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  1. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201606/18/01-4993388-des-fraises-sur-le-toit-du-palais-des-congres-de-montreal.php Des fraises sur le toit du Palais des congrès de Montréal Publié le 19 juin 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Pierre-André Normandin La Presse Les Montréalais pourront bientôt aller cueillir des fraises en plein coeur de leur ville. Un laboratoire de recherche en agriculture urbaine prévoit ouvrir cet été une ferme sur le toit du Palais des congrès, où les citoyens ainsi que les restaurateurs du secteur pourront s'approvisionner. Ce projet est piloté par le Laboratoire sur l'agriculture urbaine (AU/LAB) de l'UQAM. Le responsable, Éric Duchemin, confirme que le projet devrait aller de l'avant. Ne manque qu'une autorisation des assureurs. « Le toit est assez solide », assure M. Duchemin. L'inauguration officielle doit avoir lieu plus tard cet été, le temps que les installations soient aménagées. Pour son premier été, la ferme exploitera une superficie de 500 mètres carrés, mais elle devrait atteindre 1840 mètres carrés en 2018, soit environ le tiers d'un terrain de football. Celle-ci sera ouverte de juin à octobre. De la culture de légumes est déjà pratiquée depuis quelques années sur la toiture de cet édifice, mais ce projet compte pousser l'expérience beaucoup plus loin. La ferme qui misera sur des cultures biologiques offrira un espace de production de fraises, d'aromates et de fleurs comestibles destinées à la commercialisation. Le projet prévoit qu'une partie de cette production sera offerte en autocueillette. Une autre partie sera vendue aux restaurateurs situés dans un rayon d'un kilomètre ainsi qu'au service de traiteur du Palais des congrès. L'arrondissement de Ville-Marie versera une subvention de 25 000 $, provenant de ses surplus, pour appuyer le démarrage du projet, mais les responsables visent l'autofinancement. Pour y arriver, ils miseront sur les ventes de leurs produits, ainsi que la location d'un espace de travail et de rencontre. « MURS COMESTIBLES » Une partie du site sera réservée à l'expérimentation agricole, notamment pour tester des « murs comestibles ». On veut ainsi vérifier si le climat québécois est propice à ceux-ci et si on peut développer un modèle économique. Montréal a mené il y a quelques années une importante consultation publique sur l'agriculture urbaine, après que plus de 30 000 Montréalais eurent signé une pétition en ce sens. C'était la première - et unique - fois que des citoyens forçaient la Ville à mener une consultation publique sur un sujet. Le laboratoire AU/LAB s'était engagé lors de l'événement Je Vois Montréal à créer un laboratoire vivant sur l'agriculture urbaine d'ici la fin de 2016. Le Palais des congrès n'a pas souhaité commenter le projet immédiatement, indiquant qu'il comptait faire une annonce à ce sujet la semaine prochaine.
  2. Ils ont choisi, récemment, de s'établir à Montréal. Pour toutes sortes de raisons. Des artistes de tous les horizons. Danseurs, humoristes, musiciens, comédiens, artistes visuels ou du cirque, venus d'ailleurs, pour qui Montréal est non seulement une ville d'adoption, mais un stimulant laboratoire de création. http://www.cyberpresse.ca/arts/201110/14/01-4457318-montreal-ville-dadoption.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-cyberpresse_267_accueil_ECRAN1POS2 + 7 liens (articles,en bas de page),des témoignages intéressants.
  3. Publié le 24 août 2009 à 20h04 | Mis à jour à 20h11 Montréal, futur laboratoire publicitaire plurilingue et multiethnique? Nelson Wyatt La Presse Canadienne Montréal L'industrie publicitaire montréalaise s'apprête à lancer une initiative internationale qui pourrait changer la manière dont les générations futures seront courtisées. Un consortium de publicitaires montréalais entreprendra une série de missions commerciales pour encourager les entreprises américaines à utiliser Montréal comme ville laboratoire plurilingue et multiethnique afin de tester, à peu de frais, des campagnes publicitaires destinées pour le marché international. L'Association des agences de publicité du Québec dévoilera les détails de son projet à l'occasion de la prestigieuse semaine de la publicité qui aura lieu à New York le mois prochain. Elle enverra également une délégation à Chicago au mois de novembre. Le président de l'Association, Sébastien Faure, est d'avis que Montréal représente un laboratoire idéal. Selon lui, les différentes influences culturelles ont produit des styles publicitaires qui pourraient être considérés novateurs dans d'autres marchés. Par exemple, la Société de l'assurance automobile du Québec est connue pour ses campagnes très explicites, voire frappantes, illustrant les dangers de la vitesse au volant. Des comédiens et humoristes sont souvent appelés à faire la promotion de biens de consommation, allant des voitures aux beignes. Le projet a été nommé «Yul-Lab», un nom qui découle des trois lettres utilisées pour désigner l'aéroport de Montréal. Selon M. Faure, le projet aidera également les entreprises à utiliser les nouvelles plateformes sur Internet telles que Facebook et Twitter. «Nous croyons vraiment que Montréal pourrait devenir le centre d'innovation pour les équipes représentant des marques internationales», a affirmé M. Faure, qui est l'un des ambassadeurs du projet. «Ce sont les consommateurs qui dirigent, alors, il faut apprendre à parler à ces consommateurs de la manière qu'ils le souhaitent», a ajouté M. Faure, qui croit que Montréal est le meilleur endroit pour y arriver. Selon lui, la métropole dispose d'un grand bassin de talents qui combinent «l'esprit latin avec le sens américain des affaires». Les publicitaires estiment qu'ils jouent déjà un grand rôle dans l'économie de la ville. Le président de l'Association des agences de publicité du Québec, Yanik Deschênes, affirme que l'industrie génère, dans la province, 60 000 emplois directs et indirects et une activité économique totalisant 5,2 milliards de dollars. Il espère que l'initiative mise sur pied par son organisation permettra à l'industrie de faire encore mieux. source : http://www.cyberpresse.ca/vivre/consommation/200908/24/01-895440-montreal-futur-laboratoire-publicitaire-plurilingue-et-multiethnique.php
  4. Pub : Faire du Québec un laboratoire 24 janvier 2009 - 06h00 La Presse Hugo Fontaine Dans une opération de conquête comme celle qu'entendent mener les agences de publicité québécoises, il est de bonne guerre de diversifier son arsenal. Si le site montreal.ad permettra aux agences de se faire voir ailleurs, l'Association des agences de publicité québécoises (AAPQ) planche également sur un projet qui vise à attirer les grandes marques ici. Le «laboratoire de communication intégrée», un projet toujours en construction, veut faire du Québec une grande zone de test pour la communication marketing. Le Québec un microcosme où règne la suroffre médiatique, pour reprendre les propos de Sébastien Fauré, associé principal et président de l'agence Bleu Blanc Rouge serait le lieu idéal pour lancer un tel projet et convaincre les grandes entreprises de tenter l'expérience, croit l'AAPQ. «Ce serait bien plus qu'un focus group, dit Jacques Duval. Ce serait comme un gros Chicoutimi», ajoute-t-il en faisant référence au fait que la ville saguenéenne a souvent été le lieu de tests de nouveaux produits. Click here to find out more! L'intérêt de ce laboratoire serait de tester des stratégies de communication et de mise en marché au Québec, un marché spécifique caractérisé tant par une touche américaine qu'européenne. Dans la tête de ses créateurs, une entreprise pourrait essayer dans le laboratoire québécois une campagne publicitaire, une mise en marché puis une vente de ses produits. Dans un marché de 7 millions de personnes, ça devient moins casse-cou que dans un marché plus populeux. Le projet est d'envergure et plusieurs acteurs sont dans le coup: les agences de pub, mais aussi des médias de toutes sortes, des firmes de recherche, des détaillants et des universités. Le laboratoire pourrait être présenté à d'éventuels clients dès 2009, sinon en 2010. «Nous avons comme objectif d'aller en mission commerciale à New York en septembre», précise M. Fauré. Au bout du compte, «c'est une façon originale de proposer aux grandes marques d'aller plus loin», croit Sylvain Morissette. Et de faire connaître le savoir-faire des créateurs d'ici.
  5. Le laboratoire américain Pfizer se prépare à licencier d'ici à la fin de l'année de 5 à 8% de ses effectifs de recherche, soit jusqu'à 800 personnes. Pour en lire plus...
  6. La compagnie montréalaise achète une société de Québec spécialisée dans les secteurs de l'ingénierie des matériaux et de la géotechnique. Pour en lire plus...
  7. Le groupe pharmaceutique suisse achète le laboratoire Arius Research en payant 2,44 $ par action, une prime de 15% sur le prix de clôture de mardi. Pour en lire plus...
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