Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'l’alberta'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

3 résultats trouvés

  1. http://journalmetro.com/actualites/national/587923/prentice-et-clark-sentendent-sur-loleoduc/ 03/11/2014 Mise à jour : 3 novembre 2014 | 18:04 Ajuster la taille du texte Prentice et Clark s’entendent sur l’oléoduc Par Rédaction La Presse Canadienne Partager cet article The Canadian Press Jim Prentice et Christy Clark VANCOUVER – Selon le premier ministre de l’Alberta Jim Prentice, lui et son homologue de la Colombie-Britannique, Christy Clark, ont mis derrière eux les jours houleux d’Alison Redford. L’ancienne première ministre de l’Alberta et Mme Clark entretenaient des relations glaciales en raison des demandes de la part de la Colombie-Britannique de partage des revenus d’un possible oléoduc. Pendant une rencontre à Vancouver, lundi, Mme Clark a affirmé que M. Prentice était le premier chef albertain à véritablement comprendre sa province. Elle n’a pas élaboré. Jim Prentice et Christy Clark ont accepté de continuer de travailler pour obtenir la construction d’un oléoduc qui transporterait le pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusqu’à la côte ouest, tout en respectant les inquiétudes de la Colombie-Britannique sur l’environnement, les questions autochtones, le partage des profits et la capacité à réagir en cas de déversement. M. Prentice a pour sa part dit que Mme Clark l’avait réinvité pour la semaine de la Coupe Grey, ce mois-ci, et qu’il prévoyait accepter.
  2. Serais-ce une petite récompense pour avoir envoyé une majorité de fédéralistes à Ottawa ? Nouvelle distribution des sièges aux Communes Des députés fédéraux de plus pour le Québec Agence QMI 18/10/2011 19h47 OTTAWA — Pour détendre l’atmosphère et éviter les contestations judiciaires, Ottawa envisage un nouveau scénario dans le dossier de la redistribution des sièges aux Communes. Selon des sources gouvernementales sûres, le Québec (75 sièges) pourrait finalement hériter de deux sièges de plus alors que l’Ontario et la Colombie-Britannique devraient se contenter de moins de sièges que prévu. C’est ce qui ressort d’une rencontre entre le premier ministre canadien Stephen Harper et le premier ministre ontarien Dalton McGuinty vendredi dernier. On ne parlerait donc plus de 30 sièges supplémentaires aux Communes, mais plutôt de 26. L’Ontario devrait gagner 13 sièges de plus, l’Alberta, six, et la Colombie-Britannique, cinq. Le nombre total de députés aux Communes passerait de 308 à 334 et non plus à 338. La dernière version du projet de loi C-12, mort au feuilleton lors de la dissolution des chambres, prévoyait 18 sièges pour l’Ontario, sept pour la Colombie-Britannique et cinq pour l’Alberta. Le premier ministre McGuinty a reconnu que sa province devrait peut-être se contenter de moins de sièges. Le calcul final dépend des résultats du recensement de 2011, attendus en janvier ou février prochain. Entre-temps, le NPD a proposé mardi que le poids politique du Québec aux Communes ne tombe jamais sous la barre de 24,35 % des sièges. Un projet de loi a été déposé à cet effet. Dans cette configuration, le Québec gagnerait environ quatre sièges. Le député néo-démocrate Thomas Mulcair, candidat à la course à la succession de Jack Layton, a estimé que c’est la meilleure façon de donner «un contenu réel» à cette idée de «nation québécoise au sein d’un Canada uni» proposée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper et adoptée à l’unanimité aux Communes en 2006.
  3. Tout le monde profite du pétrole. Vraiment ? 8 février 2008 - 14h01 La Presse Hélène Baril Agrandir Le gouvernement fédéral ne touche pas un sou des revenus pétroliers de l’Alberta. Les provinces ont droit à tous les revenus provenant de leurs ressources naturelles depuis 1931. Photo: PC Même si elle aurait pu retirer beaucoup plus d’argent des ses ressources naturelles, l’Alberta est devenue une province richissime avec le pétrole. Et cette prospérité profite au Canada tout entier, c’est un fait que personne ne met en doute. Mais la richesse du pétrole est-elle vraiment répartie à travers le pays ? «Oui, mais bien moins que les gens le pensent», répond Luc Godbout, fiscaliste et professeur à l’Université de Sherbrooke. Il faut savoir que le gouvernement fédéral ne touche pas un sou des revenus pétroliers de l’Alberta, explique-t-il. Les provinces ont droit à tous les revenus provenant de leurs ressources naturelles depuis 1931. Ce n’est donc pas le pétrole qui a engendré les surplus budgétaires importants du gouvernement fédéral, mais plutôt la réduction des transferts aux provinces, la TPS et l’augmentation des impôts. Ottawa profite indirectement de la richesse pétrolière par les impôts qu’il perçoit auprès des particuliers et des entreprises de l’Alberta, incluant les pétrolières. Les statistiques fiscales l’attestent, le gouvernement fédéral retire plus en impôts de cette province depuis le boom pétrolier. Ces impôts venus de l’Alberta, comme ceux des autres provinces, sont ensuite redistribués aux provinces moins riches. C’est ce qu’on appelle la péréquation. L’Alberta ne reçoit pas de paiements de péréquation, mais le Québec et six autres provinces en reçoivent. Une partie de l’argent reçu du fédéral vient donc des revenus du pétrole, mais une petite partie seulement. Le reste vient des impôts payés à Ottawa par les résidents et les entreprises de toutes les autres provinces, y compris du Québec, qui financent en partie les paiements de péréquation qu’ils reçoivent. La péréquation est donc financée par les impôts de tous les Canadiens. Malgré la richesse de l’Alberta, c’est en Ontario et aux Québec, les provinces les plus populeuses, qu’Ottawa retire le plus en impôts. Floués Une pr ovince comme l’Ontario qui ne reçoit pas de péréquation, ne profite pas du tout de la richesse pétrolière du Canada. Ce serait plutôt le contraire. Comme l’augmentation du prix du pétrole a contribué à pousser le dollar canadien à parité avec la devise américaine, l’économie ontarienne axée sur l’industrie manufacturière et les exportations a commencé à péricliter. Plutôt que de l’enrichir, le pétrole albertain a plutôt appauvri l’Ontario. «Avant la montée du dollar, le boom pétrolier albertain profitait à tout le monde, ce n’est plus le cas aujourd’hui», reconnaît l’économiste Robert Lacroix, qui a fait partie d’un groupe d’experts mandatés par Ottawa en 2005 pour examiner le système de péréquation canadien. L’économie du Québec souffre aussi du dollar fort, mais ses pertes sont en partie compensées par les paiements de péréquation qu’elle reçoit. Des paiements de péréquation qui, redisons-le, contiennent un petit peu de pétrole. Si l’Alberta, n’en retire pas assez, le gouvernement fédéral très peu et les autres provinces encore moins, qui profite donc du pétrole canadien ? La réponse se trouve du côté des entreprises et de leurs actionnaires, qui n’ont jamais connu des années aussi fastes (voir tableau). Mais comme seulement la moitié des entreprises pétrolières actives au Canada sont canadiennes, une bonne partie de ces profits sortent du pays. Contrairement à la Norvège, où la société d’État Statoil est un joueur actif du secteur pétrolier, l’Alberta a choisi de laisser le champ libre à l’entreprise privée. À l’autre bout du pays, le premier ministre de Terre-Neuve, Danny Williams, a choisi une autre voie. Il a exigé une participation de 10 % dans le projet Hebron, un gisement off-shore qui contiendraient 700 millions de barils de pétrole. Pas question, ont répondu les entreprises du partenariat, mené par Chevron. Les grosses pétrolières ont menacé de laisser tomber le projet, elles ont rompu les négociations, et sont finalement revenus à de meilleures intentions. Danny Chavez, comme on l’a surnommé, a tenu son bout et a finalement obtenu une participation de 4,9 %. En plus des redevances, la petite province est donc assurée d’obtenir une part des profits de la production du pétrole. Qui s’annoncent plantureux, si la tendance se maintient. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080209/LAINFORMER/80208187/5891/LAINFORMER01
×
×
  • Créer...