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  1. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/476392/immobilier-l-ontario-pourrait-taxer-les-achats-faits-par-des-etrangers Immobilier: l’Ontario pourrait taxer les achats faits par des étrangers 27 juillet 2016 |François Desjardins | Actualités économiques La Colombie-Britannique veut réduire la pression sur les prix de l’immobilier en taxant notamment les achats faits par des étrangers. L’Ontario, également aux prises avec une surchauffe immobilière, pourrait s’inspirer de la province de l’Ouest. La taxe sur les transactions immobilières bouclées par des étrangers en Colombie-Britannique pourrait un jour en inspirer d’autres à l’imposer, notamment l’Ontario, dont le ministre des Finances a reconnu mardi qu’il étudie de très près cette possibilité. Québec n’a pas envisagé cette avenue. Alors que les prix de l’immobilier du Grand Montréal ont augmenté de 1,9 % sur un an et de 9,3 % sur cinq ans, selon les données de l’industrie canadienne, la situation à Toronto et à Vancouver continue de préoccuper. Dans le premier cas, les prix ont bondi de 16 % et de 51 % sur les mêmes périodes. Dans le deuxième, les hausses sont de 32 % et de 50,5 %. À Vancouver, le prix moyen d’une maison unifamiliale est maintenant de 1,77 million, deux fois plus qu’à Toronto, selon les informations publiées il y a deux semaines par les chambres immobilières de ces villes. Pour tenter de contrôler la situation, qui complique grandement l’accessibilité à la propriété pour les premiers acheteurs, la Colombie-Britannique veut imposer aux étrangers une taxe de 15 % sur le prix d’achat d’une résidence dans la région de Vancouver. Cette mesure extrêmement ciblée s’ajoute à un resserrement général des règles dicté par Ottawa depuis quelques années. « Je salue ce que le ministre de Jong a mis en avant », a dit en conférence de presse le ministre des Finances de l’Ontario, Charles Sousa. « Nous étudions certainement toutes les options. » À Québec, ce genre de scénario n’a « pas été envisagé, considérant que nous ne sommes pas dans le même contexte », a indiqué au Devoir l’attachée de presse du ministre délégué aux Finances, Catherine Poulin. L’annonce faite par la Colombie-Britannique a suscité mardi beaucoup de réactions de la part d’analystes. Le geste pourrait avoir comme conséquence d’exercer une forte pression à la hausse sur les prix torontois, car les étrangers seront portés à regarder ailleurs que le marché de Vancouver, a estimé la Banque TD. « Compte tenu d’une part de marché des étrangers de 5 à 14 % [à Vancouver], notre modèle prévoit une baisse de 15 à 20 % du nombre de ventes au cours des trois prochains trimestres et d’une diminution de 5 % du prix moyen », ont écrit deux économistes de la TD, Michael Dolega et Diana Petramal, dans une note aux clients. Puisque la province surveille déjà de près les achats immobiliers faits par des étrangers, nous saurons d’ici le mois de septembre si la mesure fonctionne, a dit au Devoir John Andrew, professeur à l’Université Queen’s où il dirige la Real Estate Roundtable, qui réunit les acteurs de l’industrie pour échanger sur les pratiques immobilières. « Si vous êtes un investisseur de Hong Kong, verrez-vous le marché de Vancouver comme étant abordable, êtes-vous en train de sortir de l’argent de votre pays ? Qui sait quels sont les avantages fiscaux ? Qui sait d’où provient précisément l’argent ? se demande M. Andrew. Je crois que l’Ontario pourrait souhaiter faire la même chose, mais il n’y a pas tant d’activités étrangères à l’extérieur du créneau des condos. » Scénarios Mardi matin, l’organisme fédéral de surveillance de l’industrie financière a demandé à certaines institutions de simuler des chutes de prix de l’immobilier afin de mesurer leur résistance aux chocs. La demande ne vise pas les grandes banques, mais les autres institutions financières qui consentent des prêts hypothécaires. L’avis du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) les prie de simuler une descente de 50 % pour Vancouver, de 40 % pour Toronto et de 30 % pour le reste du pays, une exigence qui survient deux semaines après avoir insisté sur la prudence dans les prêts hypothécaires résidentiels. « La faiblesse persistante des taux d’intérêt, les taux records d’endettement des ménages et la hausse rapide du prix des logements dans certaines régions du pays (notamment dans les grandes régions de Vancouver et de Toronto) pourraient entraîner des pertes sur prêts considérables si les conditions économiques devaient se détériorer », a écrit le BSIF le 7 juillet. « Les institutions financières peuvent encourir des pertes découlant à la fois de la possibilité que les emprunteurs ne puissent rembourser leurs dettes et du déclin de la valeur des biens immobiliers résidentiels auxquels sont adossés les prêts hypothécaires », a ajouté le Bureau du surintendant.
  2. Commerce durable L'Alliance financière s'installe à Montréal Agence QMI Marc-André Boivin 27/03/2009 17h53 http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/03/20090327-175309.html C'est maintenant officiel, l'Alliance financière pour le commerce durable (AFCD) est établie à Montréal. L'organisation pourra ainsi bénéficier pleinement des réseaux métropolitains impliqués dans le développement durable, a justifié Jason Potts, président de l’Alliance lors de l’inauguration du secrétariat de l’organisme dans la métropole. Comptant parmi ses membres des prêteurs commerciaux, des institutions de crédit alternatives, des organisations de producteurs de petites et moyennes entreprises durables, des institutions de développement et d'autres acteurs de la chaîne d'approvisionnement agricole, l’AFCD a pour objectif d'offrir un meilleur accès au financement pour les petites et moyennes entreprises qui favorisent le développement durable. Pour ce faire, l'Alliance financière pour le commerce durable doit assurer une croissance continue de la production et du commerce durables en aidant les producteurs des pays en voie de développement à obtenir un financement commercial adapté à leurs besoins. «L’inauguration du secrétariat de l’AFCD dans une ville internationale du Canada représente une étape primordiale dans la croissance d’un secteur global de services financiers associés au développement durable. Notre établissement à Montréal annonce un avenir prometteur pour notre organisation qui pourra bénéficier pleinement des réseaux métropolitains impliqués dans le développement durable», a déclaré Jason Potts, président de l’AFCD par voie de communiqué. M. Potts estime qu'en assurant la liaison entre l'accès accru au financement ainsi qu'une production durable, son organisation va jouer un rôle primordial en faisant la promotion d'une nouvelle économie verte au Canada et ailleurs dans le monde. Le président n'a pas manqué de souligner l'appui reçu de la part de Montréal International. Les bureaux de l'Alliance financière pour le commerce durable sont situés au Centre de commerce mondial de Montréal, rue Saint-Jacques.
  3. Louis Vachon critique les dirigeants des autres banques qui ont renoncé à leurs bonis et reproche aux institutions étrangères d'avoir été à l'origine du fiasco du PCAA. Pour en lire plus...
  4. Option consommateurs met en garde les personnes détentrices de cartes de crédit contre les congés de paiement minimal offerts en janvier par des institutions financières. Pour en lire plus...
  5. La compagnie annonce qu'elle et une sous-filiale sont en défaut de paiement vis-à-vis de leurs institutions prêteuses. Pour en lire plus...
  6. Dix institutions créancières s'allient pour négocier l'échange d'obligations contre une entrée au capital du constructeur automobile. Pour en lire plus...
  7. Les épargnants et institutions financières du Canada voient peut-être le bout du tunnel dans la crise du papier commercial adossé à des actifs, grâce au feu vert pour sa restructuration. Pour en lire plus...
  8. Les principales institutions financières d'ici semblent à l'abri de pertes importantes qui découleraient de l'immense fraude de 50 milliards US des fonds spéculatifs Madoff, à New York. Pour en lire plus...
  9. Dans un discours du Trône axé sur l'économie, le gouvernement Harper n'écarte pas un déficit l'an prochain, et prévoit un soutien aux industries automobile et aérospatiale. Il envisage aussi de réformer certaines institutions de la fédération. Pour en lire plus...
  10. Ottawa boosts mortgage buyout by $50B Eoin Callan, Canwest News Service Published: Wednesday, November 12 TORONTO - After a sustained lobbying campaign by Bay Street executives that culminated in a breakfast meeting with senior government officials in Toronto Wednesday, Ottawa agreed to the most pressing demands of Canadian banks squeezed by the credit crisis. "We had asked for four things and we got all four," Don Drummond, a senior vice-president at TD Bank Financial Group, said after Ottawa unveiled co-ordinated measures to buy up to $75-billion worth of mortgages, facilitate access to capital markets, provide extra liquidity and loosen reserve requirements. Jim Flaherty, the Finance Minister, said the moves meant Canada was making good on a pledge he made during talks with his international counterparts to collectively bolster the banking system ahead of a summit on the financial crisis this weekend in Washington. The actions were a sign of the "commitment" of Ottawa to ensure the country's financial system remained strong, said Gerry McCaughey, chief executive of Canadian Imperial Bank of Commerce, which, along with TD, is thought to be among the main beneficiaries of new looser rules on minimum capital requirements. But executives who participated in the process cautioned state interventions to ease the credit crisis had proven to be more art than science, as the United States Wednesday ditched an earlier plan to buy up toxic assets at the same time Ottawa was expanding its own scheme to buy mortgage-backed securities by $50 billion. Executives said it remains to be seen if the interventions finalized at Wednesday morning's meeting would succeed in lowering the premium banks pay for medium-term financing, which is about five times higher than before the credit crisis. In a bid to ease funding pressures, executives persuaded the Conservatives to reduce to 1.1 per cent from 1.6 per cent the fee to be charged if banks invoke a special new government guarantee when they borrow money in international capital markets. Banks argued the previous higher rate had actually encouraged lenders to nudge up the premium they were charging banks at a time when other countries were offering more generous terms. The Finance Minister said he would resist new global initiatives that might put Canadian institutions at a competitive disadvantage during the weekend summit in Washington. But he said Ottawa's ability to influence the outcome was being undermined by the absence of a federal securities regulator in Canada, which is alone among major industrialized nations in not having national oversight of financial markets. "It is difficult for us to go abroad and say governments should get their house in order when there is a glaring omission at home," he said. Flaherty said a key objective of the moves announced Wednesday was addressing "concerns about the availability of credit" for business borrowers, adding that "the government stands ready to take whatever further actions are necessary to keep Canada's financial system strong among external risks." The Bank of Canada also said it would boost the availability of affordable credit in the banking system by $8 billion, using new rules that mean institutions can bid for cash using almost any form of collateral. Banks also welcomed a move late Tuesday by the Office of the Superintendent of Financial Institutions to allow them to top up their capital reserves with securities that are a hybrid of debt and equity. The regulator clarified Wednesday that a related measure on treatment of money lent by banks to other financial institutions under the government guarantee of interbank lending "would have the effect" of "increasing their regulatory capital ratios, all else being equal", but would "not count as regulatory capital." Bank analysts said the interventions were positive for Canadian banks, but warned they would be squeezed further in the coming months as the global economic slowdown hit home and losses on bad loans mount. Ian de Verteuil, an analyst at BMO Capital Markets, cited as an example how falling demand for coal could by next year jeopardize more than $10 billion in bank loans made to finance the acquisition by Teck Cominco of Fording Canadian Coal Trust. Royal Bank of Canada, Bank of Montreal and CIBC each have about $1 billion in exposures, while TD and Scotiabank each have $400 million of exposures to the deal, which the companies expect will be viable. But bank executives remained bullish Wednesday, with TD chief executive Ed Clark saying he was still on the hunt for U.S. acquisitions.
  11. Le gouvernement fédéral devrait permettre aux institutions du pays de combattre au même niveau que leurs concurrentes étrangères, qui bénéficient d'un soutien de leurs gouvernements, estime le Mouvement Desjardins. Pour en lire plus...
  12. Le Canada plaidera en faveur d'une réglementation plus stricte des institutions financières ce week-end. Pour en lire plus...
  13. Pas moins de 1800 institutions financières cotées pourraient dans les semaines à venir se faire connaître pour bénéficier du plan américain de recapitalisation des banques sur fonds publics, affirme lundi le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  14. Le contexte de turbulences économiques mondiales devrait faire chuter la demande de ressources énergétiques, disent les institutions bancaires. Pour en lire plus...
  15. La Banque a notamment décidé de faire passer de 4 G$ à 10 G$ le montant des liquidités qu'elle mettra à la disposition des institutions bancaires admissibles. Pour en lire plus...
  16. Les grandes institutions financières canadiennes n'ont toutefois pas voulu faire profiter leurs clients d'une réduction aussi importante que celle d'un demi-point de pourcentage annoncée par la Banque du Canada. Pour en lire plus...
  17. Des banques américaines vont fermer en 2009 Presse Canadienne, 11:02 Nombre de banques américaines ne passeront probablement pas 2009, malgré le plan de sauvetage de 700 milliards de dollars américains du gouvernement fédéral, estiment plusieurs analystes. Fragilisée par les pertes colossales liées aux prêts hypothécaires à haut risque, les désormais fameux "subprimes", le secteur bancaire vit ses heures les plus difficiles depuis la crise des caisses d'épargne ("Savings and loans") au début des années 1990. A l'époque, plus de 800 institutions bénéficiant de la garantie de l'Etat fédéral sur les dépôts avaient fait faillite sur trois ans. L'assainissement avait duré dix ans et coûté entre 170 et 205 milliards $ US aux contribuables américains, en chiffres corrigés de l'inflation. Le plan Paulson de rachat des créances douteuses devrait sauver certaines institutions, mais les analystes doutent que cela suffise à éviter un grand chambardement. Un de ces analystes, Jaret Seiberg, de la firme Stanford Financial, s'attend à l'effondrement d'une centaine de banques aux Etats-Unis l'an prochain. Cependant les faillites devraient être beaucoup moins nombreuses qu'à la fin des années 80 et au début des années 90, le coût n'en sera pas nécessairement moindre puisque les établissements sont bien plus gros qu'il y a 20 ans, en vertu de lois adoptées dans les années 1990. La facture s'annonce salée pour le Federal Deposit Insurance Corp. (FDIC), le fonds fédéral qui garantit les dépôts dans les banques et caisses d'épargne à hauteur de 250 000 $ US par compte. Avant le plan de sauvetage, ce plafond était fixé à 100 000 $ US. En se fondant sur les statistiques remontant à la crise des caisses d'épargne, Joseph Mason, économiste ayant travaillé pour le Trésor américain dans les années 1990 et aujourd'hui professeur de finances à l'Université d'Etat de Louisiane, estime que la crise actuelle devrait porter sur un total de 1100 milliards $ US de dépôts, et que l'assainissement devrait cette fois coûter entre 140 et 200 milliards $ US au FDIC. Dans les neuf premiers mois de l'année, 13 banques et caisses d'épargne ont fait appel au fonds fédéral, soit plus que durant les cinq dernières années. Au 30 juin, 117 établissements figuraient sur sa liste noire, soit environ un pour cent seulement des près de 8500 institutions assurées. En 1991, environ 10 pour cent du secteur était inscrit sur la liste du FDIC: on peut donc se demander si le Fonds ne sous-estime pas l'ampleur du problème actuel. On note ainsi que les avoirs des 117 établissements jugés à risque s'élèvent à un total de 78 milliards $ US, alors que ceux de deux institutions en péril, la Washington Mutual Bank (WaMu) et Wachovia, représentent à eux seuls plus de 1000 milliards $ US. Les perspectives semblent encore plus sombres si l'on en croit les projections de l'agence Bauer Financial, qui s'appuie sur 25 ans de documents du FDIC pour conclure que 426 banques et caisses d'épargne garanties, soit environ 5 pour cent du total, sont confrontées à des problèmes majeurs. Les banques les plus menacées sont concentrées en Californie, en Floride, en Georgie, dans l'Illinois et le Minnesota. Mais James Barth, chef économiste de l'agence de régulation du secteur de l'épargne dans les années 1980, juge la situation moins inquiétante qu'à l'époque. Les plus optimistes pour l'avenir sont assurément les grandes banques en bonne santé comme JP Morgan, Citigroup ou Bank of America, qui en profitent pour dévorer des concurrents en difficulté. Quant aux petits établissements aux comptes relativement sains comme la Clifton Savings Bank, dans le New Jersey, ils espèrent récupérer des clients attirés par une gestion de leur argent "à l'ancienne", moins risquée.
  18. Le plan de sauvetage des institutions financières américaines, fébrilement attendu par les marchés du monde entier, sera mis au vote mercredi avec quelques amendements. Pour en lire plus...
  19. Un sondage indique que 41% des détaillants disent avoir de plus de difficulté à obtenir du crédit, les institutions de prêts ayant considérablement resserré leurs critères pour obtenir un emprunt. Pour en lire plus...
  20. Malgré la nervosité, les consommateurs financiers du Québec évitent encore les réactions trop vives à la crise financière sans précédent aux États-Unis, assure-t-on chez les principales institutions. Pour en lire plus...
  21. Les institutions financières canadiennes tireront profit des déboires des banques d'affaires américaines, dont le modèle est déficient, selon le PDG de la Banque Nationale. Pour en lire plus...
  22. Des institutions financières canadiennes examinent les occasions d'affaires liées à la crise du secteur financier aux États-Unis, alors que certaines pourraient même bénéficier du plan de redressement de 700 G$. Pour en lire plus...
  23. New York et Toronto ont ouvert en légère baisse lundi, à l'image de leurs pendants européens, après que Washington eut annoncé un plan de sauvetage de 700 milliards à l'intention des institutions financières. Pour en lire plus...
  24. Les équipes anglaises commanditées par des institutions financières en difficulté risquent de perdre un support important. Pour en lire plus...
  25. L'administration Bush soumet au Congrès un plan de soutien aux institutions financières. Le coeur de ce plan, soit le rachat d'actifs invendables depuis l'éclatement de la bulle immobilière, coûterait aux contribuables 500 milliards $US. Pour en lire plus...
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