Deny, directrice générale. On est loin ici des industries lourdes très polluantes à deux pas des résidences.» Emplacement du futur centre de compostage. IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL
  5. Situé dans l'arrondissement St-Hubert, à côté de l'aéroport. Photos: Construction Vergo
  6. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5997,102503571&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=25474&ret=/pls/portal/url/page/bur_du_maire_fr/rep_bur_du_maire/rep_communiques/coll_communiques Création du Bureau du centre-ville de Montréal - Vers une première stratégie centre-ville pour Montréal 27 août 2015 Montréal, le 27 août 2015 – Le responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du centre-ville de Montréal. L'objectif de ce Bureau est de préparer une stratégie pour le centre-ville en élaborant une vision d'avenir qui contribuera à optimiser son potentiel de développement, en plus de proposer des mesures concrètes et ciblées qui guideront sa croissance. « Le Bureau du centre-ville vise avant tout à créer un centre-ville encore plus attrayant, animé et dynamique. Issue de la volonté du maire de mettre en valeur les formidables attraits de notre centre-ville, cette stratégie, dotée d'objectifs mesurables, tracera la voie vers un futur résolument urbain où il fera bon vivre, travailler, étudier et se divertir », a déclaré M. Bergeron. Lors de la séance du mercredi 26 août, le comité exécutif a autorisé le lancement d'appels d'offres pour la fourniture de services professionnels afin de dresser un portrait des conditions actuelles et identifier les opportunités qu'offre le territoire du centre-ville. Dans un second temps, s'appuyant sur ces études et ces analyses, les professionnels de la Ville et de l'arrondissement Ville-Marie élaboreront la stratégie à déployer pour le centre-ville. Les études en question porteront sur : le milieu de vie (aménagement et patrimoine, habitation, services, sécurité); l'accessibilité et la mobilité au centre-ville (transports et circulation); la vitalité économique du centre-ville (économie urbaine). Depuis 15 ans, les quartiers centraux ont fait l'objet de plusieurs initiatives de planification particulière. L'arrondissement de Ville-Marie compte, à lui seul, plusieurs projets d'envergure issus de démarches de planification. La stratégie du centre-ville s'appuiera sur ces plans et les intégrera en une seule et même vision cohérente du centre-ville. Elle ciblera des initiatives structurantes en lien avec les divers champs de compétence de l'administration municipale. La stratégie établira les bases du Plan directeur de l'aménagement et du développement du centre-ville dont l'élaboration est un des objectifs du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal adopté en 2015. « Avec des initiatives concrètes, des outils de planification et une vision concertée du développement du centre-ville, nous améliorerons son développement, aurons un impact positif sur la qualité de vie des Montréalais et renforcerons l'attractivité économique et touristique de ce secteur névralgique », a conclu M. Bergeron. sent via Tapatalk
  7. Les Montréalais pourront profiter cette année d'un sentier hivernal de 31,8 km dans le Grand Sud-Ouest 16 décembre 2016 Montréal, le 16 décembre 2016 -Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, le responsable des sports et loisirs au comité exécutif, M. Dimitrios (Jim) Beis, la mairesse de l'arrondissement de LaSalle, Mme Manon Barbe, le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, M. Benoit Dorais, le maire de l'arrondissement de Verdun, M. Jean-François Parenteau, et Parcs Canada, sont fiers d'annoncer la mise sur pied d'un tracé de 31,8 km de sentiers hivernaux dans le Grand Sud-Ouest, le fruit d'une étroite collaboration entre Parcs Canada, les services centraux de la Ville de Montréal et les arrondissements de LaSalle, de Lachine, du Sud-Ouest et de Verdun. « C'est avec fierté que je présente aujourd'hui aux Montréalais une autre raison d'aimer l'hiver chez nous et d'en profiter pleinement. Montréal, métropole nordique, physiquement active et ville olympique, entretient une passion certaine pour les sports d'hiver. Ce beau projet contribuera à augmenter l'offre d'activités hivernales à Montréal et s'insère parfaitement dans les objectifs de notre Politique du sport et de l'activité physique. Bravo aux partenaires pour cette belle collaboration dont pourra profiter la population montréalaise », a déclaré M. Coderre. « Être physiquement actif contribue à la vitalité de nos communautés et la Ville contribue au mieux-être de tous ses citoyens en développant ce type de projet et en aménageant des milieux de vie en faveur de l'activité physique partout sur le territoire. Voici un lieu supplémentaire, dans un cadre extraordinaire. À vos skis, Montréalais », a exprimé M. Beis. Dans le but de développer une nouvelle programmation d'activités hivernales sur le canal Lachine et sur ses berges, la Ville de Montréal avait lancé deux projets pilotes l'hiver dernier. Un premier fut le résultat d'une collaboration entre Parcs Canada et l'arrondissement du Sud-Ouest, et le second était une initiative impliquant les arrondissements de Verdun, LaSalle et Lachine. Ces projets pilotes ayant été concluants, la Ville centre a décidé de poursuivre les activités hivernales pour l'hiver 2016-2017 avec un projet de plus grande envergure impliquant les arrondissements de Verdun, de LaSalle, de Lachine et du Sud-Ouest. Pour ce faire, la Ville de Montréal a lancé un appel d'offres sur invitation à des organismes spécialisés en sports et loisirs. C'est la firme Sogep qui a finalement reçu le mandat d'assurer un service d'entretien, de traçage, d'affichage et de signalisation de 3 sentiers de ski de fond d'une longueur totale de 25 km et d'un sentier damé multifonctionnel de 6,8 km sur les territoires des arrondissements de Lachine, LaSalle, Le Sud-Ouest et Verdun pour la saison hivernale 2017. Un service d'animation et des renseignements en ligne sur le tracé seront également offerts aux citoyens, de même que des mises à jour sur les conditions des pistes. Le mandat au montant total de 65 000$ débute aujourd'hui et sera en vigueur jusqu'à la mi-mars 2017. Une photo du sentier et le tracé du sentier sont disponibles ici : sentier hivernal de 31,8 km dans le Grand Sud-Ouest Ville de Montréal - Portail officiel - Détail du communiqué
  8. Page not found | Montreal Impact <header style="color: rgb(0, 0, 0); font-family: arial, sans-serif; font-size: 20px;">[h=1]Un nouveau mini-terrain de soccer au centre-ville de Montréal[/h]4 Novembre, 201614:24 EDT Communiqué [TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [TD][TABLE=width: 100%] <tbody style="border: none; padding: 0px; margin: 0px; width: auto; float: none; border-radius: 0px; font-size: 16px; background: none; text-size-adjust: none; user-select: none;">[TR] [TD][/TD] [TD][/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] </header>Fruit d'un partenariat entre l'arrondissement de Ville-Marie et l'Impact de Montréal, un nouveau mini-terrain de soccer aux couleurs du club montréalais a été inauguré vendredi, à l'angle des rues Saint-Alexandre et Saint-Edward. Cette initiative de MLS Works, Canada Soccer, Southern New Hampshire University (SNHU) et adidas a donné naissance au tout dernier de 20 mini-terrains de soccer installés dans divers quartiers à travers l'Amérique du Nord. « Mon intérêt pour le sport est bien connu, a souligné M. Denis Coderre, maire de Montréal. Il est essentiel d'offrir aux jeunes Montréalais des espaces de qualité pour s'adonner à leurs activités ou leurs sports favoris. Je suis ravi de cette collaboration entre l'arrondissement de Ville-Marie et l'Impact qui permet d'offrir une nouvelle installation collective, le tout dans l'esprit de la Politique du sport et de l'activité physique que Montréal a adoptée. » « En tant que club professionnel, nous toujours dit que notre implication à l'extérieur du terrain était tout aussi importante que nos succès sur le terrain, surtout quand il s'agit d'aider les enfants, a déclaré le président de l'impact de Montréal, M. Joey Saputo. L'inauguration de ce nouveau mini-terrain, au c??ur de Montréal, va dans ce sens. » Chaque nouveau mini-terrain offre aux enfants des quartiers un endroit sécuritaire où jouer, encourageant la pratique du soccer dans les communautés locales, tout en soutenant la croissance de ce sport. Des joueurs de la première équipe du club, le gardien Evan Bush, le défenseur Kyle Fisher et les attaquants Anthony Jackson-Hamel et Michael Salazar ont tous participé à l'événement, tout comme les joueurs de l'Impact U13 qui ont disputé le tout premier match pour inaugurer le terrain.
  9. SOURCE: La presse - Quatre immeubles démolis dans une aire de protection Buildings to be demolished: 1421-1425 Mackay, and (based on the following text) I strongly suspect the dump at Mackay/Sainte-Catherine will also go down.
  10. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  11. La Presse Le vendredi 11 mai 2007 La vente du pavillon universitaire du Mont-Royal vient d'atteindre un point de non-retour. L'Université de Montréal (UdeM) a lancé un appel d'offres aux courtiers immobiliers dans le but de trouver un acheteur pour l'ancien couvent des Saints-Noms-de-Jésus-et-de-Marie. L'édifice de brique, situé sur le flanc nord de la montagne protégée, avait été acheté au coût de 15 millions, en 2003. L'UdeM a injecté 18 millions pour le restaurer avant de s'apercevoir que la facture finale pouvait grimper à 150 millions. Elle a donc décidé de bâtir sur du neuf plutôt que sur du vieux. «Le bras nous serait passé dans le tordeur si nous avions réalisé tous les travaux, explique Éric Filteau, vice-recteur adjoint à l'administration de l'UdeM. Et l'achat de la gare de triage d'Outremont, en 2006, a changé nos perspectives de développement.» L'Université ne veut pas dévoiler son prix de vente, mais elle entend rentrer dans son argent. Elle n'a par ailleurs pas l'intention d'imposer une vocation d'enseignement au futur acheteur. Cette décision signifie qu'un promoteur pourrait tout aussi bien proposer de transformer le couvent en projet commercial ou d'habitation. Des règles strictes Le couvent, qui n'est pas classé patrimonial, est néanmoins situé dans l'arrondissement historique et naturel du Mont-Royal, ce qui lui confère une certaine protection. L'acheteur éventuel devra se conformer aux règles d'urbanisme et obtenir l'autorisation du gouvernement avant de transformer l'allure extérieure du bâtiment. Le président du Syndicat général des professeurs de l'Université de Montréal, Louis Dumont, est déçu de la décision de la direction. Il aurait souhaité que des experts effectuent des études plus poussées sur les possibilités de densification du couvent. «Tout est flou, décidé dans le secret, déplore M. Dupont. Il aurait fallu examiner ce qu'on peut faire pour éviter que le couvent ne soit défiguré. Je trouve que l'Université, en tant qu'institution de la montagne, est en train de passer un drôle de message à la population.» L'arrondissement d'Outremont se dit de son côté préoccupé par la vente de l'ancienne maison mère des religieuses. Le porte-parole, Jean-Claude Patenaude, souligne qu'elle est située dans un des plus beaux endroits de la montagne. Une forêt mature borde l'endroit. Le couvent > Années de construction : 1924-1925 > Murs extérieurs : briques > Planchers : structure de béton armé, recouverte de lattes de chêne > Évaluation municipale : 24,5 millions > Zonage actuel : enseignement, santé, culte et religion > L'édifice de cinq à sept étages n'est pas classé patrimonial
  12. Le promoteur a fait une demande de dérogation pour bâtir 9 étages (immeuble commercial) à cet endroit, mais ce fut refusé par l'arrondissement. Reste qu'à attendre une nouvelle proposition certainement plus modeste. https://www.google.ca/maps/@45.509326,-73.573306,3a,75y,3.35h,90.55t/data=!3m6!1e1!3m4!1suXaL01e-l4LIVuaIi9IfSA!2e0!7i13312!8i6656?hl=fr
  13. http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201501/24/01-4838132-hausse-de-la-clientele-au-beaubien-et-au-parc.php Publié le 25 janvier 2015 à 10h00 | Mis à jour à 10h00 Hausse de la clientèle au Beaubien et au Parc Ma Presse Cinéma polonais au Parc ANDRÉ DUCHESNE La Presse Terminée il y a deux ans, la mise en commun des administrations du Cinéma Beaubien et du Cinéma du Parc porte ses fruits. Les deux entités ont en effet enregistré des hausses de clientèle en 2014, à contre-courant de ce qui se passe ailleurs au Québec. Selon les chiffres compilés par la firme Cinéac, le Beaubien a vu sa clientèle augmenter de 11% en 2014, alors que le Parc fait encore mieux avec une hausse de 15% des entrées. Pendant ce temps, dans l'ensemble des salles québécoises, on enregistrait une baisse de 9% au box-office. Joint à Paris alors qu'il participait aux Rendez-vous d'Unifrance, le directeur général des deux administrations, Mario Fortin, était de très bonne humeur. Pour lui, ces résultats sont le fruit d'une conjugaison de la présence de bons titres à la programmation, des investissements réalisés aux deux endroits et de décisions d'affaires ciblées. «Nous avons eu beaucoup de bons films en 2014», lance-t-il, énumérant Mommy, The Grand Budapest Hotel, Birdman et autres oeuvres fortes. «Au Beaubien, un film français comme Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu? a très bien marché.» Emplacement et clientèle obligent, le Beaubien mise d'abord sur les films québécois et de la francophonie, alors que le Cinéma du Parc, voisin de l'Université McGill et de sa communauté jeune et diversifiée, propose une programmation plus éclectique. Le Parc organise des petits festivals (films brésiliens, chinois, etc.) qui tiennent dans une salle. Il rejoint aussi une bonne clientèle avec ses documentaires (plus nombreux dans le monde anglo-saxon que dans la francophonie, souligne M. Fortin), ses rétrospectives et son association avec différents festivals tels le FNC et les RIDM. Autre changement, les heures d'ouverture ont été ajustées aux besoins de la clientèle environnante. Investissements Quant aux investissements récents, ils ont été nombreux. Et nécessaires. À commencer par l'achat de projecteurs numériques. «On a investi quelques millions au cours des dernières années dans le Cinéma Beaubien, dit M. Fortin. Nous avons encore quelques projets sur la table. Nous avons aussi fait des investissements au Cinéma du Parc et je m'apprête à préparer le budget de la phase 2 des rénovations.» Début 2013, Roland Smith, directeur général du Parc, a fait une passation de ses pouvoirs à son ami Fortin. Cela a permis de regrouper les forces des deux entités, dit le directeur du Beaubien. «Les personnes travaillant aux communications, à la comptabilité, etc. échangent les travaux», explique-t-il. Aujourd'hui, M. Smith demeure conseiller artistique au Parc. Phare culturel Joint par La Presse, le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau, ne peut que se réjouir des plus récentes statistiques quant à la clientèle du Beaubien. «Ce cinéma est un phare culturel important dans l'arrondissement, dit-il. C'est un symbole pour le quartier. Les gens s'y identifient et l'encouragent. Et au coeur de ce succès, il y a Mario Fortin, un travailleur acharné et passionné.» M. Croteau est d'autant plus heureux que l'arrondissement a investi 100 000$ dans la numérisation des salles du Beaubien. «Cette somme représentait le tiers du projet. Le Beaubien est un moteur économique important, il fait partie du paysage culturel et patrimonial», dit-il pour justifier l'investissement. Les liens entre l'arrondissement et le cinéma vont plus loin encore. Les administrateurs du Beaubien organisent des projections estivales dans les parcs et sont aussi partenaires de la programmation de la maison de la culture.
  14. Nouvelle salle de spectacle à Verdun Mise à jour le lundi 6 février 2012 Un nouvel espace de diffusion culturelle sera construit à Verdun, près du Saint-Laurent. Il comprendra une salle de spectacle de niveau professionnel. Le projet prévoit également le réaménagement et l'agrandissement de l'École de cirque de Verdun. C'est la firme Les Architectes FABG qui a remporté le concours d'architecture. Les travaux doivent commencer en septembre. « Nous avons organisé un concours d'architecture afin d'obtenir un projet répondant au défi de transformer l'ancien aréna Guy-Gagnon en un lieu artistique de grande qualité privilégiant le rapprochement entre le spectateur et l'artiste », a expliqué Claude Trudel, maire de l'arrondissement de Verdun. Le coût du projet s'élève à 16,3 millions de dollars. La Ville de Montréal offre une contribution financière de 7,9 millions de dollars. Dès l'automne 2013, la salle de spectacle pourra offrir entre 368 et 444 sièges fixes et rétractables, selon la forme de spectacle qui y sera présenté. Elle oeuvrera en symbiose avec la Tohu pour la recherche de spectacles. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2012/02/06/003-nouveau-projet-culturel-verdun.shtml
  15. Il y a quelques jours le cas du Café Cherrier est apparu dans l'actualité concernant l'augmentation d'un permis d'occuper une terrasse, le paiement rétroactif de la prime malgré une erreur de l'arrondissement et l'imposition du mobilier de terrasse par l'arrondissement. Suite à cela j'ai écris une lettre d'indignation à l'arrondissement car non seulement je suis contre le fait d'imposer un mobilier intérieur ou extérieur surtout lorsque celui-ci ne cause aucun problème et ne nuit d'aucune façon à l'image de la rue St-Denis. Au contraire, à mon avis, le Café Cherrier est le commerce qui rend agréable ce coin de rue et qui marque de façon élégante l'entrée sur le Plateau en arrivant du sud par St-Denis. J'aimerais voir ce genre de café un peu partout dans le cœur de la ville. De plus, le cout pour occuper cette terrasse est exorbitant. L'arrondissement demande $10 000. C'est incroyable ! Même si le commerçant peut payer, je crois que c'est vraiment de l'exploitation. Il est certain que plusieurs petits café ne peuvent pas se permettre de payer une telle somme. Je sais que le tout est relatif à la superficie de la terrasse et qu'un petit café devra payer moins mais cela nous donne une échelle de grandeur qui n'a pas de bon sens. On devrait charger beaucoup moins cher pour une terrasse car c'est cela qui rend agréable l'expérience du Plateau et qui donne du cachet. C'est en partie cela qui fait de Montréal une ville ''européenne'' comme disent les américains ou canadiens anglais. Alors au lieu d'encourager ce genre de café avec des prix de permis abordable, l'arrondissement semble s'acharner sur les commerçants en voulant les taxer au point de les étouffer. Je sais que ce café doit payer sa part comme les autres pour que tous soient égales. Mais pourquoi ne pas descendre le tarif des autres à celui du Café Cherrier. Pourquoi toujours augmenter tout le monde ? Au profit de qui ? On veut concurrencer les commerces des banlieues, il me semble qu'un petit effort pour réduire le cout des terrasses ne seraient pas trop demander à l'arrondissement. Après tout, ils paient déjà beaucoup de taxes ces commerçants, non ? Bref, j'ai reçu une réponse de la part de l'arrondissement qui ne me satisfait pas du tout et qui s'appuie sur des règlements instituer par des bureaucrates pour des bureaucrates et qui ne servent qu'à faire vivre la grosse machine bureaucratique de la ville et de l'arrondissement dans ce cas.
  16. Quartier Sainte-Marie CA11 240691 Adopter une résolution autorisant la transformation et l'occupation d'un bâtiment conventuel à des fins commerciale et résidentielle, sur le lot 1 424 427 situé sur la rue Fullum, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard de Maisonneuve Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble - 1er projet de résolutionIl est proposé par Sammy Forcillo appuyé par Richard Deschamps D'adopter le premier projet de résolution à l'effet : D'accorder, pour le lot 1 424 427 (Maison des Soeurs de la Providence), situé dans la partie ouest de l'îlot bordé par les rues Fullum et Sainte-Catherine Est et le boulevard de Maisonneuve Est, l'autorisation d'occuper à des fins résidentielles et commerciales et de transformer l'ancien couvent et ses dépendances, et ce, en dérogation aux articles 94, 134, 182, 609 et 610 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282), conformément aux plans des pages 9 à 40 du document de présentation pour le projet particulier, le tout préparé par Éric Leblanc architecte et estampillés parl’arrondissement de Ville-Marie le 19 septembre 2011; D'assortir cette autorisation des conditions suivantes : a) de soumettre dès la première demande de permis un plan d'ensemble d'aménagement paysager assorti d'une garantie financière basée sur une estimation effectuée par un professionnel afin d'en assurer la réalisation; c) de respecter une implantation au sol, un alignement sur rue, une hauteur maximale et des retraits d'alignement conformément aux plans mentionnés précédemment; d) les usages projetés dans le bâtiment devront respecter la répartition des usages indiqués aux plans cités au point 1; e) de soumettre les demandes de permis de transformation de ce projet à la procédure du titre VIII du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282). En plus des critères prévus au titre VIII du règlement, les critères additionnels suivants s'appliquent : i) le traitement architectural de la construction doit favoriser l'unité et l'homogénéité de l'ensemble, notamment en ce qui a trait aux matériaux de parement et aux ouvertures; ii) la couleur et la texture du revêtement de la façade doivent être compatibles avec celle des édifices significatifs du secteur; iii) les constructions hors toit et les équipements mécaniques hors toit doivent être traités de manière à assurer leur intégration architecturale (matériaux et volumétrie); iv) toutes les façades visibles de la voie publique doivent être traitées avec le même soin que les façades principales notamment quant aux choix des matériaux et aux ouvertures; v) les matériaux utilisés doivent être durables et conformes aux échantillons déposés; vi) l'aménagement paysager des espaces libres et des aires de détentes extérieurs doit privilégier les éléments végétaux; De fixer un délai de 60 mois pour la réalisation des travaux visés par la présente autorisation, à défaut de quoi, elle sera nulle et sans effet. Adoptée à l'unanimité.
  17. Radio-Canada fait une série de reportages sur les stéréotypes de différents quartiers de Montréal Le premier parle des bobos du Plateau : Les bobos du Plateau existent, en voici la preuve Mise à jour le mercredi 29 octobre 2014 à 16 h 13 HAE Montréal traîne son lot de clichés, mais sont-ils tous vrais? Dans ce premier article d'une série sur les stéréotypes revus et corrigés de la métropole, nous décortiquons l'un des plus souvent cités : les bobos du Plateau. (voir les cartes interactives sur le site) Une chronique de Pasquale Harrison-Julien Bobo : nom et adj. « Personne d'un milieu aisé, jeune et cultivée, qui recherche des valeurs authentiques, la créativité. Acronyme : bourgeois bohème. » C'est ainsi que Le Petit Robert définit le bobo. À Télé-Québec, ils étaient incarnés par le couple fictif formé par Anne Dorval et Marc Labrèche. Et si l'on plonge dans les données statistiques sur l'éducation, l'emploi, l'état civil, la religion et l'âge, on constate que dans la réalité, ils habitent majoritairement sur le Plateau-Mont-Royal. 1. Un quartier jeune? L'âge médian du résident du Plateau est de 34,1 ans. C'est le plus bas sur l'île de Montréal. C'est aussi l'arrondissement avec le plus fort pourcentage de personnes âgées de 25 à 29 ans, ainsi que de 30 à 34 ans. L'endroit où l'âge médian est le plus élevé sur l'île? Senneville (47,4 ans). 2. Un quartier d'artistes? C'est sur le Plateau-Mont-Royal qu'on retrouve le plus de personnes qui travaillent dans le milieu des arts, de la culture, des sports et des loisirs, soit 9015 personnes - comme l'indique la carte. Cela représente environ un résident sur sept. C'est plus que son plus proche concurrent, son voisin, Rosemont-La Petite-Patrie, où habitent 6590 travailleurs de ce secteur. Pour cette série, nous avons utilisé l'Annuaire statistique de l'agglomération de Montréal, publié par l'équipe de Montréal en statistiques, de la Ville de Montréal. Ce document analyse des données tirées du recensement de 2011 et de l'enquête nationale auprès des ménages de 2011. 3. Un quartier d'universitaires? Plus d'un résident sur deux du Plateau possède un diplôme universitaire, soit 44 085 personnes. Seul l'arrondissement de Côte-des-Neige-Notre-Dame-de-Grâce a un nombre plus élevé de diplômés : presque 10 000 personnes de plus, à 55 155 personnes, mais dans une proportion moindre (40,7 %). En termes de pourcentage, Westmount, Mont-Royal et Outremont ont les plus grandes proportions de diplômés universitaires sur l'île. 4. Un quartier de cyclistes et de piétons? Le stéréotype du résident du Plateau qui se rend à vélo ou à pied pour travailler semble se confirmer : cela représente 33,7 % des gens de cet arrondissement. Le Plateau éclipse tous les autres arrondissements pour l'utilisation du vélo : 6125 personnes, soit 11,6 % de l'arrondissement. C'est deux fois plus qu'Outremont, le second dans cette catégorie. Ils sont aussi les plus nombreux à Montréal à marcher : 11 710 personnes. En pourcentage toutefois, Ville-Marie est proportionnellement plus adepte de la marche pour se rendre au boulot (27,8 % comparativement à 22,1 % pour le Plateau). Toutes proportions gardées, les résidents de Pierrefonds-Roxboro sont ceux qui utilisent le moins la marche et le vélo pour aller au travail. 5. Un quartier de célibataires? Le mariage n'a pas la cote sur le plateau : l'arrondissement compte 50,1 % de célibataires et 21 % de personnes en union libre. En nombre, c'est toutefois dans Rosemont-La Petite-Patrie que les célibataires sont les plus nombreux. Dans le coin opposé : Côte-Saint-Luc, où moins du quart de ses résidents sont célibataires et à peine 3,3 % vivent en union libre. On peut aussi observer sur la carte une profonde différence entre l'Est ou l'Ouest. 6. Un quartier peu religieux? Côté foi, 38 980 résidents du Plateau disent n'avoir aucune religion, soit 39,7 % des résidents de l'arrondissement. En proportion suivent Ville-Marie (30,3 %) et Rosemont-La Petite-Patrie (25,9 %). L'arrondissement le moins athée? Saint-Léonard (7,1 %). Bobo pour toujours? Le Plateau n'a pas toujours été un quartier bobo, comme le rappelle l'urbaniste Daniel Gill. Et à l'avenir, son visage pourrait continuer d'évoluer. « Il y a un désir de partager des lieux communs avec des gens qui ont le même mode de vie. Historiquement, la création de l'UQAM a attiré des universitaires sur le Plateau. Les petits appartements d'ouvriers correspondaient aussi aux besoins des gens célibataires. »— Daniel Gill, professeur à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal. Les changements de population dans les quartiers prennent du temps à se produire. Ce qui ne veut pas dire que le Plateau sera le fief des bobos pour toujours. « Certains le trouvent déjà ringard. De nouvelles générations, plus jeunes, pourraient décider de s'installer ailleurs comme dans Villeray, Rosemont ou Griffintown », remarque Daniel Gill. Demain : L'Ouest riche, l'Est pauvre? Nous décortiquons les chiffres.
  18. Corvées très spéciales dans l'arrondissement Ville-Marie et dans le Vieux Montréal MONTRÉAL, le 23 oct. 2014 /CNW Telbec/ - Une vingtaine de personnes ont bravé les éléments ce matin et ont fait un pas de plus pour briser le cycle de pauvreté et d'isolation inhérent à l'itinérance. Ces personnes issues de programmes de réhabilitation et réintégration sociale ont effectué une corvée de nettoyage des pourtours extérieurs de cinq immeubles du centre-ville et du vieux Montréal. Ils étaient répartis en équipes, rémunérés et encadrés par des intervenants sociaux. Leur participation à cette activité professionnelle est une importante étape dans le processus de réinsertion à l'emploi. Cette activité a été organisée conjointement par l'Association des propriétaires et gestionnaires d'immeubles (BOMA Québec) et la Société de développement social de Ville-Marie (SDSVM). Il s'agit de la première d'une série d'initiatives mises de l'avant pour la cause de la pauvreté, l'itinérance et l'exclusion. Un geste concret « Plutôt que d'organiser la traditionnelle campagne de collecte de fonds, nous avons décidé de démontrer qu'il est possible d'offrir des opportunités professionnelles à des gens qui souhaitent sortir de la rue et améliorer leur vie », explique Dominic Gilbert, président du conseil d'administration de BOMA Québec. « Les gestionnaires et propriétaires d'immeubles sont quotidiennement confrontés à l'itinérance. Cette corvée est une alternative qui, nous espérons, fera boule de neige et sera reprise par les gestionnaires individuels sur une base régulière. » Briser les tabous « Nous croyons être en mesure de briser les tabous liés è l'itinérance et favoriser une plus grande cohésion sociale grâce à ce type d'initiative, » ajoute Robert Beaudry, directeur général de la SDSVM. « Nous travaillons déjà en partenariat avec certains gestionnaires immobiliers comme BUSAC qui gère la Place Dupuis, ou encore la STM. Nous savons que ces essais sont probants, » ajoute-t-il. Le partenariat entre BOMA Québec et la SDSVM se poursuivra. Entre autres, les organisations élaborent présentement un « coffre à outils » pour les gestionnaires immobiliers. Les immeubles qui se sont prêtés à l'exercice aujourd'hui sont le Palais des congrès de Montréal; le Centre CDP Capital; le Centre de commerce mondial; la Tour KPMG; et le 2001 University. À propos de BOMA Québec BOMA Québec (boma-quebec.org) représente le plus important regroupement de propriétaires et de gestionnaires d'immeubles commerciaux de la province. Ses membres détiennent et gèrent d'ailleurs plus de 85 % des immeubles à bureaux de Classe A au Québec. Leader dans le domaine depuis sa fondation en 1927, BOMA Québec a développé par ses services un créneau d'excellence dans la gestion immobilière ayant pour but d'accroître la valeur de l'actif immobilier. Pour BOMA Québec, cet actif comprend non seulement les aspects matériels d'un immeuble, mais également l'ensemble des aspects immatériels comme, par exemple, la qualité de son équipe de gestion, le profil de ses locataires et son style architectural. À propos de la Société de développement social de Ville-Marie La SVSDM (sdsvm.ca) est le premier courtier en valeurs sociales a pour mission de contribuer à la résolution de problèmes sociaux reliés à la pauvreté, l'itinérance et toutes les formes d'isolement social pouvant être vécues sur le territoire de l'Arrondissement Ville-Marie. Les organismes qui ont encadré les participants sont le Groupe Information Travail (groupeinfotravail.ca); Spectre de Rue TAPAJ (spectrederue.org/tapaj); et Sac à dos (le-sac-a-dos.ca). SOURCE BOMA QUEBEC Renseignements : Marie-Claude Cabana, coordonnatrice des communications, 514 591-4668 | mccabana@boma-quebec.org
  19. Village olympique: El-Ad présente un projet plus vert Éric Clément La Presse Cité Nature, la nouvelle version du projet résidentiel du promoteur El-Ad situé derrière les pyramides olympiques, est moins ambitieuse (1400 logements au lieu de 2000) et plus respectueuse de l'environnement, a appris La Presse. En avril dernier, le conseil d'arrondissement de Rosemont-La Petite Patrie avait rejeté l'accord de principe donné par le précédent conseil au promoteur El-Ad. Le projet situé entre les pyramides et le golf municipal du parc Maisonneuve ne respectait pas un certain nombre de critères définis à cause du caractère exceptionnel de ce secteur de Montréal. Le promoteur n'avait pas apprécié ce changement de cap, mais, finalement, il a fait contre mauvaise fortune bon coeur et a modifié son projet qui, selon les documents obtenus par La Presse, ne prévoit plus de constructions au bord de la rue Sherbrooke et respecte la hauteur maximale de 14 étages. Il n'y a plus d'empiétement sur des terrains municipaux, notamment sur le golf ou son champ de pratique et le massif de conifères est préservé. La densité du projet, qui s'adresse surtout à une clientèle de familles et de personnes âgées, a aussi été réduite : le nombre de logements est passé de 2000 à 1400. Cité Nature est composée de huit immeubles résidentiels ayant de 117 à 211 logements en location ou en copropriété, selon la tendance du marché. Cinq bâtiments de 10 à 14 étages, contenant les 943 logements du quartier Est de l'ensemble, sont d'abord prévus derrière les pyramides, du côté du boulevard de l'Assomption et du terrain d'entraînement du golf. Trois autres bâtiments (de 9, 13 et 14 étages), d'un total de 457 logements pour le quartier Ouest, seront construits sur le stationnement situé derrière les pyramides, du côté de la rue Viau. Différents aménagements paysagers autour et sur les bâtiments sont prévus afin d'offrir beaucoup de verdure aux résidants, qui pourront encore jouir du massif de conifères qui demeurera entre les deux quartiers de Cité Nature. Les promoteurs veulent ajouter 146 arbres sur les lieux, mais devront en couper une vingtaine. Un stationnement souterrain de trois étages sera construit pour les résidants du nouveau projet et pour ceux des pyramides qui auront perdu leur place à cause de la construction d'un des bâtiments. Le promoteur prévoit que la construction des huit bâtiments se fera sur une période variant de six à huit ans. Elle pourrait débuter à la fin de l'année si les autorisations de l'arrondissement sont obtenues. Le projet est-il conforme au règlement de zonage et aux critères du Programme d'implantation et d'intégration architecturale (PIIA) de l'arrondissement? Le maire André Lavallée ne le sait pas. «L'entreprise El-Ad m'a informé qu'elle présentera un projet entièrement conforme, mais ce projet n'a pas encore été formellement déposé à l'arrondissement, donc je ne peux pas prétendre à sa conformité», dit-il. Toutefois, El-Ad a fait discrètement deux réunions publiques pour prendre le pouls des résidants du quartier, auparavant très récalcitrants. Gilles Beaudry, qui s'était opposé au précédent projet, se dit agréablement surpris. «Les architectes ont réellement fait un bon travail avec un projet qui s'intègre bien avec le village olympique, dit-il. Ils respectent tout ce qu'on avait demandé.»
  20. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201408/28/01-4795307-petition-a-anjou-pour-defusionner-de-montreal.php Publié le 28 août 2014 à 10h51 | Mis à jour à 10h51 Pétition à Anjou pour défusionner de Montréal Le maire de l'arrondissement d'Anjou, Luis Miranda, lancera une pétition la semaine prochaine pour demander au gouvernement québécois de se séparer de Montréal, réveillant le spectre des défusions. Luis Miranda ne digère toujours pas la révision du budget des arrondissements annoncée cet été par l'administration Coderre. Même si Anjou ressort gagnant de l'exercice, obtenant plus d'argent, le maire estime que c'est insuffisant. La grogne est telle à Anjou que Luis Miranda est convaincu de pouvoir récolter 25 000 signatures alors que l'arrondissement compte seulement 30 000 électeurs. Il entend déposer celle-ci à l'Assemblée nationale pour forcer le gouvernement à tenir un référendum sur une défusion. «En 2001, il n'y avait rien dans la loi pour fusionner. En 2004, il n'y avait rien pour les défusions. Et aujourd'hui, il n'y a rien pour nous enlever le pouvoir de demander à partir», lance Luis Miranda. Cette sortie survient alors que l'arrondissement est à préparer son budget 2015. Le maire indique qu'il doit faire face à une augmentation d'un million de ses dépenses alors que Montréal lui enverra seulement 180 000$ de plus qu'en 2014. «C'est certain qu'on parle de réductions de services», déplore-t-il. Ces compressions, qui ont par le passé mené à la fermeture de patinoires et de chalets de services dans les parcs, alimentent la grogne, poursuit Luis Miranda. «Ce n'est pas vrai qu'on peut augmenter les taxes en réduisant les services», dénonce-t-il. Selon lui, les Angevins payaient un total de 66 millions en taxes au moment des fusions. Ce montant est aujourd'hui de 104 millions. Plus de détails à venir...
  21. On peut bien accuser MacLeans ou Financial post de faire du Québec bashing, mais on s'aide pas non plus avec des situations de ce genre! Je suis entièrement d'accord avec le fait de vouloir protéger le français, mais faut pas exagérer non plus! Campagne promotionnelle du Village Le «franglais» ne fait pas rire La dernière campagne promotionnelle de l'arrondissement de Ville-Marie ne fait pas rigoler tout le monde alors que des affiches placées sur la rue Sainte-Catherine Est, dans le Village, invitent les passants à rire «en franglais». «Mangez indien, recevez un massage suédois, riez en « franglais» et finissez avec une poutine italienne», peut-on lire sur les affiches déployées depuis le 9 juin dernier. Les défenseurs de la langue française y voient une situation qui est non seulement provocante, mais également inacceptable. «C'est un signal d'alarme puisque le terme est institutionnalisé. Une administration l'utilise pour faire la promotion de son quartier et ça soulève un questionnement quant à la dégradation de notre langue», a mentionné Christian Rivard, président par intérim du mouvement Québec français. Clin d'œil à Sugar Sammy L'arrondissement de Ville-Marie soutient que la campagne vise à mettre en valeur le caractère unique et festif du centre-ville. L'administration municipale mentionne avoir collaboré avec les Sociétés de développement commercial (SDC) sur son territoire pour la conception de ces affiches. Le «riez en franglais» n'apparaît donc que sur les affiches du Village. Ailleurs, on retrouvera plutôt: «Regardez un film bulgare». «Le terme fait référence au spectacle de Sugar Sammy (You're gonna rire et En français svp) présenté à l'Olympia», a expliqué Anik De Repentigny, chargée de communication à l'arrondissement de Ville-Marie. Sur les réseaux sociaux, les images de ces affiches provoquent de vives réactions depuis les derniers jours. L'arrondissement de Ville-Marie assure toutefois qu'aucune plainte à ce sujet n'a été reçue, au contraire dit-on la campagne est «très bien reçue par le public». Aspect provocateur Des passants rencontrés à proximité de l'Olympia où se retrouve une des affiches étaient pour la plupart peu interpellés par le message sur celles-ci. L'un confie ne pas avoir fait le lien avec le spectacle de Sugar Sammy. Une autre dame quant à elle estime qu'il faut arrêter de voir le terme comme une provocation. «Ça fait partie de la réalité de Montréal, je ne me sens pas heurtée», a commenté Laurie Côté. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/07/20140730-063447.html
  22. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  23. via Radio-Canada Près de 200 arbres touchés par l'agrile du frêne à Montréal Mise à jour le samedi 1 mars 2014 à 3 h 10 HNE L'agrile du frêne poursuit sa progression à Montréal. Le dernier bilan de la Ville fait état de 197 arbres infestés par l'insecte ravageur dans la métropole, dont 58 dans l'arrondissement de Merchier-Hochelaga-Maisonneuve. Rosemont-La-Petite-Patrie, Ahuntsic-Cartierville, Notre-Dame-de-Grâce-Côte-des-Neiges et Saint-Laurent sont aussi touchées par l'agrile du frêne. Les maires d'arrondissements et des villes situées sur l'île de Montréal doivent se rencontrer le 10 mars prochain afin de coordonner les efforts de lutte contre l'insecte et discuter de plans d'intervention sur les terrains privés. Comme ailleurs en Amérique du Nord, Montréal doit s'attaquer à l'agrile du frêne, qui menace une partie importante de la canopée montréalaise depuis son apparition en 2011. À Rosemont-La-Petite-Patrie, l'arrondissement procède à l'abattage de 300 frênes infestés ou menacés de l'être qui se retrouvent sur des terrains publics. L'opération devrait être terminée d'ici la mi-mars, selon le maire d'arrondissement, François Croteau. Le parti dont fait partie M. Croteau, Projet Montréal, réclame un fonds d'urgence de 10 millions de dollars de la part de l'administration municipale afin de lutter plus efficacement contre l'agrile du frêne. L'été dernier, Montréal avait investi un million de dollars pour combattre l'insecte. Avec les informations de Benoît Chapdelaine
  24. Rez-de-jardin fait plus beau que demi sous-sol Dans LaPresse : Publié le 16 janvier 2014 à 09h19 | Mis à jour à 09h19 Une espèce en voie d'extinction? Les cours Garneau, sur le Plateau Mont-Royal, proposent des unités sur deux niveaux incluant sous-sol et rez-de-chaussée. Les occupants ne vivent donc plus essentiellement sous le sol. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE NATHAËLLE MORISSETTE La Presse Les futurs acheteurs à la recherche d'un rez-de-jardin neuf sur le Plateau Mont-Royal risquent d'être déçus: l'arrondissement a voté en juillet 2011 un règlement visant à interdire ou à tout le moins encadrer la construction de ces unités dans les nouveaux projets afin, dit-on, d'améliorer la qualité de vie des résidants. Résultat: plusieurs des nouveaux immeubles à condos qui voient le jour dans le Plateau offrent des unités au rez-de-chaussée sur deux étages. Seules les chambres se retrouvent au demi-sous-sol et l'espace de vie - comprenant les pièces communes - sont à l'étage supérieur. L'arrondissement a pris cette décision à la suite d'une analyse de 29 projets. Parmi eux, 19 projets proposés en 2010 présentaient les problèmes suivants: ils étaient situés dans des zones où il y a beaucoup d'achalandage, sans recul et trop près des nuisances de la rue, comptaient sur peu de luminosité naturelle et n'offraient que des vues sur l'extérieur sans intérêt, peut-on lire dans un extrait du sommaire décisionnel daté du 2 mai 2011. Si les demi-sous-sols ne sont pas complètement bannis du Plateau, les constructeurs sont contraints de respecter certaines conditions: les logements au sous-sol ne doivent être autorisés que dans des zones strictement résidentielles, il faut calculer une distance de 1,5 m entre le logement et le domaine public et ce recul doit comporter au moins une fenêtre. L'arrondissement exige aussi qu'au moins 60% de la superficie de l'espace comprise entre le domaine public et le mur extérieur du logement soient recouverts de végétaux. Le promoteur a l'obligation de fournir un dégagement de 2 m entre une ouverture et toute unité de stationnement située sur la même propriété. D'autres arrondissements, comme celui du Sud-Ouest, n'ont pas de règlement de zonage propre au demi-sous-sol, mais bon nombre de nouveaux projets se retrouvent sous la loupe des conseillers en planification et urbanisme. Il arrive donc que, dans certains cas, les autorités suggèrent de créer des unités sur deux étages plutôt que d'avoir des condos sous le sol.
×
×
  • Créer...