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  1. Felicitation a la chanteuse americaine Celena Rae pour avoir chanter l'hymne national du canada dans les deux langues (francais et anglais) ce soir durant la partie canadiens-stars au American Airlines Center a Dallas, Texas.
  2. Chaque semaine, Influence Communication surveille et analyse pour Métro la couverture internationale du Québec dans 160 pays du monde et en 22 langues.
  3. Langues officielles: Fraser exige un plus grand leadership du fédéral REUTERS Louis Lafortune La Presse Canadienne Quarante ans après l'adoption de la Loi sur les langues officielles, les Canadiens ont toujours beaucoup de difficulté à se faire servir dans les deux langues, surtout les francophones hors-Québec. «L'arbre a été planté, mais seulement quelques fruits sont mûrs», a déclaré mardi matin le commissaire aux langues officielles du Canada, Graham Fraser, lors du dépôt de son rapport annuel. M. Fraser demande au gouvernement conservateur d'«exercer un plus grand leadership» afin d'assurer des services bilingues lors des Jeux olympiques d'hiver de Vancouver en 2010. M. Fraser dénonce l'appui timide du gouvernement de Stephen Harper à la dualité linguistique au Canada. Il cite la Feuille de route 2008-2013 dévoilée l'an dernier par l'ex-ministre de Patrimoine canadien, Josée Verner, qui «ne soutient pas le développement des communautés de langue officielle autant qu'il serait souhaitable». Cette feuille de route est venue remplacer le Plan d'action sur les langues officielles qui venait à échéance l'été dernier. Or, les organismes qui défendent les droits linguistiques au pays n'ont pas encore reçu les sommes promises pour leur financement. «Les sommes annoncées en juin 2008 ne suffiront pas à répondre à l'ensemble des besions des communautés pour leur permettre de faire face aux défis d'ici 2013.» Ce plan d'action du gouvernement Harper ne définit pas non plus de «cibles précises pour guider les institutions fédérales dans leurs interventions», ajoute M. Fraser. Améliorations dans la fonction publique Comme il l'a déjà fait dans ses rapports précédents, Graham Fraser note certaines améliorations au niveau de la fonction publique. Il félicite notamment les services billingues offerts à la Société du Musée canadien des civilisations, à la Commission de la capitale nationale, à la Commission canadienne du tourisme et au Centre national des Arts. Toutefois, l'appareil fédéral a encore du chemin à faire. «En plein contexte de renouvellement de la fonction publique, il faut répéter haut et fort le message que le français et l'anglais ont tous deux leur place comme langues de travail dans les insitutions fédérales et que le bilinguisme est une composante essentielle du leadership», écrit le commissaire aux langues officielles. Graham Fraser annonce qu'il entreprendra cette année une étude sur le leadership dans la fonction publique bilingue. D'autre part, il note encore une fois des lacunes dans les services offerts par le transporteur aérien Air Canada. Il demande au ministre des Transports de déposer un projet de loi qui aurait pour but «la protection et le maintien des droits linguistiques du public voyageur et du personnel d'Air Canada.»
  4. Des Jeux «in English»? Pierre Jury Le Droit À Vancouver, le concept des deux langues officielles, l'anglais et le français, n'est trop souvent que cela: un concept, une idée désincarnée du quotidien, un voeu pieux que plusieurs croient avoir été imposé au reste du pays par des Québécois militants et adopté par des politiciens mal avisés. Il est bien évident qu'avec à peine 24000 francophones sur 2,1 millions d'habitants dans la région, le français passe loin derrière plusieurs autres langues comme le cantonais (125000 locuteurs), le chinois (120000), le punjabi (116000) et plusieurs autres. Mais en devenant ville olympique, Vancouver doit réconcilier sa géographie avec son pays officiellement bilingue... qui a obtenu un mandat d'une Comité international olympique, bilingue lui aussi. Cette tâche est difficile, a évalué Graham Fraser, le commissaire aux langues officielles, qui témoignait mardi devant le comité parlementaire sur les langues officielles. Il a estimé la place du français comme «minimale». Les lacunes sont cruciales au plan de «la traduction, de l'affichage, des services d'interprétation simultanée et de la télédiffusion». De façon plus importante, le commissaire a rappelé que le bilinguisme n'était pas qu'un «symbole». «C'est un service à la population. Il y aura des francophones unilingues qui seront là pour encourager leurs enfants dans les stades.» Le Canada est leur pays aussi, et ils se sentiront comme des citoyens de seconde zone. Air connu pour les Franco-Ontariens et tous ceux qui vivent en situation minoritaire, mais il n'empêche que ce n'est pas normal. C'est pourquoi Graham Fraser a livré ce rappel important, moins d'un an avant Jeux olympiques. Il est encore temps de sauver les meubles. Encore là, il est frustrant de parler de sauver les meubles dans un pays officiellement bilingue depuis 1867, et de façon encore plus affirmée depuis la promulgation de la Loi sur les langues officielles, en 1969. Comme l'a rappelé un militant franco-ontarien récemment, la lutte pour le respect du français restera avec nous encore longtemps. De la même manière que les femmes luttent encore pour leur égalité. Bref, les francophones ne sont pas les seuls minoritaires à se battre pour leurs droits. Le message du commissaire Fraser sera entendu haut et fort, faut-il espérer. Mais il ne doit pas être le seul à réclamer un traitement équitable pour le français. D'autres individus ou organisations ont des attentes face au Comité organisateur des Jeux de Vancouver (COVAN). Dans le lot, il y a au premier chef le Comité olympique canadien et son nouveau président, Marcel Aubut, premier francophone à ce poste. Sans le ministère du Patrimoine canadien et sa division Sport Canada, la Fédération des communautés francophones et acadienne, la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique, les télédiffuseurs de langue française TQS et RDS, le gouvernement du Québec,etc. Le COVAN réalise, un peu tardivement cependant, l'ampleur de la tâche et vient de créer un comité conseil sur les langues officielles où siège entre autres l'ex-premier ministre de la France, Jean-Pierre Raffarin. Ce comité tiendra sa première réunion demain. Cela n'évitera pas des accrocs. Il y en aura. D'abord parce que l'on part de loin, parce que la démographie joue contre la réalité francophone et des raisons historiques: le Comité olympique canadien, par exemple, travaille fort pour éviter de trébucher mais la culture interne reprend le dessus à un moment ou un autre. Ça fait un petit scandale dans les médias de langue française, puis la vie poursuit son cours... dans la langue de Shakespeare. M.Aubut pourra y voir. Des sources rapportent que dans ses plus hautes sphères, le COVAN est ouvert à ses responsabilités dans le domaine des langues officielles. Ça se complique lorsque le message filtre au sein des dizaines de comités, divisions et équipes sur le plancher qui sont peuplés d'anglophones, démographie oblige. À 295 jours de la cérémonie d'ouverture, le message sera-t-il compris par tous?
  5. L’apprentissage du français en baisse dans le monde Jocelyne Richer Presse Canadienne Québec L'attrait exercé dans le passé, à travers le monde, pour l'apprentissage du français tend à diminuer, au profit d'autres langues comme l'espagnol et le chinois. Déjà déclassé par l'anglais, le français entre en concurrence avec d'autres langues dans le système d'éducation, quand vient le temps d'apprendre une deuxième ou une troisième langue étrangère. Cela s'explique par le fait que, sur la scène internationale, dans divers milieux de l'éducation, la nécessité d'apprendre le français reste souvent à démontrer. C'est le constat établi par le président de la Fédération internationale des professeurs de français, Dario Pagel, qui se montre tout de même optimiste quant aux chances du français de demeurer une langue étrangère attrayante aux yeux des jeunes du monde entier. Plus de 1700 membres de la fédération, provenant des quatre coins du globe, sont réunis en congrès à Québec pour la semaine. La fédération milite précisément pour que le français conserve son statut de langue étrangère dans les écoles, une tâche difficile, a reconnu M. Pagel. «Le français n'a pas toujours l'image d'une langue nécessaire, et c'est pour ça que je me bats», a-t-il dit, en conférence de presse, en donnant l'exemple de l'Amérique latine, particulièrement le Brésil. Au niveau universitaire, cepednant, l'intérêt pour l'apprentissage du français comme langue étrangère demeurerait stable, selon lui, tant en Amérique, qu'en Asie et en Europe. «Nous ne sommes pas dans une lutte contre l'anglais ou contre une autre langue, a renchéri de son côté, le numéro deux de la francophonie mondiale, Clément Duhaime, qui est administrateur de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). On est dans une lutte, justement, de la diversité des langues.» «On ne peut plus parler une seule langue. Celui qui ne parle qu'une seule langue, dans un contexte de mondialisation, se ferme à toute une richesse et à tout un monde», a-t-il ajouté, en appui à sa thèse. Après l'anglais, le français demeure la langue étrangère la plus enseignée dans le monde. Par ailleurs, M. Pagel s'est dit confiant de voir le prochain Sommet de la Francophonie - qui se tient à Québec en octobre - accorder la plus grande importance à l'enseignement du français. «Ca va être valorisé davantage, j'en suis certain», a-t-il dit. La conférence de presse avait pour but de rendre publique une entente de coopération entre la fédération des professeurs de français et l'Organisation internationale de la francophonie, pour la promotion du français comme langue d'éducation et d'échanges internationaux. Le français occupe le neuvième rang des langues parlées dans le monde.
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