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  1. La reprise économique au Québec est liée à celle des Etats-Unis 06 septembre 2009 12:55 LEVIS - La reprise économique au Québec sera intimement liée à celle de son voisin américain au cours des prochains mois. C'est ce que soutient l'économiste Joelle Noreau, du Mouvement Desjardins. Au Québec, 8300 emplois ont été créés en août dernier, mais le taux de chômage a augmenté d'un dixième pour cent, à 9,1 pour cent. Joelle Noreau estime qu'il est trop tôt pour parler de relance économique. Selon elle, il faudra un relèvement décisif aux Etats-Unis pour que les effets soient vraiment perceptibles et durables au Québec. Mme Noreau souligne que le Québec a des liens étroits avec les Etats-Unis dans plusieurs secteurs qui souffrent actuellement de la récession, soit les secteurs manufacturier, du transport et de l'aéronautique. L'économiste note que l'Ontario vit une situation quasi similaire, son économie étant également fortement tributaire des Etats-Unis. Dans cette province, le taux de chômage est passé de 9,3 pour cent en juillet à 9,4 pour cent en août. L'emploi a néanmoins crû de 12 200 le mois dernier.
  2. L'économiste en chef de la Banque TD prédit que le déficit de l'Ontario atteindra 15 milliards de dollars en 2010. Pour en lire plus...
  3. Le coût de la crise financière pour les banques de la planète pourrait se monter à 3600 G$ US, selon une étude publiée jeudi par l'économiste Nouriel Roubini. Pour en lire plus...
  4. L'économiste qui a contribué à faire élire George W. Bush en 2000 cache mal son amertume huit ans plus tard. Pour en lire plus...
  5. L'économiste Benoit Durocher a beau prédire d'autres pertes d'emplois au Canada, il jure être un optimiste dans l'âme. Pour en lire plus...
  6. L'économiste Yves St-Maurice est parfois amusé par les promesses électorales. Mais cette fois-ci, il est carrément médusé devant la promesse de l'ADQ de permettre aux propriétaires québécois de déduire leurs intérêts hypothécaires dans leur déclaration de revenus. Pour en lire plus...
  7. Économiste en chef de la Banque Nationale depuis 2002, M. Gignac deviendra en janvier conseiller d'un sous-ministre du ministère des Finances du Canada. Pour en lire plus...
  8. L'économiste en chef de l'institution financière se joindra au ministère des Finances à Ottawa, où il occupera le poste de conseiller spécial au sous-ministre des systèmes financiers. Pour en lire plus...
  9. Retour des déficits à Ottawa........ * Presse Canadienne, * 07:23 Un économiste croit que le gouvernement de Stephen Harper doit changer son approche en ce qui a trait aux dépenses du gouvernement pour éviter un déficit budgétaire. L'économiste en chef de la banque Toronto-Dominion, Don Drummond, prévoit que le budget de l'année fiscale en cours, qui se termine le 31 mars 2009, sera équilibré. Cependant, M. Drummond s'attend à un déficit de 10,4 milliards $ pour l'année suivante, et des déficits de 9,9 milliards $, 5,5 millions $ et 2,4 milliards $ pour les trois années suivantes. Selon l'économiste, Ottawa sera obligé de diminuer les dépenses gouvernementales pour éviter les déficits au cours des prochaines années. Même s'il ne croit pas au scénario de récession immédiate pour le Canada, M. Drummond prévoit néanmoins un ralentissement de l'économie canadienne.
  10. Le rejet du plan de sauvetage par la Chambre des représentants est «le reflet du gouffre qui sépare les financiers de Wall Street et du peuple américain», affirme l'économiste Jeff Rubin. Pour en lire plus...
  11. Selon l'économiste Jeff Rubin, l'économie canadienne va profiter du grand plan de sauvetage de Wall Street par le gouvernement des États-Unis, et ce, "sur le bras" des contribuables américains. Pour en lire plus...
  12. L'économiste en chef de CIBC Marchés mondiaux a décidé d’abaisser la cible de l'indice la faisant passer à 13 000 points sur fond de ralentissement économique. Pour en lire plus...
  13. Le professeur d'économie de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx, estime que le contexte mondial permettrait au Québec de renégocier de nouvelles ententes avec les alumineries. Pour en lire plus...
  14. Les risques de récession augmentent au Canada 27 juin 2008 - 07h15 Le Soleil Le scénario complètement surréaliste il y a encore quelques mois est en train de devenir réalité. L'économie canadienne pourrait bientôt sombrer en récession. Hier, ce sont les économistes du Mouvement Desjardins qui ont tiré la sonnette d'alarme. «Ce serait technique, mais ce serait une récession», a indiqué l'économiste en chef, François Dupuis. En fait, pour qu'il y ait récession, une économie doit voir son produit intérieur brut (PIB) se contracter durant au moins deux trimestres (six mois) consécutifs. Or, au Canada, l'activité économique se retrouve depuis quatre mois en territoire négatif. Au Canada, la dernière récession remonte aux débuts des années 90. Chez Desjardins, on note que le ralentissement économique observé aux États-Unis depuis la fin de 2007 a tranquillement gagné le nord de la frontière. La demande intérieure canadienne a ainsi souffert d'un manque de vigueur ces derniers mois. Desjardins signale que le dur hiver a notamment refroidi l'ardeur des consommateurs. Devant une faible demande, les détaillants ont ainsi moins stocké de marchandises dans leurs entrepôts, faisant du coup diminuer les importations de biens et services au pays. Et comme si ce n'était pas assez, les hausses répétées du prix de l'essence ont aussi miné le moral des troupes, réduisant le pouvoir d'achat des ménages canadiens. Malgré le risque d'une récession en 2008, Desjardins demeure cependant optimiste sur une base annuelle. La coopérative de services financiers croit que la croissance de l'économie canadienne sera de 1 % cette année. À la Banque Laurentienne, le spectre de la récession est écarté. «Ce sera toutefois serré», reconnaît l'économiste en chef, Carlos Leitao. Il croit que l'économie canadienne rebondira au cours des prochains mois. Pour le Québec, l'économie devrait bien s'en tirer, pense M. Leitao. Les baisses d'impôts et de taxes ainsi que des investissements de plus de 7 milliards $ dans des travaux d'infrastructures en seront les principaux facteurs. Et si les prix de l'essence perduraient ? Là, tout est possible, convient François Dupuis. «On remarque que plusieurs économies sont au point de rupture. On pourrait donc se retrouver dans une récession mondiale», évoque l'économiste. Hier, le président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), Chakib Khelil, a affirmé que le prix du baril de pétrole pourrait atteindre les 170 $US cet été. Rien pour apaiser la soif des spéculateurs. À la Bourse mercantile de New York, le prix du baril de pétrole a clôturé en forte hausse de 5,24 $US, à 139,79 $US. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080627/LAINFORMER/806270857/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
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