Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'labatt'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

4 résultats trouvés

  1. L'usine de l'arrondissement de LaSalle de la Brasserie Labatt a été retenue pour brasser sa toute nouvelle bière Bud Light Platinum pour le Canada. Le mandat permet de maximiser l'utilisation du nouveau modèle de bouteille d'aluminium qui a été installé en 2012 au coût de 3 millions de dollars. Le mandat national vient consolider les 800 emplois de la brasserie du sud-ouest de Montréal. Sa production a débuté discrètement en décembre. Il s'agit en fait d'une deuxième bonne nouvelle pour les travailleurs de l'usine montréalaise en moins de 12 mois. L'an dernier, elle avait en effet obtenu le mandat de brasser la bière américaine Michelob Ultra pour l'ensemble du pays. «L'obtention de ces mandats n'est pas étrangère à la qualité de nos travailleurs et de nos maîtres brasseurs ici à LaSalle», a dit, dans un entretien, Hugo Tremblay, directeur des affaires de l'entreprise pour le Québec. La Bud Light Platinum n'a de légère que le nom puisqu'elle contient 6% d'alcool par volume. La direction de Labatt n'y voit pas d'incongruité, car Bud Light est considérée comme une marque de commerce par Labatt. Platinum est présenté comme une bière de qualité, dite premium, au même titre que les produits Alexander Keith's, par exemple. Son lancement publicitaire a coïncidé avec le Super Bowl. La bière a fait l'objet d'un lancement couru à la Société des arts technologiques, boulevard Saint-Laurent, le 31 janvier. Le liquide se vendra au pays en bouteille bleu cobalt de 650 ml, en canette de 355 ml et en bouteille d'aluminium de 355 ml. La Platinum qui se vend depuis l'an dernier aux États-Unis y a connu un franc succès. Fin 2012, la bière détenait plus de 1% du marché américain, ce qui est énorme lorsque traduit en hectolitres. Un résultat semblable au Canada «nous procurerait beaucoup de bonheur», de dire M. Tremblay. Labatt possède la brasserie de LaSalle depuis 1956. Il s'agit de l'une de ses six usines canadiennes. Le brasseur exploite 20 centres de distribution au Québec. Appartenant au géant américano-belge AB InBev S.A., Labatt emploie 1200 personnes au Québec. Les précédents investissements remontent à quelques années déjà. Labatt avait investi 50 millions en 2005 pour la modernisation de deux chaînes de production puis 2,3 millions en 2009 pour installer quatre récupérateurs de chaleur. http://affaires.lapresse.ca/economie/fabrication/201302/07/01-4619185-la-bud-light-platinum-sera-brassee-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS6
  2. La Labatt Bleue américaine brassée par Molson 19 août 2010 | 08h00 Mise à jour: 19 août 2010 | 12h30 Argent La bière Labatt Bleue destinée aux consommateurs américains va bientôt être brassée par Molson Coors. Les activités de la Bleue et de Bleue légère aux États-Unis ont été vendues à un brasseur indépendant américain, North American Breweries, lorsque le brasseur belge InBev a acquis la société américaine Anheuser-Busch, en 2008. Cette vente avait été ordonnée par les autorités antitrust américaines. Depuis lors, la Bleue a continué d'être brassée par Labatt au Canada, notamment à LaSalle. Cette entente doit obligatoirement prendre fin. Le nouvel acquéreur avait le choix de brasser lui-même la Bleue ou de la confier à un sous-traitant. C'est cette dernière option qu'il a choisie, en confiant la production à Molson. L'entente d'une durée de cinq ans permettra à Molson de produire 1,5 million d'hectolitres par année, ce qui représente 18 millions de caisses de 24, pour le marché américain. Les 800 employés de Molson à Montréal vont donc faire le travail des 450 employés de Labatt de LaSalle. Pour compléter le contrat, Molson prévoit des réaménagements et des embauches à son usine située rue Notre-Dame à Montréal. Pas d'inquiétude pour l'emploi Yanick Beaudry, président du Travailleuses et Travailleurs de la Brasserie Labatt, affilié à la CSN, ne croit pas que des emplois sont menacés à LaSalle. «La majorité du volume provient de l'usine de London, en Ontario, explique le syndicaliste. Une légère partie du volume partira de Montréal, soit environ 200 000 hectolitres.» M. Beaudry admet toutefois que la nouvelle a un goût étrange. «C'est assez particulier, en effet. Mais nous savions qu'il y avait peu d'options au Canada. Seuls Molson et Moosehead avaient la capacité de brassage. Nous nous attendions à ce que ce soit Moosehead. J'ai eu des discussions avec eux il y a un mois et on s'attendait à ce que ce soit eux.» Faut-il s'attendre à des rapprochements futurs entre Molson et Labatt dans une industrie où les regroupements ont été fréquents ? «Je ne penserais pas, soutient Yanick Beaudry, mais il y a des choses qui ne semblaient pas possibles il y a 10 ans et qui se sont passées. Je n'aurais jamais pensé que le même propriétaire aurait mis la main sur Labatt et Anheuser-Busch.»
  3. Le gouvernement américain a annoncé qu'il posait des conditions au brasseur belgo-brésilien avant de l'autoriser à racheter son concurrent américain Anheuser-Busch. Pour en lire plus...
  4. Montreal's tempest in a beer cup A summertime deal between Labatt and the city's Gay Village raises questions about private interests dominating public spaces From Tuesday's Globe and Mail August 5, 2008 at 3:57 AM EDT MONTREAL — Stéphanie Dagenais didn't mind the Bud Light parasols and cups she was forced to use on her restaurant patio in Montreal's Gay Village. It's when the brewery started telling her Bud Light had to go in those plastic cups that the manager of Kilo bristled. "I think it's an aggressive way of doing a sponsorship," said Ms. Dagenais, who was forced to sell the beer under an exclusive deal struck between Labatt, which brews the beer in Canada, and the Gay Village business improvement group. The business association sold the right to sell beer on 54 new patios along a stretch of Ste-Catherine Street to Labatt, part of a summer-long festival that will see cars banished from the street. Owners say the $100,000 deal came with minimum sales quotas for each bar and restaurant, including a healthy sample of Bud Light. Patrons at a bar on Ste-Catherine Street in Montreal drink Molson Export out of the Bud Light cups required through Labatt’s sponsorship of the area. (John Morstad for The Globe and Mail) The Globe and Mail The deal irks restaurateurs like Ms. Dagenais, who doesn't sell much beer at her small restaurant, best known for tasty desserts, and others who try to tempt palates with fine dining, wine and specialty ales. A representative of the business group even suggested Bud Light is a popular beer among gays in the United States. While the banishment of cars from the street has been good for many businesses and great for pedestrians, the sponsorship is triggering a broader tempest in a beer cup over how much control private enterprises should have over public space. "I guess everything has a price," said Ms. Dagenais, who has several cases of Bud Light collecting dust. "But should it be that way? I don't think so, but it seems to be the way we work in North America." Christopher DeWolf, a writer for Spacing Montreal, an urban affairs website affiliated with the Toronto magazine Spacing, questions how corporate interests were allowed to take over a public street. "The closure to cars has created a destination, it creates an ambience that is impossible with cars," Mr. DeWolf said. "But here you have a product foisted on merchants and their customers. It raises the question of how far we should allow private interests to have such control over our public spaces. I think it's a burden on merchants and it restricts public choice." Bernard Plante, director of the Gay Village business association, said the deal is no different than exclusive beer rights negotiated at other city venues. He pointed to the privately owned Bell Centre where only Molson beer is sold. Mr. Plante brushed aside complaints about the use of public space, saying his business group is provincially legislated and democratically run. "These are the decisions we made on behalf of businesses on the street," Mr. Plante said. Merchants could shed the restraints of sponsorship when the deal runs out after the summer of 2009, he added. But they will have to agree to pay for the street closing, including the cost of street decor and rent to the city for having patios on public streets and sidewalks. Across North America, summer festivals run by private entities take over parks and streets, often with exclusive rights to allow access and to sell products. Many of the examples are more intrusive than the Montreal beer sponsorship. In one infamous example in the United States, Washington's National Mall was fenced off for a Pepsi product launch and concert - a 2003 scene described by the Project for Public Spaces as "singularly shocking for its sheer scope and audacity." Steve Davies, a vice-president of the New York-based group that encourages sensible integration of private business in public spaces, says sponsors get in trouble when they start constraining normal commercial activity. "It goes too far when they use a sponsorship to start telling dozens of private businesses what to do on public land over an entire summer," Mr. Davies said. In Montreal, big chunks of major downtown streets are regularly closed to traffic for short periods for everything from the Jazz Festival to Just for Laughs. The Gay Village pedestrian mall will last 2½ months. Mr. DeWolf said Montreal has one big thing right: The city usually emphasizes free public access, even if access to products like food and drink are often restricted. Labatt officials could not be reached yesterday. But Jean-Luc Raymond, owner of La Planète, which specializes in international cuisine, says he's noticed a little more flexibility from his brewery representative since the controversy broke out. Mr. Raymond has managed to get a little more of the fashionable Stella Artois and a little less Bud Light. "The Bud Light is still languishing," he said, "but I'm not like some others who have to try to sell Bud Light and cheesecake."
×
×
  • Créer...