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  1. Bâtiment dans Angus, sur la rue Molson. http://binged.it/VZFcWS Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. SIÈGE SOCIAL DE L’ORDRE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS DU QUÉBEC (OIIQ) Montréal, Canada
  2. La pénurie de personnel en santé va s'aggraver Robert Dutrisac Édition du samedi 19 et du dimanche 20 juillet 2008 Québec -- L'entente sur la mobilité de la main-d'oeuvre, que vient de conclure le Conseil de la fédération, aggravera grandement les pénuries de personnel dans les réseaux de santé des provinces les moins bien nanties, dont le Québec, préviennent les fédérations d'infirmières. [an error occurred while processing this directive] En marge d'un colloque sur la privatisation et la viabilité des réseaux de la santé, les représentantes de la Fédération canadienne des syndicats d'infirmières et infirmiers (FCSII) et de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) ne se sont aucunement réjouies de cette reconnaissance des compétences d'une province à l'autre, une entente qui doit entrer en vigueur le 1er avril 2009. «Les premiers ministres sont totalement déconnectés», a lancé la présidente de la FCSII, Linda Silas. La présidente de la FIQ, Lina Bonamie, craint que la pleine mobilité des infirmières, qui pourront sans entraves travailler dans n'importe quelle province, ait pour conséquence de «déshabiller Pierre pour habiller Paul». Toutes les provinces sont aux prises avec des pénuries d'infirmières; pour l'ensemble du Canada, il manque 20 000 infirmières, soit un peu moins de 10 % des effectifs totaux. Au Québec, il en manque 1500 sur un total de 70 000 infirmières. En raison des départs à la retraite, cette situation empirera au cours des prochaines années. Or les provinces les moins bien nanties perdent déjà des infirmières qui s'en vont travailler dans des provinces qui sont en mesure de mieux les payer. «Le Québec est la province où les infirmières sont les moins bien payées», a rappelé Mme Bonamie. Il existe déjà un mouvement d'exode des infirmières des provinces de l'Est du Canada, dont le Québec, vers les provinces plus à l'ouest, soit l'Ontario, l'Alberta et la Colombie-Britannique. L'écart de salaire entre une infirmière québécoise et une infirmière ontarienne peut atteindre 10 000 $ et même 12 000 $, a soutenu Mme Bonamie. En Alberta, une infirmière peut obtenir de 15 000 $ à 20 000 $ de plus qu'au Québec. À l'heure actuelle, la région de Gatineau est aux prises avec des pénuries de personnel dans le réseau de la santé plus importantes encore que dans les autres régions du Québec. Beaucoup de finissantes en soins infirmiers de la région passent l'examen de l'Ontario, réputé plus facile que celui du Québec, a souligné Mme Bonamie. «L'Alberta, ça va devenir un très grand concurrent pour le Québec», a prédit la chef syndicale. Les provinces ont mis sur pied des programmes pour tenter de retenir leurs infirmières. Le Québec ne fait pas exception: pas plus tard qu'en juin dernier, l'ex-ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, annonçait un débours de 80 millions pour améliorer les conditions de travail des infirmières. Un statut particulier, assorti de primes, avait aussi été accordé à la région de l'Outaouais. Avec cette nouvelle mobilité, «les sommes qu'on investit pour la rétention du personnel au Québec, c'est un coup d'épée dans l'eau», estime Mme Bonamie. Le premier ministre Jean Charest s'est étonné, hier, de la position des infirmières. À ses yeux, elles devraient voir dans la mobilité promise un moyen d'améliorer leurs conditions de travail. «Ça crée un environnement où il y aura un incitatif pour les gouvernements à créer les meilleures conditions de travail possibles pour ceux qui sont dans le réseau de la santé», a-t-il fait valoir. Des provinces divisées Au terme de la réunion annuelle du Conseil de la fédération, les provinces sont apparues aussi divisées au sujet des changements climatiques qu'avant la rencontre. Le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Rodney MacDonald, a d'entrée de jeu voulu exprimer son désaccord relativement au système de plafonnement et d'échange de droits d'émission de gaz à effet de serre (GES), tel que préconisé par quatre provinces, soit la Colombie-Britannique, le Manitoba, l'Ontario et le Québec. Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, est allé dans le même sens que son homologue de la Nouvelle-Écosse, en vantant les efforts que fait sa province en matière de technologie, notamment le captage des GES dans le bouclier canadien et la combustion du charbon dite propre, un objectif technique qui est cependant loin d'être réalisé. Ed Stelmach, le premier ministre de l'Alberta, la province des sables bitumineux qui projette d'augmenter ses émissions de GES de 45 % d'ici 2020, avait pris la poudre d'escampette et a manqué la conférence de presse de clôture. De son côté, l'Ontario a profité de l'occasion pour annoncer qu'il avait joint la Western Climate Initiative (WCI). Cet organisme, qui a été fondé en 2007 par cinq États américains -- l'Arizona, la Californie, le Nouveau-Mexique, l'Oregon et l'État de Washington --, se propose de concevoir un marché du carbone dans le but de réduire les émissions de GES. Depuis, le Montana et l'Utah ont joint la WCI, ainsi que trois provinces canadiennes, la Colombie-Britannique, le Manitoba et le Québec. Jean Charest s'est réjoui que l'Ontario joigne la WCI. Il a fait le rapprochement entre l'enjeu des changements climatiques et celui des pluies acides, réglé par un sommet qui avait réuni Ronald Reagan et Brian Mulroney en 1985. Les États-Unis avaient commencé par nier les évidences scientifiques pour ensuite les admettre et accepter des mesures pour réduire les émissions polluantes. «On est en train de rejouer exactement le même film avec les États-Unis», estime M. Charest. Dans le résumé que Jean Charest, à titre de président du Conseil de la fédération cette année, a fait des discussions qu'ont eues les premiers ministres, figurait une demande pressante pour que le gouvernement fédéral renouvelle son programme de logement social. Il a aussi exigé qu'Ottawa se montre très vigilant à l'endroit de l'ALENA, que les Américains pourraient remettre en question si un président démocrate était élu. En matinée, les premiers ministres ont rencontré le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney, qui les a rassurés sur l'état de l'économie canadienne dont la performance est bien meilleure que celle de l'économie américaine, a noté M. Charest. La prochaine réunion annuelle du Conseil de la fédération aura lieu au début d'août 2009 à Regina, en Saskatchewan, alors que le premier ministre de cette province assumera la présidence de l'organisme. http://www.ledevoir.com/2008/07/19/198444.html
  3. Une compagnie américaine débauche des infirmières québécoises Les infirmières Mélanie, Marie et Lyhn devant l'hôtel Ritz-Carlton, où des représentans américains leur ont vanté les avantages de travailler aux États-Unis. Photo André Tremblay, La Presse Catherine Handfield La Presse Alors que la pénurie d'infirmières est criante au Québec, une entreprise américaine recrute des diplômées québécoises depuis plusieurs mois en leur promettant de meilleures conditions de travail et un milieu où il fait bon vivre. Une cinquantaine d'infirmières décideraient de partir chaque année, a appris La Presse. Hier après-midi, des infirmières assistaient au quatrième séminaire d'information organisé par AmeriCANÀ Healthcare Solutions. L'entreprise du New Jersey recrute ici depuis mars 2006 pour combler le manque de personnel dans les hôpitaux des États-Unis. Plus d'une trentaines d'intéressées, ainsi que quelques hommes, ont écouté les conseils dans une salle de réception du chic hôtel Ritz-Carlton, rue Sherbrooke Ouest, à Montréal. Pat Chibbaro, infirmière new-yorkaise et consultante pour l'entreprise, y vantait les mérites de l'immigration chez nos voisins du Sud. «Il y a tellement de bonnes raisons d'aller travailler aux États-Unis», a-t-elle indiqué à plusieurs reprises. Elle a insisté surtout sur la possibilité de se spécialiser, sur la flexibilité des horaires, le respect de la profession et, bien sûr, le salaire avantageux. À leur arrivée, les candidates recevaient un porte-monnaie en cuir et une pochette d'information sur les avantages financiers de l'immigration aux États-Unis. Alors que le salaire annuel d'une infirmière varie entre 37 600$ et 56 000$ au Québec, il oscille entre 62 000$US et 74 000$US en Californie, par exemple. «Au Québec, c'est le syndrome du burnout, a dit à l'assistance le président d'AmeriCANÀ Healthcare Solutions, Jacob Safran. Les infirmières travaillent trop et sont sous-payées.» Mélanie Tremblay, qui vient tout juste d'être embauchée à l'Hôpital juif de Montréal, souriait pendant la présentation. Elle rêve depuis longtemps de travailler à New York, et la rémunération pèse aussi dans la balance. «Je me suis endettée pour faire mes études et, au Québec, le salaire n'est pas très bon pour la charge de travail.» «C'est difficile pour moi de trouver un emploi parce que je ne maîtrise pas le français», a dit pour sa part Marie Tess, qui ne parle qu'anglais. Un bureau à Montréal AmeriCANA Healthcare Solutions, qui possède un bureau à Montréal, convainc une cinquantaine d'infirmières par année d'émigrer aux États-Unis. «Nous sommes en contact régulier avec 170 personnes, et nous avons établi une liste de 600 candidates potentielles», explique Jacob Safran. L'entreprise n'est pas la première à convoiter les diplômées canadiennes, mais elle demeure la seule à cibler le Québec, selon M. Safran. «Le sentiment de fatigue est plus prononcé ici que dans les autres provinces», estime l'expert en recrutement. Le salaire au Québec est en effet le plus bas au Canada. Les recruteurs utilisent surtout le bouche à oreille pour se faire connaître puisque les cégeps de la province ont refusé qu'ils rencontrent les étudiantes. Ils font aussi paraître une publicité... dans la revue officielle de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec. «Le problème n'est pas la publicité, mais le manque de compétitivité des conditions de travail», se défend la présidente de l'Ordre, Gyslaine Desrosiers. Selon l'Association des infirmières et infirmiers du Canada, quelque 8000 nouvelles diplômées canadiennes de 2007 partiront travailler aux États-Unis. Le ministère de la Santé estime qu'il manque 1500 infirmières actuellement, un nombre qui pourrait grimper à 5000 dans les prochaines années et à 17 000 en 2019. Le Bureau international du travail prévoit pour sa part une pénurie d'un million d'infirmières aux États-Unis en 2010.
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