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  1. mark_ac : tu vas sauter de joie en lisant ce texte ! Les autres : ce qui est dramatique de ce constat c'est que la langue d'usage suit les statistiques pour la langue maternelle. Oui, le français comme langue maternelle est sous le 50% à Montréal, mais c'est normal, les immigrants qui choisissent de parler français n'ont pas le français comme langue maternelle. Mais le français comme langue d'usage perd aussi du terrain au profit de l'anglais alors même l'immigration qui favorise les francophones ne semble pas aider à maintenir nos acquis et à assurer un avenir français pour le Québec *********************************** Le français à Montréal À majorité anglophone avant 2016 Geneviève Lajoie Agence QMI 07/04/2010 05h01 Brandissant le spectre d'un Québec à majorité anglophone dans un avenir rapproché, le Parti québécois s'inquiète du recul du français, malgré l'application de la Loi 101. Avec en main un portrait du français au Québec, effectué en croisant les données de Statistique Canada et de plusieurs démographes, comme Marc Termote ou Robert Maheu, le député péquiste Pierre Curzi fait le constat que l'anglais est bel et bien devenu la langue dominante dans la métropole. Ce phénomène aura selon lui des effets importants sur le reste de la province puisque la moitié de la population québécoise vit à Montréal et dans sa couronne. «Dans l'île de Montréal, 54,2% des gens utilisent le français comme langue d'usage et 49,8% des gens ont le français comme langue maternelle, une tendance qui gagne maintenant la couronne de la métropole et même le Québec en entier, puisque l», a-t-il précisé, lors d'un entretien avec le Journal. Cinq fois plus attirant Ce constat est d'autant plus alarmant dans la mesure où l'anglais est cinq fois plus attirant que le français, même si les francophones sont pourtant majoritaires au Québec, ajoute le porte-parole du PQ en matière de langue. Le pouvoir d'attraction définit le statut de la langue, insiste-t-il, et la Loi 101 n'a pas réussi à empêcher cet important pouvoir d'assimilation de l'anglais au cours des dernières années. Si rien ne change et si le passé est garant de l'avenir, en 2016, il y aura 43% de gens dont la langue maternelle sera le français sur l'île de Montréal et la population de langue d'usage française atteindra le même seuil en 2031, déplore-t-il. «Il faut s'inquiéter, moi je crois que c'est un problème, car ce n'est pas normal que la langue de la majorité soit moins désirée que la langue anglaise. On diminue en nombre, on diminue en importance, à long terme, c'est une menace réelle, c'est comme ça que ça se passe l'assimilation. Plus on laisse les choses aller, plus ça va être difficile de revenir en arrière, de changer la tendance», prévient le péquiste.
  2. L’apprentissage du français en baisse dans le monde Jocelyne Richer Presse Canadienne Québec L'attrait exercé dans le passé, à travers le monde, pour l'apprentissage du français tend à diminuer, au profit d'autres langues comme l'espagnol et le chinois. Déjà déclassé par l'anglais, le français entre en concurrence avec d'autres langues dans le système d'éducation, quand vient le temps d'apprendre une deuxième ou une troisième langue étrangère. Cela s'explique par le fait que, sur la scène internationale, dans divers milieux de l'éducation, la nécessité d'apprendre le français reste souvent à démontrer. C'est le constat établi par le président de la Fédération internationale des professeurs de français, Dario Pagel, qui se montre tout de même optimiste quant aux chances du français de demeurer une langue étrangère attrayante aux yeux des jeunes du monde entier. Plus de 1700 membres de la fédération, provenant des quatre coins du globe, sont réunis en congrès à Québec pour la semaine. La fédération milite précisément pour que le français conserve son statut de langue étrangère dans les écoles, une tâche difficile, a reconnu M. Pagel. «Le français n'a pas toujours l'image d'une langue nécessaire, et c'est pour ça que je me bats», a-t-il dit, en conférence de presse, en donnant l'exemple de l'Amérique latine, particulièrement le Brésil. Au niveau universitaire, cepednant, l'intérêt pour l'apprentissage du français comme langue étrangère demeurerait stable, selon lui, tant en Amérique, qu'en Asie et en Europe. «Nous ne sommes pas dans une lutte contre l'anglais ou contre une autre langue, a renchéri de son côté, le numéro deux de la francophonie mondiale, Clément Duhaime, qui est administrateur de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). On est dans une lutte, justement, de la diversité des langues.» «On ne peut plus parler une seule langue. Celui qui ne parle qu'une seule langue, dans un contexte de mondialisation, se ferme à toute une richesse et à tout un monde», a-t-il ajouté, en appui à sa thèse. Après l'anglais, le français demeure la langue étrangère la plus enseignée dans le monde. Par ailleurs, M. Pagel s'est dit confiant de voir le prochain Sommet de la Francophonie - qui se tient à Québec en octobre - accorder la plus grande importance à l'enseignement du français. «Ca va être valorisé davantage, j'en suis certain», a-t-il dit. La conférence de presse avait pour but de rendre publique une entente de coopération entre la fédération des professeurs de français et l'Organisation internationale de la francophonie, pour la promotion du français comme langue d'éducation et d'échanges internationaux. Le français occupe le neuvième rang des langues parlées dans le monde.
  3. Qui a fondé le Canada: Français, Anglais ou autochtones? Le lundi 16 juin 2008 Les Canadiens anglophones et francophones divergent sur l'importance des rôles respectifs de l'Angleterre et de la France dans la fondation du pays, mais pour les Canadiens dont la première langue n'est ni le français ni l'anglais, les vrais fondateurs sont les autochtones. Un sondage commandité par l'Association d'études canadiennes (AEC) éclaire les conceptions différentes des anglophones et des francophones ainsi que des autres Canadiens sur la question de savoir qui a joué le plus grand rôle dans la fondation du Canada, alors que l'on célèbre cette année le 400e anniversaire de la fondation de la ville Québec. Selon l'étude réalisée le mois dernier par l'institut Léger Marketing et publiée lundi par le quotidien Ottawa Citizen, 67% des francophones jugent que le Canada a été fondé par les Français. Mais seulement 36% des anglophones concèdent aux Français un rôle prépondérant. De leur côté, 57% des anglophones attribuent aux Britanniques le rôle principal dans la naissance du Canada, un avis partagé par seulement 34% des francophones. Les allophones, c'est-à-dire les Canadiens dont la première langue n'est ni le français ni l'anglais, estiment qu'ils ont tous les deux tort et jugent à 61% que c'est plutôt aux autochtones, Amérindiens et Inuits, que revient le crédit de la fondation du pays. Ces réponses illustrent «des divergences importantes» sur la question centrale de l'identité nationale, note Jack Jedwab, directeur de l'AEC. Pour certains, la présence dans le pays des populations autochtones est l'élément fondateur. Pour d'autres, la fondation de la Nouvelle-France au début du 17e siècle marque la naissance du pays, alors qu'une troisième catégorie fait remonter l'émergence du Canada à la conquête britannique ou à la création de la confédération en 1867. Le sondage a été réalisé du 21 au 25 mai auprès de 1500 Canadiens de 18 ans et plus, avec une marge d'erreur de 2,9%. http://www.cyberpresse.ca/article/20080616/CPACTUALITES/80616135/1019/CPACTUALITES
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