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4 résultats trouvés

  1. Voici un site très utile pour ceux qui cherchent un restaurant propre : Resto-Net: Inspections sanitaires des établissements alimentaires montréalais http://resto-net.ca/fr
  2. Les autorités réglementaires américaines ne se sont jamais penchées sur les activités de Bernard Madoff en matière de conseils de placements. Pour en lire plus...
  3. A, B ou C? Photo Pénélope Fortier Nicolas Berubé La Presse Los Angeles C'est un détail qui pique la curiosité: à Los Angeles, tous les restaurants affichent dans leur vitrine un certificat arborant une grosse lettre bien visible. En se promenant en ville, on voit beaucoup de «A», mais aussi des «B» et quelques «C». Pas de «D», par contre. Quand un restaurant obtient un «D», il est aussitôt fermé par les services sanitaires du comté. La «cote» affichée est le résultat des inspections de salubrité. Le système a vu le jour il y a 10 ans, faisant de L.A. la première grande ville aux États-Unis à implanter une telle procédure pour informer les clients. Selon le département de santé publique, cette mesure a eu un effet positif sur la propreté des cuisines et le respect des règles d'hygiène. Durant les six premiers mois de son application, 39,9% des établissements ont obtenu la cote «A». Dix ans plus tard, 82,5% ont une note parfaite, souligne le directeur du programme du comté de Los Angeles, Jonathan Fielding. «Le programme a eu pour effet de réduire le nombre d'hospitalisations à la suite d'un empoisonnement alimentaire. Une étude indépendante a noté une réduction de 20% du nombre des visites à l'hôpital à cause des problèmes liés à la nourriture dans les restaurants. Un phénomène qui ne s'est pas produit dans les autres comtés», précise-t-il. Pour John Carnova, propriétaire d'un café dans le quartier Venice, le système de notation des restaurants est une bonne chose. «Ça donne de l'information aux gens. Ils peuvent savoir en un coup d'oeil si le restaurateur est sérieux, ou s'il ne fait pas attention à la propreté. Moi, je n'ai rien contre ça.» Les inspecteurs sont devenus beaucoup plus méticuleux, a expliqué récemment Andrew Casana, porte-parole de l'Association des restaurateurs californiens qui compte 33 000 membres. «C'est un système avantageux pour tout le monde. Avant les lettres, les inspections étaient simples et rapides. Depuis 10 ans, la feuille d'inspection est passée d'une demi-page à quatre. Les inspecteurs regardent tout.» Mais le système provoque aussi des grincements de dents. Un jeune propriétaire d'un restaurant à Santa Monica, qui veut garder l'anonymat, trouve ridicule d'avoir à afficher une lettre dans sa vitrine. Il a pourtant obtenu un «A» à la dernière inspection. «On est quoi, nous? Des enfants de maternelle? C'est encore un exemple du gouvernement qui essaie de montrer son autorité et d'infantiliser les commerçants.» Les inspections en cuisine, dit-il, sont une excellente chose. Un restaurant qui ne convient pas aux normes doit faire des changements, écoper d'une amende, ou bien perdre sa licence. «Mais de mettre une lettre dans la vitrine, c'est ridicule et ça n'aide personne. Selon moi, un restaurant doit être sécuritaire pour les clients, ou sinon fermé. Je ne comprends pas l'idée d'afficher une note comme si nous étions des enfants d'école.» C'est une série de reportages-chocs réalisés dans des cuisines de restaurants avec des caméras cachées qui a poussé les autorités à mettre en place ce système de cotation, en 1997. On y voyait des employés qui fumaient en préparant les aliments, et d'autres abus du même genre. Le département de santé publique du comté a été accusé de laxisme: la plupart des restos filmés dans le reportage avaient obtenu de bonnes notes lors des inspections précédentes. Aujourd'hui, l'une des conséquences du système est de susciter la discussion. L'an dernier, quand le très couru restaurant Axe, à Venice, est passé de la cote «A» à la cote «B», tout le quartier était au courant le jour même. Le resto avait, semble-t-il, perdu des points à cause de la présence de fissures dans ses murs et d'un lavabo mal nettoyé... Une semaine plus tard, le restaurant a retrouvé son «A» et les racontars ont cessé. http://www.cyberpresse.ca/article/20080405/CPACTUEL/804051171/6685/CPACTUEL Pourquoi pas à Montréal???
  4. La Presse Canadienne 27/11/2007 La Ville de Montréal a présenté son plan d'action concernant la salubrité des logements. Cosmo Maciocia, responsable de l'habitation au comité exécutif, a indiqué que les propriétaires visés par cette opération ont intérêt à procéder aux travaux requis sans délai, car l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements sera faite de façon rigoureuse. Une équipe de huit personnes a été mise sur pied et elle verra à mener des inspections d'immeubles réputés insalubres et de veiller au suivi des constats d'infraction. L'équipe est déjà passée à l'action. Elle a réalisé ses premières inspections dans 200 logements situés dans les arrondissements de Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension et de Saint-Léonard. Son objectif est d'inspecter 3000 logements d'ici la fin de 2008, dans divers arrondissements. Si le propriétaire intimé refuse d'apporter les correctifs, le Règlement donne le pouvoir d'exécuter des travaux de remise en état des logements à sa place, à ses frais. Le plan d'action s'appuie sur un budget de 3 millions $ sur trois ans. Pour sa part, le regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) invite les arrondissements et la ministre québécoise des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, à emboîter le pas. André Trépanier, responsable du regroupement, a déclaré qu'en étant libérés des cas lourds, les arrondissements n'ont plus d'excuse pour assumer leurs responsabilités dans l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements.
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