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  1. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/07/06/004-politique-nationale-architecture-saint-laurent-de-sousa-ordre-architectes-quebec.shtml Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  2. 4 étages dans le quartier Tétreaultville. L'architecture est correct et la densité semble assez bien. Par contre je n'aime pas le nom. Pourquoi Soho ? Juste pour faire cool ? http://www.carresoho.com/
  3. J'ai regroupé des photos que j'ai prises sur Google Images des hôtels de villes des plus grandes villes du Québec. J'ai effacé les indices. Combien êtes-vous capables d'en identifier? Suite ici-bas
  4. Par défaut Pour une politique architecturale au Québec Erreur 404 | ICI Radio-Canada.ca Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  5. Une exposition sur les projets jamais construit de Montréal de 1990-2015 http://maisondelarchitecture.ca/ Reportage de la radio de radio-canada http://ici.radio-canada.ca/emissions/gravel_le_matin/2015-2016/archives.asp?date=2015/10/23&indTime=1542&idmedia=7361353
  6. Je suis dans le domaine des TI et aujourd'hui un collègue de Toronto venait nous visiter à Montréal pour la première fois de sa vie. Il travaille bcp à New York et Singapour et bien sur Toronto. J'ai pris une marche au C-V René-Lévesque\De La Montagne en passant par Ste-Cath et Beaver-Hall Square Victoria et il a vraiment été impressionné il trouvait la ville super belle ! Il a remarqué le Mont-Royal, La Place Ville Marie, La rue McGill etc. Il aimait beaucoup l'architecture et nos vieux batiments (Sun Life, Cathédrale etc.) On reprend la visite demain Bref je voulais vous le partager j'ai trouvé ça bin l'fun ! C'est le fun se faire dire par un gars de l'extérieur qui trouve que Montréal une belle ville sans lui mettre les mots dans la bouche. :mtl:
  7. Étude très intéressante de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain sur les industries créatives, dont: - L'architecture - L'architecture de paysage - Le design d'intérieur - Le design industriel - Le design graphique - Le design de mode Chambre de commerce du Montréal métropolitain – « Étude Les industries créatives: catalyseurs de richesse et de rayonnement pour la métropole » LES INDUSTRIES CRÉATIVES : Catalyseurs de richesse et de rayonnement pour la métropole http://ccmmdev.com/pdf/etude_industries_creatives.pdf
  8. Pour les gens que ce type d'architecture peut intéresser, j'ai découvert ce projet photographique sur l'architecture brutaliste dans le monde. http://ismaelfortiergueymard.com/modernisme/
  9. Parmi les choix suivants, lequels de la demi-douzaine de tours de quarante étages préférée et ce, en fonction de l'architecture uniquement. Oups, est-ce qu'un modé peut enlever ce topic, je l'ai envoyé avant de créer le sondage.
  10. Prix MtlURB / MtlURB Awards Ça fait longtemps qu'on en parle, mais les voicis, les prix MtlURB ! Le vote se déroulera de cette manière : Premier vote : pour 2007. 1er tour : 4 catégories : Projets de 4 étages et moins. Pensez à l'intégration au quartier Pensez à l'architecture Pensez au design Pensez à l'ouverture sur la rue Pensez au TOD Pensez vert Projets de 5 étages et plus. Pensez à l'intégration avec ses voisins Pensez à l'architecture Pensez au design Pensez à l'ouverture sur la rue Pensez au TOD Pensez vert Rénovation / restauration. Pensez au respect de l'ancien édifice (s'il avait lieu de le respecter) Pensez au pont historique (si on fait un clin d'oeil au passé) Pensez à l'architecture Pensez au design Pensez à l'ouverture sur la rue Pensez vert Déception de l'année. Pensez à l'architecture Pensez au design Pensez à l'ouverture sur la rue Pensez vert Chaque catégorie aura 10 mise en nomination. Vous aurez 1 mois pour voter. Les 3 premiers projets iront en ronde finale. Un quatrième projet s'ajoutera à la ronde finale et sera le "choix du publique" Pour proposer un projet "choix du publique", simplement le dire dans votre message en même temps que vous votez. La ronde finale durera aussi 1 mois. Les prix : Petit projet de l'année : Grand projet de l'année : Rénovation / restauration de l'année : Déception de l'année : Ces prix seront affichés à côté du nom du projet dans le fil: ***** Liste des projets complétés | Completed projects list ***** qui a d'ailleurs été réaménagée pour l'occasion, mais je n'ai pas encore totalement fini de la réaménager. *************************** MISE-À-JOUR 11 septembre 2010 *************************** J'ai ajouté une cinquième catégorie, la catégorie Infrastructures étant donné qu'à partir de 2008, il y a beaucoup plus de projets qui ont été répertoriés sur MtlURB et par logique, certains projets ne pouvaient tout simplement pas être mélangés ou placés dans les 4 catégories existantes à ce jour. Le prix: Infrastructure de l'année ::
  11. http://www.radio-canada.ca/emissions/au_dela_des_murs/2011-2012/Chronique.asp?idDoc=224895&autoPlay= Au-delà des murs est une série de huit demi-heures documentaires qui porte un regard sur l'architecture à Québec en compagnie de Pierre Thibault, architecte québécois de réputation internationale, et de l'animatrice Catherine Lachaussée. Telle une balade vagabonde à Québec, ville de patrimoine par excellence en Amérique du Nord, chaque émission présente un thème qui a influencé et qui conditionne encore aujourd'hui notre architecture. Les animateurs vont ainsi à la rencontre d'architectes, d'urbanistes, de chercheurs, d'historiens et d'artisans qui livrent leurs réflexions et leur démarche. Par leurs regards sur des lieux et des édifices, nous découvrons ce qu'il y a « Au-delà des murs » pour apprécier l'impact de l'architecture dans nos vies. http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/201205/30/01-4530219-larchitecture-pourles-nuls-a-radio-canada.php Richard Therrien Le Soleil (Montréal) On finit par l'oublier, mais un seul regard autour de nous suffit pour se laisser imprégner d'un motif, d'une époque, d'une méchante bonne idée, de ce qui est magnifique pour les uns et affreux pour les autres. C'est probablement l'effet qu'aura sur vous la nouvelle série documentaire Au-delà des murs, diffusée dès le samedi 9 juin à 18h30 à Radio-Canada Québec. Parce que les murs n'ont pas seulement des oreilles, ils parlent. Pour leur tirer des confidences, Catherine Lachaussée assure l'animation de la série, secondée par l'architecte bien connu Pierre Thibault, «coolement philosophe», selon l'animatrice. Huit demi-heures à contempler, entièrement produites à Québec chez Productions VF, et diffusées localement dans la case occupée jusqu'ici par Vie de quartier. L'idée est venue de la réalisatrice Isabelle de Blois, fille de l'architecte Jacques de Blois, décédé en 2008. Initiée très tôt au monde de l'architecture, elle a eu envie de faire parler ces «créateurs de beauté», comme elle les appelle, qui forgent notre environnement. Québec restant un modèle au niveau architectural, on avait le terreau parfait pour convaincre la station de Radio-Canada à Québec d'embarquer dans l'aventure, de même que Canal Savoir. Isabelle de Blois a réalisé quatre épisodes, Émilie Baillargeon, les quatre autres. Thèmes Chaque émission aborde un thème, comme la lumière, l'hiver, le feu et l'architecture durable. Dans la cinquième émission montrée mercredi aux journalistes, à l'École d'architecture du Vieux-Séminaire, on tente de distinguer le vrai du faux. Le vrai passe le temps, le faux, beaucoup moins, fait-on remarquer. J'ai appris entre autres que certaines parties de la façade de la Caserne Dalhousie d'Ex Machina dans le Vieux-Port paraissent bien réelles, mais ne sont qu'imitation. Son concepteur, l'architecte Jacques Plante, n'est pas peu fier que son oeuvre ait remporté le Prix du public, elle qui en apeuré plusieurs par son côté moderne en milieu patrimonial. On lui doit aussi le Théâtre de la Bordée, de même que la Tohu à Montréal. Intéressante aussi cette incursion sur le chantier de l'agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec avec un ingénieur en structure, Martin Lemyre. Quand on regarde les plans de cette portion en grande partie vitrée, on saisit toute la complexité des travaux et comment on a poussé encore un peu plus les limites de la technologie. Bien qu'il parle peu - on ne le voit que dans les présentations avec Catherine Lachaussée -, Pierre Thibault sait communiquer sa passion pour l'architecture. Le tout est parfois aride, mais on apprend des choses, qui nous feront voir autrement le théâtre Impérial, la chapelle du Petit Séminaire et même les maisons de banlieue. Hélas, la génération actuelle d'architectes ne dispose pas de la marge de manoeuvre qu'avaient ceux qui les ont précédés. Faut pas que ça coûte cher, et faut surtout plaire au plus grand nombre. Aujourd'hui, on ne cherche plus d'architectes, on cherche des constructeurs, déplore Pierre Thibault. Le directeur de Radio-Canada Québec, Jean-François Rioux, a tenu à souligner qu'une telle série aurait été impossible sans le Fonds pour l'amélioration de la programmation locale du gouvernement fédéral, cette taxe de 1,5% qui apparaît sur votre relevé de câble, dont le renouvellement pour l'année qui vient n'a pas encore été annoncé, et dont Québecor a demandé l'abolition. Surtout présente à la radio depuis plusieurs années, Catherine Lachaussée semblait ravie mercredi de reprendre l'animation de l'émission du retour à la maison au 106,3 FM à l'automne. Ravie, entre autres, de pouvoir emmener le réalisateur André Chouinard, qui pilotait ses samedis matin à la Première Chaîne. Dès le 20 août, elle sera entourée de Suzie Pelletier à l'information, d'Anne-Josée Cameron au culturel, de Marc-André Boivin à la circulation et de Martine Côté à la météo.
  12. C'est devenu un symbole de Montréal, la Place Ville-Marie a 50 ans cette année. Et même si l'achitecture contemporaine nous a laissés des horreurs, ce gratte-ciel est une beauté classique qui vieillit bien. La Place Ville-Marie marque aussi la naissance du Montréal moderne. Visite guidée avec Anne-Louise Despatie. Patrice Roy parle de l'architecture montréalaise avec l'architecte Philippe Lupien. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=205732&autoPlay=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/CBFT/2012-03-02_18_00_00_tj18h_1958_05_500.asx
  13. Probablement un des pires noms que j'ai vu à date pour un projet... Le projet est situé sur le boulevard Gouin, à l'est du nouveau pont de la 25. La densité de ces condos détonne dans un endroit à l'architecture déjà très hétérogène. Un rendu trouvé sur le web: Une photo de la construction:
  14. Voici quelques articles sur le projet Félix-Martin. La phase 1 réalisée de 1986 à 1988 devait être suivie de la phase 2, un édifice de 33 étages. Vous pourrez lire les évènements qui ont entraînés l'annulation de ce projet. Les commentaires négatifs sur l'architecture de ce projet n'ont pas dû aider non plus.
  15. La ville en héritage Le Montréal du XXIe siècle déjà se construit Normand Thériault Le Devoir 19 février 2011 Habitation L'éditeur était Pelican. L'entreprise était basée à Londres. Et régulièrement paraissait un titre qui décrivait l'architecture d'un pays, ou à tout le moins celle d'une région ou d'une culture. Supposons que paraisse un jour une publication qui serait consacrée à l'architecture canadienne du XXIe siècle. Quelle serait l'image de Montréal qui imprégnerait la rétine et la mémoire d'un éventuel lecteur? C'était le XIXe siècle et déjà dans la ville se dressaient l'église anglicane St. George, la Notre-Dame, comme la cathédrale, l'hôtel de ville, le marché Bonsecours, le palais de justice, la gare Windsor, la colonne Nelson, les écuries d'Youville, les places d'Armes ou Jacques-Cartier (avec sa colonne Nelson), comme la Banque de Montréal, mais déjà aussi figurait la tour de la New York Life Insurance, cet édifice en pierres rouges à l'angle nord-est de la place d'Armes qui fut le premier gratte-ciel montréalais. Et c'est tout. Du moins selon Hartill Art Associates, cette entreprise qui dresse un répertoire visuel de l'architecture mondiale, répertoire dont la qualité a été reconnue par le Musée des beaux-arts du Canada, qui accueille maintenant les archives physiques de ce projet d'abord pensé virtuel. Et qu'en est-il du siècle qui suit, le vingtième? Ici, le paysage montréalais est plus fourni. Il y a tout ce qu'Expo 67 a permis de construire, comme il y a un univers Lambert (le CCA ou le Westmount Square), mais aussi le Château Champlain, la Place des Arts, les Places Bonaventure et Ville-Marie, la tour de la Bourse de l'Italien Nervi, le Pointe-à-Callière d'Hanganu, la Sun Life, divers musées, les tours à bureaux rue La Gauchetière ou boulevard René-Lévesque, la zone olympique, tout comme la Banque de Montréal des architectes McKim, Mead et White. Déjà là Ce Hartill serait-il encore en activité dans un siècle, que pourrait-il alors inscrire pour raconter ce Montréal qui alors serait? Bien sûr, il serait fait état d'un développement immobilier (en espérant que l'audace soit enfin au rendez-vous et qu'il n'y ait point trop eu d'une activité purement commerciale qui banalise les ciels urbains), comme on raconterait sans doute les belles aventures que sont le Quartier international ou le Quartier des spectacles, en espérant dans ce dernier cas une conclusion heureuse. Et pour le reste, il faut voir. Déjà, le nouveau pavillon Erskine et Art canadien évoque en maquette le résultat final, comme on se dit qu'un jour l'UQAM poursuivra son développement, à l'égal de celui entrepris, souvent avec succès, par ses consoeurs McGill et Concordia, quand Montréal peine encore et que les CHU se font attendre. Pour le reste, que deviendront le canal de Lachine et le site du nouveau havre, cet espace unique pour construire? Et l'immobilier d'affaires nous réserve-t-il de belles surprises? Quant au secteur résidentiel, y aura-t-il un jour audace ou continuerons-nous ici à voir les prix attribués seulement à des rénovations pour petites surfaces? Vision Parlant d'histoire, nous sommes déjà en début d'une deuxième décennie d'un nouveau siècle. Et qui a conscience, voire se sent responsable, de l'héritage qu'on laisse aux générations futures? Car le bien-être consiste en beaucoup plus que de simplement penser l'avenir en fonction du déficit zéro: cela s'appelle avoir une vision d'avenir. http://www.ledevoir.com/loisirs/habitation/317115/la-ville-en-heritage
  16. Bonjour ! J'ai décidé hier de créer une série de photo sur l'architecture des écoles. J'adore l'architecture et j'étudie en photo, donc un des mes sujets favori en photo est l'architecture et l'urbanisme. L'architecture des écoles n'est pas ce qu'il y a de plus extraordinaires, surtout celles construites après les années 60. Dans cette série j'espère pouvoir vous faire découvrir et partager des angles de vues qui feront sortir la beauté de ces immeubles souvent en mauvaise état. Voici la première photo de cette série. Construit en 1967 par le Collège Français, ce bâtiment était un annexe pour la division primaire du collège Français jusqu'en 2000. Depuis 2000, elle abrite "L'École des Premières Lettres", une OSBL dirigé par les parents des enfants.
  17. J'ai découvert que "football" au Québec désignait ce que les Français appellent le "football américain", je trouve cela amusant. Mais ce que les Français appellent le "football", qu'est-ce que c'est au Québec, c'est le "soccer" ou il y a un mot français ? Et est-ce qu'il y a une équipe nationale de "soccer" au Québec ? Ou ce sport est-il un peu marginal ? J'indique par ailleurs un forum qui n'a rien à voir avec le sport mais tout avec l'architecture. Il y a des choses très bien sur le Québec et le Canada : http://www.skyscrapercity.com/
  18. international _05.08.09 Allemagne: le mur d'un musée prend vie 555 KUBIK | facade projection | from urbanscreen on Vimeo. Les projections sur bâtiment sont de plus en plus nombreuses et impressionnantes; ici, une animation donne vie à la façade du musée Kunsthalle à Hambourg. Réalisée par le studio Urbanscreen, en collaboration avec le designer graphique Daniel Rossa, elle joue avec l'architecture et la géométrie. Elle répond à l'énoncé "How it would be, if a house was dreaming". Pour plus d'info sur le concept, cliquez ici. - Mélanie Rudel-Tessier - Grafika
  19. Le 25 février 2010 Qui a peur de l'architecture contemporaine? * Lucie Lavigne La Presse En matière d'architecture résidentielle, le style contemporain déstabilise ou parfois même rebute encore plusieurs personnes. Pourquoi? Nous avons posé cette question à un architecte bien connu au Québec: Pierre Thibault. Lucie Lavigne: Pourquoi selon vous, les maisons de style contemporain sont-elles encore rarissimes au Québec? Pierre Thibault: Parce que les règles de l'architecture contemporaine sont complètement différentes de celles de l'architecture traditionnelle. Les gens n'ont plus leurs repères. Selon moi, l'une des meilleures façons de la découvrir et, surtout, de l'apprécier est de «goûter» pendant une journée aux qualités architecturales d'une habitation actuelle. Au départ, les gens sont impressionnés par l'effet des volumes et le lien entre l'intérieur et l'extérieur, beaucoup plus puissant que celui d'une maison standardisée où toutes les pièces sont identiques. Après un certain temps, les visiteurs se disent «wow», je suis bien ici. Ils se rendent compte que l'expérience peut être enrichissante. L'objectif de l'architecte est d'ailleurs de créer une atmosphère et de procurer des sensations diversifiées aux occupants d'une propriété. Je l'ai vécu moi-même avec certains membres de ma famille. Après avoir visité mon chalet, ils m'ont demandé s'ils pouvaient l'habiter... pendant un week-end! Q. Pourquoi les néomanoirs continuent-ils de se multiplier et comment décodez-vous cette tentative de recréer des châteaux? R. Je crois que c'est un phénomène qui tire à sa fin. Cette tendance correspondait aux envies d'une génération de la fin des années 90 qui avait une image idyllique de la propriété, popularisée par certaines émissions de la télé américaine. La nouvelle génération, dont mes propres enfants et mes étudiants à l'Université Laval, n'adhèrent pas à cette mode. Je dirais même qu'ils la ridiculisent et comparent les similichâteaux à des maisons de Barbie. Ils préfèrent, je crois, retourner à des valeurs essentielles et universelles. À leurs yeux, habiter n'est pas un moyen d'impressionner son voisin, mais plutôt d'avoir une vie plus agréable. Q. Croyez-vous que la construction contemporaine sera un jour plus populaire? R. Je suis de nature optimiste, alors je vous répond: oui! Comme j'enseigne à l'université et que j'ai maintenant des clients très jeunes, je suis à même d'observer un changement. Les très grandes maisons, dites Monster Houses n'ont plus la cote. Les enfants qui les ont habitées ne veulent pas vivre leur vie d'adulte dans ce type d'habitation surdimensionnée. Je dirais même qu'ils ont influencé leurs parents. J'ai actuellement des clients qui vivent dans une Monster House et qui veulent changer d'environnement. Lors de visites, j'ai d'ailleurs constaté de visu la pauvreté spatiale de ces projets. On a beau mettre beaucoup d'argent dans la décoration, ça ne rend pas les espaces intérieurs plus agréables à vivre. Q. Qu'est-ce qui différencie une habitation conventionnelle d'une autre, de style contemporain? R. Souvent, dans les habitations à l'architecture conventionnelle, chaque pièce est à peu près identique, c'est-à-dire qu'elle comporte toujours quatre murs dont un ou deux percés d'une petite fenêtre. Le rapport avec l'extérieur et la lumière s'avère ainsi toujours à peu près le même. À l'inverse, dans une propriété contemporaine, le but est d'aller chercher le maximum de lumière naturelle, des vues variées sur l'extérieur et une diversité spatiale avec des espaces parfois plus hauts ou plus larges que la normale. On peut alors se retrouver avec des pièces où l'on se sent un peu «comprimés». Ailleurs dans la maison, on peut, au contraire, ressentir une dilatation de l'espace avec des plafonds hauts. Résultat? Le quotidien est moins banal. La préoccupation de l'architecte n'est donc pas de faire «joli», mais de solliciter tous les sens des occupants. Se promener dans la maison se transforme en une expérience architecturale. Q. Parmi les éléments déconcertants d'une maison contemporaine, il y a son entrée principale, rarement flamboyante et centrée en façade. Il est parfois même difficile de l'apercevoir de la rue. Qu'en pensez-vous? R. Je crois que le mot «déconcertant» est juste, car la plupart des gens ont l'habitude d'entrer en façade. En entrant latéralement, par exemple, les visiteurs peuvent découvrir une grande perspective avec une longue fenêtre qui cadre le paysage, au lieu de tomber face à face à une penderie. Cette façon moins conventionnelle de pénétrer dans une propriété est de plus en plus appréciée. Depuis 50 ans, notre façon de vivre et l'habitat ont évolué. Certaines personnes sont toutefois restées avec une image passéiste de l'habitation. Q. Enfin, est-il possible pour une famille qui n'est pas très fortunée de construire ou de rénover une habitation dans un style contemporain ? R. L'un des meilleurs moyens pour abaisser les coûts de construction est de réduire la superficie. Sinon, il existe des trucs pour faire paraître une propriété plus vaste qu'elle ne l'est en réalité. Une fenestration bien pensée et de grandes terrasses, par exemples, rendent les espaces intérieurs particulièrement agréables et, surtout, ils peuvent créer un effet d'agrandissement étonnant. photos: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/architecture-et-patrimoine/201002/24/01-954862-qui-a-peur-de-larchitecture-contemporaine.php
  20. Du site de Lemay Michaud architectes. Est-ce à Montréal ? Aucune idée, mais je présume que oui étant donné que c'est Parasuco. Entk ça serait tout un choc pour l'architecture montréalaise ! Je verrais plus cet hôtel à San Francisco ou Milan.
  21. Londres à son big ben Montréal à son quai de l'horloge Laval et St-Léonard ont leurs horloges dans leurs résidences Soleil Et oui, il y aura une résidence soleil à Ste-Julie tout près de chez-moi, 500 appartements et c'est en construction et effectivement cette résidence sera équipée aussi d'une horloge, ce ne seras plus possible de manquer l'heure à Ste-Julie. 29 avril 2009 Le rendu (malheureusement je n'ai pas réussis à le grossir) C'est un gros projet pour une petite ville comme Ste-Julie mais comme c'est toujours le cas avec les résidences Soleil, l'architecture c'est toujours minable!
  22. L'entrevue - Le starchitecte de l'échelle humaine Le Devoir Jérôme Delgado Édition du lundi 24 novembre 2008 Mots clés : Sharp Centre, architecture, Will Alsop, Construction, Ontario (province), Canada (Pays) Le Britannique Will Alsop a signé un «manifeste urbain» à Toronto L'architecte britannique Will Alsop, photographié au Centre canadien d'architecture, à Montréal. Photo: Jacques Grenier Alors que Montréal s'enorgueillit tout juste d'avoir déniché son starchitecte, Paul Andreu, Toronto, elle, en a déjà plus d'un. Parmi eux, notons la canadian star Frank Gehry, dont on vient d'inaugurer la version renouvelant l'Art Gallery of Ontario; Daniel Libeskind, auteur de la transformation récente du Royal Ontario Museum; et Will Alsop, qui y a même ouvert un bureau après la réalisation, en 2004, d'une oeuvre phare, le Sharp Centre, annexe flottante, littéralement, de l'Ontario College of Art & Design (OCAD). Dans la course effrénée qu'elles se livrent, les villes du monde jouent désormais la carte de l'architecture grandiose. Pour faire parler d'elles et attirer touristes et billets verts, elles rêvent d'une dream team du bâti. Et pourquoi pas? demande Will Aslop, architecte de Londres et du monde avec ses bureaux à Marseille, Shanghaï et Singapour. Et désormais à Toronto, qui compte déjà sur d'autres de ses oeuvres telles que les WESTside Lofts, livrés en 2006, et un complexe pour l'industrie du cinéma, le Filmport, encore à venir. Des réalisations qui entrent dans la catégorie «icônes». «Je ne comprends pas, dit-il, que des gens puissent être contre l'idée de bâtiments icônes, contre le monde des starchitectes. C'est ridicule. C'est comme être contre l'idée d'avoir des footballeurs de première classe. Si tu possèdes une équipe, tu espères avoir de très bons joueurs, c'est tout.» Will Alsop est une figure internationale, statut confirmé par le prestigieux prix Stirling, le Booker Prize de l'architecture, qu'il recevait en 2000 pour sa bibliothèque Peckham de Londres. Il était de passage à Montréal début octobre. Non, assure-t-il, il n'a aucun projet en vue pour nous. C'est le Centre canadien d'architecture qui l'a invité à donner une conférence en marge de l'exposition Will Alsop: OCAD, un manifeste urbain, qui arrivait alors à terme. Manifeste urbain, oeuvre phare ou, dans le langage commun, «dessus de table» (tabletop), le pavillon de l'OCAD conçu par Alsop et consorts (la firme torontoise Robbie/Young + Wright) frappe l'imaginaire. Et plaît, si l'on se fie à cet homme qui photographie le bâtiment de chez lui, tous les jours. Il faut dire qu'avec ses parois extérieures en damier et surtout avec sa place bien dans les airs (à la hauteur d'un neuvième étage), le Sharp est inévitable. Posé sur de grandes pattes bleues, le bâtiment est accessible, des yeux. Pour y pénétrer, il faut passer par le vieil édifice de l'Ontario College of Art & Design. «La plupart des gens ne regardent pas vers le haut. Ils ne voient que les neuf ou dix premiers mètres, la rue, les façades», dit-il à un moment de l'entrevue qu'il nous a accordée, rue Sherbrooke, dans un hôtel chic et mesuré, à son image. Alsop n'a jamais compris cette attitude généralisée, mais, à Toronto, il s'est donné les moyens de faire lever la tête: comme il le résume brutalement, «il n'y a rien avant 26 mètres». C'est une solution, soutient-il, qui découle d'un processus basé sur l'écoute et la contribution de tout un chacun. «J'organise des ateliers où j'invite le public à travailler. Qu'ils peignent, qu'ils dessinent, qu'ils s'imaginent en architectes. Et je vole leurs idées. C'est un bel arrangement!» Le commentaire, sérieux, est accompagné d'un grand rire. Mais on imagine mal Will Alsop commettre des larcins. Il est plutôt rassembleur, homme affable et d'agréable compagnie, doté d'un humour incisif. Ces rencontres avec une foule bigarrée -- dans le cas de l'OCAD avec étudiants, enseignants, résidents... -- lui servent de véritable brainstorming dans lequel il plonge volontiers. «Les dessins sont affichés dans le studio, précise-t-il. Je garder un oeil dessus. C'est très bon, c'est comme mettre du bruit dans le système.» L'idée de bâtir après 26 mètres vient des gens, assure par ailleurs l'architecte. Garder accessible le parc adjacent était une de leurs demandes. Une mauvaise perception Malgré son statut et son plaisir de jouer parmi l'élite, Alsop refuse de voir son métier comme un bal réservé à un glamour bien-pensant, à des génies dont la tête déborde d'imagination et d'innovation. «Beaucoup pensent, comme Le Corbusier, que le point de départ est une page blanche. Je pense qu'il n'a jamais travaillé comme ça. Chaque fois, il partait du projet précédent.» Will Alsop peut parfois se montrer peu tendre à l'égard du milieu de l'architecture, lui qui a oeuvré dans une période noire de l'architecture anglaise, les années 1990, où «il n'y avait aucune planification, aucune méthode». Si l'on est si prompt à critiquer la starchitecture, c'est qu'une mauvaise perception circule. Et cela déplaît à Alsop parce que cette mauvaise image est alimentée par une majorité de mauvais architectes. «Selon moi, 90 % des architectes ne sont pas bons. C'est une chose difficile à dire. Mais ils ne sont pas intéressés par l'architecture. Ils sont là parce que leurs parents leur ont dit qu'il s'agissait d'une belle profession, parce qu'ils aiment jouer au golf avec leurs clients. Ce sont eux, c'est par eux qu'est arrivée cette opposition à l'architecture icône. Ils savent eux-mêmes qu'ils ne sont pas bons.» Un piédestal de grandeur L'architecture, à ses yeux, gagne à descendre de son piédestal de grandeur. Il travaille à un rythme humain, lui, le starchitecte qui préfère Marseille à Paris -- «On ne m'a jamais invité à construire dans Paris, c'est pour ça que je ne l'aime pas», dit-il en riant. Dans son plus vaste bureau, celui à Singapour, travaillent 60 personnes, alors que Norman Forster, par exemple, en emploie 1800 à Londres. Ses déplacements en Europe, il les fait en train. Et selon lui, pour qui un des grands plaisirs est «de s'asseoir et ne rien faire», éliminer les bancs publics est une grossière erreur. «C'est sur le ton de la confidence que je travaille. Ma compréhension du lieu me sert à mieux comprendre l'architecture.» Mieux comprendre les lieux, une ville et sa population signifie aussi accepter de raser certaines horreurs. Manchester serait sortie gagnante de la destruction d'un central commercial et d'un environnement qu'Alsop affuble d'un assassin «ugly». «Aujourd'hui, la ville est fantastique. Il y a un vrai buzz qui n'existait pas avant.» New York et ses tours? Vous l'aurez compris, Will Alsop voit du bon dans l'effondrement du World Trade Center, un lieu qui lui semblait déconnecté de la rue. «C'est certainement une grande tragédie parce qu'il y a eu beaucoup de morts. Mais si les édifices avaient été vides, ça aurait été une bonne affaire.» *** Collaborateur du Devoir http://www.ledevoir.com/2008/11/24/218294.html (24/11/2008 9H41)
  23. Source: Créativité Montréal À la fois guide touristique et ressource bibliographique, le "Guide de l'architecture contemporaine de Montréal" offre de l'information essentielle à la découverte du patrimoine urbain: les cartes de 15 quartiers et arrondissements accompagnées de suggestions de circuits (Plateau Mont-Royal, Saint-Henri/Canal Lachine/Petite-Bourgogne, Quartier International, etc.), et pour chaque bâtiment, une photo ainsi qu'une illustration ou un plan, une description du projet, le nom de l'architecte et l'année de réalisation. Depuis 1981, Nancy Duton a collaboré à divers projets et a organisé des programmes publics sur l'architecture, notamment des programmes universitaires et professionnels au Centre canadien d'architecture (CCA). Elle a aussi été, à titre de consultante, commissaire de l'exposition "Qim: un quartier sur mesure", en 2006. Nancy Duton a coécrit ce guide avec Helen Malkin, qui possède plus de 20 ans d'expérience en coordination de projets d'expositions et de publication sur l'architecture et la ville. Après avoir travaillé pendant plusieurs années au CCA, elle est aujourd'hui consultante en gestion artistique et culturelle.
  24. Petite Italie: une autre usine transformée en lofts L'ancienne usine de meubles est de taille modeste. Son apparence massive, son revêtement de brique et sa structure d'acier sont caractéristiques de l'architecture industrielle. Photo François Roy, La Presse Le vendredi 7 mars 2008 Sophie Ouimet-Lamothe La Presse L'Imperia est un nouveau projet de reconversion d'usine en lofts dans l'ancien secteur industriel Marconi-Alexandra, à l'ouest de la Petite Italie. Promoteur : Construction Concept Imperia. Architecte : Colin Fraser de GCA Groupe Conseil Architectural. Nombre d'habitations : 27 lofts (55% sont vendus). Superficie : de 500 à 1100 pieds carrés. Prix : de 125 000$ à 295 000$ (plus taxes); stationnement souterrain optionnel, 20 000$ (plus taxes). Arrondissement : Rosemont-La Petite-Patrie. >> Visitez un loft-témoin du projet L'Imperia en photos. Description : Dans ce bâtiment construit en 1946, tout a été remis à neuf, sauf la structure, les murs extérieurs et le plafond. Les lofts ont tout de même gardé certaines caractéristiques de l'architecture industrielle : plafonds de 11 pieds, fenêtres larges, murs de brique. Certains logements sont sur deux niveaux ou équipés d'une mezzanine. Un ascenseur dessert les trois étages de l'immeuble. Tous les lofts sont climatisés. Livraison : au printemps. À cinq minutes : la station de métro De Castelneau, le marché Jean-Talon et les cafés, épiceries fines et restaurants italiens du boulevard Saint-Laurent. Clientèle cible : les premiers acheteurs, les jeunes professionnels, les couples. On aime : les qualités spatiales intéressantes héritées de l'architecture industrielle (plafonds hauts, grandes ouvertures, matériaux bruts). On aime moins : le projet aurait gagné à conserver davantage du cachet d'origine. Adresse et site internet : 6820, rue Saint-Urbain, entre Beaumont et Saint-Zotique Tél. : 514-293-9088 www.conceptimperia.com http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/7247-Petite-Italie-une-autre-usine-transformee-en-lofts.html
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