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  1. D'aprés le recensement de 2011,il ya une tendeance à la baisse. http://www.cjnews.com/index.php?q=node/106910
  2. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/03/29/008-Outremont-rite-juifs.shtml Il y a un vidéo sur le site... franchement je ne sais pas quoi en penser. Les policiers sont intervenus pour mettre un terme à un rite des juifs hassidiques organisé sur les terrains de l'arrondissement d'Outremont, lundi matin. La cérémonie de crémation du pain a débuté calmement dans une cours de voirie. Mais vers 11 h, elle a dégénéré et les feux ont pris de l'ampleur car ses participants affirmaient devoir tout brûler avant 11 h 40. Les autorités de l'arrondissement n'ont pas compris l'empressement des hassidiques, croyant qu'ils avaient en fait jusqu'à 13 h. Certains des participants ont perdu patience et un certain chaos s'est installé. Une quinzaine de policiers sont arrivés sur place. Le service des incendies a appelé deux camions de pompiers supplémentaires qui ont rapidement éteint les deux petits feux. Les pompiers et les autorités de l'arrondissement d'Outremont attribuent ce geste à l'agitation des juifs et au fait que certain d'entre eux ont brûlé du plastique ce qui contrevenait à l'entente entre les deux parties. Certains non-juifs pensent que, de toute façon, l'arrondissement n'a pas à organiser des cérémonies religieuses. C'est le cas de la conseillère municipale, Céline Forget, qui affirme que l'affaire pose un problème de principe. « Sur le principe c'est une activité privée. [...] Je ne vois pas pourquoi cette activité-là se fait sur un terrain public », dit-elle. Mais l'arrondissement rétorque que sa décision était basée sur un avis du contentieux de la ville de Montréal. « L'avis juridique dit : "La pratique de l'arrondissement répond à votre obligation d'accommodement raisonnable et ne cause pas de contrainte excessive" », plaide Marie Cinq-Mars, la mairesse de l'arrondissement d'Outremont. Malgré tout, l'arrondissement appuie l'intervention des policiers et des pompiers. La majorité des juifs qui étaient sur place étaient furieux. Certains ont affirmé que l'intervention des policiers et des pompiers va à l'encontre de leurs droit religieux. D'autres affirment que les autorités ont ruiné cette fête juive. La mairesse Cinq-Mars affirme que les deux partis devront discuter avant que l'arrondissement autorise à nouveau ce genre de fête. « Si c'est juste de venir brûler quelques petites tranches de pain, ça va. mais s'il y a des débordements, il va falloir qu'on s'assoie avec eux. Un accommodement raisonnable, il ne faut pas que ça dérange les autres », dit-elle. Certains juifs hassidiques ont indiqué qu'en raison de la pagaille de cette année ils pourraient, à l'avenir, faire ces feux sur leur propriété privée, ce qui présenterait un risque pour la sécurité publique.
  3. Quelle surprise.... ********************************* À travers le Canada... Les immigrants préférés aux francophones Agence QMI 26/01/2010 20h21 - Mise à jour 26/01/2010 21h32 Les Canadiens anglais voient les immigrants et les Juifs d’un œil plus favorable que les francophones du Québec, révèle un nouveau sondage Léger Marketing mené pour le compte de l’Association d’études canadiennes et dont l’Agence QMI a obtenu copie. Aux yeux des anglophones, la seule catégorie de gens qu’ils voient de façon moins favorable que les Québécois francophones sont les autochtones. Dans l’ensemble, les francophones du Québec ont une opinion considérablement plus favorable des anglophones du Canada que les anglophones ont d’eux. En fait, 75 % des Québécois francophones ont une opinion favorable de leurs collègues anglophones alors que chez les anglophones, cette proportion est de 60,1 %. Au Québec, les Québécois francophones sont le groupe le mieux perçu suivi des anglophones, des immigrants, des autochtones et des Juifs. Ces données ont étonné le directeur de l’Association d’études canadiennes, Jack Jedwab. Pour lui, le plus surprenant, c’est de constater l’existence de ce fossé entre les francophones et les anglophones. «Je ne pensais pas que la perception des anglophones du Canada vis-à-vis les francophones du Québec serait aussi négative», a-t-il soumis. Selon M. Jedwab, les résultats de ce sondage sur la perception des immigrants, des Juifs et des autochtones canadiens, ressemblent aux données relevées dans d’autres sondages. Ce sondage en ligne a également révélé que plus les répondants avaient fréquenté des gens d’origine différente que les leurs, plus ils étaient aptes à avoir une perception favorable de ceux-ci. «C’est une bonne nouvelle pour ceux qui font la promotion d’échanges entre les Canadiens qui ont divers profils linguistiques», a précisé M. Jedwab. Les gens plus âgés avaient également tendance à avoir une vue plus favorable des autres. Dans l’ensemble du pays, les Canadiens-anglais étaient ceux qui étaient perçus le plus favorablement par les répondants, soit dans une proportion de 84 %. Les immigrants récoltent 70 % des opinions favorables, les Juifs, 69 %, les Québécois francophones, 65 % et les autochtones, 56 %. Les Albertains ont l’attitude la moins favorable au pays face aux immigrants, aux Canadiens-français et aux autochtones mais ils ont une attitude légèrement plus favorable aux Juifs que les Québécois. Quelque 80 % des Albertains voient les Canadiens-anglais d’un bon œil mais ce pourcentage tombe à 60 % lorsqu’il s’agit d’immigrants et à 58 %, lorsqu’il s’agit de Juifs. La cote d’amour des Albertains pour les francophones tombe à 47 % et à 45 % pour les autochtones. En revanche, les Ontariens sont ceux qui affichent l’attitude la plus favorable aux Juifs (78 %) et aux autochtones (59 %). L’Ontario vient en deuxième place pour ce qui est de la perception favorable des immigrants (72 %) et en troisième place pour les Québécois francophones (60 %). Ce sondage Léger Marketing en ligne a été mené la semaine du 30 novembre auprès de 1500 répondants. La marge d’erreur est de 2,5 %, 19 fois sur 20.
  4. <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td align="right"> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td class="texteTitreNoir">L'antisémitisme reste fort en Europe</td> </tr> </tbody></table></td> </tr> <tr> <td class="texteSousTitreNoir" align="left">(AP) Paul Haven</td> </tr> <tr> <td class="texteSousTitreNoir" align="left"> </td> </tr> <tr> <td valign="top"> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"> <tbody><tr> <td class="texteNormalNoir" align="justify" valign="top"><table valign="top" align="right" border="0" cellpadding="0" cellspacing="5" width="1"><tbody><tr></tr><tr align="left"><td width="100%"> </td></tr><tr><td class="texteSousTitreNoir" width="100%">Des manifestants brûlent un drapeau israélien, à Bruxelles, en Belgique. © AP/Herman Ricour</td></tr></tbody></table> <table valign="top" align="right" border="0" cellpadding="0" cellspacing="5" width="1"> <tbody><tr> <td width="100%"> </td> </tr> <tr> <td class="texteSousTitreNoir" width="100%"> </td> </tr> </tbody></table> <!-- fin-photo --> Pas moins de 31% des personnes interrogées dans sept pays européens imputent la crise économique mondiale aux juifs et une proportion plus importante encore pensent que ces derniers sont trop influents dans le monde des affaires, selon un sondage de la Ligue anti-diffamation (ADL) publié mardi. L'ADL, une organisation basée aux États-Unis qui affiche l'objectif de «lutter contre la diffamation des juifs et pour la justice et le traitement équitable de tous», estime que ce sondage confirme la persistance d'un antisémitisme fort en Europe. L'enquête a été menée auprès de 3500 personnes au total, à raison de 500 dans chacun des pays où elle a été conduite: Allemagne, Autriche, Espagne, France, Grande-Bretagne, Hongrie, Pologne. Globalement, 40% des personnes interrogées dans les sept pays estiment que les juifs ont trop de pouvoir dans le monde des affaires, un avis exprimé par plus de la moitié des sondés hongrois, Espagnols et Polonais. Et 44% estiment qu'il est «probablement vrai» que les juifs parlent trop de la Shoah. Si 31% estiment que les juifs sont «en grande partie» ou au moins «un peu» responsables de la crise économique mondiale, ce chiffre varie largement d'un pays à l'autre: C'est en Hongrie que cette opinion est la plus forte avec 46%, devant l'Autriche (43%), la Pologne (38%), l'Allemagne (30%), l'Espagne (25%), la Grande-Bretagne (16%) et la France (15%). Selon le sondage commandité par l'ADL, 74% des personnes interrogées en Espagne estiment «probablement vrai» que les juifs ont trop de pouvoir sur les marchés financiers mondiaux. Il s'agit du chiffre le plus élevé relevé par l'étude. «Ce sondage confirme que l'antisémitisme persiste bel et bien dans l'esprit de nombreux Européens», commente Abraham Foxman, directeur nationale d'ADL aux Etats-Unis. «Clairement, les vieux stéréotypes antisémites ont la vie dure.» Selon M. Foxman, les résultats du sondage sont «particulièrement inquiétants» à la lumière de la colère suscitée par la crise mondiale, et alors que des violences antisémites ont été recensées après le déclenchement de l'offensive israélienne menée dans la bande de Gaza le mois dernier. Le grand rabbin de Pologne, Michael Schudrich, qui a eu connaissance de l'enquête avant sa publication, a déclaré ne pas avoir constaté de montée de l'antisémitisme en Pologne depuis le début de la crise financière mondiale. Selon lui, un certain degré d'antisémitisme persiste en Pologne, mais n'est pas plus important que dans d'autres pays d'Europe. L'étude a été menée par l'institut First International Resources entre 1er décembre 2008 et le 12 janvier 2009, et comporte une marge d'erreur de 4 points pour chaque pays. </td> </tr> </tbody></table></td> </tr> <tr> <td> </td> </tr> <tr> <td> </td> </tr> <tr> <td class="textePetitNoir" align="center">Copyright © 1995-2008 Canoë inc. Tous droits réservés</td></tr></tbody></table>
  5. De moins en moins de Juifs au Québec Photo Robert Skinner, La Presse Jean-François Cloutier La Presse Le fort taux de natalité des juifs hassidiques d’Outremont et le tumulte de la commission Bouchard-Taylor masquent une réalité moins connue: la communauté juive québécoise est en déclin. Alors qu’on dénombrait plus de 101 000 Juifs au Québec au recensement de 1991, en 2001 on n’en comptait plus que 82 500. En 2006 ce nombre était passé à 71 400, une baisse de 15%. Des experts contestent cependant l’ampleur de cette dernière baisse, révélée en avril avec la diffusion des statistiques sur l’origine ethnique et les minorités visibles du recensement de 2006. «Quand ces chiffres sont parus, ça a causé tout un émoi dans la communauté. On compte beaucoup sur le recensement pour nous connaître et ces données ont eu un impact important sur le moral de nos membres. Mais après une analyse poussée, on se rend compte que cette baisse ne peut pas avoir eu lieu», explique Jack Jedwab, directeur des études canadiennes à l’Université McGill et auteur d’une série d’articles sur le recensement. L’apparente «saignée» s’expliquerait en partie par un changement dans la manière de poser la question de l’origine ethnique en 2006. «Une modification à la question a fait chuter le nombre de Juifs partout au Canada. On s’est aperçu en même temps qu’il y avait une hausse significative de citoyens d’origine polonaise, russe et roumaine dans des quartiers comme Hampstead et Côte-Saint-Luc, quand dans les faits, il n’y a pas eu d’immigration marquée de ces pays récemment», souligne M. Jedwab. Le professeur James Torczyner, spécialiste de l’interprétation des données du recensement à l’Université McGill, partage le même avis. «Pour qu’il y ait eu une telle baisse, il aurait fallu qu’un événement catastrophique se produise, ce qui n’est pas le cas.» Une tendance à la baisse Reste que la diminution du nombre de Juifs québécois entre 1991 et 2006 est trop importante pour ne s’expliquer que par des variations méthodologiques, surtout dans la mesure où elle tranche avec ce qui s’est produit en Ontario et dans le reste du Canada. «Les données nous disent qu’il y a une tendance à la baisse en ce qui concerne le nombre de Juifs au Québec», affirme Hélène Maheux, analyste à Statistique Canada. Si on comptait plus de 101 000 Juifs au Québec en 1991, il y en avait 318 000 au Canada. En 2006, on n’en dénombrait plus que 71 000 au Québec alors qu’il y en avait encore 315 000 au Canada. «Les migrations interprovinciales ont sûrement joué. Il y a beaucoup d’anglophones qui sont partis au cours des années 90, et la majorité des Juifs du Québec sont anglophones», reconnaît Jack Jedwab. Le boom pétrolier dans l’ouest du pays et l’exode des cerveaux vers les États-Unis expliqueraient les départs récents de Montréal, selon M. Torczyner. «La situation est très différente de celle des années 60 ou 70, où il y avait un sentiment de panique. Aujourd’hui, les Juifs s’en vont pour des raisons économiques.» Ces données contrastent avec l’augmentation du nombre de Juifs à Outremont. En dépit de leur fort taux de natalité, les communautés orthodoxes ne représentent cependant que 12% de la population juive québécoise, remarque le président du Congrès juif canadien, Victor Goldbloom. «Le taux de natalité du reste de la communauté est similaire à la moyenne québécoise», précise-t-il. Les accommodements Le récent débat sur les accommodements raisonnables aura-t-il eu l’effet d’accélérer le déclin démographique de la communauté juive québécoise? «Il faudra attendre le recensement de 2011 pour le voir. J’étais convaincu au départ qu’il y en aurait un, mais je ne le pense plus, au regard de l’évolution du débat», avance Jack Jedwab. «Des interventions ont pu en déranger certains, mais la communauté juive dans son ensemble sait faire la part des choses entre ces quelques voix et sa forte intégration dans le milieu québécois», croit James Torczyner, qui reste optimiste sur l’avenir à long terme des Juifs au Québec. http://www.cyberpresse.ca/article/20080626/CPACTUALITES/80625271/-1/CPACTUALITES
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