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  1. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406038/batir-des-tours-porteuses-de-sens Bâtir des tours porteuses de sens </header>19 avril 2014 | Frédérique Doyon | Actualités en société <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : ArwcheekLa tour Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar</figcaption></figure><section class="retenir retenir_portrait" style="box-sizing: border-box; width: 386px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-bottom: 10px;">«Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture</section> Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. «Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber.» Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. «L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements», rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car «la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville?» Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. «La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne?» Au risque parfois de briser le «skyline»plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a «le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. «À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée?» En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. «On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme», dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. «Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain.» «Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout», note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation «Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire.» Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. «Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur.»
  2. Exclusif Argent St-Hubert discute d'un vaste projet d'expansion en Ontario 12 décembre 2008 - 16h25 En vidéo, M. Léger explique le concept du St-Hubert Express. François Pouliot Katia Germain ARGENT Les Rôtisseries St-Hubert planche actuellement sur un vaste projet d’expansion en Ontario. « Nous sommes en discussions avec un partenaire important, si ça fonctionne, nous y irons massivement », a indiqué à Argent le président de Groupe St-Hubert, Jean-Pierre Léger. Monsieur Léger a soutenu qu’il avait tenté d’acheter les quelque 200 rôtisseries Chalet Suisse du groupe Cara, mais qu’elles n’étaient pas à vendre. « Puisqu’ils ne veulent pas vendre, on va essayer d’y aller autrement. » Au début des années 1980, St-Hubert avait tenté une incursion dans le marché ontarien en ouvrant une vingtaine d’établissements dans le Toronto métropolitain. L’opération avait toutefois été un échec, et, à l’aube des années 90, la bannière québécoise avait retraité au Québec. Le grand patron estime que des erreurs avaient à l’époque été commises. « Le choix des sites n’était pas toujours adéquat. Mais surtout, l’immobilier était à son plus haut niveau. Les coûts de loyer étaient extrêmement chers », se rappelle-t-il. Cette fois, St-Hubert veut attaquer le marché ontarien avec une nouvelle arme : le St-Hubert Express. Le concept requiert moins d’investissements et offre plus de souplesse. Impossible cependant de connaître l’identité du partenaire avec lequel discute le restaurateur québécois. « Ce sont des gens qui connaissent bien le concept de la restauration », indique-t-il simplement. Ce groupe agirait à titre de franchisé et verrait au déploiement des St-Hubert dans l’ensemble de l’Ontario. Jean-Pierre Léger voit un déploiement d’au moins 100 établissements. Il en compte actuellement 96 au Québec, 3 à Ottawa et 1 au Nouveau-Brunswick. « L’expansion ne nous demanderait pas d’investissements si majeurs, le franchisé assumant la majeure partie des coûts », a précisé monsieur Léger. Le chef de direction ne peut fournir d’horizon précis sur la conclusion d’une entente. « Nous travaillons là-dessus. Si c’est dans six mois, tant mieux, si c’est dans un an et demi, ce sera dans un an et demi. Il y a aussi quelques questions de financement de leur côté », a-t-il fait valoir. Dans l’intérim, l’entreprise entend poursuivre son expansion au Québec. Jean-Pierre Léger voit encore de la place pour 15-20 établissements St-Hubert Express dans la province. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081212-162507.html
  3. Le ministre fédéral d'État à l'Agriculture affirme que le gouvernement conservateur fera tout pour défendre le système de gestion de l'offre à l'OMC. Pour en lire plus...
  4. De Duplessis à Blackburn André Pratte Éditorial - La Presse samedi 7 juin 2008 Furieux des changements apportés à l’aide financière d’Ottawa pour le développement économique, le ministre québécois Raymond Bachand a comparé son homologue fédéral Jean-Pierre Blackburn à nul autre que Maurice Duplessis. « Il est en train de déstructurer la façon de faire de notre société en matière de développement économique, a déclaré M. Bachand. Il recule au temps de Duplessis qui disait aux industriels demandant une subvention : Venez me voir dans mon bureau, je vais vous faire un chèque. » La comparaison est excessive. Mais l’inquiétude, la colère de M. Bachand et d’une bonne partie du milieu économique québécois, elles, ne le sont pas. Responsable de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec (DEC), M. Blackburn a annoncé en novembre dernier la fin d’importantes subventions versées depuis plusieurs années à quelques dizaines d’organismes à but non lucratif (OBNL) qui se consacrent au développement économique régional. Le ministre a fait savoir que les 30 à 50 millions ainsi économisés chaque année serviront à financer des projets précis « qui ont un début, un milieu et une fin » plutôt que « des crayons et du papier ». Les organismes dont il est question ici sont de toutes tailles, des petits en région jusqu’à Montréal International. Pour la plupart, ils sont nés d’une volonté des régions d’appuyer de petites entreprises d’avenir ainsi que d’aider leurs PME à investir en innovation et à explorer les marchés extérieurs. Jusqu’à l’an dernier, le travail des OBNL semblait répondre parfaitement aux objectifs du fédéral. Jean-Pierre Blackburn a fait table rase. Plusieurs l’accusent d’agir pour des motifs partisans. Depuis son arrivée au ministère, le député de Jonquière-Alma tient à voir lui-même tous les dossiers. Il ne manque pas d’être présent à chaque conférence de presse. Par exemple, on l’a vu à Rimouski il y a deux semaines annoncer une subvention de 1,6 million destinée au projet de sous-marin du site maritime historique de Pointe-au-Père. Cependant, dans la même région, la Corporation de soutien au développement technologique des PME va perdre l’aide de 400 000$ qu’elle recevait. Qu’est-ce qui est plus porteur pour l’avenir, un vieux sous-marin transformé en attraction touristique ou l’amélioration de la productivité des petites entreprises ? Selon quels critères les projets sont-ils choisis, le développement des régions ou la visibilité du ministre en vue des prochaines élections ? Tous les OBNL ne sont peut-être pas aussi efficaces qu’ils le devraient. Certains dépensent sans doute trop en bureaucratie, en voyages, en activité sociale. Le problème, c’est que M. Blackburn a décidé de sabrer partout plutôt que d’y aller au scalpel suivant une analyse du bilan de chaque organisme. Le ministre fait la sourde oreille à la grogne généralisée qu’a provoquée sa nouvelle politique. Les dirigeants de six organisations importantes du monde économique québécois ne sont même pas parvenus à obtenir une rencontre avec lui. En somme, dans ce dossier crucial pour l’avenir de l’économie québécoise et des régions, Jean-Pierre Blackburn a adopté une approche politicienne, bête et têtue, indigne d’un gouvernement moderne. Source http://www.cyberpresse.ca/article/20080607/CPOPINIONS03/806070943/5034/CPOPI
  5. (Merci a La Presse) Finally they are doing this, took them forever. Honestly, if you win, people should not know.
  6. La pyramide a été construite de l’intérieur ! C'est ce que vient de prouver l'architecte Jean-Pierre Houdin qui a pu modéliser la pyramide dans l’espace et réaliser des simulations pour étayer sa théorie. Celle-ci repose sur trois piliers : les Egyptiens auraient utilisé une rampe extérieure pour construire les 43 premiers mètres de la pyramide, puis une rampe interne en spirale courant sous les faces de la pyramide pour la terminer. Enfin, ils auraient mis la grande galerie au service d’un astucieux système de contrepoids pour hisser les lourdes poutres de granit (jusqu’à 63 tonnes) des plafonds de la Chambre funéraire du Roi. "Plus qu’intéressante, la théorie de Jean-Pierre Houdin est à la fois cohérente et révolutionnaire. L’une des grandes qualités de l’architecte est de prendre les bâtisseurs de l’époque au sérieux. Il les considère comme de grands maîtres de la construction, de véritables ingénieurs", a déclaré Rainer Stadelmann, égyptologue spécialiste des pyramides, ancien directeur de l'Institut allemand d'Archéologie du Caire. Pour prouver sa théorie née d'une intuition, l'architecte s'est appuyé sur les solutions 3D Virtools de Dassault Systèmes. Sept ordinateurs connectés en réseau ont reconstitué en relief le chantier de Kheops tel qu’il se présentait il y a 4.500 ans. Ce dispositif qui permet de naviguer librement à l’intérieur de l'ouvrage est une première mondiale qui préfigure les installations et mises en scène du futur, combinant réel et virtuel, grâce à l’immersion en relief et l’interactivité en temps réel. Les Egyptiens auraient utilisé une rampe extérieure pour construire les 43 premiers mètres de la pyramide . Selon Jean-Pierre Houdin, une rampe interne en spirale courant sous les faces a permis de terminer la pyramide
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