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  1. http://www.ledevoir.com/culture/television/438093/un-fleuve-une-ile-une-ville?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+fluxdudevoir+(Le+fil+de+presse+du+Devoir Un fleuve, une île, une ville 25 avril 2015 |Paul Cauchon | Télévision Photo: Le fleuve et son île Télévision Le fleuve et son île (dans le cadre de 1001 vies) Radio-Canada, samedi, 21 h Voilà, en accéléré, un excellent cours sur l’histoire de Montréal qui montre comment la ville s’est structurée autour du fleuve Saint-Laurent. Quand les premiers colons sont arrivés sur ce territoire occupé par les Amérindiens, il n’y avait pas de route : la route, c’était le fleuve. Et cette grande route était bloquée par les rapides de Lachine. La bourgade qui allait devenir Montréal était alors un lieu de transbordement pour les marchands, qui ne pouvaient franchir les rapides. Le documentaire s’attarde à quelques figures historiques, dont celle de Jeanne Mance dont on ne se rappelle jamais assez l’importance, figure de proue des premiers temps de la colonie. On survole quelques moments-clés : la Grande Paix de Montréal, la conquête britannique, la construction du pont Victoria, premier pont à franchir le fleuve, considéré à l’époque comme la 8e merveille du monde, le rôle joué par John Molson et ses bateaux, la construction du canal de Lachine, et un arrêt fort éclairant aux studios de Norman Notman, dont les clichés représentent aujourd’hui un témoignage fabuleux sur l’histoire de la métropole sent via Tapatalk
  2. Un rendez-vous virtuel divertissant http://signemontreal.com/ Le nouveau spectacle multimédia Signé Montréal, présenté au-dessus des vestiges dans une ambiance immersive inégalée, a inspiré la création d’un site Internet, signemontreal.com, permettant aux jeunes de s’amuser tout en enrichissant leurs connaissances sur l’histoire de Montréal. Complément interactif à une visite au Musée ou en navigation autonome, signemontreal.com mis en ligne par Pointe-à-Callière et réalisé en collaboration avec l’agence Sid Lee propose deux volets : un volet informatif qui retrace les grands moments de l’histoire de Montréal, de l’ère glaciaire à aujourd’hui, et un volet ludique qui offre une immersion au cœur même de l’histoire et de l’archéologie de Montréal à travers 13 différents jeux interactifs. À la fois convivial et divertissant, signemontreal.com présente un spectaculaire voyage dans le temps sur le lieu de la fondation de Montréal et sur l’histoire de cette ville magnifique. Devenez un archéologue virtuel! Que doit faire l’utilisateur du site ? Le volet informatif s’adresse à toute personne soucieuse d’enrichir ses connaissances sur l’histoire de Montréal. On y navigue via de courts textes informatifs tout en admirant une panoplie de visuels sur les personnages, évènements et lieux qui ont fait l’histoire. Le volet ludique, principalement destiné aux jeunes de 12 ans et moins, propose une quête pour découvrir des artéfacts et des portraits de personnalités pour ensuite les ajouter à un carnet de bord. La quête se termine lorsque les 12 objets du carnet ont été amassés et qu’une épreuve finale a été réussie. La fascinante histoire de Montréal au bout de vos doigts Le site présente une ligne de temps remplie de données historiques sur les différentes périodes d’évolution de la ville où artéfacts, portraits et indices ont été dissimulés. L’internaute peut ainsi, tout en s’amusant, consulter une importante source d’informations. Grâce aux différentes sections du site, partant de La présence amérindienne, à Montréal, ville-région dans des réseaux internationaux en passant par l’époque de la Nouvelle-France et de l’Empire britannique, l’histoire de Montréal est présentée de façon accessible, amusante et visuellement riche. Ce nouveau site Internet, créé par l’agence montréalaise Sid Lee, avec les images développés pour le spectacle multimédia par la firme montréalaise Moment Factory et des contenus rédigés et validés par des historiens est un véritable hommage à la métropole en plus d’être un outil pour mieux connaitre et aimer Montréal, en lien avec le spectacle multimédia Signé Montréal. La réalisation du site Internet du spectacle multimédia Signé Montréal a été rendue possible grâce à l’appui financier de la Ville de Montréal et du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal, du ministère des Affaires municipales, Régions et Occupation du territoire du Québec, de Patrimoine canadien, d’Hydro-Québec et de la Fondation Pointe-à-Callière. http://pacmusee.qc.ca/fr/medias/communiques-de-presse/signe-montreal-le-site-internet
  3. Lors de la signature du traité de la Grande Paix de Montréal avec les nations amérindiennes il y a 309 ans, Montréal comptait à peine 1 200 habitants. Voilà le genre d’anecdotes qui parsèment le nouveau spectacle multimédia Signé Montréal, présenté lundi par le musée Pointe-à-Callière. Les visiteurs habitués à l’ancienne vidéo qui parcourt toute l’histoire montréalaise en 18 minutes seront charmés. La salle a été largement repensée, et sur un gigantesque écran en U de 270 degrés, les grands moments de la métropole défilent de façon dynamique. Au sol, les vestiges de fondations datant de l’époque des premiers colons retrouvent vie grâce à un ingénieux système de projection et d’éclairage. Dans le casque d’écoute, Montréal se raconte (bientôt en huit langues) de façon optimiste mais sans complaisance (on ne manque pas de parler du coût du Stade olympique, par exemple!). Les Iroquoiens et leurs maisons longues, les fondateurs De Maisonneuve et Jeanne Mance, l’invasion anglaise (1760), l’essor économique, l’arrivée des premiers triplex (1891), la mode du tramway (jusqu’à 54 lignes), l’Expo 67 et ses 50 millions de visiteurs : tout y passe. Le spectacle est «un beau cadeau pour que les touristes aient accès à l’histoire de Montréal rapidement», indique la directrice générale du musée, Francine Lelièvre. Le coût du projet s’élève à 2,5 M$, mais celui-ci durera dix ans, précise Mme Lelièvre. Il faut y ajouter 1 M$ pour le réaménagement de la salle de 185 places, qui comprend aussi une scène pouvant accueillir des évènements corporatif. Des jeux virtuels animent en outre le site internet du musée, et un magnifique ouvrage reprend les grandes lignes du spectacle ainsi que son iconographie. http://www.journalmetro.com/linfo/article/679501--montreal-vu-par-pointe-a-calliere Petit video:http://vimeo.com/16288680
  4. Raccrochera, raccrochera pas? Le plus gros rachat d’entreprise de l’histoire au Canada, celui de BCE, société mère de Bell Canada, est en péril plus que jamais auparavant. Pour en lire plus...
  5. La plaine du Saint-Laurent, entre Montréal et Québec, est le théâtre d’un des plus grands suspenses économiques de l’histoire de la province. Pour en lire plus...
  6. Bilan du tourisme à Montréal Un été qui ne passera pas à l’histoire Mise en ligne 29/08/2007 04h00 On error resume nextuseFlash316 = NOT IsNull(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))isIe = true Yvon Laprade Le Journal de Montréal La saison touristique de l’été 2007 à Montréal ne passera pas à l’histoire, mais dans l’ensemble, restaurateurs et hôteliers ne devraient pas souffrir d’une baisse marquée du taux de fréquentation, selon Tourisme Montréal. «Ce ne sera ni la catastrophe, ni l’eldorado», a confié hier au Journal de Montréal le porte-parole Pierre Bellerose. Il s’attend à ce que le bilan - qui sera complété vers la mi-septembre - sera similaire à celui de l’été 2006. Il hésite à conclure qu’il y a eu moins de touristes américains dans les rues de la ville cet été, comme ce fut le cas l’an dernier. Mais dans les hôtels et les restaurants, le constat est sans équivoque. «Il y a moins de touristes américains, c’est clair, on le voit. En revanche, ça parle beaucoup l’allemand et l’espagnol dans le Vieux. «Il y a aussi beaucoup de Mexicains dans la ville», observe, de son côté, le directeur général de la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, Jean Perron. Pour sa part, Jean-Pierre Ousset, propriétaire du restaurant français La Gargote, place d’Youville, se dit étonné de voir «autant de touristes français et espagnols». «On a la chance d’avoir les Européens pour compenser la perte des touristes américains», note-t-il. Il se plaint toutefois du «harcèlement» des préposés au stationnement de la Ville de Montréal, «qui nous font un tort considérable en distribuant des tickets à nos clients». «On travaille d’arrache-pied pour vendre le Vieux-Montréal. Mais cette insistance qu’ont les préposés au stationnement à sévir à la minute près (après l’expiration du parcomètre) nuit à notre image», ajoute-t-il. Taux d’occupation (s.t.) En juillet, le taux d’occupation des grands hôtels a atteint 75,5 % contre 76,2 % en 2006. Les chiffres ne sont pas disponibles pour le mois d’août, mais selon Bill Brown, de l’Association des hôtels du Grand Montréal, le taux d’occupation devrait osciller autour de 80,3 %, comme l’an dernier. Il qualifie la saison touristique de «moyennement satisfaisante». «On ne battra pas de records mais on s’en tire bien, en dépit de plusieurs facteurs incontrôlables, dit-il. On a eu du mauvais temps (début juillet) et on a dû composer, entre autres, avec la force du dollar canadien, qui a découragé les Américains de venir en vacances chez nous.» Revenus (s.t.) Un fait demeure: l’industrie du tourisme à Montréal mise sur la saison estivale pour gonfler ses revenus. Les deux tiers de l’achalandage et des revenus sont réalisés de mai à septembre. Cette industrie attire annuellement 7,5 millions de touristes qui dépensent 2,5 milliards de dollars, selon Tourisme Montréal.
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