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  1. Des taxis roses pour Montréal? Publié dans la catégorie Général Nathalie Collard Mardi dernier, dans le cadre d’un évènement destiné à la relève en design, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a lancé cinq défis aux designers et architectes montréalais: cinq concours pour embellir la taxis_s.jpgville en améliorant les cinq points suivants: les abords du métro Champ-de-mars, le mur ouest du Palais de justice, les abri-bus, le mobilier de la future Place des spectacles et l’identification visuelle des taxis. Ce n’est pas la première fois qu’on veut “brander” les taxis montréalais. Il est vrai qu’une flotte de taxis avec une identité propre et rapidement reconnaissable donne une couleur à une ville: pensez aux taxis jaunes de New York, aux verts de Mexico ou aux belles grosses voitures noires de Londres. Or à chaque fois que l’idée est lancée, on assiste à une véritable levée de boucliers de la part de l’industrie du taxi. Les chauffeurs rappellent que contrairement à leurs homologues de New York, par exemple, ils sont travailleurs autonomes et donc, propriétaires de leur voiture. Ils n’ont pas envie d’aller faire leur épicerie la fin de semaine au volant d’une bagnole rose bonbon ou vert lime. Dans l’industrie du taxi, on préférerait que les gouvernements aident les chauffeurs à faire face à la hausse des prix de l’essence ou qu’ils les encouragent à prendre le virage vert en accordant une aide supplémentaire pour acheter un véhicule hybride. Or un n’empêche pas l’autre. L’idée de donner une identité visuelle aux taxis de Montréal est excellente et doit absolument être défendue jusqu’au bout. Ce pourrait être une couleur, un modèle de voiture ou même un logo, assez visible pour être vu à distance. Les règles du concours lancé par le maire seront dévoilées bientôt. En attendant, avez-vous des idées?
  2. Ça fait un mois que le concours est lancé. Il reste à peine une semaine pour participer au concours, donc la création d'un fil était plutôt nécessaire. Le nouveau bâtiment sera construit au coin Ontario/Hotel de ville. Bref, la rue Ontario sera complètement habitée au Nord! https://www.oaq.com/fileadmin/Fichiers/Nouvelles/A1-AVIS_D_APPEL_DE_CANDIDATURES-CVM_MT.pdf https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=5e417fda-c31d-47a4-91f7-de539cc53ad8&SubCategoryCode=S3&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=51bf683a-850d-42b4-805d-d34f17577aa7
  3. J'ai lu dans plusieurs journaux que 70% des matières dangereuses sont transportées par camion au Québec. J'ai aussi lu que l'A40 est la seule route est-ouest à travers Montréal que peuvent emprunter les camions avec matière dangereuse... Ne serait-il pas temps d'envisager d'autres solutions pour éviter de telles tragédies? Autres moyens de transports, contournement de Montréal, etc. ? Je lance le débat!
  4. http://ici.radio-canada.ca/audio-video/media-7510462/chicago-veut-eriger-un-systeme-de-gondoles-touristiques Chicago veut ériger un système de gondoles touristiques Afin d’augmenter sa visibilité, la ville de Chicago lance un vaste projet de gondoles suspendues qui permettraient aux touristes de sillonner ses quartiers.
  5. L'AMT a lancé aujourd'hui un appel d'offres pour l'élargissement des accotements du Boulevard Taschereau, entre le chemin du Golf à La Prairie et l'avenue Mario à Brossard (juste avant l'A-10), afin d'y aménager une voie réservée pour autobus. https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/Categorie?ItemId=29400a8f-cfd6-4bb3-b9e6-b1dd856f61ab&SubCategoryCode=C02&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=4334bb39-7893-4125-a8db-1b056b53d297&VPos=228
  6. This is super socialist...taxes need to decrease, not increase. «Ce n'est pas une balloune que l'on lance, là.» Le premier ministre Philippe Couillard envisage sérieusement l'implantation d'un système de revenu garanti au Québec. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201602/05/01-4947858-couillard-serieux-sur-le-revenu-minimum-garanti.php
  7. via Radio-Canada Frédéric Metz, figure marquante du design au Québec, est décédé Mise à jour le lundi 11 août 2014 à 8 h 35 HAE Frédéric Metz, le « pape du design », est mort d'un cancer samedi soir, à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, le jour de son 70e anniversaire. Membre fondateur de l'École de mode et du Centre de design et ancien professeur associé à l'UQAM, Frédéric Metz était également reconnu comme un pédagogue et un communicateur hors pair. Né en Suisse, Frédéric Metz est arrivé à Montréal en 1967, pendant l'Exposition universelle. Le livre « Design? » de Frédéric Metz Son livre, Design?, s'était vendu à plus de 6000 exemplaires. À la télévision, il avait aussi lancé en 2013 l'émission Design, une série d'entretiens visant à faire découvrir les esprits créateurs qui ont marqué le design au Québec. Il laissera en héritage plusieurs concepts graphiques connus, dont celui de l'aéroport Mirabel, de l'hôtel Méridien et des chaussures Browns, de même que l'accent grave sur le logo de l'UQAM. Bien connu pour ses nombreuses participations à des émissions de radio et à la télévision, il a aussi signé durant trois ans une chronique pamphlétaire dans le magazine Grafika. Le designer a aussi remporté en 2008 le Prix excellence en enseignement, volet carrière de l'Université du Québec. « Je peux enseigner la même matière, mais jamais de la même façon », avait-il lancé. Il avait pris sa retraite en 2009, après 32 années passées à enseigner. L'an dernier, il s'est vu attribuer l'Icograda Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière.
  8. http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201211/12/01-4593085-infrastructures-pauline-marois-met-les-freins.php L'appel d'offres principal pour l'échangeur Turcot devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013, dans le but de réduire les dépenses. PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE DENIS LESSARD La Presse (Québec) Étranglé par une facture de 44 milliards pour ses projets d'infrastructures dans les cinq prochaines années, le gouvernement Marois appliquera les freins sur des dizaines de projets de construction des ministères des Transports, de la Santé et de l'Éducation - des immobilisations annoncées, mais dont les travaux n'étaient pas encore amorcés. Selon les informations obtenues par La Presse, à la suite des conclusions d'une évaluation réalisée par KPMG pour le compte d'Infrastructures Québec, le Conseil du Trésor posera de nouvelles balises plus serrées pour stopper la flambée des coûts des mégaprojets - notamment l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). Ces décisions doivent être annoncées par le président du Conseil du Trésor, Stéphane Bédard, dans le cadre du Plan quinquennal d'investissements qui fera partie des crédits budgétaires rendus publics en marge du budget de Nicolas Marceau, mardi prochain. Dans le cas de l'échangeur Turcot, le projet a d'abord été annoncé à 1,4 milliard sous le gouvernement libéral; la facture officielle a grimpé à 3 milliards, mais le compteur continue de tourner. «En route» pour 4 milliards, on appliquera donc les freins. «Le gouvernement n'acceptera pas de mettre autant d'argent.» Québec dira aux soumissionnaires qu'il y aura un «plafond» et qu'ils devront proposer un «scénario d'optimisation» du projet. L'appel d'offres principal n'est pas encore lancé pour ce mégaprojet. Québec s'assurera que le coût de l'aventure sera révisé avant d'aller de l'avant, ont indiqué à La Presse des sources gouvernementales. La série de travaux préparatoires et les mesures destinées à rendre le projet plus acceptable ont fait grimper la facture. L'appel d'offres principal devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013. Refaire les calculs pour le CHUM Même topo pour le CHUM. D'abord annoncée à 840 millions, la facture s'élève officiellement à 1,6 milliard - en route vers 2 milliards. Cette fois encore, comme le projet est très avancé, il n'est pas question de reculer. Au Trésor, on demandera néanmoins aux responsables du projet de refaire leurs calculs pour réduire les coûts. Québec veut diminuer, au cours des cinq prochaines années, ses engagements en immobilisations. Dans le cas de plusieurs projets en cours, il est trop tard pour freiner les dépenses. Parmi la vingtaine de projets soumis à KPMG, on trouve la route des monts Otish, élément important du Plan Nord. Ce projet nécessitait le transport par hélicoptère de matériaux, parce qu'on doit travailler sur plusieurs tronçons simultanément pour respecter les échéanciers. Ce seul projet a vu son coût grimper de 260 à 471 millions. KPMG doit déterminer, dans le processus de décision des projets, les causes de la flambée des coûts. C'est 44 milliards d'investissements que Québec prévoyait faire en cinq ans. Déjà, dans le dernier budget Bachand, on prévoyait réduire ces engagements de 500 millions pour les années à venir. On repoussera donc tout ce qui n'est pas déjà engagé. On s'attend à ce que les ministères montent au créneau, mais on leur rappellera qu'il y a quelques années, Québec ne dépensait que 10 milliards sur cinq ans. Une longue attente en santé Dans le réseau de la santé, ce sera l'hécatombe, particulièrement dans la région de Montréal, où près de 2 milliards d'investissements en infrastructures étaient attendus. Au Ministère, on comprend que, dans bien des cas, si on reporte un projet officiellement d'un an, l'attente sera dans les faits beaucoup plus longue. Sous le gouvernement Charest, on annonçait beaucoup de projets sans nécessairement budgéter les fonds nécessaires, soutient-on dans les coulisses au sein du gouvernement Marois. Des projets comme les phases deux, trois et quatre de l'Hôpital général juif - une facture de plus de 250 millions - ont été «annoncés», mais pourraient être mis en suspens. Quant à l'agrandissement de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, il serait carrément «sur les brakes», affirme une source à l'interne. Parmi les engagements aussi «en suspens», notons un pavillon supplémentaire à l'hôpital Charles-LeMoyne, l'agrandissement de la Cité de la santé de Laval et un hôpital complètement rénové à Saint-Jérôme. Dans tous ces cas, aucun appel d'offres n'a été lancé. Ces changements auront un impact important sur le plan des effectifs médicaux. À la Cité-de-la-Santé, par exemple, le bloc opératoire est déjà utilisé à 100%; on ne pourra y accueillir de nouveaux médecins à moins de procéder aux agrandissements prévus. L'ex-ministre Yves Bolduc avait publiquement annoncé l'agrandissement des urgences de l'hôpital d'Alma et l'ajout de 140 lits à Le Gardeur, des projets appuyés par le Parti québécois qui risquent aussi de se retrouver sur la glace, confie-t-on dans le réseau de la santé. En éducation, on parle de projets réduits et moins nombreux. Ainsi, le Centre des sciences de l'Université de Montréal était prévu, mais comme les travaux ne sont pas entamés, on voudra certainement revoir les coûts.
  9. L'expert en investissements Stephen Jarislowsky ne croit pas que la vente de Bell soit une question d'importance nationale susceptible d'avoir des conséquences négatives. Pour en lire plus...
  10. Bachand veut des fonctionnaires plus productifs Publié le 04 septembre 2009 à 06h51 | Mis à jour le 04 septembre 2009 à 06h54 Sylvain Larocque La Presse Canadienne, Montréal Afin d'aider le gouvernement du Québec à revenir au déficit zéro d'ici 2014, les fonctionnaires devront accroître leur productivité, a prévenu jeudi le ministre des Finances, Raymond Bachand. «Maintenir les services quand on a moins d'argent veut dire que tous ensemble, employés et gestionnaires, nous devons trouver les moyens d'accroître notre efficacité dans la façon de livrer ces services», a déclaré M. Bachand à la tribune du Cercle de la finance internationale de Montréal. «Défendre nos valeurs et nos services, oui, mais (il faut aussi) accepter de remettre en question les façons de faire désuètes et inadaptées, mises en place lorsque l'abondance perçue des ressources nous confortait dans un environnement de productivité faible et d'absence de débats et de remises en question», a soutenu le ministre. Raymond Bachand a en outre affirmé qu'en plus des fonctionnaires, tous les Québécois allaient devoir «s'entraider, faire (leur) part, y compris (leur) part de sacrifices et de solidarité financière». En point de presse, M. Bachand a assuré qu'il n'était pas question de diminuer le nombre de fonctionnaires, mais plutôt de les faire travailler «mieux». Il a donné comme exemple le réaménagement des chirurgies de la cataracte, qui a permis de multiplier les interventions sans faire travailler les employés davantage. Des discussions sur le sujet auront lieu prochainement avec les différents syndicats qui représentent des employés de l'Etat, a-t-il indiqué. La présidente du Syndicat de la fonction publique du Québec, Lucie Martineau, s'est dite surprise des propos du ministre, d'autant plus que celui-ci n'est pas directement responsable des fonctionnaires. «C'est encore alimenter des préjugés, a-t-elle lancé au cours d'un entretien téléphonique. On dit encore qu'on va couper dans les vaches sacrées, mais où sont les vaches sacrées?» Selon elle, Québec a davantage coupé dans les services aux citoyens que dans le nombre de gestionnaires au cours des dernières années. Scandales financiers Par ailleurs, dans la foulée des scandales financiers de l'été, M. Bachand a lancé un appel à la vigilance aux professionnels du secteur, plus particulièrement les conseillers en placement, les notaires, les avocats, les comptables et les dirigeants d'institutions financières. A la demande de Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a récemment convoqué les représentants de plusieurs ordres professionnels afin de faire passer le message. Le gouvernement se préoccupe plus particulièrement du sort des personnes âgées qui confient la gestion de leur patrimoine à des proches ou à des tiers. «Tous les gens qui sont susceptibles, dans leur travail, de voir des mandats d'inaptitude, qui se font donner des procurations et qui voient des choses bizarres, inquiétantes, on veut essayer de regrouper tout ce monde-là pour voir comment on peut mieux s'aider ensemble pour aider la population», a expliqué le président-directeur général de l'AMF, Jean St-Gelais, qui assistait au discours de Raymond Bachand. Dans l'affaire Earl Jones, un prétendu conseiller administratif accusé d'avoir fraudé des dizaines de petits investisseurs de plusieurs dizaines de millions de dollars, on a reproché à la Banque Royale (TSX:RY) d'avoir mal supervisé le compte en fidéicommis des clients. M. St-Gelais n'a pas voulu commenter cet aspect du dossier. Le ministre Bachand n'a pas exclu d'apporter de nouvelles modifications législatives ou réglementaires pour mieux encadrer l'industrie financière. Mais dans un premier temps, Québec doit annoncer cet automne une série de mesures pour «intensifier» son action dans le domaine. Enfin, au sujet de l'ampleur du déficit de l'exercice 2009-10, M. Bachand a précisé qu'il ne s'attendait pas à des «surprises majeures» lors de la mise à jour économique de l'automne, même si la Banque Laurentienne prévoit que le gouvernement dépassera d'au moins 500 millions $ la prévision de 3,9 milliards $ comprise dans le dernier budget.
  11. Macadam - Toi et moi sur le toit Le Devoir Fabien Deglise Édition du jeudi 16 juillet 2009 Mots clés : Toit, Plante, Fleur, Flore, Habitation, Québec (province), Montréal Timidement, Montréal commence à apprivoiser ses toitures pour améliorer son cadre de vie Dès le retour des beaux jours, Marie-Ève Provencher, Andrée Lalonde et Patrice Deslauriers, de la firme d'architectes Ron Rayside, viennent régulièrement prendre le pouls de la ville depuis leur jardin en hauteur. Photo: Jacques Nadeau C'est la magie de la nature en hauteur. Perché au quatrième étage d'un immeuble de la rue Ontario, à Montréal, au milieu d'une orgie de fines herbes, de fleurs multicolores et de meubles de jardin en fer forgé, le temps, soudainement, semble vouloir s'arrêter. Au loin, des centaines de mètres plus bas, la ville expose bruyamment, et sous un ciel gris, son agitation matinale, avec ici une sirène en panique, là un crissement de pneu. Mais, tout en contemplant la vue imprenable sur le centre-ville, depuis son Centre-Sud, l'architecte Ron Rayside y est étrangement imperméable. «À cette époque de l'année, c'est l'un des endroits les plus agréables du bâtiment», lance ce bâtisseur qui, en 2005, a décidé d'expérimenter le concept de toit vert sur l'immeuble qui abrite les bureaux de sa firme ainsi que quelques logements. «Nous étions dans les premiers à nous lancer dans ce type de construction. Pour voir ce qu'il était possible de faire à Montréal. Pour le moment, le résultat est concluant. Ce toit, en plus de nous aider à réduire notre consommation d'énergie, est beaucoup utilisé par les habitants de l'immeuble.» Le contraire serait étonnant. Ainsi élevé, les pieds dans la verdure, le panorama qui s'offre au citadin en quête d'ascension est fascinant, avec son enfilade de toits en tout genre et toutes conditions persillées ici et là par des terrasses habitées -- généralement au sommet de constructions récentes -- et surtout avec son horizon bloqué, au sud-ouest, par les imposants gratte-ciel montréalais. Mais il y a plus. La perspective permet aussi de prendre la mesure d'un paradoxe comme Montréal aime bien les alimenter: oui, avec l'arrivée des beaux jours, les toits de la métropole prennent doucement vie, mais dans une timidité qui tranche avec notre époque écologisante. Une époque qui aime, sur papier glacé et dans les tubes cathodiques, vanter à outrance le vert sur toiture et les jardins urbains suspendus. Pour respirer l'air du temps. Espaces vacants En 2008, à l'occasion du 5e concours Génération développement durable, orchestré par la revue scientifique française La Recherche, les trois étudiants de l'UQAM qui ont décroché le 3e prix (Mariannick Houegbonou, Jonathan Gariepy-Roy et Cyrus Mokry) avec leur projet intitulé «Urmanité: des toits et des hommes» ont d'ailleurs résumé ce vide en deux phrases: «Les toits de Montréal ressemblent à d'immenses terrains vacants vus du ciel... Considérant que la ville est un objet en trois dimensions, pourquoi les surfaces extérieures de cet objet ne sont-elles pas réellement exploitées?» Sur un toit du Centre-Sud, comme sur celui de l'hôtel de la Montagne et sa terrasse Magnétic, ou même au sommet de la place Ville-Marie (deux rares terrasses en hauteur de la ville), la sous-exploitation est effectivement palpable. Elle a aussi été quantifiée par la chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal. «Actuellement, il y a une cinquantaine de toits verts à Montréal, principalement sur les toits d'institutions», lance Caroline Gagnon qui, dans les trois prochaines années, souhaite étudier le phénomène avec Danielle Dagenais. Les deux scientifiques veulent en effet mesurer l'impact psychologique des terrasses vertes sur les citadins. En présupposant que l'effet est bien sûr positif. Une cinquantaine de toits verts. Le chiffre est ridiculement bas: cela représente en effet 0,01 % des toits des quelque 435 000 immeubles en tout genre, selon le rôle d'évaluation, que compte l'île de Montréal. Pas plus. «Ce n'est pas étonnant, lance l'architecte Ron Rayside. Le problème, c'est que la plupart des toits de Montréal n'ont pas été conçus pour ça.» C'est un triste constat et aussi une question de pression: en effet, les traditionnels duplex et triplex des quartiers historiques de la métropole n'ont généralement pas la stature qu'il faut pour supporter le poids d'un jardin sur leur toit, à moins de travaux de renforcement de structure dont la facture va très vite rebuter les aspirants à l'élévation. «C'est donc sur les constructions récentes ou sur les bâtiments institutionnels [écoles, universités et compagnie] que l'on commence le plus à en voir apparaître», poursuit-il. Tant pis donc pour les rêveurs, les écolos, les traqueurs d'espaces en suspension ou les amateurs de grand air qui vont donc devoir se contenter de ce peu... sans doute de leur vivant. «On sent un engouement pour les toits et terrasses verts», dit l'architecte. Mais, en raison de toutes ces contraintes, pas question pour lui d'imaginer d'ici 50 ans des arbres, des buissons, des jardins de fines herbes monter en grande quantité du couvercle de la ville. «Peut-être dans un siècle, avec un peu de chance. Ce genre de chose, malgré nos bonnes intentions, va prendre du temps à arriver.» http://www.ledevoir.com/2009/07/16/259175.html
  12. Pepsi renouvelle son image Les nouvelles canettes et bouteilles seront bientôt acheminées vers les tablettes partout au Québec. * Alexandre Paillé, Lesaffaires.com * 09:26 Les nouvelles canettes et bouteilles seront bientôt acheminées vers les tablettes partout au Québec. Pepsi Cola s’est donné une toute nouvelle image à l’occasion de ses 75 ans et lance une vaste offensive publicitaire au Québec. La compagnie explique ce changement de stratégie commerciale par son désir de rehausser les ventes de sa division breuvages. «Tout cela s'inscrit dans une stratégie globale visant à rafraîchir une marque que les Québécois adorent depuis 75 ans», déclare Sylvain Charbonneau, vice-président et directeur général du groupe d'embouteillage Pepsi. Outre le nouveau look, Pepsico lance une nouvelle campagne marketing élaborée au Québec. Cette dernière vise à relier le produit à des «esprits positifs aux vues similaires», peut-on lire dans un communiqué. La campagne du géant sera multiplateforme (télévision, panneaux publicitaires, transports en commun, Internet, médias sociaux, magasins et commandites d’événements à l'échelle du Québec). «La stratégie repose sur le principe suivant : une canette ou une bouteille de Pepsi, de par sa nature, est de la joie en bouteille. Lorsqu'on l'ouvre, la joie se répand», affirme M. Charbonneau. Au Québec, la première bouteille de Pepsi est sortie des chaînes de fabrication le 12 juin 1934.
  13. GE Capital : nouveau siège social à Montréal Publié le 26 mai 2009 à 10h18 | Mis à jour à 10h23 La Presse Canadienne GE Capital (GE) a annoncé mardi l'ouverture de son nouveau siège social canadien à Montréal. L'inauguration de ces bureaux, au centre-ville, «souligne notre confiance dans les perspectives de croissance à long terme des entreprises canadiennes», a indiqué le président et chef de la direction de GE Capital Canada, Patrick Palerme, dans un communiqué. Quelque 170 employés travaillent au siège montréalais de GE Capital, tandis qu'un peu plus de 400 autres travaillent dans une vingtaine de bureaux canadiens. GE Capital a lancé ses activités au Canada en 1986. La société offre aux entreprises canadiennes des services personnalisés, regroupés sous six groupes commerciaux : financement aux entreprises, financement «corporatif», financement aux fournisseurs, gestion de parcs de véhicules, financement d'avions d'affaires et financement de franchises.
  14. Le groupe industriel indien Tata lance officiellement la Nano, une automobile réduite à sa plus simple expression et destinée à la nouvelle classe moyenne indienne. Pour en lire plus...
  15. Maplace.ca. Je trouve le concept intéressant. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/200903/13/01-836345-reserver-un-stationnement-au-centre-ville-en-ligne.php
  16. Avec la crise économique, les travailleurs licenciés deviennent des proies faciles pour les fraudeurs. L'Autorité des marchés financiers lance donc un appel à la prudence. Pour en lire plus...
  17. Montreal.ad lancé officiellement le lundi 26 janvier 2009. Promotion et vitrine internationale du talent publicitaire à Montréal et au Québec. Initiative de l’AAPQ (Association des agences de publicité du Québec). Site web: http://www.montreal.ad
  18. L'année 2008 s'est achevée dans un contexte économique instable. Ce contexte lance de nouveaux défis aux gestionnaires. Pour en lire plus...
  19. La Bank of China lance un sombre avertissement car les prêts non performants s'accumulent et les problèmes profonds à l'origine de la récession n'ont pas été réglés. Pour en lire plus...
  20. Alcoa lance la saison des résultats en déclarant une perte de 1,19 milliard. Voilà une annonce dont les marchés, complètement déprimés, auraient pu se passer. Pour en lire plus...
  21. La compagnie annonce ce matin qu'elle rétablit son dividende à 36,5 cents par action ordinaire et lance un rachat d'actions. Pour en lire plus...
  22. Publié le 03 décembre 2008 à 17h35 | Mis à jour à 17h40 «Quebec bashing» : Charest lance un appel au calme Tommy Chouinard La Presse (Québec) Jean Charest déplore la montée du «Quebec bashing» dans la foulée de la crise politique qui secoue Ottawa. Il lance un appel au calme et demande aux politiciens fédéraux de cesser les «procès d'intention» contre le Bloc québécois. «Le sentiment de Quebec bashing qu'on retrouve ailleurs au Canada, c'est complètement inutile dans un contexte où on a un enjeu économique majeur», a-t-il affirmé au cours d'un bref point de presse. «Des gens sont tombés dans ces discours-là, ce piège-là. On aurait tout le monde intérêt à mettre la priorité sur l'économie, parce que c'est ça l'enjeu», a-t-il ajouté. Le chef libéral a souligné que les députés bloquistes jouissent de la même légitimité que les autres élus fédéraux et que tous doivent respecter les électeurs qui ont voté pour eux. «Je vis dans une société où les gens peuvent être fédéralistes ou souverainistes mais ils se respectent. La même chose devrait être vraie dans le parlement fédéral. On n'a pas à faire de procès d'intention à quiconque parce qu'il défend une position ou une autre», a-t-il affirmé.
  23. La compagnie d'aviation irlandaise a lancé lundi une offre d'achat à 748 millions d'euros sur sa compatriote Aer Lingus dont elle possède déjà 29,82% du capital. Pour en lire plus...
  24. Chaque samedi, un financier différent répond à nos questions. Il donne sa lecture des marchés, offre son point de vue sur la Bourse et lance quelques conseils d'investissement. Notre invité cette semaine: Marc Le Sieur Pour en lire plus...
  25. La société forestière replonge dans le rouge à son quatrième trimestre, déclarant une perte de 4 M$ ou 4 cents par action. Pour en lire plus...
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