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  1. Projet résidentiel Dans le quartier Sainte-Marie, à côté de la piste cyclable sur René-Lévesque, prés du pont Jacques-Cartier
  2. Dans le quartier Sainte-Marie À la sortie du pont Jacques-Cartier, face au parc des Faubourgs. Ce terrain est juste au nord de Church of Latter Day Saints. sent via Tapatalk
  3. Le projet consiste en la phase IV du réaménagement du Vieux-Port, commencé il y a de ça plusieurs années. Les grands points : Réaménagement du Quai de l'horloge Transformation du Hangar 16 en Centre d'exposition International Aménagement du Quai Jacques-Cartier INVESTISSEMENT PRÉVU 190 millions de dollars ÉTAT D'AVANCEMENT DU PROJET Étude de faisabilité HORIZON 2015
  4. Une passerelle «grandiose» à l’entrée du pont Jacques-Cartier? Une passerelle «grandiose» pourrait remédier au problème de sécurité des piétons à l’entrée du pont Jacques-Cartier qui fait rager les citoyens du quartier Sainte-Marie dans le centre-sud. La firme d’architectes Rayside Labossière propose à l’arrondissement de Ville-Marie d’y aménager cette structure de type «parc linéaire», dont Métro a obtenu copie des plans. Cette passerelle – passant juste au-dessus de la sculpture florale «L’homme qui plantait des arbres» – relierait tous les coins du parc des Vétérans et du parc des Faubourgs ainsi que toutes les rues adjacentes évitant ainsi aux piétons et aux cyclistes de faire des détours rebutants ou de s’aventurer sur les voies dangereuses. La conseillère du district, Valérie Plante, espère que les plans de la firme seront considérés par les hautes instances. Mme Plante connaît bien ce quadrilatère entre les rues Ontario, Papineau, Sainte-Catherine et de Lorimier autour du métro Papineau; ces rues qui encerclent les bretelles d’accès au pont Jacques-Cartier. Résidente de ce quartier, elle voit chaque jour des piétons et des cyclistes «s’aventurer» dans ce secteur dont les bretelles d’accès au pont traversent et divisent les deux parcs (voir plan). Tout autour, des écoles, une épicerie, une entrée de métro; des essentiels qui obligent les citoyens du secteur à traverser ces voies que Mme Plante qualifie de «véritables entrées d’autoroute». La conseillère et ses citoyens s’inquiètent pour la sécurité des passants qui traversent ces voies rapides où les voitures prennent leur vitesse de croisière pour accéder au pont. «Il y a des piétons qui traversent [les bretelles d’accès] n’importe comment, il y en a que c’est cellulaire à la main, d’autres qui zigzaguent à travers le flux de voitures. Traverser ici, c’est n’importe quoi», a affirmé d’emblée Mme Plante à Métro. C’est que malgré la présence de quelques traverses piétonnes (point 1 et 2 sur le plan), les piétons qui partent d’un peu partout à travers le quartier et qui convergent pour la plupart vers le métro choisissent plus souvent de traverser aux endroits non-adaptés pour éviter les détours. «Toute la population qui vient de la rue Sherbrooke et du Plateau descendent par les rues Cartier et Dorion, donne en exemple Antonin Labossière, résidant du quartier et architecte chez Rayside Labossière. C’est normal, ils ne veulent pas faire le détour pour aller prendre la lumière destinée aux piétons sur la rue Papineau (point 2), puis traverser à nouveau la deuxième (point 1) pour revenir prendre la rue Cartier et aller vers le métro», dit celui qui avoue être parmi les «piétons aventuriers». Résultat: plusieurs traversent ainsi les bretelles d’accès à 4 voies (point 3), là où il n’y a aucune installation assurant la sécurité des piétons. «La seule solution que la Ville a trouvée, à court terme, c’est qu’elle compte mettre une clôture (au point 3), mais les gens vont la traverser quand même. S’il y a autant de gens qui traversent à cet endroit, c’est peut-être qu’il y a un problème», note Mme Plante. Même les passages pour piétons (points 1 et 2) inquiètent la conseillère municipale, alors que la brigadière, les piétons, les poussettes et les cyclistes aguerris doivent se partager le petit espace asphalté en attendant la lumière verte. «Quand la lumière devient rouge, les voitures ne la voient pas tout de suite. La brigadière a peur pour sa vie. Elle me disait que quand la lumière change, elle ne s’engage pas tout de suite sur la voie», alerte la conseillère. La présence policière aux heures de pointe dans ce secteur, qui a pour but de calmer la vitesse des voitures et la fougue des piétons, n’aurait donc que peu d’impact, selon elle. «C’est un quartier sectionné, qui semble être rapiécé. Ce secteur, on l’appelle la cicatrice», déplore la conseillère. L’idée d’une passerelle pour recréer un lien entre le parc des Vétérans et le parc des Faubourgs, désenclaver la portion sud et la portion nord du secteur et corriger le problème de sécurité est ressortie des discussions des citoyens il y a maintenant quelques années. «Ça avait été nommé par plusieurs résidants, ça revient souvent dans les consultations publiques où les gens ont l’impression que la situation actuellement est plus un irritant qu’un avantage», indique Antonin Labossière. «Dès que je suis entrée en mandat, et même avant, on me parlait de cet endroit et l’idée de la passerelle m’a été suggérée à quelques reprises», ajoute Mme Plante. Après une demande de la conseillère Plante, la firme d’architectes Rayside Labossière, qui s’implique au sein de plusieurs tables de quartier, lui est revenue à l’automne avec ce plan proposant leur idée de cette passerelle (voir photo). Avec ces plans en main, Mme Plante espère maintenant que la proposition fasse son bout de chemin. Et même si une telle structure pourrait être dispendieuse, elle estime que la Ville a des «marges de manœuvre, avec ses surplus budgétaires» et qu’une telle idée «qui allie vie montréalaise, sécurité et projet d’envergure» en vaut la réflexion. Une structure «grandiose» Et tant qu’à y construire une structure pour améliorer la sécurité du quadrilatère, tous s’entendent pour dire qu’il faut miser gros sur la beauté de l’objet. «Il y a moyen de faire une passerelle et que ça ne ressemble pas à une passerelle laide et moche que personne ne va monter; faire quelque chose de super beau qui devient presque un symbole d’entrée de Montréal», fait valoir l’architecte Antonin Labossière. «Il faut quelque chose de grandiose qui marque les automobilistes qui entrent dans la Ville par le pont, poursuit la conseillère Valérie Plante. Et pour les piétons, c’est aussi une façon de se réapproprier notre vue sur le pont Jacques-Cartier qu’on ne voit que très peu», ajoute-t-elle, espérant que la passerelle devienne également un endroit où les citoyens pourront flâner. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802109/une-idee-de-passerelle-grandiose-a-lentree-du-pont-jacques-cartier/#
  5. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  6. Nouveau resto qui va ouvrir dans l'ancien local de L'Aventure dans la Place Jacques-Cartier http://montreal.eater.com/2014/12/5/7341641/first-look-harlow-game-changer-restaurant-place-jacques-cartier-old-montreal#4353296 sent via Tapatalk
  7. http://www.cvp2.org/ HYDRO-AÉROPORT MONTRÉAL CENTRE-VILLE Montréal découverte - Durée 20 min* Montréal intimiste Pont Jacques-Cartier Parc Olympique Centre-Ville - Circuit intérieur Vieux-Port Parc Jean-Drapeau TARIF : 139$/adulte - 99$/enfant Montréal panoramique - Durée 25 min* Montréal - Circuit préféré des passagers ! Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Vieux-Port Centre-Ville - circuit intérieur + circuit extérieur Parc Jean-Drapeau Mont-Royal - Oratoire Saint-Joseph ​ TARIF : 179$/adulte - 139$/enfant Montréal romantique - Durée 25 min* Montréal au coucher du soleil Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Centre-Ville - circuit intérieur + circuit extérieur Parc Jean-Drapeau Biosphère Mont-Royal - Oratoire Saint-Joseph ​ TARIF : 199$/adulte - 2 couples à bord Entre ciel et fleuve - Durée 45 min* Le Saint-Laurent Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Iles de Boucherville Ile Ronde Centre-Ville - Circuit intérieur Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 299$/adulte - 219$/enfant Laurentides côté nature - Durée 90 min* Laurentides - Mont-Tremblant - Lacs et forêts Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Laval - Rivière des Mille-Iles Saint-Sauveur - Sainte-Agathe-des-Monts Mont-Tremblant Centre-Ville - Circuit intérieur - Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 499$/adulte - 399$/enfant * Conditions particulières Opérations tous les jours du 1er mai au 31 octobre, de 9h à 17h Frais aéroportuaires en sus : 10$ / personne Surcharge carburant en sus : 5$ / personne Supplément journée Feux d'artifices : 15$ / personne - Supplément Grand Prix de Formule 1 : 25$ / personne Frais de réservation : 7$ / dossier La durée du vol est donnée approximativement et peut varier en fonction des conditions météorologiques et/ou du trafic aérien Prix par personne taxes gouvernementales incluses Le tarif enfant s'applique aux enfants de 11 ans et moins Minimum 4 passagers - maximum 6 passagers à bord par vol - Privatisation sur demande Les tarifs et la programmation des vols sont sujets à changement sans préavis Se présenter 30 mn avant pour les formalités Conditions de vente Cap sur la Mauricie - Durée 90 min* Mauricie - Sacacomie - Lacs et forêts Pont Jacques-Cartier -Parc Olympique Rivière des Mille-Iles Saint-Alexis-des-Monts Lac Saint-Pierre Centre-Ville - Circuit intérieur - Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 499$/adulte - 399$/enfant Montérégie historique - Durée 45 min* Montérégie - Vignobles - Citadelle et fort Pont Jacques-Cartier - Parc Olympique Mont Saint-Bruno Rivière Richelieu Bassin de Chambly - Chambly - Lac Saint-Louis Centre-Ville - Circuit intérieur - Parc Jean-Drapeau ​ TARIF : 299$/adulte - 219$/enfant Vols panoramiques Services Aériens
  8. 1912 1911 1911 1910 1911 1913 La réception ducale à Montréal : Les décorations : 1) L'édifice de La Presse ; 2) Arc de triomphe McGill ; 3) Arc des citoyens, angle Peel et Sherbrooke ; 4) Arc, angle Windsor et Dorchester ; 5) Arc, angle St-Denis et Sherbrooke ; 6) Vue de la rue St-Jacques ; 7) Rue Windsor, près Ste-Catherine ; 8) Arc, place Jacques-Cartier ; 9) La gare Windsor ; 10) Rue Sherbrooke, près St-Laurent
  9. http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/363843/epelle-moi-une-ville En 26 lettres, l’exposition ABC : MTL brosse un portrait multiforme de la métropole québécoise à partir de propositions d’artistes et du public Isabelle Paré 13 novembre 2012 Arts visuels Photo : Collection CCA. Don de La fondation Sandra et Leo Kolber. © Olivo Barbieri Né d’un vaste coup de sonde lancé au public en juin dernier par le CCA, ABC : MTL est en perpétuel mouvement, les propositions devant être remplacées périodiquement par de nouvelles d’ici mars 2013. Ici, Le parc d’amusement de La Ronde et le pont Jacques-Cartier, Montréal, 2004, une photographie d’Olivo Barbieri. À RETENIR MTL : ABC, un autoportrait de Montréal Au Centre canadien d’architecture, du 13 novembre 2012 au 31 mars 2013 Un autoportrait de Montréal en 26 lettres ? Cela donne Montréal qui rime avec culte, citoyen, ruelle, soccer et… urgence. ABC : MTL n’est pas une exposition, mais bien une conversation en 3D, une machine à penser la ville imaginée et lancée mercredi par le Centre canadien d’architecture (CCA). Abécédaire échevelé né d’un appel de projets lancé aux artistes et au public, l’exercice accouche d’un portrait-robot de la ville aux cent clochers, à mille lieues des idées reçues et des trappes à touristes. « L’idée n’était pas de faire une exposition, mais d’inventer une façon d’investir l’imaginaire de la ville contemporaine. Ce sont des voix, des conversations sur des moments quotidiens, qui sont appelés à changer au fil des mois », a expliqué hier Mirko Zardini, directeur et conservateur en chef du CCA, pour expliquer la teneur de ABC : MTL, un projet inédit dans le paysage muséal. Oubliez les incontournables icônes, lieux symboliques et autres marqueurs du paysage de l’ancien Hochelaga, l’autoportrait de la ville tracé par ces voix plurielles venues d’ici et d’ailleurs est complètement inopiné. Montréal s’y dévoile en un puzzle d’impressions urbaines, une mosaïque collective s’intéressant autant à l’environnement bâti, aux espaces délaissés, à la vie de ses habitants qu’à ses incongruités quotidiennes. Né d’un vaste coup de sonde lancé au public en juin dernier par le CCA, l’autoportrait urbain en 26 lettres est en perpétuel mouvement, les propositions devant être remplacées périodiquement par de nouvelles d’ici mars 2013. Le but : traduire par une idée le profil physique et social de la métropole et l’incarner dans une lettre. Carte blanche fut laissée aux participants sur les moyens de transposer l’essence de leur ville. Sur les 250 propositions reçues sous forme d’images, de clips, de textes, de performances, de poésies, de plans et plus encore, au moins le tiers est venu du grand public. Dix collaborateurs connus, dont Atelier Big City, Saucier + Perrotte Architectes, DHC/ART, Héritage Montréal, l’ONF et Fonderie Darling, se sont associés de près à cet exercice démocratique « in progress ». Montréal en toutes lettres Si le CCA a sélectionné les 26 premières idées de départ, là s’arrête le contrôle sur le contenu de cette image en mouvement qui a l’allure des forums sur Internet. L’exercice intuitif révèle, et révélera encore, des surprises. L’économie, l’industrie, la corruption sont absentes de cette photo de famille - et pourtant ! Mais de nouvelles idées viendront se greffer au profil de cette métropole dressé à chaud. À terme, 90 projets seront présentés en rotation. « En fait, le résultat est tout à fait cohérent avec le flou actuel qui règne à Montréal. La réponse obtenue du public distille cette impression d’une multitude de visions sans liens entre elles, sans consensus », explique le directeur du CCA. De A à Z Voici en quelques lettres, quelques extraits de cet abécédaire populaire, construit tant par les Montréalais que par le regard de visiteurs de passage. Nicolas Baier, Réminiscence, 2011 DHC/ART, Fondation pour l’art contemporain E comme dans Exil. Avec 30 % d’immigrants, Montréal est devenu une terre d’asile. Cette réalité transpire d’Histoires de vie, un projet vidéo de l’Université Concordia, qui s’immisce dans la vie de quatre Montréalais forcés de quitter leurs pays d’origine en raison de la guerre ou de violation de leurs droits. C comme dans Citoyen. Les policiers casqués ont marqué l’imaginaire des derniers mois. Iconoclaste, la photographe Emmanuelle Léonard campe les policiers de l’anti-émeute de façon humaniste, déboulonnant l’agressivité associée à leur image. L’anti-matricule 728. I comme dans Independent. Montréal est devenue la capitale de la musique Indie, avec l’émergence des Arcade Fire, Grimes, Miracle Fortress, The Dears, Bran Van 3000 et autres icônes de la scène musicale indépendante. Des vidéos de ces divers groupes sont diffusées chaque soir à 17 h au CCA. I comme dans Island. Montagne d’ambitions, tonnes d’inertie. La photo de Gabor Szilasi du slogan « La fierté à une ville », opposé à la zone délaissée sous le pont Jacques-Cartier, est un rappel cinglant de l’immobilisme qui continue de sévir à Montréal. Prise il y a près de 30 ans, cette vue du pont Jacques-Cartier depuis la rue Notre-Dame est en tout point identique à ce que l’on y retrouve aujourd’hui. Gabor Szilasi, Série d’enseignes lumineuses, La Fierté a une ville, Montréal. 1983. CCA Collection. ©Gabor Szilazi M comme dans Montroyalite. Le photographe Robert Burley a saisi avec son objectif une trace de l’unicité géologique de Montréal. Montagne surgie dans la plaine, le mont Royal est formé d’une roche ignée unique appelée la montroyalite. Robert Burley, Roche dans les bois, Mont Royal, 1990. Collection CCA. ©Robert Burley P comme dans Partition. Le collectif Audiotopie présente une partition faite à partir de bruits ambiants recueillis dans les couloirs souterrains de Montréal. L’expérience immersive nous entraîne de la station de métro Square-Victoria à la station Place-d’Armes. Parcours Reso-électro - L'Audiotopie (extrait mp3) S comme dans Soccer. Sport fédérateur entre tous à Montréal, le soccer donnera vie au Complexe de soccer à Saint-Michel. Le projet de Saucier + Perrotte redonnera en sus vie à l’ancien dépotoir Miron, pour en faire un des plus grands parcs de la ville. Mais l’alphabet ne s’arrête pas là. À ce portrait en toutes lettres s’ajoutent conférences et discussions au CCA avec les auteurs de ces vignettes montréalaises. D’autres lettres, et des capitales, viendront s’ajouter en décembre, janvier et février à cette série. Dont C pour Concrete, une sculpture de béton, formée de fragments de bitume récemment tombés de diverses infrastructures montréalaises… Ouille.
  10. Le Chemin de Chambly en chantier! Cette rue importante se prépare a recevoir sa toute première piste cyclable entre Vauquelin et le boul. Jacques-Cartier. Les voies véhiculaires seront rétrécies (de 4.1m à 3.4m en moyenne) pour permettre l'implantation de la piste de 3m. Les trottoirs seront élargis à 1.5m également. L'ouverture est prévue cet automne!
  11. Pont Jacques-cartier - Les cyclistes devront s'armer de patience Le Devoir Marco Bélair-Cirino Édition du mercredi 29 juillet 2009 Mots clés : Cyclisme, Jacques-Cartier, Réparation, Construction, Transport, Montréal, Québec (province) La voie sera réaménagée, mais la Société des ponts refuse de dévoiler ses plans D'ici à ce que la piste soit réaménagée, les cyclistes devront parcourir près d'un demi-kilomètre à pied, à défaut de quoi, ils s'exposeront à des constats d'infraction de 37 $. Photo: Jacques Nadeau Les centaines de cyclistes qui empruntent chaque jour le pont Jacques-Cartier devront s'armer de patience: l'étroite piste cyclable qui relie Longueuil au tablier du pont sera refaite en 2010. C'est du moins ce que promet la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain inc. Mais, d'ici à ce que la piste soit élargie et aplanie, les cyclistes seront sommés de descendre de leur bicyclette et de parcourir près d'un demi-kilomètre à pied. Sept années après avoir achevé la piste cyclable du tablier du pont Jacques-Cartier, un des deux seuls liens cyclables entre Montréal et la Rive-Sud, la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain inc. (SPJCCI) élargira et changera le tracé de l'accès des cyclistes au pont, à partir de Longueuil, d'ici à 15 mois, a appris Le Devoir. La Société prendra connaissance, dans quelques semaines, d'une étude qu'elle avait commandée au Groupe Séguin experts-conseils et privilégiera une option. Elle réalisera les plans et devis de la nouvelle piste cyclable cet automne. D'ici là, c'est «bouche cousue» à la Société, font savoir Vélo Québec et de nombreux cyclistes qui souhaitent obtenir les détails du projet de réfection de la piste cyclable, et ce, avant que les travaux soient lancés. Ils réclament plus de transparence de la part de la SPJCCI. «Il n'y a aucune façon de connaître les deux options étudiées par la Société des ponts. Il n'y a pas moyen d'en discuter. Il n'y a pas de consultation publique ou de présentation des projets. Les usagers, qui connaissent très bien le parcours, pourraient faire valoir leurs points de vue», fait savoir le Longueillois Michel Robichaud. «Une fois que nous aurons retenu une option et qu'on aura des plans et devis plus avancés, on va pouvoir annoncer plus précisément ce qui en est», répond le porte-parole de la SPJCCI, Jean-Vincent Lacroix. La Ville de Longueuil, elle, souhaite avant tout que la piste cyclable soit raccordée au boulevard La Fayette et à la rue Saint-Charles, donnant un accès plus rapide aux cyclistes à la place Charles-Lemoyne, où se trouve notamment la station de métro Longueuil-Université de Sherbrooke. L'appel a été entendu, confirme la Société. «On a reçu beaucoup de commentaires de la part des usagers par rapport à l'étroitesse de ce segment-là. C'est certain que l'objectif premier est de régler ça, explique Jean-Vincent Lacroix. Le processus est en cours.» La largeur de la piste cyclable du pont Jacques-Cartier rétrécit des deux tiers à quelque 400 mètres de l'intersection des boulevards La Fayette et Taschereau, à Longueuil. L'espace entre les deux clôtures où sont coincés les cyclistes passe de trois mètres à à peine un peu plus d'un mètre. La SPJCCI a réalisé, lors de l'installation du nouveau tablier du pont Jacques-Cartier en 2001 et 2002, «une très belle piste cyclable sur le pont, mais elle ne l'a pas complétée», fait remarquer le porte-parole de Vélo Québec, Patrick Howe. «On demande aux gens de descendre de leur vélo [lorsque la piste cyclable se rétrécit et que la pente devient abrupte] parce que, quand les cyclistes se rencontraient, les poignées de leur guidon prenaient dans les clôtures, situées de part et d'autre de la piste, et les cyclistes chutaient», explique l'agent Ronald McInnis, de la Sûreté du Québec. À défaut de quoi, les cyclistes s'exposent à des constats d'infraction de 37 $. Les cyclistes les plus téméraires qui font fi du règlement et filent à toute allure vers Longueuil doivent prendre garde à ne pas terminer leur course dans d'immenses blocs de béton placés sur la piste tout près de l'intersection des boulevards La Fayette et Taschereau. «Le dénivelé est important. Quand on monte la pente en danseuse, on peut croiser un cycliste qui la dévale à 40 km/h. Là, les accrochages peuvent être assez douloureux», affirme Patrick Howe. Près de 30 accidents mettant en cause des cyclistes ou des piétons sont survenus sur le pont Jacques-Cartier depuis 2006, a relevé la Sûreté du Québec. Aux patrouilleurs en auto et à moto se sont ajoutés des policiers à vélo l'année dernière. «Il y a eu un festival de contraventions. Ça rajoute à l'absurde de la situation, le fait de donner des contraventions à des cyclistes qui ne veulent pas marcher à côté de leur vélo pendant un demi-kilomètre, dit M. Howe. Le problème n'était pas que les cyclistes ne descendent pas de leur vélo, mais qu'on n'ait pas continué la piste cyclable.» Une «avalanche de plaintes» a déferlé jusqu'à la SPJCCI et à la Sûreté du Québec, fait remarquer Patrick Howe, de Vélo Québec. Les coûts des travaux seront assumés à la fois par la SPJCCI et par la Ville de Longueuil, qui se partagent, avec le ministère des Transports du Québec, le tronçon de 400 mètres jugé «dangereux» par la plupart de ses usagers. Quelque 1200 piétons et cyclistes ont emprunté quotidiennement, du lundi au vendredi, le pont Jacques-Cartier en 2007. http://www.ledevoir.com/2009/07/29/260781.html
  12. OK, je ne suis pas le gars le plus au courant des projets en ville puisque je ne suis pas dans le domaine du tout mais je voulais lancer un appel à tous pour connaitres vos idées de constructions possible alentour du pont Jacques-Cartier.
  13. Québec octroie près de 6 millions de dollars pour les parcs de la région. Le parc national de la Jacques-Cartier reçoit 2,3 millions dédiés à la modernisation des infrastructures. Pour en lire plus...
  14. Un accès de moins au pont Jacques-Cartier Jeanne Corriveau Édition du vendredi 27 juin 2008 Mots clés : Rue Ontario, accès, Jacques-Cartier, Pont, Transport, Montréal Rue Ontario, Benoit Labonté songe à interdire les virages à droite et à gauche sur Papineau Les résidants de la rue Ontario se plaignent depuis des années de la congestion chronique sur leur artère à l'heure de pointe. Les résidants et commerçants de la rue Ontario veulent moins de voitures sur leur artère, mais les banlieusards risquent d'en faire les frais. En réduisant l'accès au pont Jacques-Cartier jusqu'à la mi-octobre, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, a trouvé un nouveau motif de conflit avec l'administration de Gérald Tremblay. Hier après-midi, rue Ontario à l'angle de la rue Papineau, un petit groupe de citoyens et de commerçants tentaient d'expliquer pourquoi ils tiennent tant à la nouvelle mesure mise récemment en avant par l'arrondissement de Ville-Marie. Dans le cadre d'un projet-pilote, l'équipe du maire Benoit Labonté a décidé d'interdire le virage à gauche à cette intersection pour les automobilistes roulant dans la rue Ontario, en provenance de l'est. La mesure est entrée en vigueur il y a une semaine, au moment même où la rue Sainte-Catherine devenait piétonne. Toutefois, le bruit de la circulation est tel dans ce secteur que leurs propos sont parfois enterrés. «La rue Ontario est étroite et on se retrouve à chaque heure de pointe, surtout vers 15h, avec une circulation extrêmement dense, pare-chocs à pare-chocs, quasiment à partir de la rue Saint-Hubert jusqu'à Papineau», explique Jean Filippi, propriétaire du restaurant Le Petit Extra. La qualité de vie des résidants et l'accès commercial du secteur en pâtissent. La congestion est telle que même les taxis ne veulent plus venir chercher des clients à son établissement pendant l'heure de pointe, dit-il. Le projet-pilote, entériné en mars dernier par l'arrondissement de Ville-Marie, vise à inciter les automobilistes à opter pour un autre trajet afin d'accéder au pont Jacques-Cartier lorsqu'ils viennent de l'Est. L'arrondissement a également évoqué l'idée d'interdire, dans un avenir plus lointain, le virage à droite dans la rue Papineau pour les automobilistes provenant du centre-ville, comme le révélait Le Journal de Montréal, plus tôt cette semaine. L'idée sourit aux résidants et commerçants du secteur. Benoit Labonté souligne que la congestion routière dans ce quartier résidentiel est problématique et que les citoyens s'en plaignent depuis des années. Au terme du projet-pilote, l'arrondissement mesurera les effets de cette mesure sur la circulation et évaluera la possibilité de la rendre permanente. Une interdiction dans l'autre sens pourrait être adoptée, a-t-il confirmé mercredi. «On n'est pas rendus là, mais ce qui va motiver toute décision à cet égard sera la qualité de vie des résidants du secteur. C'est ce qui prime», a-t-il dit. Quant au sort des banlieusards, M. Labonté estime que ceux-ci disposent de bien d'autres accès pour se rendre sur le pont Jacques-Cartier, qu'il s'agisse du boulevard René-Lévesque, de la rue Saint-Antoine ou de la rue Sherbrooke. «Ce n'est pas une question de "pas dans ma cour", c'est une question de respect à l'égard des citoyens du quartier», a-t-il lancé. Plus tôt cette semaine, Gérald Tremblay s'en est pris à l'attitude de Benoit Labonté à l'égard des banlieusards. «La Ville de Montréal ne ciblera jamais les banlieusards. Ils viennent à Montréal, y travaillent et y investissent. Il faut donc les respecter», a-t-il déclaré. Membre de son équipe et conseiller dans Sainte-Marie-Saint-Jacques, Sammy Forcillo s'était opposé à la décision d'interdire le virage à gauche dans la rue Papineau et s'est plaint d'avoir été tenu dans l'ignorance au sujet de l'autre mesure envisagée par le maire Labonté et à laquelle il se dit également opposé. «On a un maire qui travaille tout seul à l'arrondissement, a-t-il commenté en accusant M. Labonté de vouloir se «faire un nom» en «fermant le Centre-Sud». Gérald Tremblay entend examiner le dossier de plus près, mais comme il s'agit d'une rue locale et que la circulation relève des compétences des arrondissements, il s'avérera fort difficile pour la ville centre d'intervenir. Benoit Labonté croit pour sa part que le maire Tremblay serait mal placé pour mettre des bâtons dans les roues de l'arrondissement et qu'il aurait avantage à écouter les résidants du secteur. «On ne peut pas tenir, d'un côté, un discours sur le plan de transport, le ralentissement de la circulation et l'amélioration de la qualité de l'air et, de l'autre, défaire des mesures qui vont en ce sens-là», a-t-il indiqué. À l'hôtel de ville de Longueuil, on demeure prudent. «Ça semble davantage au stade de discussions, mais c'est sûr que le maire de Longueuil ne sera pas content de voir la population pénalisée à son retour à la maison. On réagira en temps et lieu», a précisé Jean Rossignol, relationniste au cabinet du maire Claude Gladu. http://www.ledevoir.com/2008/06/27/195527.html (27/06/2008 7H02)
  15. le 14 octobre 2007 L’Ordre des architectes du Québec décerne un Prix d’excellence en architecture à Brière Gilbert + Associés Architectes ainsi qu’à la Coopérative d’habitation Au-Pied-du-Courant pour la réalisation de logements sous le tablier du pont Jacques-Cartier. L’Ordre des architectes du Québec procédait jeudi à la remise du trophée d’un Prix d’excellence en architecture dans la catégorie des projets résidentiels de type «ensemble d’habitations» aux architectes Brière, Gilbert + Associés ainsi qu’à la Coopérative d’habitation «Au-pied-du-courant» pour la réalisation des logements situés au 2000 rue Tansley à Montréal, sous le tablier du pont Jacques-Cartier. Membre du jury, l’architecte Isabelle La Fontaine, a justifié le choix de ce projet dans ces termes: «Malgré l’âpreté de sa situation géographique et le caractère ingrat du terrain, ce projet a su démontrer, par son architecture simple mais vivante, l’adéquation de l’expression à l’idée.» Le jury a tenu à souligner l’originalité et l’ingéniosité de ce projet tant dans sa réponse au milieu bâti environnant que par l’exploitation optimale des ressources offertes. «La cour, toute de verdure, devient le milieu de vie de ces familles réunies en coopérative. On assiste à la transition parfaite d’un lieu urbain triste et gris à un lieu collectif lumineux dans cette cour semi-ouverte créée par la morphologie du bâtiment en L. L’effort de revitalisation urbaine de cet ensemble d’habitations dans un contexte de ressources très limitées représente un intérêt indéniable. Un projet valeureux!», a déclaré le jury. Ce projet a été sélectionné parmi une centaine d’autres, toutes catégories confondues, par des experts réunis dans le cadre de la 24e édition des Prix d’excellence en architecture.
  16. La Presse Le mercredi 23 mai 2007 Sur leurs skates, ils ont investi l'espace urbain. Les bancs sont devenus des obstacles et ils se servent des escaliers comme de rampes. Au grand mécontentement de certains riverains et des policiers. L'inauguration, hier, d'un nouveau skatepark sous le pont Jacques-Cartier, à l'angle de l'avenue De Lorimier et du boulevard De Maisonneuve, pourrait changer la donne. Situé sur un terrain de 900 m², ce skatepark a bénéficié pour sa construction de l'aide financière du Programme de renouveau urbain. Au total, 461 068$ alloués à parts égales par le ministère des Affaires municipales et des Régions et la Ville de Montréal. Ce programme vise à «améliorer la qualité de vie des jeunes», explique Marie-Andrée Beaudoin, responsable du développement social et communautaire au comité exécutif de la Ville de Montréal. Les concepteurs de ce parc pour planches à roulettes ont tenté de reconstituer des éléments urbains: marches, murets, faux bancs, coulés directement dans le béton. Nul besoin de l'entretenir. Conseillés par des skaters professionnels, architectes et ingénieurs civils se sont efforcés de respecter les distances nécessaires pour bien skater. L'arrondissement a décidé de faire de ce skatepark un lieu d'expression artistique. Plusieurs artistes muralistes, tels que Monk.e, reconnu dans le milieu hip-hop, ont donc signé des fresques. En plus de colorer le béton, ils entendent démontrer que le graffiti est une forme d'art à reconnaître à part entière. Si ce nouveau skatepark représente une avancée pour les skaters montréalais, certains sont déçus. Martin Gagnon a travaillé comme consultant pour le cabinet d'architecture Atelier Big City. «J'ai essayé d'orienter les architectes dans une vision skateboard pour les aider à faire du mieux possible, explique-t-il. C'est bien qu'il y ait eu un investissement de la Ville, mais ce n'est pas à la hauteur de nos attentes.» Pour lui, ce n'est pas l'argent qui a manqué, mais les connaissances: il n'y a pas de designer qualifié au Québec. Pour Daniel Mathieu, éditeur d'Exposé, un magazine de skate, le skatepark du pont Jacques-Cartier est dangereux. Selon lui, les modules sont mal intégrés dans l'espace et il existe un risque de collision incroyable. Cependant, les jeunes planchistes viendront au moins l'essayer. Maxime Boivin, 18 ans, trouve ça «le fun de pratiquer dans de nouveaux endroits» et reconnaît qu'il y a «des modules pour tous les goûts». Mais rien ne l'empêchera de retourner skater dans la rue. «Si on skatait dans les skateparks sans jamais atteindre nos limites, on resterait dans les skatepark», conclut-il.
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