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Le PARCOURS GALERIE BANQUE NATIONALE vise à mettre en valeur l’itinéraire qui relie l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau au centre-ville de Montréal à travers une oeuvre significative reflétant l’identité de la métropole. Dès l’arrivée à l’aéroport, les voyageurs seront plongés dans un environnement immersif comprenant des images du PARCOURS GALERIE BANQUE NATIONALE et de l’information liée à celui-ci. Tout au long du parcours, entre l’aéroport et le centre-ville, les interventions artistiques seront présentées sur le mur antibruit de 4,5 km. https://fairemtl.ca/fr/parcours-galerie-banque-nationale
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7/07/2016 Mise à jour: 27 juillet 2016 | 7:21 Vers une refonte des services de taxi à l’aéroport Par Mathias Marchal Métro Vicky Michaud/TC Media Une dizaine de Tesla électriques de Téo Taxi sont présentes à l’aéroport. Certains craignent que la compagnie obtiennent un monopole. Aéroports de Montréal (ADM) annule le tirage au sort qui délivre les permis autorisant les chauffeurs de taxi de prendre des clients à l’aéroport. Des chauffeurs craignent qu’un monopole soit conféré à Téo Taxi, même si l’entreprise se veut rassurante. Chaque année, vers la fin de l’été, ADM coordonne son traditionnel tirage au sort pour octroyer les quelque 325 permis de taxi qui permettent d’accéder au marché de l’aéroport évalué à 90M$ par an. Ces permis sont tellement lucratifs que l’année dernière, 4200 chauffeurs de taxi, soit la quasi-totalité des chauffeurs propriétaires de la région métropolitaine, ont accepté de débourser 25$ pour participer au tirage. Et ce malgré les soupçons de truquage qui planent depuis plusieurs années. Cette année le tirage n’aura pas lieu. «On a informé nos partenaires que les permis actuels étaient prolongés de six mois et se termineront le 30 avril 2017 plutôt que le 30 octobre 2016», indique la porte-parole d’ADM, Marie-Claude Degagné, sans pouvoir en préciser la raison. À ce sujet: L’idée d’une facture officielle dans les taxis progresse Le taxi se trompe de cible dans sa guerre contre Uber Des chauffeurs de taxi en furie contre la volte-face de Jacques Daoust «D’après nos informations, ADM donnerait ensuite le contrat à Téo Taxi qui aura alors terminé son projet pilote», affirme Mouhcine El Meliani, l’instigateur de la grève des chauffeurs de taxi qui a eu lieu en janvier à l’aéroport. Signe que l’industrie peine à parler d’une seule voix, ce dernier compte d’ailleurs quitter le RTAM et ressusciter la Ligue de taxi de Montréal. Dans le cadre du projet pilote commencé en juin, une dizaine de Tesla électriques de Téo Taxi sont déjà présentes à l’aéroport, même si elles n’ont pas été tirées au sort. Cela fait d’ailleurs grincer des dents dans l’industrie. «C’est une rupture du contrat d’exclusivité», affirme même Hassan Kattoua, chauffeur propriétaire, qui craint aussi que Téo Taxi obtienne le juteux contrat de l’aéroport. Lors de la commission parlementaire sur l’avenir du taxi qui s’est tenue cet hiver, Charles Gratton, le vice-président des services commerciaux et immobiliers d’ADM, a indiqué quelle direction suivrait son organisation. «Dès 2017, dans la nouvelle demande de propositions, on veut par exemple aller vers une flotte harmonisée et potentiellement distinctive à l’aéroport», a déclaré M. Gratton en ajoutant que la flotte choisie serait équipée d’une application mobile pour les réservations, les paiements et l’évaluation systématique du service reçu pour chaque course. Pour les chauffeurs interrogés, cette description correspond en tout point à Téo Taxi et ses véhicules électriques, qui arborent tous les mêmes couleurs vert-blanc et qui sont gérés via une application à la fine pointe de la technologie. Du côté de Taxelco, qui gère les Téo Taxi, on indique ne pas être au courant d’un possible monopole. «On travaille actuellement avec ADM pour les convaincre d’optimiser le service, mais on n’est pas dans le secret des dieux. Vous savez, on est la cible de beaucoup de rumeurs, car on est en train de vouloir changer le système», explique Marc Petit, chef de la direction de Taxelco. Ce dernier souligne que le système actuel peut être amélioré, car si tous les chauffeurs de taxi peuvent amener des clients à l’aéroport, seuls ceux qui ont un permis ont la possibilité d’en prendre sur place et de ne pas retourner à vide. Autre conséquence des quotas sur les permis d’aéroport, la flotte actuelle de taxis autorisés ne permet pas de répondre à la demande à l’heure de pointe. «On pourrait s’inspirer de Paris, qui permet aux taxis qui le désirent de repartir avec des clients plutôt qu’à vide moyennant l’achat d’un permis temporaire à l’unité. Ça permettrait à toute l’industrie d’en profiter», conclut M. Petit. 4167 Une fois tiré au sort, le permis spécial de l’aéroport coûte 4167$ pour un an, mais serait parfois revendu autour de 18 000$ ou loué pour 1000$ par semaine. Sent from my SM-T330NU using Tapatalk
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Pelletier de Fontenay ADM élément signalétique, Dorval, QC Perché sur le côté de la route d’entrée de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, l’élément signalétique ADM marque la transition entre ville et voyage, entre ciel et terre. De loin, le volume, à la fois opaque et lumineux, flotte légèrement au-dessus du paysage aéroportuaire. En arrivant à partir de la ville, le logo rétroéclairé de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, qui contraste fortement avec la peau foncée de l’objet, annonce notre arrivée. En s’approchant de la structure, une seconde face se révèle lentement; on comprend maintenant bien la tridimensionnalité de l’objet. Une peau métallique, à la fois précise et légère, recouvre un monolithe lumineux formé d’une enveloppe de polycarbonate. À sa base, une forte lumière blanche filtre à travers une centaine d’ailettes d’aluminium. Une torsion verticale dans le déploiement des ailettes est conçue pour créer un effet cinétique qui prend vie avec le mouvement de la voiture. À l’approche, la zone lumineuse se déplace du bas vers le haut de la structure. La lumière s’élève, anticipant ainsi notre départ vers le ciel et faisant écho au sentiment de décollage. Dans la direction opposée, en quittant l’aéroport pour aller vers la ville, l’expérience est inversée et la lumière descend du haut vers le bas, évoquant un mouvement d’atterrissage. À ce moment précis, on voit clairement le nom « MONTRÉAL » apparaitre et disparaitre, tel un hologramme, annonçant subtilement aux passagers qu’ils quittent l’aéroport et les accueillant dans la ville. - Date : 2013 - 2015 Client : Aéroport de Montréal Architecte : Pelletier de Fontenay Ingénieur en structure : NCK Ingénieur mécanique : SNC Lavalin Budget : 550 000$ CAN Phase : competition - lauréat - en cours Images : Pelletier de Fontenay https://m.facebook.com/Pelletier-de-Fontenay-158005064393555/ sent via Tapatalk
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Aéroports de Montréal - Trudeau : Hangar Air Transat (2008)
un sujet a posté MTLskyline dans Complétés
PROPOSITION : HANGAR D'ENTRETIEN - AIR TRANSAT Montréal , Qc CLIENT : ADM - AIR TRANSAT COÛT : 18 000 000 $ SUPERFICIE : 160 000 PI2 Proposition pour la réalisation d’un nouveau hangar d’entretien d’aéronefs à l’aéroport Pierre Elliott Trudeau à Montréal. Description : un secteur administratif, un magasin des pièces et un hangard d’entretien. http://leclerc-architectes.com/projets_realises/transport/proposition_air_transat/- 7 réponses
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Le mardi 27 mars 2007 ( La Presse) Montréal Deux ans après l’adoption du premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise, Montréal et 76 partenaires économiques et sociaux annoncent un certain nombre d’initiatives en faveur d’une qualité de vie plus agréable sur l’île mais la Ville refuse de se prononcer sur des irritants environnementaux comme l’agrandissement de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Lors de la première phase du plan, Montréal a pris des initiatives pour réduire les émissions des gaz à effet de serre. La deuxième phase se poursuit jusqu’en 2009 avec 19 actions en faveur de l’environnement. La Ville s’est engagée ce lundi à encourager les produits équitables, l’achat local, l’économie sociale et le verdissement. Elle a annoncé qu’une collecte des résidus verts et de table pour en faire du compost s’en vient. Mais il n’y a pas d’échéance pour ce projet. Parmi les partenaires de la Ville figure Communauto, qui multiplie les projets d’autopartage et se bat depuis des années pour obtenir du gouvernement Charest une reconnaissance afin de diminuer le nombre de véhicules en circulation à Montréal. Mais Alan DeSousa, responsable du développement durable à Montréal, ne s’est pas engagé à aider leur cause. Selon le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, depuis que Gérald Tremblay est devenu maire, le parc automobile de l’île croît au rythme de 10 700 véhicules par an, pour un total de 42 800 véhicules durant son premier mandat. « Sous le maire Jean Doré, au tournant des années 1990, des efforts réels de promotion du transport collectif avaient permis de limiter cette croissance à 1 050 véhicules par année, soit dix fois moins qu’aujourd’hui », dit M. Bergeron. De plus, M. DeSousa n'a pas voulu dire si l’agrandissement de l’aéroport de Dorval, qui fera disparaître des espaces verts et contribuera à augmenter la fréquentation de l’aéroport, annulera une partie des actions prises afin d'améliorer la qualité de vie des Montréalais.