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  1. Si ça vous intéresse: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,117743576&_dad=portal&_schema=PORTAL
  2. Lundi 12 mai 2014 | Mise en ligne à 10h25 «Célébrer l’Expo 67 en 2017, un devoir de mémoire» Belanger - Expo Lettre intéressante de Michel Dumas, professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM, et président de la Fondation Expo 67. Je la publie intégralement en vous invitant à y réagir. C’est avec le plus grand intérêt que j’ai lu la chronique de François Cardinal intitulée «375e: trop tard pour bien faire?» dans laquelle il dit craindre qu’on ne puisse laisser un legs significatif à Montréal en 2017 à l’occasion des fêtes du 375e anniversaire. Il croit, cependant, qu’il n’est pas trop tard pour le faire, «car il existe sur les planches à dessin un projet d’envergure porteur de sens»: la transformation des îles du Parc Jean-Drapeau pour rappeler leurs origines de 1967. Nous ne pouvons qu’être d’accord avec ce projet. On sait que le 50e anniversaire de l’Expo 67 coïncide avec le 375e de Montréal. Mettre en valeur l’héritage remarquable de l’Expo, c’est en même temps saluer l’un des plus grands évènements qui aient propulsé Montréal sur la scène internationale. La Fondation Expo 67 qui regroupe des amants de l’Expo souhaite que les pouvoirs publics acceptent, alors qu’il en est encore temps, ce projet de transformation du Parc Jean-Drapeau. Outre de favoriser des projets de développement, nous nous devons de célébrer le 50e de l’Expo, comme l’ont fait d’autres villes qui ont tenu une exposition universelle. En 2008, Bruxelles a rappelé l’exposition de 1958 par une série d’événements sous le thème «Bruxelles bonheur» et notamment par une exposition dans un Atomium ayant retrouvé tout son lustre. En 2012, un programme d’événements et d’expositions d’une durée de six mois appelé Next Fifty a rappelé l’exposition universelle de Seattle de 1962. En 2017, Montréal célèbrera-t-elle comme il se doit sa grande exposition? Nous avons déjà proposé qu’on développe comme legs spécifique un centre permanent d’interprétation de l’Expo ou, pourquoi pas, sur les îles, à la Biosphère par exemple. On pourrait aussi célébrer cet anniversaire par des évènements visant différents publics: faire revivre aux écoliers l’expérience de l’«édu-kit» menée alors avec succès par le service des relations publiques dans des milliers d’écoles au Canada et aux États-Unis, en 1967; rappeler l’expérience des «journées nationales» en célébrant avec chaque pays l’anniversaire de sa participation à l’Expo; organiser un ensemble de spectacles rappelant le célèbre Festival mondial qui fut un évènement culturel sans précédent. Quels que soient les projets retenus, Montréal doit célébrer l’Expo. Notre Fondation ne dispose pas de ressources pour financer ces projets, ne comptant que sur de modestes cotisations de ses membres, Amis de l’Expo. Toutefois, elle encourage fortement à le faire les pouvoirs publics, en leur assurant tout son appui. Nous devons accomplir notre devoir de mémoire et redonner aux Montréalais la fierté d’avoir tenu ce grand évènement. Il en est encore temps.
  3. MUSÉE DE LA CIVILISATION À la découverte des momies égyptiennes Cédric Bélanger 22-04-2009 | 18h44 Les Égyptiens croyaient dur comme fer que la vie se prolongeait après la mort et c’est pourquoi leurs corps momifiés reposaient dans des chapelles en compagnie d’une foule d’objets domestiques pouvant leur être utile dans l’au-delà, dont de la vaisselle, des meubles, des bijoux et du maquillage. Certains poussaient même la commodité jusqu’à inclure dans leur tombe des oushebtis, de petites figurines ou statuettes devant faire office de serviteurs pour le défunt dans l’au-delà, apprend-on en visitant l’exposition Fascinantes momies d’Égypte, qui tient l’affiche au Musée de la civilisation à compter d'aujourd'hui jusqu’au 4 avril 2010. «Il y a longtemps que le musée voulait développer un thème relié à l’Égypte ancienne. Le public nous le demandait aussi. Aujourd’hui, c’est chose faite», s’est réjouie la directrice générale du musée, Claire Simard, au cours d’une visite des médias, mardi. Comment momifier en trois étapes À travers 225 objets (prêtés en majeure partie par le Rijksmuseum van Oudheden de Leiden, aux Pays-Bas), dont quelques authentiques momies, les visiteurs pourront découvrir les rituels funéraires de l’ancienne Égypte, du décès jusqu’au jugement final devant le dieu Osiris. En fait, la visite s’articule autour des différentes étapes menant à la momification, procédure s’étalant sur soixante-dix jours après le trépas. «Le corps est d’abord amené dans un endroit pur. Là, on procède à une incision abdominale et on retire les viscères, qui sont ensuite placés dans des vases canopes», explique Sylvie Brunelle, chargée de projet de l’exposition. Ensuite, vient l’étape de la déshydratation, laquelle dure quarante jours. Enfin, le corps est enduit d’onguent et on fait le bandelettage. La momie est ensuite prête à être mise dans un cercueil, puis à être couchée dans une chapelle, dont on peut voir une réplique durant la visite. Ankhhor La pièce maîtresse de Fascinantes momies d’Égypte est la momie du grand prêtre Ankhhor, qui trône d’ailleurs au centre de l’aire d’exposition. Mort il y a plus de 2650 ans, Ankhhor reposait dans trois cercueils s’imbriquant les uns dans les autres. «Le nombre élevé de cercueils nous indique que le défunt provenait vraisemblablement d’une famille noble disposant d’importants moyens financiers», signale Mme Brunelle. Momie «québécoise» Parmi les momies en exposition, notons celle de Nen-Oun-Ef, qui avait été acquise au XIXe siècle par le Séminaire de Québec. «Débandeletté», le corps du défunt est visible et montre à quel point les techniques utilisées par les Égyptiens ont permis une étonnante conservation. Un examen tomodensitométrique effectué au CHUQ, en 2008, a permis de découvrir l’âge approximatif de Nen-Oun-Ef, ainsi que les techniques d’embaumement utilisées à sa mort, lesquelles se sont révélées différentes de celles connues à ce jour. L’exposition est complétée par des ateliers interactifs, dont un s’intitule Une journée d’aventures dans l’Égypte ancienne et vous promet de découvrir bien des mystères entourant les rites funéraires du pays des pyramides et des pharaons.
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