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  1. Certains sur ce forum aime bien dépeindre Montréal (et le Québec par association) comme un endroit où les régulations et l'imposition rendent la vie difficile au commerce et à l'activité économique dans son ensemble. Une étude de KPMG place cependant Montréal au 4e rang d'une sélection de 51 villes pour son niveau de compétitivité fiscale. Le hic? C'est que Toronto et Vancouver figurent parmis les villes qui se classent devant Montréal. Deux constats s'imposent ici : - Montréal, globalement, est extrêmement attirante pour l'établissement de nouvelles entreprises. - Montréal, localement, est peut-être moins attirant. Le deuxième constat est difficilement un défaut que l'on pourrait qualifier d'accablant de l'administration régionale. On accuserait donc Montréal de ne pas être plus catholique que le pape? Il faudrait être la ville la plus "lousse" fiscalement du monde industrialisé pour satisfaire certain. Il est normal que Montréal perde "minimalement" au change quand on la compare à des villes situés dans des juridictions où le panier de services publics sont beaucoup moindre. La ville reste néanmoins extrêmement compétitive en terme d'attraction d'activité commerciale. SOURCE : L'étude de KPMG : http://www.ledevoir.com/documents/pdf/rapportkpmgfiscalite.pdf SOURCE : L'article du devoir : http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/475363/fiscalite-le-canada-soigne-bien-les-entreprises-selon-le-classement-de-kpmg?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1468410135
  2. Canada ranks 2nd among 10 countries for cost competitiveness, says KPMG THE CANADIAN PRESS 03.29.2016 TORONTO - Accounting giant KPMG says Canada has proven to be second most competitive market in a comparison test of 10 leading industrial countries. In its report, KPMG says Canada lags only behind Mexico when it comes to how little businesses have to pay for labour, facilities, transportation and taxes. The report, which compared the competitiveness of a number of western countries along with Australia and Japan, found that a high U.S. dollar has helped Canada stay affordable despite rising office real estate costs and lower federal tax credits. When it comes to corporate income taxes, it found that Canada, the U.K. and the Netherlands had the lowest rates overall due to tax incentives to support high-tech and research and development. KPMG also looked at the competitiveness of more than 100 cities worldwide. It ranked Fredericton, N.B., as the most cost-effective city in Canada due to low labour costs and continued low costs for property leases. Montreal topped the list among 34 major cities in North America, followed by Toronto and Vancouver. The three Canadian cities beat out all U.S. cities. Although there have been concerns over the impact of a weakening loonie on the economy, having a low Canadian dollar has actually been "a driver in improving Canada's competitiveness and overall cost advantage," KPMG said. As a result, that has made it more attractive for businesses to set up shop north of the border than in the U.S., it said. http://www.montrealgazette.com/business/canada+ranks+among+countries+cost+competitiveness+says+kpmg/11817781/story.html
  3. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/03/20120323-133024.html
  4. Compétitivité des coûts dans les principales agglomérations nord-américaines : Montréal en tête Montréal, le 22 mars 2012 – Selon l’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG, publiée aujourd’hui, Montréal arrive en tête des 30 principales agglomérations canadiennes et américaines étudiées (deux millions d’habitants ou plus) sur le plan de la compétitivité des coûts. Montréal devance Toronto (qui arrive 2e), Cincinnati (3e), Vancouver (7e), Chicago (21e), Philadelphie (23e), Boston (27e) et New York (29e). L’enquête menée par KPMG fait état de 26 facteurs de coûts importants (main-d’œuvre, fardeau fiscal, immobilier, services publics) dans 16 villes canadiennes, et compare plus de 110 villes dans 14 pays. Soulignons que Montréal se classe au 10e rang du classement mondial pour la compétitivité des coûts, parmi les 103 villes des marchés arrivés à maturité, et qu’elle arrive au 7e rang des villes canadiennes. La ville de Québec se classe en 6e position, et Trois-Rivières, en 4e position, pour la compétitivité des coûts parmi les 16 villes canadiennes. « À Montréal, les coûts du transport sont relativement faibles; les loyers des locaux industriels sont modérés, et l’électricité ne revient pas très cher, ce qui attire de nombreuses entreprises », explique Denis Lacroix, associé, Fiscalité internationale, KPMG au Canada. « En outre, les sociétés bénéficient d’un vaste éventail d’incitatifs – R. et D., commerce électronique, production de médias numériques, activités financières mondiales, fabrication – qui sont autant d’atouts pour la métropole montréalaise, car ils se traduisent par un allègement du fardeau fiscal. » Comparativement aux autres villes du Canada, au chapitre de la compétitivité sectorielle des coûts, Montréal se distingue dans les secteurs de la fabrication et de la production de jeux vidéo, avec une 6e et une 7e place au classement des 16 centres urbains canadiens étudiés. De plus, par rapport à l’ensemble des villes du monde intégrées à l’étude, le point fort de Montréal reste la production de jeux vidéo : la ville arrive 7e parmi les 103 agglomérations urbaines de 9 pays arrivés à maturité. Le Canada et le monde Parmi les neuf marchés à maturité étudiés, le Canada arrive au troisième rang pour les coûts d’exploitation, grâce à des coûts inférieurs de 5,0 % à ceux des États-Unis. Le Royaume-Uni et les Pays‑Bas dépassent le Canada, mais à peine (avance de 0,5 et de 0,3 point de pourcentage, respectivement). De plus, il faut savoir que les résultats favorables de ces pays sont le fruit de la dépréciation de l’euro et de la livre, par suite de la crise de la dette européenne. « En clair, le Canada reste un marché compétitif, poursuit Denis Lacroix. Même si les taux de productivité canadiens laissent à désirer, nous gardons le même rang au classement des coûts, comme dans l’étude précédente de 2010. J’en conclus qu’indépendamment des incertitudes économiques mondiales, et malgré la vigueur du huard, le Canada reste un choix à privilégier. » Étude Choix concurrentiels de KPMG L’étude Choix concurrentiels 2012 de KPMG propose une analyse comparative indépendante des coûts d’exploitation dans plus de 110 villes de 14 pays. Les auteurs se sont penchés sur un vaste éventail de facteurs pour évaluer la compétitivité des pays. Ils ont accordé la priorité aux coûts d’exploitation, mais ont aussi tenu compte d’autres facteurs, comme la population et ses caractéristiques démographiques, la formation et la main-d’œuvre qualifiée, l’innovation, les infrastructures, les conditions économiques, le cadre réglementaire, le coût de la vie et la qualité de vie. L’enquête s’intéresse également à la compétitivité des coûts pour divers secteurs économiques, en particulier la fabrication, le secteur numérique, la recherche et développement et, enfin, les services aux entreprises. Grâce à l’étude, les cadres auront un aperçu des coûts d’exploitation comparatifs dans diverses villes des grands pays du monde. De plus, elle aidera les professionnels de KPMG et les promoteurs dans leur travail auprès d’entreprises qui envisagent une relocalisation ou une expansion. Enfin, l’analyse facilitera la tâche des décideurs amenés à évaluer l’incidence sur la compétitivité de leur territoire d’une nouvelle taxe ou d’un changement de politique. Pour consulter la version intégrale du rapport, visitez le site http://www.choixconcurrentiel.com. Dans le cadre de l’étude Choix concurrentiels 2012, les taux de change s’établissent comme suit, pour un dollar américain : 0,99 AUD – 1,80 BRL – 1,02 CAD – 6,36 CNY – 0,74 EUR – 0,64 GBP – 50,75 INR – 77,33 JPY – 13,64 MXP – 31,07 RUB. KPMG au Canada http://www.kpmg.com/Ca/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-Releases/Pages/Competitive-Alternatives-Release-Quebec.aspx
  5. Étude KPMG "Choix concurrentiels" - Le Grand Montréal offre les coûts d'exploitation les plus concurrentiels des principales régions industrialisées du monde MONTRÉAL, le 1er avr. /CNW Telbec/ - Selon l'étude "Choix concurrentiels" de la firme KPMG, le Grand Montréal offre les coûts d'exploitation les plus concurrentiels des principales régions industrialisées du monde. Montréal se hisse en effet en première position parmi les 41 régions métropolitaines comptant deux millions d'habitants, à l'exclusion des villes du Mexique, seul pays émergent à figurer parmi les 10 pays considérés dans l'étude. Tous secteurs confondus, l'avantage-coût du Grand Montréal par rapport à la moyenne des villes américaines s'élève à 5,8 %. Cet avantage atteint notamment 22 % en essais cliniques, 18 % en mise à l'essai de systèmes électroniques, 14 % en conception de logiciels et en web/multimédia, et 12 % en biotechnologie. De façon générale, l'avantage-coût du Montréal métropolitain s'avère nettement plus marqué dans les secteurs non manufacturiers, tels que les services informatiques et ceux destinés à l'entreprise, ainsi que les services de R-D. "La performance supérieure de la région montréalaise au niveau des coûts dans les secteurs de haute technologie s'explique notamment par les avantageux incitatifs fiscaux à la R-D octroyés par les gouvernements du Québec et du Canada", souligne le président-directeur général par intérim de Montréal International, monsieur Luc Lacharité. L'étude de KPMG compare les coûts d'exploitation d'une entreprise dans plus de 100 villes situées dans 10 pays : l'Allemagne, l'Australie, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Mexique, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Cette analyse comparative mesure l'incidence conjuguée de 26 éléments de coûts particulièrement sensibles à la localisation géographique pour 17 types d'entreprises, sur une période de 10 ans. L'étude est disponible pour téléchargement sur le site http://www.competitivealternatives.com. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/April2010/01/c7341.html
  6. Près de la moitié des dirigeants de l'industrie automobile sont d'avis que la baisse des revenus affligera leur secteur d'activité pour les cinq prochaines années encore, indique un sondage KPMG. Pour en lire plus...
  7. J'ai hâte de voir comment les bourses vont réagir. On pensait l'action basse ? Bien hâte de voir jusqu'où elle va tomber aujourd'hui. Et pensez-vous que c'est une bonne nouvelle pour Montréal ? Ou Bell avait déjà commencé le déménagement de ses cadres vers Toronto ? ------------------ Transaction de 52G$ BCE: la vente avorte 11 décembre 2008 - 05h48 Transaction de 52G$ - BCE: la vente avorte http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081211-054846.html BCE réclame les frais de résiliation de 1,2G$ ARGENT, d'après THE CANADIAN PRESS Le projet de rachat du géant canadien des télécommunications BCE (BCE) n'aura finalement pas lieu, a annoncé jeudi un groupe d'acheteurs potentiels mené par par le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario (Teachers). Le cabinet comptable KPMG a déterminé que BCE n’a pas rencontré une condition essentielle à la réalisation de la transaction, évaluée à 52G$. Selon le cabinet comptable, BCE a échoué à un test de solvabilité, une condition indispensable à la réalisation du rachat du géant des télécommunications par Teachers et ses partenaires américains. La mort de ce qui aurait été l’une des plus importantes prises de contrôle du pays ne sera pas un choc pour les marchés, qui anticipaient largement ce dénouement depuis quelques semaines. KPMG avait fait savoir le 26 novembre dernier que BCE ne passait pas le test. BCE a par la suite embauché la firme PriceWaterhouseCoopers pour réaliser un autre test, qui s’est avéré positif. La rumeur veut que BCE a voulu faire pression sur KPMG, en vain. Le titre de BCE avait plongé de 13,10$ pour clore à 25,25$ le jour après l’annonce de KPMG. Mercredi, l’action a fermé en hausse de 2,3% ou 0,52$ à 23,02$ à la Bourse de Toronto, très loin de l’entente de rachat fixée à 42,75$.
  8. L'action de BCE s'écroule, la privatisation menacée 26 novembre 2008 - 09h51 LaPresseAffaires.com Michel Munger La privatisation du géant des télécoms BCE (BCE) risque de ne pas se produire pour des questions de solvabilité et son action s'écroule en Bourse. Le titre fondait de 36,7% à 24,28 $ au TSX. Ce matin, la firme comptable KPMG jette une douche d'eau froide en questionnant la solvabilité ultérieure de Bell. La firme invoque, dans un avis préliminaire, les conditions actuelles du marché et le niveau d'endettement entraîné par la transaction pour ne pas remettre un avis favorable avant le 11 décembre, date prévue pour la conclure. KPMG doute qu'une fois privatisée, BCE puisse satisfaire aux tests de solvabilité définis dans l'entente de rachat. C'est une condition incontournable pour que la transaction soit effectuée selon les modalités acceptées par Teachers'. Rappelons que Bell devait être rachetée par le régime de retraite des enseignants ontariens Teachers' pour 52 G$. Sur ce montant, une trentaine de milliards doit provenir d'emprunts sur le marché du crédit. George Cope, grand patron de Bell, a manifesté son mécontentement en faisant l'annonce. «BCE bénéficie aujourd'hui de cotes de crédit de qualité, compte 2,8 G$ d'encaisse disponible, a peu d'échéances de titres d'emprunt à moyen terme et continue d'enregistrer de solides résultats d'exploitation.» «Nous sommes déçus de l'avis préliminaire de KPMG sur la solvabilité post-transaction, qui se fonde sur plusieurs hypothèses et méthodologies que nous examinons actuellement», ajoute Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE. «L'entreprise ne partage pas l'avis selon lequel l'ajout de l'endettement de l'acquisition avec effet de levier ferait en sorte que BCE ne satisferait pas à la définition technique de solvabilité», dit M. Vanaselja.
  9. KPMG doute qu'une fois privatisée, BCE puisse satisfaire aux tests de solvabilité définis dans l'entente de rachat, une condition incontournable pour conclure cette privatisation. Pour en lire plus...
  10. Après avoir appris mercredi qu'il était poursuivi par la firme comptable KPMG, voilà que M. Boisvenue est poursuivi par le gardien de valeurs Northern Trust Canada. Pour en lire plus...
  11. KPMG reproche à M. Boisvenue ses transactions de 4,3 millions de dollars avec Vincent Lacroix en août 2004, puis ses décisions comme gestionnaire de portefeuille chez Norbourg. Pour en lire plus...
  12. Les multinationales apprécient notre TPS. C'est du moins ce qui se dégage d'une enquête de KPMG qui classe le Canada dans une position enviable pour la simplicité de son régime. Pour en lire plus...
  13. De plus en plus difficile de vendre Montréal La forte augmentation du dollar canadien a considérablement réduit les avantages concurrentiels qui faisaient de Montréal un lieu privilégié pour implanter ou exploiter une entreprise, a confirmé la semaine dernière une étude de la firme KPMG. Mais au-delà des effets négatifs inévitables de la hausse du huard, Montréal a aussi perdu de ses attraits traditionnels. Le guide Choix concurrentiels que publie tous les deux ans la firme KPMG compare les sites d’implantation des entreprises en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, selon leurs coûts de fonctionnement. Mon collègue Michel Van de Walle a expliqué vendredi dernier les grandes lignes de la plus récente étude, et surtout la grande conclusion qui démontre que Montréal et l’ensemble des villes canadiennes ont perdu, en raison de la progression du dollar canadien, l’avantage qui leur permettait depuis 2002 de figurer en tête de liste du classement des villes où il est le plus avantageux économiquement de s’implanter et d’exploiter une entreprise. Depuis 2002, l’étude de KPMG faisait partie du « kit de base » de tous les organismes québécois de démarchage d’investissements internationaux. C’était bien sûr le document d’évangélisation par excellence de Montréal International. Or, visiblement, les responsables de MI ont trimé dur durant tout le week-end pour tenter de trouver les éléments positifs de la plus récente étude de KPMG afin de ne pas trop dégarnir la trousse de démarchage qu’ils utilisent pour convaincre des investisseurs potentiels d’opter pour Montréal plutôt qu’une autre destination dans le monde. Selon MI, l’étude de KPMG démontre que Montréal offre encore et toujours les frais d’exploitation les plus concurrentiels dans le secteur de la recherche-développement parmi les 20 plus grandes villes du Canada et des États-Unis. Montréal affiche par rapport aux autres villes d’Amérique du Nord un avantage de 15 % sur les coûts en essais cliniques ; de 8,6 % sur les tests de systèmes électroniques ; et de 5,1 % sur les tests en biotechnologie. Il en coûte aussi 5,2 % moins cher à une entreprise de R&D de concevoir un logiciel à Montréal que dans n’importe quelle autre grande ville du continent, en raison de la combinaison des crédits d’impôt en R&D d’Ottawa et de Québec. Mince consolation Si Montréal International fait bien de souligner les derniers avantages qui restent à la grande région de Montréal, une fois escomptés les dommages générés par l’ouragan huard, les ultimes mérites que cherche maintenant à mousser l’organisme ne constituent en fait qu’une bien mince consolation par rapport à ce que Montréal offrait auparavant. Il y a deux ans, Montréal arrivait en tête de liste des villes internationales pour ses avantages fiscaux en R&D. Dans la plus récente étude de KPMG, le Canada a obtenu un score de 92,6 % pour ses avantages-coûts en matière de tests cliniques, mais il a été déclassé par le Mexique (63,9 %), les Pays-Bas (86,2 %) et la France (87,2 %). Il y a deux ans, Montréal déclassait les villes françaises et hollandaises de 30 %, mais la France et la Hollande ont adopté des mesures fiscales qui surpassent maintenant les crédits en recherche-développement que proposent les gouvernements du Canada et du Québec. Selon l’étude de KPMG, il en coûterait 1 % de plus en frais d’exploitation à Bombardier pour établir sa nouvelle usine d’assemblage des CSeries dans une ville comme Kansas City plutôt que dans la région de Montréal, mais si les autorités locales offrent le double de l’aide à l’implantation que sont prêts à accorder Ottawa et Québec, on comprend bien que l’avionneur étudie les options qui s’offrent à lui. Montréal ne peut pas faire grand-chose contre les ravages du dollar canadien, mais il ne faut pas que la région perde les quelques avantages qui lui restent encore. http://argent.canoe.com/lca/chroniqueurs/jeanphilippedecarie/archives/2008/03/20080331-220924.html
  14. j'aimerais savoir votre top 5 des tour les plus belle de montréal selon vous pour moi c'est 1. 1250 rené-lévesque 0uest 2.1501 mcgill college 3.le 1000 de la gauchtiere 4.tour kpmg 5.tour de la bourse et vous c'est quoi
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