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  1. Source: ProposMontréal Voici une entrevue que j'ai effectué avec le curateur du Montreal Signs Project. Un professeur de Concordia qui essais de sauvegardé les enseignes historiques de Montréal. Personnage très intéressant et passionné par ce qu'il fait. ProposMontréal: Qu’est-ce qui a amené Matt Soar du Massachusetts à Montréal ? Matt Soar: Après avoir terminé mon Doctorat à l’Université du Massachusetts en 2002, j’avais un emploi temporaire au Hampshire College, sur le marché de l’emploi, j’ai eu la chance d’avoir une entrevue et finalement un emploi au sein du Département des Communications de l’Université Concordia en 2003. PM: D’où est venue l’idée du Montreal Sign Project. MS: Quand je suis arrivé à Montréal en 2003, j’ai dû écrire des demandes de soumission pour financer mes recherches et mon équipement. Et j’ai écrit pour recevoir une bourse du Conseil de Recherches en Sciences Humaines du Canada appelé « The cultural lives of the logo », une de ces parties avait comme sujet les enseignes dans la ville, je voulais analyser Montréal au travers d’un microscope. J’ai utilisé un terme inventé par l’historien Robert McChesney, l’hyper-Commercialisation, la publicité, le marketing apporté à un niveau supérieur où nous sommes au point où Pizza Hut place son logo sur le côté d’une fusée. J’ai habité des villes comme Londre et Vancouver, où j’ai passé beaucoup de temps dans les villes. Par contre, avant d’arriver à Montréal, j’habitais une région rurale du Massachusetts et ce, pendant sept ans. Quand je suis arrivé à Montréal après une longue période loin des villes, j’ai été frappé par le grand nombre de logo sur le haut de gratte-ciel. Avec l’aide d’étudiant nous avons regardé les lois sur l’affichage, j’ai créé un mini-documentaire en ligne intitulé Almost Architecture où j’ai interviewé des architectes, des fabricants d’affiches et des historiens pour partager sur ces logos. J’ai amassé des histoires que les gens avaient à raconter sur les enseignes qui les entourent pour se terminer en une conférence en 2007 nommé « Logo Cities Symposium ». Durant cette conférence, nous avons utilisé l’espace de la galerie VAV de l’université Concordia pour présenter des nouveautés bien sûr, mais nous voulions un peu d’histoire avec de plus vieilles créations. Nous avons donc contacté différents intervenants et avons mis la main pour montrer de façon temporaire les enseignes de Warshaw, Simcha et Tavern Monkland avec l’intention de les retourner à leur propriétaire respectif à la fin du symposium. Suite ici...
  2. EXCLUSIF - L’édifice de la station de métro serait rasé pour élever de nouvelles tours Diane Lapointe Le Courier du Sud 1 novembre 2008 - 09:00 Actualités - VIEUX-LONGUEUIL. L’immeuble du métro rasé et remplacé par une tour à bureaux, hôtel, centre des congrès, stationnements étagés; le paysage du secteur Place Charles-Le Moyne risque de se transformer de façon significative dans un avenir rapproché. Sans oublier les 17 étages de la tour de l’Université de Sherbrooke qui sont levés et dont l’échéancier n’accuse aucun retard. Le Courier du Sud a appris en exclusivité que de nouveaux édifices en hauteur risquent fort de s’élever dans le ciel de la Place Charles-Le Moyne, ce qui modifierait encore ce secteur névralgique de Longueuil. Catania – Groupe immobilier a en effet de grandes ambitions et s’il met à exécution les projets sur lesquels il planche, l’immeuble qui abrite la station de métro Longueuil—Université de Sherbrooke, serait complètement rasé pour faire place à une tour à bureaux. Les stationnements pourraient aussi être métamorphosés en un vaste stationnement à étages sur lesquels s’ajouteraient d’autres étages pouvant accueillir des bureaux professionnels et même peut-être un nouvel hôtel ou un mini centre des congrès. Catania engagé avec la Ville Catania – Groupe immobilier vient de s’associer à la Ville de Longueuil pour la réalisation d’une étude portant sur le développement de la Place Charles-Le Moyne et le redéveloppement de l’édifice du métro. L’entrepreneur immobilier s’est engagé à assumer 50% des coûts de cette étude, qui sera réalisée par le Groupe Gauthier Biancamano Bolduc, une firme d’urbanistes conseils. «Nous souhaitons valoriser ce pôle» André Fortin, président de Catania – Groupe immobilier confirme les visées de l’entreprise dans ce secteur au fort potentiel. «Nous souhaitons valoriser ce pôle, mais il faut d’abord que des études de circulation soit faite afin de définir la capacité de voitures qui pourront y circuler.» L’édifice de la station de métro est, dit-il, non conforme en plusieurs points, et il y a fort à parier qu’il disparaîtra du paysage dans un moyen avenir pour être remplacé par une tour à bureaux. Le sous-sol, par contre, est la propriété du Réseau de transport de Longueuil (RTL). Des experts soutiennent qu’il en coûterait plus cher de réparer les problèmes de structure et d’infiltration d’eau que de carrément reconstruire un autre édifice, selon un nouveau concept plus moderne et imposant. Densification du secteur Les études détermineront ainsi les conditions d’aménagement et le plan d’affaires car, évidemment, la construction de nouveaux espaces densifierait passablement le secteur, qui compte une station de métro, un important terminus d’autobus et, très bientôt, le nouveau campus longueuillois de l’Université de Sherbrooke. Les conclusions de l’étude devraient être connues à la fin de 2008 ou au début de la prochaine année. L’Université se développe Quant à l’Université de Sherbrooke, tout baigne dans l’huile alors que la construction suit son cours normal. Selon Jacques Viens, directeur du cabinet du recteur, la tour de 120 M$ hébergera quelque 8000 étudiants à compter de 2009. Des espaces au rez-de-chaussée et au 1er étage seront loués à des fins commerciales. De plus, 10 à 15% des locaux situés aux étages supérieurs seront loués à des entreprises, tant et aussi longtemps que le nombre d’étudiants ne justifiera pas leur occupation par l’UdeS. Aussi prévu dans les plans, la construction d’une seconde tour de six étages. La Ville acquiert l’Atrium Rappelons finalement que dans le cadre d’une entente entre la Ville de Longueuil et l’Université de Sherbrooke, la Ville a récemment adopté un règlement d’emprunt de 15 M$ pour acquérir l’Atrium; cette place intérieure de 816 m2 reliera la station de métro, le terminus d’autobus et le campus de l’Université.
  3. Selon un rapport de la CREPUQ Les universités du Québec ont besoin de rénovations Agence QMI Jean Nicolas Aubé 08/06/2009 09h45 Après avoir été négligées pendant une trentaine d’années, les infrastructures des universités du Québec auraient actuellement besoin de plus de 1,5 milliard de dollars en rénovations. Selon un rapport commandé par le ministère de l’Éducation (MEQ), les 18 universités québécoises auraient précisément besoin de 1, 542 300 $ afin de ramener l’état de leurs infrastructures à un niveau jugé acceptable. Le rapport réalisé l’année dernière par la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) recommande rien de moins que 5771 interventions soient rapidement réalisées dans les universités de la province. Du nombre on parle par exemple de systèmes de ventilation désuets, de toitures qui fuient ou de façades d’édifices qui perdent des morceaux. L'étude avance même que, vu le très mauvais état des infrastructures, il faudrait investir 100 millions $ chaque année pendant quinze ans afin de remettre en état les immeubles des 18 universités québécoises. Montréal au sommet de la liste Parmi tous les établissements universitaires du Québec, c’est principalement ceux de Montréal qui sont dans le besoin selon les résultats de l’étude publiée ce matin dans La Presse. En fait, sur les six établissements requérant le plus grand nombre d’interventions au Québec, cinq sont montréalais. On retrouve en première position, avec 622 millions $ de rénovations requises, l’Université McGill. Elle est suivie de près par l’Université de Montréal, l’Université Laval à Québec, la Polytechnique, l’Université Concordia et l’UQAM. Fait à noter, les deux tiers des travaux répertoriés dans cette étude doivent être réalisés immédiatement ou d’ici deux ans. Québec consacre actuellement 42 millions $ par année à l'entretient et à la rénovation de ses infrastructures universitaires. Les données de cette étude datent de 2007. Elles n’avaient jamais été rendues publiques par le MEQ.
  4. Google : Le Québécois Patrick Pichette à la tête des finances * Yannick Clérouin, Journal Les Affaires * 16:14 Le Québécois Patrick Pichette accède au poste de vice-président principal et chef de la direction financière de Google, à Mountain View, en Californie. M. Pichette était jusqu’à présent président des opérations de Bell Canada. Il y travaillait depuis 2001. Auparavant, M. Pichette a notamment travaillé pour McKinsey & Company, Call-Net Enterprises. Il est diplômé en administration des affaires de l’Université du Québec à Montréal et en sciences économiques et politiques de l’Université d’Oxford, en Grande-Bretagne. Il est toujours président du conseil de l’association canadienne Ingénieurs Sans Frontières. M. Pichette entrera en poste le 1e http://www.lesaffaires.com/article/0/technologies/2008-06-25/479565/le-queteacutebeteacutecois-patrick-pichette-etagrave-la-tetecircte-des-finances-de-google.fr.html
  5. La terrasse du Pub de l'Université Laval aura un nouveau visage à l'été 2008. Deux jeunes étudiants en architecture ont revampé la terrasse... Projet impressionnant, unique et magnifique!En 48 heures, deux jeunes étudiants de l’Université Laval ont modernisé la terrasse du Pub universitaire. Ils ont élaboré les plans d’un «parasol» géant surplombant la plus grande terrasse de la ville de Québec.Le concours était ouvert à tous les étudiants en architecture de l’Université Laval, tous les niveaux confondus. Les grands gagnants sont des étudiants de deuxième année au baccalauréat, Alexandre Guilbeault et Jean-Daniel Mercier. «Le concours a été organisé par la CADEUL, l’association étudiante de l’Université Laval. C’était de réorganiser la terrasse du Pub de l’Université Laval», explique Alexandre. Les participants au concours ont commencé à mijoter leur projet un certain vendredi à 15h00 pour remettre les plans et dessins finaux le dimanche suivant à 16h00. Et selon leurs dires, le café a été essentiel à l'élaboration de ces plans. «On a dormi deux heures en 48 heures», ajoutent-ils d'un commun accord. «On a voulu donner à la terrasse une image plus corporative. En créant un grand «parasol». Donc, les gens, en pensant Pub universitaire pourraient penser au grand «parasol»», souligne Alexandre. «C’est un élément qui vient créer l’identité du projet», ajoute Jean-Daniel. Ce marathon architectural en valait la peine puisque le «parasol» géant se matérialisera, si tout va bien, à l’été 2008. Les deux étudiants participeront aux travaux qui devraient se mettre en branle dès le printemps 2008. Le «parasol» géant n’a pas qu’un côté esthétique, il se veut utile et a pour but de rendre le séjour au Pub universitaire encore plus agréable et convivial. «Ça vient protéger contre le soleil les gens sur la terrasse. Ça vient régler le problème du vent. Il y a beaucoup de vent sur le campus. Les parasols partaient au vent. En ayant un parasol fixe, ça vient régler ces problèmes!», conclut Jean-Daniel. Les toiles du «parasol» sont amovibles et le soir venu, ces toiles se transforment en une décoration nocturne. Canoë a rencontré les deux gagnants au Pub de l’Université Laval et a eu la chance d’observer les plans finaux de ce projet qui souhaitons-le, deviendra le point de ralliement des étudiants de l’Université Laval! SOURCE http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/12/20071220-125353.html VIDÉOS MONTRANT LE REPORTAGE ET LES PHOTOS DU PROJET http://espace.canoe.ca/MCForest/video/view/30393
  6. 09/11/2007 Le classement 2007 du Times Higher Education Supplement publié aujourd’hui consacre la place de l’Université de Montréal dans le groupe des 100 meilleures universités au monde. L’UdeM arrive au 93e rang de ce classement établi par l’hebdomadaire britannique à partir de données transmises par les universités et les réponses obtenues à un sondage auprès de milliers de personnes travaillant dans le milieu universitaire. Au 93e rang de ce classement mondial, l’UdeM est la première université de la Francophonie. Cette excellente performance de l’UdeM représente un bond important en comparaison avec le 181e rang obtenu l’an dernier et s’explique, entre autres, grâce aux efforts soutenus de l’UdeM pour accroître son rayonnement national et international. De plus, le Times a apporté certaines modifications à sa méthodologie afin de mieux reconnaître les contributions scientifiques en d’autres langues que l’anglais. Le classement du Times, tout comme celui produit par l’Université de Shanghai où l’UdeM figure parmi les 200 meilleurs, évalue l’excellence de la recherche universitaire à l’échelle mondiale. Ce sont les classements les plus représentatifs de l’environnement dans lequel évolue l’UdeM.
  7. BroadSign investit 4,5M$ à Montréal Denis Lalonde, LesAffaires.com 11:07 Pour en savoir plus Autres textes : BroadSign Canada Articles de l'industrie Envoyer à un ami<LI class=imprimer>Imprimer cet article Écrire à l'auteur Source: BroadSign.com Le fournisseur de logiciels dédiés aux panneaux d’affichage numériques BroadSign Canada investit un montant de 4,5M$ dans ses installations de Montréal, ce qui permettra la création d’une trentaine d’emplois en 2008. BroadSign entend utiliser cet investissement pour agrandir ses départements de recherche et développement et de support et service à la clientèle. La compagnie prévoit également construire un nouveau centre d’appels et accroître ses effectifs de 30 à 60 employés en 2008 dans la métropole. La société, une filiale de BroadSign International, a également annoncé la nomination de Richard Boudreault au poste de président de son conseil d’administration. Au cours des dernières années, M. Boudreault a œuvré au sein d’organisations incluant SOFINOV, une division de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Oerlikon Aérospatiale et le Centre de Technologie Aérospatiale. Il a siégé sur plus de 20 conseils d’administrations de compagnies privées et publiques. M. Boudreault détient une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université de Sherbrooke, une maîtrise professionnelle en ingénierie aérospatiale de Cornell University, de même qu'un baccalauréat en physique de l’Université de Montréal.
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