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  1. Quelques photos prisent au Japon en 2003 TOKYO & OSAKA Enjoy http://picasaweb.google.com/musicmanqc/VoyageAuJapon?feat=directlink
  2. Publié le 07 septembre 2009 à 09h33 | Mis à jour à 09h39 Le Japon vise 25% de réduction de CO2 entre 1990 et 2020 Agence France-Presse Tokyo Le futur premier ministre japonais Yukio Hatoyama a annoncé lundi que le Japon allait tenter de réduire de 25% ses émissions de gaz à effet de serre (GES) d'ici 2020 par rapport à 1990, revoyant à la hausse l'objectif fixé par le gouvernent sortant. «Comme objectif à moyen terme, nous visons une réduction de 25% d'ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990, en nous basant sur les demandes scientifiques dans l'espoir d'arrêter le réchauffement climatique», a déclaré M. Hatoyama lors d'une réunion internationale sur le changement climatique à Tokyo. Président du Parti Démocrate du Japon (centre-gauche) victorieux des récentes élections législatives, M. Hatoyama sera désigné premier ministre par la Chambre des députés le 16 septembre. Ce chiffre annoncé par le prochain chef du gouvernement est plus ambitieux que la réduction de 8% fixée en juin par le premier ministre conservateur sortant, Taro Aso, pour la même période de référence. «Ceci est une promesse politique sur laquelle nous nous étions engagés dans notre manifeste électoral», a expliqué M. Hatoyama. «Nous devons l'accomplir en prenant toutes les mesures nécessaires». Le Japon défendra cet objectif de 25% dès la prochaine réunion organisée par l'ONU à New York le 22 septembre, préparatoire au sommet de Copenhague de décembre. Sous l'égide de l'ONU, ce sommet vise à trouver un accord international pour succéder au protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de GES considérées comme largement responsables du changement climatique. M. Hatoyama a toutefois averti que le Japon ne voulait pas avancer seul sur ce sujet. «Un accord enthousiaste avec la participation de tous les grands pays est une condition nécessaire à notre promesse devant la communauté internationale», a-t-il souligné. Deuxième économie mondiale, l'archipel n'est que le cinquième émetteur de gaz à effet de serre, derrière la Chine, les États-Unis, l'Inde et la Russie. Le futur premier ministre a annoncé en outre qu'il lancerait «une initiative immédiatement après la formation du gouvernement» pour aider les pays en développement à réduire leurs émissions de GES. «Nous pensons que les pays en développement doivent aussi faire un effort pour réduire leur GES, car le changement climatique est un problème planétaire. Les pays développés doivent fournir un soutien financier et technique aux pays en développement qui essaient de réduire leurs émissions», a-t-il expliqué. La question de l'aide financière apportée par les pays riches aux pays pauvres pour réduire leurs émissions constitue un désaccord de taille dans les négociations en vue du sommet de Copenhague.
  3. L'annonce vendredi par la Chine et le Japon du déploiement d'éventuels plans de relance pour sortir leur économie respective de la récession donne des ailes aux bourses asiatiques et européennes. Pour en lire plus...
  4. Le Japon enregistre en janvier le plus important déficit commercial de son histoire, en raison d'un chute sans précédent de ses exportations. Pour en lire plus...
  5. Les géants japonais de l'électronique Sony, Hitachi, NEC et Toshiba tombent les uns après les autres dans le rouge. Pour en lire plus...
  6. Consommation et exportations en chute libre, flambée du yen, suppression d'emplois, la crise frappe durement la deuxième économie mondiale. Et d'après les estimations de la Banque du Japon, il faudra attendre 2010-2011 pour espérer une éclaircie. Pour en lire plus...
  7. Le deuxième constructeur automobile japonais réduit encore sa production en raison des ventes en baisse causées par la crise économique. Pour en lire plus...
  8. À l'heure actuelle, Sanyo est à réduire sa présence dans des secteurs d'activité déficitaires, en prévision d'une acquisition anticipée par Panasonic. Pour en lire plus...
  9. Le constructeur automobile japonais va suspendre pendant onze jours, entre février et mars, la totalité de sa production au Japon pour répondre à la chute des ventes. Pour en lire plus...
  10. Faisant face à un recul de ses ventes aux États-Unis de 37%, le constructeur japonais Toyota va suspendre la production de toutes ses usines au Japon pendant 11 jours, en février et mars prochains. Pour en lire plus...
  11. Le constructeur japonais a annoncé qu'il allait réduire sa production de 78 000 véhicules supplémentaires au Japon et supprimer 500 emplois intérimaires. Pour en lire plus...
  12. Les économistes commencent à prévoir le pire à la veille de la publication des chiffres révisés du troisième trimestre. Pour en lire plus...
  13. La crise économique se propage à travers le monde, de plus en plus de pays s'attendant, à l'instar, entre autres, du Japon, de la Suède ou encore du Canada, à tomber en récession sous peu. Pour en lire plus...
  14. Déficit américain - Bombe à retardement Serge Truffaut Édition du lundi 24 novembre 2008 La somme des promesses qu'a déclinées Barack Obama pendant la campagne électorale avoisine les 2000 milliards de dollars. À moins d'être irresponsable en matière budgétaire, le président élu ne pourra pas respecter tous ses engagements. Loin de là. Car après la crise immobilière à laquelle se sont greffées depuis lors la crispation bancaire et la déchéance de l'industrie automobile, on va observer l'addition d'une crise tout aussi majeure: l'état lamentable des finances publiques. Bien avant que n'éclate la bulle immobilière, la dette américaine était le sujet fréquent de commentaires signés par des personnes, dont nombre d'experts, qualifiant celle-ci de bombe à retardement. En substance, ces derniers avançaient que la frivolité des Américains en général et de l'État en particulier sur le front du crédit s'avérerait tôt ou tard catastrophique. Ce qui était conjugué au futur lointain risque fort d'être composé au présent dès 2009. Chose certaine, les chiffres afférents traduisent une réalité brutale. Tout d'abord, on retiendra que la dette des États-Unis a doublé depuis l'installation de Bush à la Maison-Blanche. Ensuite? L'exercice financier 2008 s'est conclu par un déficit lui aussi deux fois supérieur à celui enregistré lors de l'exercice antérieur. En ce qui a trait à l'année fiscale 2009, on prévoit un déficit de 1000 milliards, là encore le double de celui de 2008. Bref, dire que le rythme imprimé sur les comptes du pays est insoutenable relève de la lapalissade. Dans cette histoire, il y a certainement des mauvais calculs et des revers de fortune, des faux bonds et des détournements inopinés. Mais il y a aussi une bonne dose d'égoïsme national crânement affirmé par le deuxième personnage de l'État, soit le vice-président Dick Cheney. On se souviendra qu'alors qu'il était interrogé à ce propos, ce triste sire, ce maître ès calamités, avait affirmé que Ronald Reagan avait fait la preuve que le déficit n'était pas un problème politique. En résumant sur un ton badin un sujet d'autant plus délicat qu'il est lourd de conséquences, ce chasseur fervent devant l'éternel faisait le pari que les banques centrales étrangères d'Asie et d'Europe continueraient à acheter la dette américaine pour la bonne et simple raison qu'aucune nation du monde ne pouvait se permettre de laisser tomber l'économie américaine. Problème? Si ce théorème autant économique que politique prévalait avant la chute du Mur, soit sous Reagan, ce n'est plus du tout le cas. Aujourd'hui, c'est à retenir, parmi les quatre principaux créanciers des États-Unis d'Amérique, on compte désormais deux concurrents à côté d'alliés: la Chine, qui a dépassé le Japon comme premier financier de Washington, et la Russie. Parions qu'à l'inverse du Japon et de l'Allemagne, Pékin et Moscou refuseront d'avaler les couleuvres. Pour s'en convaincre, il suffit de poser un regard sur la politique monétaire chinoise qui joue le yuan à la baisse pour favoriser indûment les exportations malgré les requêtes justifiées de Clinton et Bush pour un alignement du yuan sur sa valeur réelle. Pour l'année fiscale 2009, on calcule que le financement des opérations courantes va s'élever à 1400 milliards de dollars. Tout logiquement, on peut se demander qui va payer, qui va accepter d'acheter des bons du Trésor? La Chine? La Russie? L'Allemagne et le Japon officiellement en récession depuis la semaine dernière? C'est évidemment le quid du sujet. En attendant, on tient à partager un fait qui en dit long sur la santé économique de la planète. Voilà, l'indice Baltic Dry a ceci de riche en enseignements qu'il n'y a pas mieux pour suivre l'évolution de l'industrie maritime. Il faut surtout savoir que 95 % du transport des marchandises du «monde mondial» se fait par la mer. Et alors? L'indice Baltic Dry a été divisé par quatorze au cours du dernier semestre. Cela étant, sur un plan intérieur, il faut rappeler que, quand tous les baby-boomers américains seront à la retraite, les obligations du gouvernement à leur égard équivaudront à 20 % du PIB. Lorsque l'on additionne le service de la dette, on se retrouve avec un pays insolvable, dixit David Walker qui fut... contrôleur général des États-Unis sous Clinton et Bush. Les économistes ayant sonné l'alarme -- on pense notamment à Nouriel Roubini, premier à avoir prévu la crise et son énormité -- avaient été traités de pessimistes outranciers et autres par les Cheney du monde. Quand on y songe, ces derniers correspondent fort bien à cette définition de l'optimisme formulée par on ne sait plus qui. À savoir? Ce dernier est «l'alibi sournois des égoïstes.»
  15. Le Japon s'est enfoncé davantage dans la récession en octobre avec la pire chute de ses exportations en sept ans et un rarissime déficit commercial. Pour en lire plus...
  16. L'Union européenne, les États-Unis et le Japon sont entrés en récession ainsi que les autres pays développés, constate l'Organisation pour la Coopération économique et le développement. Pour en lire plus...
  17. Au moment où l'Allemagne entre officiellement en récession, l'Organisation de coopération et de développement économiques prévoit que l'économie se contractera aux États-Unis, dans la zone euro et au Japon en 2009. Pour en lire plus...
  18. La Banque du Japon a annoncé vendredi qu'elle abaissait son principal taux directeur, le taux au jour le jour, de 0,2 point de pourcentage, à 0,3%, pour aider l'économie japonaise à surmonter la crise financière. Pour en lire plus...
  19. Le Parlement japonais a approuvé jeudi une rallonge budgétaire de 1810 milliards de yens pour stimuler la deuxième économie de la planète. Pour en lire plus...
  20. Les quelque 3000 employés de Lehman Brothers dans la région, notamment au Japon et en Australie, se verront tous offrir un travail chez Nomura, a assuré le groupe. Pour en lire plus...
  21. Le groupe bancaire britannique Barclays, qui a repris les activités américaines de Lehman Brothers, envisage également de reprendre certaines des activités de cette banque au Japon, a affirmé vendredi le quotidien des affaires Nikkei sur son site internet. Pour en lire plus...
  22. La Bourse de Tokyo a entamé la journée de vendredi en hausse, les investisseurs s'offrant une pause après l'avalanche de mauvaises nouvelles de ces derniers jours, tandis que la Banque du Japon a procédé à une nouvelle injection massive d'argent frais sur le marché bancaire. Pour en lire plus...
  23. L'inflation au Japon a franchi en juillet la barre des 2%, s'élevant à son plus haut niveau en onze ans, un phénomène qui freine les consommateurs. Pour en lire plus...
  24. Le gouvernement japonais a annoncé vendredi un plan de relance économique de 11 700 milliards de yens (113 G$ CAN) afin de stimuler la croissance en panne. Pour en lire plus...
  25. Les transporteurs Japan Airlines et All Nippon Airways devront clouer au sol et inspecter 25 appareils en raison d'un incident survenu la semaine dernière. Pour en lire plus...
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