Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'ladministration'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Collège Marianopolis: feu vert à une version réduite du projet Martin Croteau La Presse Site du promoteur: http://www.msurlamontagne.com/
  2. Le Devoir: http://www.ledevoir.com/politique/montreal/398500/%E2%80%8Bbudget-2014-de-la-ville-de-montr%C3%A9al-hausses-de-taxes-moyennes-de-2-8 La Presse: http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201401/29/01-4733596-budget-sous-controle-taxes-en-hausse-a-montreal.php
  3. Train à haute vitesse Montréal-Boston: Tout le monde à bord? http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/200911/13/01-921553-train-a-haute-vitesse-montreal-boston-tout-le-monde-a-bord.php Yves Schaëffner (Boston) Le projet de train à haute vitesse entre Montréal et Boston est bel et bien sur les rails, si l'on en croit le gouverneur du Massachusetts, Deval Patrick, et le premier ministre Jean Charest. Les deux hommes, qui ont eu un entretien d'une demi-heure vendredi midi, ont dit vouloir tabler sur l'intérêt de l'administration Obama pour le transport ferroviaire afin de faire avancer le projet. «Il y a beaucoup d'intérêt, a assuré le gouverneur américain. Nous avons des échanges commerciaux très importants, nous avons des liens sociaux très forts et, durant certaines périodes de l'année, c'est intéressant d'aller et de venir entre les deux places pour les matchs de hockey», a plaisanté le gouverneur. Entouré de ses deux chiens dans son bureau, il a poursuivi en expliquant qu'un lien Montréal-Boston pourrait s'inscrire dans le cadre du projet de train régional à haute vitesse sur lequel planche plusieurs États du nord-est des États-Unis. Montréal pourrait un jour devenir le dernier arrêt sur cette ligne. Les gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre qui ont soumis différents tracés espèrent recevoir l'appui de l'administration Obama pour développer leur projet. Si le projet d'un train à haute vitesse reliant Boston à Montréal fait l'objet de spéculations depuis des années, Jean Charest pense que le projet est davantage sur les rails aujourd'hui qu'il ne l'était par le passé. «D'abord, ce qu'il faut noter, c'est que les États de la Nouvelle-Angleterre se sont mis ensembles pour présenter des tracés conjoints. Cela ne s'était jamais fait auparavant, a-t-il précisé après sa rencontre. Le contexte est évidemment unique parce que le gouvernement fédéral (américain) a annoncé sa volonté d'investir massivement dans le transport ferroviaire, ce qui n'était pas le cas jusqu'à l'élection du gouvernement Obama.» Abondant dans le même sens, le gouverneur du Massachusett a renchéri: «Nous sommes plus avancés dans le sens qu'il y a des sommes qui sont mises de côté dans le plan de relance économique. Il y a des crédits budgétaires tangibles.» Alors, à quand la première pelletée de terre? «Vous devez demander ça au gouvernement fédéral (américain), a répondu M. Patrick. Je lui pose également la question. Espérons que cela soit bientôt.» À travers son plan de relance économique, l'administration Obama compte investir 8 milliards de dollars US pour moderniser le système ferroviaire du pays. Mais, évidemment, la compétition est rude entre les différents États pour obtenir ne serait-ce qu'une portion de cette somme. En juillet, le gouvernement fédéral avait déjà reçu des demandes totalisant plus de 100 milliards dans le cadre de ce programme, selon le Boston Globe. Ça me semble bien intéressant comme projet...mais disons que je ne suis pas convaincu que nous allons voir un nouveua lien à haute vitesse entre MTL et BOS d,ici 2015!!!
  4. Montréal, le 16 avril 2010 - Le maire de Montréal et président du comité exécutif, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mercredi 14 avril 2010. Affaires contractuelles À cette occasion, les élus du comité exécutif ont approuvé des dossiers concernant les affaires contractuelles de la Ville de Montréal, dont : • un contrat de 442 990 $ à Fonderie Bibby Sainte-Croix pour la fourniture des grilles de caniveaux dans le secteur de la Place des Arts du Quartier des spectacles. Ces grilles viendront assurer la sécurité des cyclistes et des piétons et contribueront à développer une signature distinctive pour le Quartier des spectacles. Il s'agit d'un pas de plus dans le développement de ce projet phare pour Montréal. • un contrat de 591 719 $ à Ambidex pour la réalisation de services généraux de design muséographiques, de la fabrication et l'installation de l'aire d'Exposition permanente de l'Insectarium. Ce contrat aboutira sur une nouvelle exposition permanente à l'Insectarium qui est déjà une figure de proue dans le domaine muséologique. Cette nouvelle exposition utilisera le mobilier existant tout en modifiant l'éclairage et en réaménageant les espaces actuels. • un contrat de 191 799 $ à Prisme 3 inc. pour le remplacement des outils d'interprétation du Biodôme. Le remplacement des outils d'interprétation est devenu nécessaire afin de s'adapter aux nouvelles réalités technologiques. La volonté de l'Administration d'offrir des équipements de qualité amènera les Muséums Nature à se démarquer davantage parmi les autres musées de ce genre. Les outils actuels ont 17 ans d'âge et sont désuets. • un contrat de 997 200 $ aux Entreprises QMD pour le remplacement et la modification des garde-corps, le réaménagement des éco transits et l'installation de bornes interactives au Biodôme. Ce contrat s'inscrit dans les efforts de l'Administration de moderniser ses équipements scientifiques. Les nouveaux garde-corps de la forêt tropicale et les bornes interactives à écrans tactiles sont des exemples concrets de cette modernisation. • un contrat de 592 012 $ à Troc-Chaînes pour les travaux de sécurisation de la falaise au périmètre du réservoir Vincent-d'Indy. La sécurisation de la falaise préviendra toute chute de roche qui pourrait endommager le réservoir ou blesser quelqu'un. Ces travaux sont préalables à la construction d'un terrain de soccer synthétique qui viendra répondre aux besoins et aux attentes des adeptes de ce sport. • un contrat de 4 050 886 $ aux Installations électriques Pichette pour la réalisation des travaux de réfection et de modernisation de distribution électrique du secteur de la filtration à l'usine Atwater. Ces travaux viendront raccorder les nouveaux systèmes de désinfection avec du nouveau filage et de nouvelles boîtes de fusibles assurant ainsi une meilleure sécurité. Le montant total accordé pour ces travaux est de 27% inférieur aux estimations de la Ville de Montréal. • l'approbation d'un accord de développement entre la Ville de Montréal et DEVIMCO pour la réalisation de la phase 1 du nouveau projet Griffintown. Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal qui voit un projet économique, commercial et résidentiel d'envergure se réaliser. • l'abrogation d'une résolution afin d'approuver un projet d'acte avec l'OBNL Ma Maison Mon Toit à des fins de construction résidentielle dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. La vente de ce terrain est conforme à la politique de cession de terrain à des fins de logements sociaux. Ce projet permettra la construction de plus de 29 logements sociaux dans un secteur de la Ville à proximité des transports collectifs. • divers soutiens financiers à même l'Entente avec le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale pour la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale. Ainsi, Jeunesse au Soleil, Moisson Montréal, Répit-Providence, les Magasins-Partage, Intégration Jeunesse, le Dispensaire diététique le Regroupement des cuisines collectives et Cybercap et AlterGo se partageront plus de 1 M$ pour venir en aide aux plus démunis de la société. • d'autres soutiens financiers, mais cette fois à même le budget de la Ville de Montréal afin de venir en aide aux moins nantis. Ainsi, AlterGo recevra des sommes additionnelles pour organiser toutes les activités en matière d'accompagnement en loisirs. Administration et finances Également, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • une autorisation à la direction des affaires institutionnelles à payer la somme de 12 546 euros représentant la cotisation 2010 de la Ville de Montréal à Métropolis et à CGLU. La Ville de Montréal y joue un rôle très important et y consolide ses liens avec les autres grandes villes du monde. • l'autorisation d'une dépense de 105 491$ pour la rétention de services professionnels pour procéder à une étude de l'aménagement d'un lien cyclable sur le boulevard des Galeries d'Anjou. La Ville profitera des travaux effectués par le ministère des Transports du Québec sur le pont d'étagement pour y installer une piste cyclable. Il s'agit d'un autre projet qui vient confirmer le choix de l'Administration en faveur du transport collectif et actif. Réglementation Par la suite, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • l'adoption d'un règlement autorisant un emprunt de 30 millions de dollars afin de financer les travaux d'aménagement et de réaménagement du domaine public, incluant les travaux d'infrastructures et l'acquisition d'immeubles et de mobilier urbain dans le cadre du projet Griffintown – secteur Peel-Wellington. • l'adoption d'un règlement modifiant le règlement sur la salubrité, l'entretien et la sécurité des logements. L'Administration en a également profité pour adopter les mesures de renforcement de l'application de la réglementation en matière de salubrité respectant ainsi son engagement envers les locataires aux prises avec des propriétaires récalcitrants. L'Administration est donc conséquente avec le principe de tolérance zéro face à l'insalubrité. • La nomination de la salle multifonctionnelle Iro-Valaskakis-Tembeck en hommage à cette femme de tête et de cœur qui a marqué l'histoire de la danse et des arts à Montréal. Cette salle sera située dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce.
  5. Le port de Montréal a enregistré une baisse de son volume Publié le 12 août 2009 à 14h02 | Mis à jour à 14h04 La Presse Canadienne Montréal Le port de Montréal a enregistré une baisse de 18,4 pour cent de son volume de marchandises conteneurisées au cours des six premiers mois de l'année, par rapport à la période correspondante de l'an dernier. De janvier à juin inclusivement, le volume de marchandises conteneurisées s'est ainsi établi à un peu plus de 5,4 millions de tonnes, a indiqué, mercredi, l'Administration portuaire de Montréal. En nombre de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) pleins et vides, pour le premier semestre, la baisse a atteint 14,6 pour cent par rapport à la même période en 2008, pour totaliser 619 721 EVP. L'administration du port montréalais a souligné, en publiant ses résultats, mercredi, que, bien qu'ils soient baissiers, ils sont cependant meilleurs que ceux des principaux ports concurrents sur la côte Est. Les chiffres négatifs du premier semestre ont, en outre, été en partie compensés par des résultats très positifs dans le secteur du trafic maritime céréalier où le port de Montréal a connu une hausse de 31,1 pour cent par rapport à l'an dernier. L'achalandage total du terminal céréalier totalise plus de 1,2 million de tonnes pour les six premiers mois de l'année. La diversification des marchés du port a également eu un effet favorable, a souligné l'administration portuaire. Le trafic de conteneurs avec la Méditerranée a notamment connu une augmentation de 22,2 pour cent en nombre d'EVP pleins. Tous trafics confondus, la baisse de volume manutentionné au port de Montréal est de 15,4 pour cent par rapport à l'an dernier, pour atteindre près de 10,9 millions de tonnes.
  6. Publié le 20 juillet 2009 à 06h44 | Mis à jour le 20 juillet 2009 à 06h45 Percées de soleil, risques d'orages Sur le front de l'économie, les nouvelles encourageantes se succèdent. Aux États-Unis, les géants financiers Goldman Sachs et JPMorgan Chase ont rapporté de spectaculaires profits pour le deuxième trimestre de l'année. En Chine, la croissance a été de 7,9% au cours des trois derniers mois, ce qui laisse penser que l'Empire du Milieu atteindra son objectif de 8% pour l'année. Selon les experts consultés par Bloomberg, les ventes de maisons chez nos voisins du Sud devraient avoir atteint en juin leur plus haut niveau depuis octobre 2008. Et pour la première fois, l'administration Obama fait publiquement preuve d'optimisme: le secrétaire au Trésor, Tim Geithner, a parlé jeudi dernier d'«importants signes de reprise». Bref, le pire semble passé. Toutefois, l'économie américaine (et donc l'économie mondiale) reste exposée à des risques considérables. Et avant que la reprise ne s'installe pour de bon, beaucoup de gens vont perdre leur emploi, ou leur maison, ou les deux. Malgré son bénéfice de 3,4 milliards de dollars américains au second trimestre, la situation de JPMorgan Chase révèle à quel point l'économie américaine reste fragile. La banque a fait son argent dans le secteur de l'investissement. Au chapitre du crédit à la consommation et des prêts hypothécaires, par contre, elle a subi des pertes importantes. Le crédit personnel a aussi plombé les résultats de la Bank of America. Ainsi, sa division de cartes de crédit a perdu 1,6 milliard au cours du deuxième trimestre. Enfin, le groupe financier CIT, important prêteur aux PME, se retrouve au bord de la faillite. On peut toutefois voir comme un signe encourageant le fait que les Bourses n'ont pas paniqué devant cette perspective et que Washington a refusé de venir en aide à CIT. De toute évidence, on estime que l'économie est désormais assez solide pour résister à la faillite d'un acteur de moyenne importance. L'envers de cette stabilisation, c'est que les mauvaises habitudes semblent revenir au galop. En vertu de son système de rémunération, Goldman Sachs pourrait verser une moyenne de 770 000$ à chacun de ses 29 000 employés en 2009. Les plus hauts dirigeants recevront des dizaines de millions. Ne s'agit-il pas du genre de pratiques qui ont poussé les banquiers à prendre des risques excessifs dans le passé? Avec la confiance qui revient, le secteur financier relève la tête et combat plus férocement les nouveaux contrôles envisagés par les gouvernements. La semaine dernière, le patron de JPMorgan a averti l'administration Obama que la réglementation plus sévère imposée aux émetteurs de cartes de crédit nuira considérablement à ce secteur déjà en difficulté. Les gouvernements doivent certes se garder d'aller trop loin. Mais après ce qui s'est passé depuis un an, le secteur financier ne peut pas espérer qu'on lui fasse aveuglément confiance. Souhaitons par ailleurs que les petits investisseurs aient appris de la crise que, peu importe la sévérité des règlements, ils sont les premiers responsables de la protection de leurs avoirs. Il leur faut s'informer, diversifier leurs placements, épargner, ne s'endetter qu'avec prudence. Et surtout, se tenir loin de ceux qui leur promettent des rendements miraculeux. apratte@lapresse.ca
  7. Publié le 05 mai 2009 à 00h13 | Mis à jour à 00h17 Québec doit mettre Montréal en tutelle, estime Louise O'Sullivan Catherine Handfield La Presse Louise O'Sullivan, ancienne conseillère municipale et candidate à la mairie de Montréal, a demandé à Québec lundi de mettre en tutelle l'administration du maire Gérald Tremblay jusqu'aux élections du 1er novembre. «Vous n'avez d'autres alternatives que d'imposer la tutelle (...) et de mandater la Commission municipale du Québec pour superviser dorénavant toutes les décisions du comité exécutif et des divers arrondissements», a écrit Mme O'Sullivan dans une lettre adressée à la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau. Louise O'Sullivan, qui a quitté l'équipe du maire Tremblay en 2005 et qui a fondé son propre parti ce printemps, demande également de convoquer Gérald Tremblay et ses lieutenants à une commission parlementaire pour faire la lumière sur les controverses qui ont ébranlé la Ville ces derniers mois. «Devant la tournure de plus en plus malsaine que prend chaque jour la saga des scandales entourant l'administration de la Ville de Montréal, je me vois dans l'obligation de vos réécrire pour vous demander d'agir de façon urgente et sévère pour rétablir le climat de confiance envers les actions de nos élus municipaux», écrit-elle. L'ex-conseillère estime que le chef de l'opposition officielle, Benoît Labonté, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont failli à leur tâche. «Tous les élus ont voté en faveur de projets douteux de l'administration sortante et ce n'est qu'après le travail d'enquête de certains journalistes, particulièrement du quotidien La Presse, que l'opposition a commencé à poser des questions», poursuit-elle. Au cours des derniers mois, les médias ont mis au jour les séjours de l'ancien président du comité exécutif de Montréal, Frank Zampino, sur le yacht de l'homme d'affaires Tony Accurso, alors que la Ville s'apprêtait à octroyer le contrat des compteurs d'eau. Un autre controverse entoure la gestion du projet Contrecoeur par la SHDM, un dossier qui a incité le vérificateur général à recommander la tenue d'une enquête policière.
  8. Le bloquiste Robert Bourchard s'oppose à ce que Quebecor Media transfère la mise en page et l'administration de l'hebdomadaire. Pour en lire plus...
  9. Le Sénat américain approuve finalement le plan de 838 milliards de dollars de l'administration Obama, tandis que le secrétaire au Trésor présente la seconde tranche du plan de sauvetage du système financier de 700milliards adopté l'automne dernier par l'administration Bush. Pour en lire plus...
  10. Publié le 06 février 2009 à 14h45 | Mis à jour à 14h54 Compteurs d'eau: le point de non retour est franchi Sara Champagne La Presse Le projet de compteurs d'eau dans les entreprises de Montréal a franchi un point de non retour. Malgré un retard de plus d'un an dans l'échéancier et des doutes soulevés quant à une apparence de conflits d'intérêts, l'administration Tremblay a signé un important contrat de 355 millions avec le consortium Génieau. Ce contrat a été signé au mois de février 2008 a appris La Presse. Le géant est formé par les firmes Simard-Beaudry et Dessau, entreprise dont le nouveau numéro deux est Frank Zampino, ancien president et grand responsable des finances au comité exécutif de la Ville de Montréal. Le contrat qui lie la Ville à Génieau pendant 25 ans est unique au Canada, voire au monde. Étant donné sa complexité, la ville de Toronto y a renoncé après l'avoir étudié. Dans sa forme, il se rapproche de la formule PPP en prévoyant une clause d'entretien de 25 ans et de réparation des compteurs d'eau pour les 15 prochaines années. Sammy Forcillo, responsable de ce dossier à l'exécutif de l'administration Tremblay, précise que la Ville demeure «maître d'oeuvre du projet, qui vise d'abord et avant tout à acquérir des mesures de la consommation d'eau à Montréal». «Ce n'est pas un contrat à sens unique, ajoute-t-il, on demeure propriétaire des compteurs d'eau.» Le 30 janvier dernier, des avis ont été envoyés à plus de 5000 entreprises de Montréal les avisant qu'un plombier passerait bientôt chez eux. Afin d'y parvenir, plus de 100 plombiers ont déjà été formés et accrédités par la Ville. Les plombiers cols bleus seront les prochains. Et signe que l'installation des compteurs a vraiment franchi un point de non retour, plus de 1000 visites de techniciens ont déjà été effectuées dans les commerces, industries et entreprises de l'agglomération. Si l'administration municipale se porte garante de l'achat des compteurs d'eau (300 millions $), et des système d'anti-refoulement (78 millions $), les entreprises devront quand même défrayer les coûts de la mise à niveau de leur tuyauterie. Selon la taille des conduites de 3 pouces et plus, les travaux vont engendrer des dépenses variant de 3000 $ à 20 000 $ aux frais des propriétaires au nombre de 30 000 à Montréal. Les entreprises pourront toutefois se qualifier pour adhérer à un programme de subvention.
  11. L'administration Obama doit annoncer des mesures pour limiter le salaire et les rémunérations additionnelles versés aux dirigeants d'entreprises bénéficiant d'une aide gouvernementale. Pour en lire plus...
  12. L'administration Obama se penche sur la clause qui réserve aux sidérurgies américaines les achats d'acier financés par le plan de relance. Pour en lire plus...
  13. Raymond Chrétien doute qu'Obama veuille renégocier l'ALENA 17 janvier 2009 - 11h08 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Malgré ses promesses électorales, Barack Obama n'ouvrira pas l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), selon l'ancien ambassadeur Raymond Chrétien. Le nouveau président américain profiterait ainsi de sa première visite officielle à l'étranger au Canada dans quelques semaines afin de rassurer le premier ministre Harper au sujet de l'ALENA. «Oubliez la renégociation de l'ALENA. «En privé, M. Obama va probablement dire à M. Harper qu'il a dit qu'il voulait renégocier l'ALENA durant la campagne électorale en Ohio et au Michigan, mais qu'il est conscient que c'est impossible car on l'a informé des conséquences pour l'économie américaine. (...) Les Américains n'achètent pas chez nous pour nos beaux yeux. Ils le font parce que ça sert leurs intérêts», dit M. Chrétien, qui fut ambassadeur du Canada à Washington de 1994 à 2000. Les primaires L'ALENA a failli faire dérailler la campagne de Barack Obama durant les primaires démocrates. En février dernier, un de ses conseillers a informé des diplomates canadiens que son patron n'avait vraiment pas l'intention de renégocier l'ALENA contrairement au discours qu'il tenait devant les électeurs. L'affaire est parvenue aux oreilles des médias canadiens par le biais du chef de cabinet du premier ministre Harper, Ian Brodie, qui s'est échappé lors d'une conversation à bâtons rompus avec des journalistes lors du huis clos du dernier budget fédéral. M. Brodie a dû démissionner de son poste de chef de cabinet du premier ministre. Même si l'avenir de l'ALENA ne semble pas en danger, l'administration Obama pourrait être tentée de retourner à un plus grand protectionnisme économique sous l'influence du Congrès démocrate. "Il y a un danger pour nous: que le nouveau Congrès démocrate passe des lois susceptibles d'aider l'économie américaine. Un ralentissement Les élus du Congrès vont être moins chauds sur le libre-échange. Il y aura un ralentissement, sinon un arrêt, du processus de libéralisation économique. «Heureusement pour le Canada, nous avons déjà l'ALENA», dit M. Chrétien, conseiller stratégique du cabinet d'avocats montréalais Fasken Martineau depuis sa retraite du corps diplomatique fédéral en 2004. Même si la question de l'ALENA devait ne pas être à l'ordre du jour de la première rencontre officielle Obama-Harper, l'ancien ambassadeur est convaincu que les leaders canadien et américain discuteront surtout d'économie. «Ils discuteront de l'état de l'économie nord-américaine, dit M. Chrétien. Peut-être même que M. Obama va vouloir en savoir davantage sur le système bancaire canadien. Si j'étais M. Harper, je lui décrirais les avantages de ce système qui a fait ses preuves.» Autre point à l'ordre du jour de la rencontre Obama-Harper: la frontière canado-américaine. «Les Américains prennent toutes leurs décisions à travers le prisme de la sécurité, dit M. Chrétien. Ils ne vont pas cesser d'être fermes mais ils seront peut-être plus compréhensifs afin de rendre la frontière plus fluide pour les échanges commerciaux.» Une cérémonie suivie Raymond Chrétien suivra avec attention la cérémonie d'investiture de Barack Obama mardi à Washington, lui qui a participé à celle de Bill Clinton en 1996 comme ambassadeur du Canada. Selon Raymond Chrétien, l'homme le plus important pour l'économie canadienne au sein de l'administration Obama est le représentant au Commerce (U.S. Trade Representative), Ron Kirk. Ancien maire de Dallas, il est un fidèle de la première heure de Barack Obama. «Ce poste n'est pas le poste le plus visible mais c'est le plus important dans l'administration américaine pour les Canadiens, dit M. Chrétien. Le représentant au Commerce s'occupe des dossiers de nature commerciale comme le bois d'oeuvre. Il doit suivre les instructions de l'administration mais aussi surtout des membres influents du Congrès.»
  14. Le Sénat américain autorise le déblocage de la dernière tranche du plan de sauvetage financier négocié l'automne dernier, que l'administration Obama utilisera notamment pour aider le secteur hypothécaire. Pour en lire plus...
  15. Les marchés boursiers ont clôturé en hausse, jeudi, les investisseurs ayant une meilleure idée de l'aide financière que l'administration Obama compte rendre disponible. Pour en lire plus...
  16. L'administration Bush va annoncer vendredi à 9h une décision concernant un ensemble de mesures d'aide aux constructeurs automobile en grande difficulté. Pour en lire plus...
  17. Un dépôt de bilan des constructeurs automobiles américains est l'une des options envisagées et l'administration du président George W. Bush est très proche d'une décision sur ce qu'elle fera. Pour en lire plus...
  18. L'administration Bush ne rejette pas le plan d'aide de 34 milliards déposé mardi par les trois géants de l'automobile américains, même s'il excède la limite des 25 milliards de dollars qu'elle avait fixée. Pour en lire plus...
  19. En attendant que l'administration Obama s'installe à la Maison-Blanche et mette en place ses mesures de relance économique, le marché obligataire américain pourrait évoluer d'une façon semblable au marché japonais au milieu des années 90. Pour en lire plus...
  20. Malgré quelques variations dans certains arrondissements, le budget de 4 milliards de dollars de l'administration Tremblay comprend un quatrième gel du taux d'imposition général. Pour en lire plus...
  21. L'administration américaine a débuté la nouvelle année budgétaire par un déficit record de 237,2 G$ qui s'explique notamment par l'injection de milliards de dollars dans le cadre du Plan Paulson. Pour en lire plus...
  22. Les Bourses asiatiques ont effectué un plongeon jeudi, réagissant à l'annonce par l'administration américaine de ne plus racheter les crédits hypothécaires douteux aux banques. Pour en lire plus...
  23. Les bourses asiatiques plongeaient tôt mercredi matin, réagissant à l'annonce par l'administration américaine, mercredi, de ne plus racheter les crédits hypothécaires douteux (subprimes) aux banques. Pour en lire plus...
  24. Le président américain George W. Bush va proposer ce samedi après-midi d'accueillir aux Etats-Unis une conférence internationale sur la crise financière, a indiqué un haut responsable de l'administration sous le couvert de l'anonymat. Pour en lire plus...
  25. L'administration Bush a décidé d'aider à la recapitalisation des banques et à la garantie des prêts interbancaires, pour faciliter l'obtention de liquidités, renforcer le système financier et dégeler le marché du crédit, a déclaré lundi un représentant de l'industrie financière, sous couvert d'anonymat. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...