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14 résultats trouvés

  1. Le gouvernement fédéral vient à la rescousse du chantier maritime situé à Lévis avec des prêts et des garanties de prêt totalisant 380 M$ afin de permettre à l'entreprise de poursuivre la construction de cinq navires. Pour en lire plus...
  2. Récemment inaugurée! Pour les curieux écrivez « Fontaine du quai Paquet » sur YouTube. C'est impressionnant ! Photos de Google Images Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  3. Projet d'oléoduc entre Lévis et Montréal Le BAPE donne son accord Dernières nouvelles La raffinerie Ultramar à Lévis (archives) Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) appuie le projet d'oléoduc d'Ultramar entre la raffinerie de Lévis et le terminal de Montréal-Est. Le BAPE considère que le transport du pétrole est plus sécuritaire et plus flexible par oléoduc que par train ou par navire. Le BAPE évalue que la capacité de production actuelle des raffineries du Québec et de l'Ontario ne répond pas à la demande intérieure. Il manquerait actuellement 100 000 barils par jour. Selon l'organisme, ce déficit pourrait être en partie comblé par la construction du nouvel oléoduc, le pipeline Saint-Laurent, puisqu'Ultramar espère ainsi transporter deux fois plus de barils de pétrole par jour entre Lévis et Montréal, soit 100 000 barils quotidiennement. Le BAPE estime également que le pipeline Saint-Laurent produirait moins de gaz à effet de serre. Inquiétudes Le projet soulève toutefois certaines inquiétudes, particulièrement auprès des producteurs agricoles. Selon la présidente du secteur Kennedy de l'Union des producteurs agricoles (UPA), Gaétane Dallaire, plusieurs agriculteurs ne souhaitent pas que l'oléoduc passe sur leurs terres puisqu'ils craignent notamment de l'endommager avec leur machinerie agricole et d'en être tenus responsables. Le BAPE mentionne à cet effet, dans son rapport, que le tracé de l'oléoduc doit être revu. En plus de traverser plusieurs terres agricoles, le tracé actuel contribuerait à accroître le déboisement des zones forestières. Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement suggère que l'oléoduc longe plutôt l'autoroute 20 et emprunte des emprises de l'oléoduc de l'entreprise ESSO. Le BAPE recommande également que des consultations publiques soient menées à ce sujet. L'UPA pourrait également proposer un autre tracé au cours des prochaines semaines. Ultramar reste sur ses positions De son côté, Ultramar rejette la possibilité de revoir le tracé du futur oléoduc entre Lévis et Montréal ou de mener des consultations publiques à ce sujet. L'entreprise soutient que les dangers sont pratiquement inexistants et qu'elle assumerait la responsabilité advenant une rupture de l'oléoduc. Selon le porte-parole d'Ultramar, Michel Martin, la pétrolière a déjà fait ses devoirs. « Depuis le tout début, on a rencontré une multitude de gens tout le long du tracé proposé. Il y a de nombreux aménagements qui ont été faits le long du tracé pour résoudre les problématiques qui se présentaient localement. » Ultramar espère que la construction de l'oléoduc débutera d'ici le début de l'année 2008.
  4. Saviez-vous cela que les prestations que les employés retirent de leur syndicats ne sont imposables !!?? Moi ça me met en tabarnak entendre des choses de même! Et aussi je me demande pourquoi La Presse titre que Pierre-Karl Péladeau s'attire des critiques, plutôt qu'elle aurait tout simplement affirmé que PKP a publié une lettre anti-syndicale... en tk! (Lévis) Pierre Karl Péladeau s'est attiré bien des critiques ce matin à la Rencontre économique de Lévis après avoir publié un texte dénonçant les «privilèges» des syndicats qui nuisent selon lui au développement économique. Les entrepreneurs québécois doivent dédier «trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs relations de travail», dit le patron de Quebecor, propriétaire du Journal de Montréal dont les employés sont en lock-out depuis près d'un an. Pierre Karl Péladeau n'a pas été invité à la Rencontre économique du gouvernement Charest, mais il a tout de même fait jaser à Lévis avec sa lettre publiée dans le Journal de Québec. Le banquier Jacques Ménard se demande quelle mouche a piqué M. Péladeau. «Il a un confit de travail. Il est aux prises avec un problème d'affaires spécifique qui est le sien. C'est possible qu'à cause de ça il extrapole... Je ne sais pas si dans son cas ses dires ont excédé sa pensée. Ça fait peut-être partie d'une stratégie qui m'échappe. Je ne suis pas psychologue, je ne peux en dire plus que ça», a affirmé le patron de BMO. Selon lui, les syndicats contribuent au développement du Québec, et «on ne peut parler de projet de société économique et social si les dirigeants syndicaux ne sont pas à la table». En 1989, alors qu'il était à la tête de la chambre de commerce, M. Ménard avait même demandé à un représentant syndical de siéger au conseil d'administration. «Parfois, on a des divergences d'opinion, mais ça ne nous empêche pas de travailler ensemble», a-t-il noté. Aucun décideur économique et financier présent à Lévis ne s'est manifesté cet avant-midi pour appuyer publiquement la sortie du patron de Quebecor. À son entrée à la Rencontre économique, le premier ministre Jean Charest a fait valoir que «les relations de travail au Québec somme toute sont bonnes». «Il y a des consensus sur plusieurs lois» syndicales, a-t-il ajouté. Le ministre des Finances, Raymond Bachand, estime que «les syndicats sont des grands partenaires du développement économique» et mettent l'épaule à la roue en vue, par exemple, d'augmenter la productivité. «M. Péladeau exprime son opinion. Il a le droit», a-t-il ajouté. Claudette Carbonneau, présidente de la CSN, qui représente les employés en lock-out du Journal de Montréal, trouve que M. Péladeau «est bien mal placé pour donner des leçons sur les relations de travail». «Je pense que M. Péladeau est préoccupé par le cash, et non les relations humaines, a affirmé de son côté Michel Arseneault, président de la FTQ. Vous savez, diriger une entreprise, c'est des relations humaines à tous les jours. Mais lui, ça le fatigue.» «L'attitude antisyndicale» de M. Péladeau n'est pas nouvelle, a-t-il fait valoir. «Un des beaux exemples, c'est qu'il a même refusé la publicité du Fonds de solidarité qu'on voulait à TVA et dans l'ensemble de Quebecor. Nous, on voulait annoncer partout, sauf dans le Journal de Montréal en lock-out. Et à ce moment-là, il a refusé la publicité.» Le président de la CSQ, Réjean Parent, a qualifié M. Péladeau d'«antisyndicaliste notoire». Dans une lettre publiée ce matin dans le Journal de Québec, Pierre Karl Péladeau dénonce les «privilèges aussi nombreux et de moins en moins justifiables» dont bénéficient selon lui les syndicats. Des lois adoptées au fil des ans ont provoqué un «déséquilibre des forces» entre employeurs et syndicats qui a eu pour conséquence «de défavoriser les entreprises québécoises dans le contexte économique mondialisé dorénavant largement répandu, de rendre plus difficile l'émergence de jeunes entrepreneurs, ainsi que de pénaliser notre désir collectif, voire notre obligation, d'accroître notre productivité». M. Péladeau s'en prend par exemple à la formule Rand. «N'est-il pas légitime de nous permettre, comme citoyens bénéficiant d'une maturité politique et démocratique, de décider si nous voulons ou non faire partie d'une organisation syndicale et d'en payer les cotisations ?» Il dénonce «la création d'une unité d'accréditation par la simple signature de cartes d'adhésion». Il condamne aussi le «privilège qui permet aux employés en conflit de travail de ne pas payer d'impôt sur les prestations monétaires qu'ils reçoivent de leurs syndicats, mesure exceptionnelle parce qu'elle fait financer les positions des organisations syndicales par l'ensemble des contribuables déjà assujettis à un fardeau fiscal que tous reconnaissent parmi les plus lourds du continent». «Il se trouvera certainement plusieurs membres de l'intelligentsia pour justifier l'action positive des syndicats au Québec», a-t-il ajouté, soulignant qu'il reconnaît le «rôle nécessaire» de ces organisations. Mais «tous ces beaux penseurs ont-ils déjà été confrontés à la réalité de dirigeants d'entreprises et d'entrepreneurs comme celle à laquelle mes collègues et moi faisons face de façon quotidienne, tant au Canada qu'à l'étranger, dans un contexte de concurrence mondiale?», se demande-t-il. «Au Québec, les dirigeants d'entreprise doivent dédier trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs « relations de travail » alors qu'ailleurs, les divers intervenants au sein des entreprises participent ensemble à assurer la poursuite du développement de leurs activités et l'accroissement de leur productivité afin de gagner sur les marchés mondiaux, tant dans les secteurs manufacturiers que dans les secteurs de l'économie du savoir et des technologies», ajoute M. Péladeau. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201001/21/01-941535-pierre-karl-peladeau-sattire-des-critiques.php
  5. Immobilier : pluie de millions au Québec 26 août 2009 | 14h59 ARGENT La récession ne freine pas l’ambition des promoteurs immobiliers du Québec. Des projets majeurs sont sur le point d’être mis en chantier dans diverses régions de la province. Projet Cité de la Gare à Mascouche La société Habitations Trigone va amorcer en septembre la construction d’un projet de 250 M$ à Mascouche dans la couronne nord de Montréal. Les 1500 unités du projet seront vendues en copropriétés et érigées en périphérie de la future gare de trains de banlieue de Mascouche. «C’est un incitatif important dans le choix des consommateurs», a expliqué, Serge Rouillard, vice-président des Habitations Trigone. L’entreprise a réalisé d’autres projets liés à des infrastructures de transport en commun au cours des dernières années. Le promoteur a érigé des propriétés en bordure de la gare Chevrier à Brossard et près de la gare du train de banlieue à St-Basile où 347 unités ont été écoulées en 27 mois. Les unités de Mascouche seront vendues entre 100 000 et 200 000$. «On ne vise pas la clientèle haut de gamme. On s’adresse aux premiers acheteurs», a précisé M. Rouillard. Lévis récolte aussi des millions Un important chantier est également en cours à Lévis, en banlieue de Québec où la construction de la première phase des condos Miscéo va débuter cet automne. Le quartier Miscéo est un projet évalué à 200 M$ qui propose un concept de vie urbain regroupant plusieurs secteurs d’activités, soit affaires, divertissement, commercial et résidentiel. La réalisation de la portion résidentielle représente, à elle seule, un investissement de 160 M$. Les 65 unités de la première phase seront disponibles dans les prochains mois. Le Centre de congrès et de d’exposition de Lévis, qui a ouvert ses portes en 2008, se trouve au cœur du quartier Miscéo qui accueillera éventuellement plusieurs boutiques et bureaux professionnels.
  6. Les promoteurs du projet Rabaska pour l'établissement d'un port méthanier à Lévis ont finalement conclu un accord avec Gazprom pour un approvisionnement en gaz naturel à partir de 2014. Pour en lire plus...
  7. Desjardins clarifie ses projets d'embauche Publié le 04 mars 2009 à 15h12 | Mis à jour à 15h16 Le Mouvement Desjardins a senti le besoin de clarifier ses intentions en matière d'embauche à sa filiale Desjardins Sécurité financière à la suite d'un article faisant état de l'ajout de 1000 nouveaux employés d'ici trois ans à son siège social de Lévis. Ce chiffre, selon le Mouvement Desjardins, est inexact. En fait, Desjardins Sécurité financière (DSF), qui emploie 2200 personnes, dont 1700 à son siège social de Lévis, songe à rapatrier les 500 autres à ce siège social afin de regrouper l'effectif en un seul endroit, ce qui ne créera aucun nouvel emploi. Par ailleurs, l'institution compte poursuivre sa croissance normale, qui s'est traduite depuis quelques années par 80 à 100 embauches annuellement, de sorte que près de 500 autres employés pourraient s'ajouter d'ici cinq ans. Malgré les pertes de 1,2 milliards de dollars annoncées par le Mouvement Desjardins lundi, l'entreprise maintient une croissance robuste dans le domaine des assurances générales et dans les activités de la Fédération des caisses. En 2008, les revenus en primes d'assurance chez DSF ont bondi 9,2% malgré un contexte économique difficile. Au cours des deux dernières années, cette filiale a décroché d'importants contrats d'assurances collectives en Ontario, à Terre-Neuve-et-Labrador et dans l'Ouest canadien. Du côté de l'assurance générale, l'augmentation de la valeur des primes n'a été que de 2%. L'an dernier, cette composante a lancé une offensive en Ontario qui lui a permis d'augmenter ses revenus d'assurance de 6% sur le marché individuel des particuliers au Canada. Desjardins étudie depuis quelques mois la possibilité d'avoir plus d'espaces de bureaux pour loger tout ce nouveau personnel à venir. ________________________________ Est-ce que quelqu'un est au courant si ils ont fait une croix sur ce projet pour Montreal ?
  8. Ni la chute des prix de l'énergie ni la crise financière ne mettent en danger le projet de terminal de gaz naturel liquéfié que Gaz Métro et ses partenaires veulent construire à Lévis. Pour en lire plus...
  9. De ce côté-ci de l'Atlantique, le bras de fer entre la Russie et l'Ukraine n'a aucun impact direct sur le prix du gaz naturel, mais indirectement, ce conflit contribue à faire augmenter le prix du pétrole et du gaz partout sur la planète. Pour en lire plus...
  10. Chantiers Davie a annoncé jeudi l'interruption de ses opérations et la mise à pied temporaire des 1100 employés de ses installations de Lévis. Pour en lire plus...
  11. L'entreprise met temporairement fin à ses opérations. Elle dit manquer de liquidité car des clients ne parviennent pas à effectuer leurs paiements. Pour en lire plus...
  12. Chantiers Davie affirme que la continuité de son exploitation dépend de sa capacité à trouver du financement supplémentaire. Pour en lire plus...
  13. La direction du chantier maritime de Lévis dit ne pas disposer de liquidités suffisantes «pour satisfaire à ses besoins futurs pendant plus de six mois». Pour en lire plus...
  14. Le Fonds de revenu immobilier Scott a acheté un petit centre commercial de Lévis, sur la Rive-Sud de Québec, pour la somme de 6 M$. Pour en lire plus...
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