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  1. LUMINOTHÉRAPIE AU QUARTIER DES SPECTACLES 15.10.2013 // Le Partenariat du Quartier des Spectacles a dévoilé les deux lauréats de la quatrième édition du concours Luminothérapie. Ces œuvres agrémenteront les déambulations des visiteurs et des Montréalais dans le Quartier des Spectacles du 11 décembre 2013 au 2 février 2014. La place des Festivals sera mise en valeur par l’installation métaphorique Entre les rangs, conçue par l’équipe multidisciplinaire menée par la firme d’architecture KANVA. En parallèle, les huit façades du Quartier des Spectacles qui servent de support tout au long de l’année à différentes projections de vidéos artistiques seront animées pendant la durée de l’évènement Luminothérapie par les vidéoprojections ludiques Trouve Bob du collectif CHAMPAGNE CLUB SANDWICH. LAURÉAT - ANIMATION DES ESPACES PUBLICS: KANVA EN COLLABORATION AVEC UDO DESIGN, CÔTÉ JARDIN, BORIS DEMPSEY ET PIERRE FOURNIER http://mtlunescodesign.com/fr/projet/2013-Animation-des-espaces-publics
  2. Le Palais des congrès de Montréal accueille le plus important événement de l’Année polaire internationale. 2012-04-03 Le Palais des congrès de Montréal se prépare à accueillir la Conférence API 2012 Année polaire internationale du 22 au 27 avril 2012. Quelques 4 000 spécialistes du climat provenant de plus de 60 pays sont attendus pour cet événement qui générera des retombées économiques de près de 9 millions de dollars dans la métropole québécoise. Tenue sous la thématique De la connaissance à l’action, la conférence prévoit attirer l’attention de la communauté internationale sur les régions polaires, les changements globaux et les enjeux environnementaux, sociaux et économiques qui y sont reliés. Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal, souligne: « L'équipe du Palais des congrès de Montréal est fière de contribuer au succès d’un événement aussi prestigieux dont la tenue à Montréal est possible notamment grâce à l’abondance de centres de recherche et d’établissements d’enseignement supérieur dans la métropole. En plus des retombées économiques importantes, la conférence générera des retombées intellectuelles inestimables par les ateliers, discussions et les rencontres qui s’y tiendront ». Tenue pour la première fois en 1882, l’Année polaire internationale s’est produit seulement quatre fois depuis sa fondation. En 2012, grâce au soutien du Dr. Michel Béland, co-président sortant du comité international mixte pour l’année polaire 2007-2008, la 4e Année polaire internationale se conclura à Montréal par la troisième et dernière conférence réunissant des scientifiques du monde entier. Dr. Béland, aussi d’Environnement Canada et Président de la Commission des sciences de l’atmosphère de l’Organisation Météorologique Mondiale, est un membre exécutif du Club des Ambassadeurs du Palais des congrès de Montréal aussi actif au sein de son comité consultatif. Pour sa part, Nicole Ménard, ministre du Tourisme, affirme : « L’engagement des ambassadeurs locaux contribue de façon exceptionnelle au rayonnement international de Montréal auprès des gens d’affaires. Nous tenons à souligner l’implication du Dr. Béland et du comité local dans l’effort qu’il ont consacré à valoriser Montréal et le Québec dans le choix d’une destination reconnue pour la qualité de ses chercheurs et spécialistes dans le domaine ». Événement certifié écoresponsable Les organisateurs de la conférence ont choisi d’organiser un événement écoresponsable certifiée en vertu de la Norme québécoise BNQ 9700-253 en gestion responsable des événements. L'obtention de cette certification démontre que la conférence a été planifiée en fonction des exigences en matière de développement durable. Plus spécifiquement, les considérations environnementales ont été à la base de la sélection des fournisseurs, la gestion de matériel, de l'énergie et de l'eau, la gestion des matières résiduelles, la sélection des aliments et la gestion des moyens de transport. À propos du Palais des congrès de Montréal Le Palais des congrès de Montréal a pour mission de solliciter et d’accueillir des congrès, des expositions, des conférences, des réunions et d'autres événements. Institution publique à vocation commerciale, le Palais des congrès génère d’importantes retombées économiques pour le Québec et contribue fièrement, depuis plus de 28 ans, au partage des connaissances de même qu’au rayonnement international de Montréal à titre de destination de premier plan. Pour de plus amples renseignements sur le Palais des congrès de Montréal, consultez notre site Internet à http://www.congresmtl.com. http://www.congresmtl.com/fr/nouvelles/communiques-item.aspx?id=241
  3. Tourisme Montréal a la cote Agence QMI Mélanie Colleu 17/11/2011 18h18 MONTRÉAL – Les touristes semblent ravis de leur escale à Montréal, si bien que la plupart d’entre eux ramènent dans leurs valises l’intention d’inciter leurs proches à suivre leur exemple. Une enquête de satisfaction effectuée à la demande de Tourisme Montréal indique en effet que plus de 80 % des répondants accordent une note d’au moins 8 sur 10 à leur séjour dans la métropole. Environ 99 % affirment même vouloir recommander la destination à leur famille et leurs amis. L’ambiance générale de la ville, l’art, la culture, la courtoisie des habitants et l’offre de divertissement de la métropole font, entre autres, pencher la balance du côté positif. «Les visiteurs apprécient l’accueil qu’ils reçoivent à Montréal ainsi que la convivialité des Montréalais», a dit Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, en soulignant également les nombreux évènements culturels et sportifs que propose la ville tout au long de l’année. Plus de 7 millions de touristes en 2010 La fréquentation touristique montréalaise en 2010 a enregistré une augmentation de 4,5 % par rapport à 2009. Tout au long de l’année, 7,4 millions de visiteurs ont traversé le St-Laurent pour venir flâner quelques jours dans les rues pavées du Vieux-Port, l’un des lieux les plus prisés de l’île. Près de 55 % d’entre eux provenaient du Québec, environ 21 % d’une autre province canadienne et autour de 24 % des États-Unis ou d’ailleurs dans le monde. Le sondage a été réalisé auprès des visiteurs ayant séjourné au moins deux nuits à Montréal durant l’année 2010.
  4. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
  5. Un déficit fédéral de 162 milliards? * Ulysse Bergeron, lesaffaires.com * 14:31 Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années, selon Don Drummond. Photo : Bloomberg Le déficit du gouvernement canadien pourrait graviter autour de 162 milliards de dollars d’ici cinq ans, selon les estimations de l’économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond. L’expert en matière de budget fédéral soutient que le gouvernement Harper ne sera pas en mesure d’équilibrer son budget dès 2014, comme le prévoit le ministre des Finances Jim Flaherty. Au contraire. Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années. Don Drummond avait déjà émis de sérieuses réserves quant aux estimations avancées par le ministre Flaherty, le 26 mai dernier. Outre le dévoilement d’un déficit de 50 milliards pour l’année en cours, le ministre avait alors avancé que le Canada enregistrerait un surplus de 700 millions dès 2014. Pour cette même année, Don Drummond estime plutôt qu’Ottawa enregistrera un déficit de 19 milliards. La seule façon pour le Canada d’obtenir un budget équilibré pour 2014 serait de geler les programmes de dépense dès l’année fiscale 2012-2013. Ce qui est peu probable, souligne la TD.
  6. Une semaine après la publication de l’indice du bonheur, qui concluait que les Montréalais étaient parmi les plus malheureux au Québec, on apprend aujourd’hui que les citoyens de la Métropole disposeraient d’une des meilleures qualités de vie au monde. Dans un rapport publié ce matin par la firme Mercer, on apprend en effet que la Métropole occupe la 22e position d’un classement de 215 villes en ce qui a trait à la qualité de vie de ses citoyens. «Montréal fait bien sur à peu près tous les facteurs considérés, mais perd toutefois quelque plumes en raison de la rigueur de son hiver», explique Georges cabana, conseiller principal chez Mercer. Fait à noter, cette 22e position ne constitue pas une amélioration pour la Métropole qui occupait la même position dans la première édition de cette étude, l’année dernière. Montréal n’est par ailleurs pas la seule ville canadienne à avoir fait bonne figure dans cette étude. Le document conclut que cinq villes, dont Montréal, se retrouvent dans la tranche supérieure de 15% de l’échantillon mondial. De toutes les villes canadiennes évaluées, c’est Vancouver qui obtient la meilleure note, occupant la 4e position mondiale avec un indice de qualité de vie de 107,4, trois points devant Montréal qui a enregistré une note de 104,2 dans ce même classement. Par la suite, les villes de Toronto (15e), Ottawa (16e), Montréal (22e) et Calgary (26e), complètent le palmarès canadien du sondage. De toutes les villes évaluées, c’est celle de Vienne en Autriche qui a raflé la première position avec un indice de qualité de vie de 108,6, dépassant ainsi Zurich qui occupait la tête du classement l’année dernière. À l’opposé, en raison de son climat politique instable et des nombreux attentats qui s’y produisent, c’est la ville de Bagdad qui occupe la dernière position du classement avec un indice de qualité de vie de 19,6. Pour arriver à ce classement final, la firme Mercer évalue les conditions de vie selon 39 facteurs. On compte notamment l’environnement politique et social, l’environnement économique et socioculturel, la santé et l’hygiène ainsi que les divertissements disponibles dans chaque ville étudiée.
  7. Québec: la tendance à la hausse des faillites se poursuit 7 janvier 2009 - 08h56 ARGENT Sur une base annuelle - Québec: la tendance à la hausse des faillites se poursuit Le nombre total de faillites au Québec a accusé une hausse de 9,5% en novembre sur une base annualisée, mais il a cependant diminué de 5,7% par rapport à octobre. Selon les chiffres publiés mercredi par le Bureau du surintendant des faillites du Canada, 29 772 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite pendant la période de 12 mois terminée en novembre dernier, comparativement à 27 187 l’année précédente. En novembre, un nombre total de 2766 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite, ce qui constitue une baisse par rapport aux 2934 faillites en octobre. Le nombre de faillites des consommateurs a crû de 9,8% sur un an, passant de 25 159 à 27 626 faillites. Pour le mois de novembre seulement, le nombre de consommateurs ayant fait faillite a toutefois chuté de 7,4%, pour totaliser 2561, par rapport à octobre. Un total de 2146 faillites d’entreprises a été recensé sur une période de 12 mois, ce qui représente une hausse de 5,8% par rapport aux 2028 de l’année précédente. Selon l’organisme fédéral, 205 entreprises québécoise ont déposé leur bilan en novembre, en hausse de 22% sur les 168 faillites déclarées en octobre. Canada Au pays, la tendance globale est semblable à celle du Québec, avec une progression de 9% sur une base annualisée, pour un total de 94 134 faillites.
  8. Invoquant un «climat économique de plus en plus difficile», l’institution bancaire anticipe maintenant que le TSX atteindra 11 000 points à la fin de l’année 2009. Pour en lire plus...
  9. Chute des ventes résidentielles à Montréal 9 décembre 2008 - 10h06 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Montréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée. C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin. Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide. «Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour. Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisée contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face». Toutefois, comme elle le souligne, Montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens. Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la Métropole québécoise. Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier.
  10. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, ces ventes sont en recul de 6%. Pour en lire plus...
  11. Pour les neuf premiers mois de l’année, les ventes d’habitations existantes dans la région de la Métropole ne sont en baisse que de 2 % comparativement à l’année passée. Pour en lire plus...
  12. L'engouement des Français pour le Québec se confirme › Le ministère du tourisme du Québec intensifie ses actions sur le marché français. Ainsi pour l’année 2008, le budget consacré à la publicité, à la promotion commerciale et au workshop Destination Québec 2008 s’élève à plus de 1,6 million d'euros. Résultat, depuis l’année 2004, le nombre de touristes français, entrés directement au Québec via les aéroports de Montréal et de Québec, a connu une progression de 8,3 %. Pour la période de janvier à août 2008, la destination enregistre avec 221.846 visiteurs une hausse de 15,3 % par rapport à 2007. A lui seul, le mois d’août, réputé pour la plus forte fréquentation annuelle, a fait un bond de 31 %. Pour continuer sur cette lancée, le Québec se tourne vers de nouveaux objectifs de développement comme le marché des croisières, le Grand Nord ou le développement durable. Le Québec organise aussi ses rencontres professionnelles se tiendront à Paris, le 18 novembre et, pour la première fois à Lyon, le 19 novembre. À Paris, le workshop réunira environ 50 professionnels du tourisme québécois, à la Maison de la Mutualité. A Lyon, une quarantaine d’exposants accueilleront les acheteurs sur un bateau (La Plateforme).
  13. Voilà qui risque de chambouler les idées reçues: l’année 2008 risque d’être excellente au chapitre des ventes des véhicules neufs au Québec. C’est ce qu’affirme la Corporation des concessionnaires d’automobiles. Pour en lire plus...
  14. Selon les données du Conference Board du Canada, l’indice de confiance a dégringolé de 11,9 points à 73,9. Cela s’avère le plus bas niveau depuis le troisième trimestre de l’année 1982. Pour en lire plus...
  15. Selon le Conference Board du Canada, la croissance économique au pays va se limiter à 0,8% pour l’année en cours mais le Canada «évitera la récession». Pour en lire plus...
  16. Le marché de la revente demeure vigoureux en juillet Île-des-Sœurs, le 6 août 2008 – En affichant une faible baisse de 1 % dans les transactions conclues sur le système MLS ® en juillet, le marché de la revente dans la région métropolitaine de Montréal continue d'aller à l'encontre de la tendance à la baisse observée dans les autres grandes villes canadiennes. La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a en effet enregistré 2 892 ventes le mois dernier, soit presque le même nombre qu'en juillet 2007, qui avait été le meilleur mois de tous les temps. « Contrairement à la tendance ailleurs au Canada, le marché de la revente de la région métropolitaine de Montréal se porte bien », indique Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM. « Le ralentissement est en effet beaucoup plus marqué dans les autres grandes villes canadiennes, comme à Toronto où les ventes depuis le début de l’année sont en baisse de 14 %, à Calgary, en baisse de 32 %, et à Vancouver, en baisse de 20 %. » Dans la région métropolitaine de Montréal, 2 641 maisons unifamiliales ont été vendues en mai, une baisse de 15 % comparativement à mai 2007. Les ventes de plex de 2 à 5 logements ont pour leur part diminué de 10 %. Seule la copropriété tire son épingle du jeu, avec une croissance des ventes de 5 %. Pour la région métropolitaine de Montréal, 25 519 transactions ont été conclues par l’entremise du système MLS® au cours des six premiers mois de 2008, en baisse de 3 % comparativement aux 26 430 ventes pour la même période l’année dernière. « La copropriété fait mentir la tendance enregistrée depuis le début de l’année 2008 avec un gain cumulatif des ventes de 7 %, comparativement aux six premiers mois de l’année 2007, alors que la maison unifamiliale enregistrait une baisse équivalente de 7 % », ajoute Michel Beauséjour. Dans le secteur Vaudreuil-Soulanges, les ventes sont demeurées stables, alors qu’on enregistre sur la Rive-Sud et à Laval une légère baisse de 2 % et sur l’Île de Montréal, 3 %. La Rive-Nord enregistre depuis le début de l’année la plus forte baisse avec un recul des ventes de 7 %. Les hausses de prix sont demeurées soutenues, en particulier pour la maison unifamiliale (+6 %) et les petits immeubles à revenu (+7 %). La croissance plus modérée du prix des copropriétés (+3 %) dans la région métropolitaine de Montréal depuis le début de l’année s’explique surtout par l’évolution de la composition géographique des ventes. En effet, les ventes de copropriétés sont de plus en plus nombreuses à l’extérieur de l’île de Montréal où leur prix est généralement plus abordable. Hausse des ventes en juin Le nombre de transactions conclues en juin est en hausse de 2 % comparativement à la même période en 2007, s’établissant à 3 757 ventes. Cette hausse est attribuable à une augmentation de l’activité en banlieue où les ventes enregistraient une hausse de 4 % sur la Rive-Sud, de 3 % sur la Rive-Nord et de 7 % dans le secteur Vaudreuil-Soulanges. La copropriété s’est encore une fois avérée la seule catégorie de propriété à gagner en popularité par rapport à 2007, avec une progression de 9 % des ventes, alors que la maison unifamiliale a vu ses ventes diminuer de façon très minime (-1 %). De leur côté, les plex (2 à 5 logements) se sont transigés au même rythme que l’an dernier. Au 30 juin 2008, le nombre d’inscriptions en vigueur sur le réseau MLS® était en hausse de 9 % comparativement à la même date l’année dernière, donnant ainsi un peu plus de choix à l’acheteur, dans un marché qui demeure toujours à la faveur des vendeurs.
  17. Aux États-Unis et au Canada, les ventes des scooters ont grimpé lors de la première partie de l’année 2008. Pour en lire plus...
  18. La baisse des exportations va limiter la croissance au Canada à seulement 1,7% pour l’année 2008. Pour en lire plus...
  19. Pour l’année 2008, l’analyste Fadi Chamoun prévoit une perte de 72 cents par action. UBS conserve tout de même la cote du transporteur à «neutre». Pour en lire plus...
  20. Où va le marché de la construction au Québec en 2008? Canoë Mathieu Bruckmüller 17/01/2008 19h58 Malgré les mauvais chiffres des trois derniers mois sur le front des mises en chantier au Québec et la baisse anticipée pour 2008, les professionnels de la construction restent optimistes. « Depuis trois ans, on nous prédit un ralentissement. Or, nous performons davantage chaque année », indique Jacques Fournier, copropriétaire du Village Parisien, un projet de 600 unités résidentielles à Brossard. Luc Bourgoin, économiste à l’Association de la Construction du Québec (ACQ), abonde dans le même sens. Selon lui, plusieurs facteurs militaient pour une baisse du marché l’an dernier. D’une part, le taux de propriété au Québec, l’un des plus bas au Canada, s’est déjà considérablement redressé au cours des trois dernières années. D’autre part, l’accessibilité à la propriété devient plus difficile en raison de la hausse du prix des maisons. Enfin, la croissance du nombre de nouveaux ménages au Québec est en baisse. « En dépit de ces vents contraires, 2007 fut assez exceptionnelle pour l’industrie grâce notamment à la vigueur du marché de l’emploi et à la hausse tardive des taux hypothécaires », relève-t-il. D’après la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle au Québec, en décembre 2007, a affiché un recul de 25 % par rapport à 2006, de 28 % en novembre et de 19 % en octobre. Sur l’ensemble de l’année, les mises en chantier demeurent en hausse de 4 % par rapport à 2006. De son côté, l’ACQ prévoit un ralentissement en douceur de la construction pour 2008, mais estime que le marché va rester soutenu. Sentiment partagé par Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs Mobilières Banque Laurentienne : « 2008 sera un peu moins vigoureuse que 2007, mais demeura fort respectable. Ce ralentissement devrait se faire sentir dans les quatre coins du Québec, surtout à Montréal où l'offre de condominiums sur le marché semble quelque peu élevée », explique-t-il. Pour les Industries Bonneville, pas de baisse en vue, bien au contraire. Après des ventes comparables entre 2006 et 2007, avec environ 500 maisons construites, le groupe anticipe une hausse de 20 % en 2008, hausse liée à l’ouverture récente de deux bureaux à Calgary et Mont-Tremblant. « Nous sentions que la demande était moins forte l’année passée au Québec. Sans ces nouveaux bureaux, nous aurions subi une baisse de 20% », dit toutefois Dany Bonneville, vice-président ventes et marketing. Son de cloche similaire pour Jacques Fournier qui s’attend lui aussi, pour cette année, à une croissance de ses ventes supérieure à 10 % pour. « L’année a démarré en trombe. Depuis 5 ans, le marché est excellent », témoigne de même Stephen Taylor, directeur des Constructions Première Classe, dans la région de Québec. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/01/20080117-195839.html
  21. La Presse Le dimanche 16 septembre 2007 L’administration Tremblay-Zampino a demandé au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) de réduire son budget de 20 millions de dollars l’an prochain. Tous les services centraux ont d’ailleurs reçu l’ordre de couper dans le gras en 2008 pour réduire leurs dépenses de 70 millions, a appris La Presse. Montréal poursuit l’exercice de rationalisation entrepris l’année dernière. Objectif : économiser 300 millions et éliminer 1000 postes d’ici 2009. Le président du comité exécutif, Frank Zampino, précise que les contraintes budgétaires sont cette année de 30 millions pour les arrondissements et de 70 millions pour les services centraux. L’année dernière, le budget des arrondissements était de 870 millions et celui des services centraux, de 1,85 milliard. Le responsable des finances au comité exécutif précise que plus le budget d’un service est imposant, plus les restrictions le sont. « C’est un exercice exigeant. C’est encore plus exigeant en 2008 parce que, une fois qu’on a réalisé 100 millions d’économies en 2007, ça devient plus compliqué la deuxième année et encore plus compliqué en 2009 », explique M. Zampino. Chaque année, les services établissent un budget qui tient compte des augmentations de salaire des employés, de l’inflation et de la croissance du coût des contrats. Pour la deuxième année consécutive, l’administration Tremblay-Zampino leur accorde toutefois moins d’argent que ce qu’ils prévoient. « Ils doivent proposer des mesures de rationalisation », insiste M. Zampino. Il ajoute que l’abolition de postes par attrition donne tout de même de l’oxygène aux services. Avec son budget de 506 millions en 2007, le SPVM est l’un des services les plus touchés par les compressions budgétaires. La Ville lui demande de réduire ses dépenses de 20 millions en 2008. M. Zampino soutient que le budget de la police atteindra tout de même environ 550 millions. Le directeur du SPVM, Yvan Delorme, tente quant à lui d’échapper à ces compressions, a-t-on appris. Il fait valoir que le service de police rapporte davantage de revenus qu’auparavant. L’affectation d’une escouade de policiers à la sécurité routière a fait grimper le nombre de contraventions à Montréal. En 2006, les policiers en ont distribué près de 550 000, une augmentation de 62 % par rapport à l’année précédente. Les revenus ont ainsi bondi de 41 à 71 millions de dollars. Avec les contraventions distribuées par les agents de stationnement, les revenus se sont chiffrés à 124 millions en 2006, soit 3 % du budget de la Ville. Les données pour 2007 ne sont pas encore connues. Le SPVM propose en outre d’augmenter ses revenus en commercialisant ses services. Dans le budget 2007, les revenus liés à la commercialisation se chiffraient à environ 1,6 million. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l’administration Tremblay-Zampino a toujours prévu des hausses de 2 à 5 % des dépenses globales dans ses budgets. En 2007, la Ville a toutefois fait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget notamment en gelant les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. La croissance des dépenses avait ainsi été stoppée à un peu moins de 2 %. Plusieurs arrondissement ont toutefois adopté des taxes locales pour compenser. Depuis sa réélection, le maire Gérald Tremblay peine à équilibrer son budget sans augmenter les taxes. Il s’était engagé à geler le fardeau fiscal global des Montréalais durant tout son mandat. Montréal pourrait obtenir de nouveaux pouvoirs de taxation si le projet de loi 22 est adopté cet automne.
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