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  1. Désenclaver, mais surtout décontaminer l’est de Montréal PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE Le développement de nouveaux tronçons du REM dans l’est de la ville et la construction de cinq nouvelles stations de métro sur la ligne bleue pour se rendre jusqu’à l’autoroute 25 permettront de désenclaver cette portion importante du territoire montréalais et de contribuer à sa revitalisation. JEAN-PHILIPPE DÉCARIELA PRESSE Zone industrielle négligée et défavorisée, l’est de Montréal cherche désespérément à revitaliser sa base économique, qui a subi une constante érosion depuis les 40 dernières années. Cette partie stratégique de l’île de Montréal qui souffre de sous-investissement chronique et qui porte un lourd passé environnemental pourrait toutefois redevenir un pôle industriel stratégique d’importance pour le Québec si on le désenclave et, surtout, si on le décontamine. Publié à 0h57 Mis à jour à 6h30 Une cinquantaine de personnalités du monde économique, social, culturel et environnemental ont pris publiquement position mardi pour que l’est de Montréal soit relié le plus rapidement possible au centre-ville et au reste du réseau montréalais par des infrastructures de transports en commun adéquates. Le développement de nouveaux tronçons du Réseau express métropolitain (REM) dans l’est de la ville et la construction de cinq nouvelles stations de métro sur la ligne bleue pour se rendre jusqu’à l’autoroute 25 permettront de désenclaver cette portion importante du territoire montréalais et de contribuer à sa revitalisation. Le prolongement d’infrastructures de transports en commun favorisera certes un meilleur développement immobilier puisqu’on cherchera toujours à densifier l’espace constructible autour des nouvelles stations de métro ou du REM, mais la décontamination de nombreux sites industriels m’apparaît tout aussi prioritaire. L’est de Montréal a été l’un des plus importants complexes industriels du XXe siècle. C’est là que se sont installés de grands groupes comme la Canadian Vickers, qui y construisait dans les années 1940 des aéronefs et des navires. En 1988, l’entreprise a mis fin aux activités de son chantier naval. À partir de 1912, la Canadian Steel Foundries y a exploité une usine de pièces coulées en acier destinées au secteur de l’énergie. Son usine a fermé en 2002. Le CP a déjà compté plus de 12 000 employés qui étaient affairés à transformer le minerai de fer en locomotives à son complexe Angus de l’est de Montréal. C’est aussi dans l’est de Montréal que se sont implantées les grandes sociétés pétrolières et pétrochimiques pour y transformer le pétrole brut en de multiples produits dérivés. Depuis le début des années 1980 et la rationalisation des activités de raffinage qui se sont concentrées dans de plus grandes installations, l’est de Montréal a successivement assisté à la fermeture des raffineries de BP, Esso, Golf et Texaco. En 2010, c’était au tour de Shell d’annoncer la fin des activités de sa raffinerie. Décontaminez, ils construiront La fin de ces activités industrielles, qui s’est accélérée au cours des 40 dernières années, a non seulement marqué le déclin économique de l’est de Montréal, mais elle s’est aussi soldée par le legs tout à fait indésirable d’une quantité industrielle de terrains contaminés. C’est une superficie de plus de 90 millions de pieds carrés de terrains qui sont disponibles dans l’est de Montréal, dont 48 millions dans le seul secteur industriel de Pointe-de-l’Île, mais on estime à 40 millions de pieds carrés les terrains qu’il faut décontaminer », me rappelle Jean-Denis Charest, président de la Chambre de commerce de l’est de Montréal. « On a longtemps sous-financé l’est de Montréal, et on se retrouve aujourd’hui avec des passifs environnementaux qu’il faut revitaliser. C’est une occasion de relancer les activités industrielles dans tout l’est de Montréal. Il y aurait près de 7 millions de pieds carrés à développer tout juste à proximité du port de Montréal », constate le PDG de la chambre de commerce. Une étude récente de la Communauté métropolitaine de Montréal signalait justement que la région souffrait d’une pénurie de terrains industriels à développer et son économiste en chef, Sylvain Giguère, pointait justement l’est de Montréal comme le grand potentiel de développement dans la grande région montréalaise. « Il faut être plus entrepreneurial dans notre approche. L’Est a été longtemps victime de scepticisme et de pessimisme, on veut changer cet état d’esprit », souligne Jean-Denis Charest. Le problème, c’est que les propriétaires de terrains contaminés dans l’est de la ville ne montrent aucun empressement à aller de l’avant, et ce, même si Québec a débloqué, il y a quatre ans, 100 millions à la Ville de Montréal pour financer jusqu’à 90 % des travaux de décontamination. À ce jour, seulement 13 millions ont été déboursés par la Ville et le programme doit se terminer d’ici la fin de l’année. À Montréal, on affirme que plus de 40 millions devraient être déboursés prochainement et on souhaite qu’une nouvelle tranche de 100 millions soit accordée pour poursuivre la démarche l’an prochain. Chose certaine, l’est de Montréal est bien positionné pour redevenir un axe industriel majeur puisqu’il est situé stratégiquement à proximité du port de Montréal et qu’il profite de nombreuses voies ferrées sur son territoire. Desservi par deux autoroutes importantes, la 40 et la 25, qui vont redevenir pleinement opérationnelles avec le parachèvement des travaux dans le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, l’est de Montréal est mûr pour une cure de jouvence, comme l’a été le corridor industriel du canal de Lachine dans les 30 dernières années. Il n’y a aucune raison pour que l’est de Montréal n’atteigne pas le niveau de développement que l’on observe dans l’ouest de la ville, où le tissu industriel s’est fortement diversifié là aussi, et ce, même si les infrastructures de transports en commun n’étaient pas optimales. Mais pour y arriver, les travaux de décontamination doivent s’intensifier et s’accélérer de façon importante. Avant tout parce que personne, pas même une entreprise, ne souhaite résider à proximité d’un site souillé et que Montréal a besoin de développer son plein potentiel sur l’ensemble de son territoire. Rectificatif : Dans une première version il était écrit qu'il y avait 90 millions de pieds carrés de terrains à décontaminer, il s'agissait plutôt de terrains vacants et 40 millions de pieds carrés à décontaminer. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2023-05-24/desenclaver-mais-surtout-decontaminer-l-est-de-montreal.php
  2. For a while now I have been thinking about how Canada would be like, if we actually had a decent size population. I found an article from the Globe and Mail from a few years ago, saying we should really consider increasing the number of immigrants coming to this country. How do we get 1.9 million new people to move to Canada and live here, each and every year? Yes, the current major cities like Toronto and Montreal will continue to grow, but we should find ways to get other cities to grow also. If we did manage to get to 100,000,000 people living in Canada by 2050, we would have a density of 10 people per sq.km. That would be almost similar to present day Russia (excl. the annexation of Crimea). The US has 35 people per sq.km. With that we would see Canada explode to well over 300 million people. Yes it would be a lot of more mouths to feed. Plus we would need a rapid expansion in new urban centers across the provinces and especially the territories. We would also need to develop/revitalize current industries and create new industries. I know the energy (petrol) and mining sectors are in the toilet, but if we managed to increase the population, we would probably bring those industries back to life. We may be able to finally fly Montreal to Vancouver or within this country for cheaper or drive through the Prairies and be bored out of our minds or even driving all the way to Iqaluit and not worry about the gas tank, seeing there may be a station close by and not 1000's of km away. Also we can finally see many of the national parks and provincial/territorial parks, that are inaccessible and costs 10s of thousands of to visit. The reason I bring up the territories, they are grossly under populated. If there are more people there and more towns/cities connecting them to the south, the cost of living there will decrease. Plus by 2050-2100, more people will be moving north because of climate change. I found one agency formulate by 2050, we would see Canada's population grow to well under 50 million, we would be one of the wealthiest per capita, but our GDP would be lower. If we could increase the population to 100 million and also find a way to still have a similar GDP per capita as the one forecast for 2050 with 50 million, we would be the 4th wealthiest instead of the 17th. It is a long shot and I know Canada has a lot to do before that time, but we should really think about the future of this country.
  3. LE QUÉBEC TIENT LA CADENCE AVEC L’ONTARIO JULES DUFORT ET JEAN-PIERRE FURLONG ÉCONOMISTES Édition du 22 août 2016, Des compilations spéciales de Statistique Canada nous permettent : • de comparer adéquatement ici les niveaux de productivité et la rémunération du travail au Québec et en Ontario, pour 19 industries productrices de biens et services. La fabrication, l’une des 19, est à son tour subdivisée en 19 catégories ; et, • de vérifier l’hypothèse que l’économie du Québec est globalement aussi productive que celle de l’Ontario. Parmi les diverses données sur le produit intérieur brut (PIB), seules celles sur le PIB nominal aux prix de base par industrie permettent de comparer les niveaux de productivité entre les provinces. Les données les plus récentes sur cet indicateur sont celles de 2012. Le tableau présenté ci-contre indique bien que lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle (c’est-à-dire des différences dans l’importance relative des industries), le rapport Québec/Ontario de la richesse ou la production par heure travaillée augmente. Pour les biens et services pris globalement, le rapport passe de 94,5 % à 97,4 % en 2012. Le tableau révèle aussi que la productivité est nettement plus élevée au Québec dans la production de biens. C’est le cas d’ailleurs pour quatre des cinq industries de ce secteur, soit : • l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ; • l’extraction minière, l’exploitation en carrière et l’exploitation de pétrole et de gaz ; • les services publics et ; • la construction. En revanche, la productivité du Québec est plus faible qu’en Ontario dans l’industrie de la fabrication. Il n’y a que dans 6 des 19 catégories de cette industrie que la productivité québécoise dépasse celle de l’Ontario. L’insuffisance des investissements en machines et équipements et en recherche et développement, une moins grande propension à innover et des établissements de production de taille relativement plus petite, ne permettant pas ainsi de profiter pleinement d’économies d’échelle, sont des pistes à explorer pour tenter d’expliquer cette situation. INDUSTRIES DE SERVICES Dans les industries de services, les prix peuvent avoir tendance à être plus élevés en Ontario qu’au Québec, ce qui expliquerait, du moins en partie, le fait que la productivité du travail soit plus faible au Québec dans ce secteur. (La rémunération constitue d’ailleurs une composante importante du prix des services. Or, la rémunération est plus élevée en Ontario qu’au Québec dans 12 des 14 industries de services.) Si la moitié de l’écart de productivité entre le Québec et l’Ontario dans le secteur des services (3,4 des 6,8 points de pourcentage d’écart) provenait de la présence de prix de vente plus faibles pour les producteurs de services du Québec, le niveau de productivité de l’ensemble du secteur des entreprises commerciales serait identique au Québec et en Ontario (à 99,97 % pour être plus précis). Ainsi, l’hypothèse que la productivité soit aussi élevée au Québec qu’en Ontario tient la route. Tout comme pour la productivité, tenir compte des différences dans l’importance relative des industries a pour conséquence de rapprocher la rémunération du travail au Québec de celle de l’Ontario. Pour les biens et services pris globalement, la rémunération horaire au Québec passe de 92,9 % à 94,9 % de celle de l’Ontario en 2012. On peut aussi déduire des pourcentages précédents que pour l’ensemble des entreprises, notamment les producteurs de biens, la rémunération horaire est inférieure au Québec par rapport à l’Ontario, ce à quoi l’on pourrait s’attendre en tenant compte de la production ou de la richesse créée par heure travaillée. Toutes choses étant égales par ailleurs, si la productivité québécoise correspond à 97,4 % de celle de l’Ontario, la rémunération horaire devrait aussi se situer à 97,4 %. Or, elle n’est qu’à 94,9 % de celle de l’Ontario. L’ampleur de la différence est encore plus difficile à expliquer lorsqu’on se limite aux biens. La productivité du travail y est plus élevée au Québec (106,3 % de celle de l’Ontario), mais la rémunération horaire y est inférieure (98,8 % de celle de l’Ontario). Pour les producteurs de services, la différence de productivité s’accompagne, à première vue, d’un écart pratiquement identique de rémunération horaire. À un niveau plus détaillé d’analyse, toujours au Québec par rapport à l’Ontario, la rémunération horaire est inférieure à la richesse créée par heure travaillée pour 13 des 19 industries de biens et services analysées. Les entreprises commerciales du Québec sont, dans leur ensemble, vraisemblablement tout aussi productives que celles de l’Ontario lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle et des prix relatifs des services. Par ailleurs, compte tenu de la richesse créée par heure travaillée, les travailleurs québécois sont moins bien rémunérés que leurs homologues ontariens, et ce, dans un grand nombre d’industries. http://plus.lapresse.ca/screens/89d0cf5d-590c-4026-bf3a-9683b47e1429%7C_0.html
  4. As beginning January first 2016. B.C. government will charge industries 2.25$ for each millions of liters of water there are using. That's ridiculous. http://news.nationalpost.com/2015/03/06/outrage-boils-over-as-b-c-government-plans-to-sell-groundwater-for-2-25-per-million-litres/
  5. Étude très intéressante de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain sur les industries créatives, dont: - L'architecture - L'architecture de paysage - Le design d'intérieur - Le design industriel - Le design graphique - Le design de mode Chambre de commerce du Montréal métropolitain – « Étude Les industries créatives: catalyseurs de richesse et de rayonnement pour la métropole » LES INDUSTRIES CRÉATIVES : Catalyseurs de richesse et de rayonnement pour la métropole http://ccmmdev.com/pdf/etude_industries_creatives.pdf
  6. CAD Industries Ferroviaires créera plus de 270 emplois Publié le 12 décembre 2013 à 13h06 CAD Industries Ferroviaires, de Montréal, annonce un investissement de 13 millions de dollars dans la modernisation et l'agrandissement de ses installations dans l'arrondissement de Lachine, ce qui lui permettra de pratiquement doubler sa main-d'oeuvre. L'investissement repose toutefois grandement sur le soutien financier des pouvoirs publics. La première ministre Pauline Marois était d'ailleurs de passage lors de l'annonce, jeudi matin, pour préciser que son gouvernement fournira un prêt de 5 millions de dollars et une subvention de 1,5 million. De plus, Emploi Québec ajoutera une contribution de près de 1 million pour la formation de la nouvelle main-d'oeuvre, pour un total de 7,5 millions de soutien public. Par ailleurs, la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui avait déjà investi 7 millions en 2011 relativement au rachat de l'entreprise par sa direction, allonge un autre 4 millions sous forme de capital-actions dans l'entreprise. CAD Industries Ferroviaires, qui est déjà le plus grand atelier manufacturier de réparation et de réfection de véhicules ferroviaires au Canada, verra à terme le nombre de ses employés passer de 300 à près de 600. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201312/12/01-4720340-cad-industries-ferroviaires-creera-plus-de-270-emplois.php
  7. (Courtesy of The Globe and Mail) If TMX does look to merge with an exchange somewhere, who do you think would be their best fit?
  8. Le groupe français Aeroconseil, expert de l'ingénierie aéronautique et des services au transport aérien, s'implante à Montréal afin de développer ses activités en Amérique du Nord. Aeroconseil Canada entend ainsi se rapprocher de ses clients nord-américains. L'entreprise prévoit embaucher plus d'une cinquantaine d'employés au cours des trois prochaines années. L'annonce de cet investissement a été réalisée dans le cadre d'Aeromart 2010, la convention d'affaires internationale des industries aéronautique et spatiale. Plus D'info:http://www.montreal2025.com/communique.php?id=962&lang=fr
  9. Le PIB du Québec a crû de 0,8 % en octobre 25 janvier 2010 | 12h51 LA PRESSE CANADIENNE Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a augmenté de 0,8 % en octobre, indiquent les données publiées lundi par l'Institut de la statistique du Québec. Pendant le même mois, la croissance dans l'ensemble du Canada avait été de 0,2 %. Cette augmentation du PIB québécois fait suite au recul de 0,3 % survenu en août et à une hausse de 0,1 % en septembre. En octobre, les industries productrices de biens ont augmenté leur production de 2,1 %, alors que la production des industries productrices de services s'est accrue de 0,3 %.
  10. L'économie québécoise poursuit son déclin Olivier Schmouker . les affaires.com . 26-11-2009 L'agriculture est en partie responsable du déclin. Photo : Bloomberg. Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a regressé de 0,3% en août, portant le recul à 2% sur les huit premiers mois de l’année, selon l’Institut de la statistique du Québec. Depuis le début de 2009, le Québec n’a enregistré qu’une seule hausse du PIB, de 0,6% en juin. En 2008, la croissance de l’économie avait atteint un taux de 1,3% au Québec. Qu’est-ce qui a aggravé le déclin de l’économie québécoise à la fin de l’été? La décroissance de la production des industries productrices de biens, qui s’est chiffrée à 0,6%. Les pertes proviennaient de l’industrie de la fabrication (– 1,2%), de celle de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (– 1,2%) ainsi que de celle des services publics (– 0,4%). Toutefois, la production de l’industrie de l’extraction minière, pétrolière et gazière et celle de la construction se sont appréciées respectivement de 4,1% et de 0,6%. De leur côté, les industries productrices de services ont vu leur production diminuer de 0,2% en août. C’est leur quatrième recul depuis le début de 2009. Les industries à l’origine du repli sont celle de l’information et de la culture (– 1%), celle des services professionnels, scientifiques et techniques (– 0,7%) et celle de la finance et des assurances, des services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (– 0,1%).
  11. Selon Martin Prosperity Institute The Great Musical North November 12, 2009 The music business is a fascinating example of a creativity-driven industry. Advances in manufacturing and sound recording technology mean that only a small part of the value of the final product – a compact disc or digital download – is generated by manufacturing and distribution. Instead, most of the costs of the music business today are incurred by creative work: writing, producing and performing the music; designing the packaging and branding; and marketing via blogs, magazines, videos and more. This emphasis on creative inputs makes the music industry an excellent research subject for improving our understanding of the geography (and other dynamics) of a broad range of creative industries, from software to medicine to media. While the public perception exists that Canada is a hot spot for music and musicians (from Neil Young to Shania Twain to Kardinal Offishall), a comparison with the global leader in music production – the United States – will help us to separate perception from reality. The most recent period for which detailed and directly comparable data are available is 2007. This Insight aims to improve our understanding of the dynamics of the business by focusing on one particular aspect: the differences between the music industries of Canada and the United States. On a per capita basis, Canada’s music industry dramatically outperforms the US when it comes to the presence of music business establishments (this category includes record labels, distributors, recording studios, and music publishers). Canada has 5.9 recording industry establishments per 100,000 residents, about five times the US figure of 1.2. A detailed breakdown at the metropolitan level can help us to better understand what drives this disparity. To make the scope of our analysis more manageable, we focus on city-regions with populations over 500,000, as they are home to 85% of recording industry establishments and about 65% of the North American population. Using location quotients, a standard industry measure of regional concentration, we find that almost half of the 15 cities with the highest music industry location quotients are Canadian (Exhibit 1). But despite its much lower per capita figure at the national level, the United States has the two top-ranking cities. The first, Nashville, boasts an incredibly high figure due to its heavy specialization in country and pop music. The second, Los Angeles, is the global giant of the entertainment business. US dominance becomes more apparent when we look at size. Recording industry establishments in the US are slightly larger – they have an average of 5.9 employees each, compared to only 5.7 in Canada. But the difference is dramatically more pronounced when it comes to revenue. US establishments earn average receipts of $4.1 million per establishment, compared to only US$540,000 in Canada. So Canada has considerably greater per capita musical activity than the United States in terms of record labels, recording studios, and licensing houses. But the data tell us that the United States has much higher-earning businesses that are more heavily clustered in fewer places – especially Nashville, Los Angeles, and to a lesser extent, New York. While this research is preliminary, we can speculate about what drives these differences. Economic geographers, from Jane Jacobs to Allen Scott to the Martin Prosperity Institute’s own recent analysis, have long noted that growth in creative industries like music tends to be driven by clustering and economies of scope and scale. The concentration of the American music business in a few key cities likely encourages these forces. In Canada, the fact that the music business is more evenly distributed is certainly a positive thing for musicians looking for opportunities in smaller cities. But failure to cluster in a few key centres may be discouraging the Canadian music industry from growing larger and more internationally competitive. [/img]
  12. Le produit intérieur brut réel aux prix de base par industrie au Québec, juillet 2009 l'instistut de la statistique du Québec L’économie progresse de 0,1 % en juillet Québec, le 26 octobre 2009 – Le produit intérieur brut (PIB) progresse de 0,1 % en juillet (stable au Canada), après avoir reculé de 0,4 % en mai et haussé de 0,7 % en juin (au Canada : – 0,4 % en mai et 0,1 % en juin). C’est la deuxième hausse depuis janvier 2009, la dernière remontant à octobre 2008. Le cumul des sept premiers mois de 2009 glisse de 1,5 % au Québec, alors que le pourcentage correspondant au Canada est de – 3,5 %. En 2008, la progression est de 1,2 % au Québec et de 0,6 % au Canada. La croissance économique est attribuable aux industries productrices de services La production des industries productrices de biens fléchit de 0,2 % en juillet. Cette décroissance fait suite également à celle de 1,2 % en mai et à une montée de 1,1 % en juin. L’industrie la plus touchée est celle de l’extraction minière, pétrolière et gazière qui touche un creux de 12,4 %. L’industrie de l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ainsi que celle des services publics réduisent leur production mensuelle respectivement de 2,2 % et de 2,1 %. Les deux seules industries de biens dont la production augmente sont la fabrication (0,7 %) et la construction (0,2 %). La progression mensuelle de l’économie résulte de la croissance de 0,2 % de la production des industries productrices de services. La production de ces industries a fait du surplace au mois de mai et a haussé de 0,5 % en juin. Plus en détail, ce sont les industries du commerce de gros (1,6 %), de l’information et de la culture (1,4 %) et de la finance et les assurances, les services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (0,3 %) qui sont à la source de la croissance des industries productrices de services. Malgré ces augmentations, un peu plus de la moitié des industries productrices de services, soit 7 parmi 13, indiquent encore des faiblesses dans leur production. La production cumulée pour l’ensemble de l’économie se replie de 1,5 % Le produit intérieur brut en valeur cumulée fléchit de 1,5 % en comparaison aux mêmes mois de l’année précédente, en raison du glissement de 5,9 % de la production des industries productrices de biens. Celle des industries productrices de services monte à peine de 0,5 %.
  13. North America’s High-Tech Economy - Milken Institute Ranking North America’s High-Tech Economy: The Geography of Knowledge-Based Industries ranks the top high-tech centers in the U.S., Canada and Mexico in their ability to grow and sustain thriving high-tech industries. The top 25 markets are listed on the left, showing the 2007 and 2003 rankings. An interactive map of the metros is directly below and scroll down for a full listing of all 393 high-tech centers ranked. Data is also available for each of the 19 specific high-tech industries. Click here for industry specific data. The full report and executive summary of North America's High-Tech Economy: The Geography of Knowledge-Based Industries is available for free download after registration. Top 25 High Tech Metropolitan Areas 2007 2003 Metropolitan Area 1 1 San Jose-Sunnyvale, CA (MSA) 2 3 Seattle-Bellevue-Everett, WA (MD) 3 2 Cambridge-Newton, MA (MD) 4 5 Washington-Arlington, DC-VA-MD 5 4 Los Angeles-Long Beach-Glendale, CA 6 6 Dallas-Plano-Irving, TX (MD) 7 7 San Diego-Carlsbad, CA (MSA) 8 11 Santa Ana-Anaheim-Irvine, CA (MD) 9 9 New York-White Plains-Wayne, NY-NJ 10 8 San Francisco-San Mateo, CA (MD) 11 13 Philadelphia, PA (MD) 12 12 Atlanta-Sandy Springs, GA (MSA) 13 10 Edison, NJ (MD) 14 14 Chicago-Naperville-Joliet, IL (MD) 15 25 TORONTO 16 15 Oakland-Fremont-Hayward, CA (MD) 17 18 Minneapolis-St. Paul, MN-WI (MSA) 18 17 Denver-Aurora, CO (MSA) 19 27 MONTREAL 20 16 Austin-Round Rock, TX (MSA) 21 21 Houston-Sugar Land-Baytown, TX (MSA) 22 29 Huntsville, AL (MSA) 23 20 Phoenix-Mesa-Scottsdale, AZ (MSA) 24 31 Wichita, KS (MSA) 25 23 Bethesda-Gaithersburg, MD (MD) http://www.milkeninstitute.org/nahightech/nahightech.taf
  14. 350 millions pour améliorer la gestion de l'eau à Montréal Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mercredi 18 mars 2009 Mots clés : gestion de l'eau, Investissement, Municipalité, Montréal La Ville de Montréal investira 350,7 millions de dollars dans son programme de gestion de l'eau cette année, soit 140 millions de plus qu'en 2008. Outre la réfection du réseau d'aqueducs et d'égouts, la Ville amorcera l'installation de compteurs d'eau dans les commerces et les industries et poursuivra la modernisation de son réseau afin de mieux traquer les fuites. Dressant le bilan de l'année 2008, au cours de laquelle la Ville a dépensé 210 millions, le responsable des infrastructures au comité exécutif, Sammy Forcillo, a donné hier un avant-goût de la saison des travaux qui s'amorce. Des 350 millions qui seront investis en 2009, un montant de 181 millions sera destiné à la production de l'eau potable, dont la mise aux normes des usines de filtration. Une somme de 34,2 millions sera consacrée à l'épuration des eaux usées et 127,5 millions seront dépensés pour la gestion des réseaux, notamment la réfection des infrastructures souterraines, rudement mises à l'épreuve au cours de l'hiver. Rappelons que le mois de janvier s'était soldé par 135 bris de conduites d'eau alors qu'à la même période l'an dernier, la Ville en avait dénombré 102. Même s'il est encore difficile de mesurer les progrès avec précision, l'état du réseau souterrain s'est amélioré grâce aux investissements massifs des dernières années, soutient le directeur de la gestion de l'eau à la Ville, Réjean Lévesque. Au cours de 2009, certains travaux seront entrepris et ils devraient, à plus long terme, permettre à la Ville de déceler rapidement les fuites dans son réseau. Ainsi, Montréal entreprendra l'installation des compteurs d'eau dans les industries, les commerces et les institutions (ICI). D'ici la fin de l'année, 7000 d'entre eux devraient entrer en fonction. La Ville commencera également la mise en place de régulateurs de pression de l'eau sur son territoire. Ces dispositifs, contrôlés à distance, permettront aux autorités de mesurer avec précision la consommation d'eau de chacun des 75 secteurs de la ville. Mais surtout, ils permettront de détecter rapidement toute fuite dans le réseau d'aqueducs. Au dire de Réjean Lévesque, il s'agira d'une véritable «révolution». Ce projet d'envergure s'échelonnera sur plusieurs années et les premiers régulateurs de pression seront installés dans Pierrefonds et Saint-Laurent. http://www.ledevoir.com/2009/03/18/240217.html (18/3/2009 10H59)
  15. Québec 2008 Septembre +0.7% Octobre 0.0% Novembre -0.7% cumulatif 2008: +1.3% Canada 2008 Septembre 0.0% Octobre -0.1% Novembre -0.7% cumulatif 2008: +0.7% 2007 Québec +2.4% Canada +2.5% Incroyable pour 2007 et 2008, considérant qu'on pisse pas du pétrole ici... Le produit intérieur brut réel aux prix de base par industrie au Québec, novembre 2008 Le PIB fléchit en novembre QUÉBEC, le 25 févr. /CNW Telbec/ - Le produit intérieur brut (PIB) réel aux prix de base du Québec recule de 0,7 % en novembre; après avoir augmenté de 0,7 % en septembre et demeuré stable en octobre. La production des onze premiers mois de 2008 monte de 1,3 % en comparaison à la même période correspondante de 2007. Au Canada, le PIB faiblit également de 0,7 % en novembre. L'économie canadienne n'a pas bougé en septembre et a légèrement reculé de 0,1 % en octobre (augmentation de 0,7 % au cours des onze premiers mois de 2008). En 2007, la progression de l'économie a atteint 2,4 % au Québec, alors que celle du Canada a été de 2,5 %. Les industries productrices de biens ainsi que celles des services affichent toutes deux des baisses La production dans les industries productrices de biens et de celles des services affiche respectivement des pertes de 1,4 % et de 0,4 %. Du côté des industries productrices de biens, le recul enregistré de 1,4 % fait suite à deux progressions consécutives de 1,3 % en septembre et de 0,4 % en octobre. Plus précisément, la production dans trois industries décroît en novembre : la fabrication (- 1,9 %), la construction (- 0,9 %) et les services publics (- 0,6 %). Cependant, la production dans l'industrie de l'agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse fait une pause pour ce mois-ci et celle de l'extraction minière, pétrolière et gazière croît de 1,2 %. Pour leur part, la production dans les industries productrices de services diminue de 0,4 %. Elle a aussi augmenté de 0,4 % en septembre et a faiblement baissé de 0,1 % en octobre. On compte sept industries sur l'ensemble des industries productrices de services dont la production est à la baisse. Le fléchissement de novembre s'explique principalement par le recul de la production de l'industrie du commerce de gros (- 3,8 %), de celle du transport et de l'entreposage (- 1,5 %) et de celle de la finance et les assurances, les services immobiliers et de location à bail et de la gestion de sociétés et d'entreprises (- 0,4 %). Toutefois, la croissance de la production de l'industrie des services administratifs, des services de soutien, des services de gestion de déchets et des services d'assainissement (1,1 %), celle des services d'enseignement (0,7 %) et celle des autres services, sauf les administrations publiques (0,5 %), atténue la perte de novembre. ------------------------------------------------------------------------- L'Institut de la statistique du Québec produit et diffuse une information statistique pertinente, fiable et actuelle sur l'évolution socioéconomique du Québec et de la société québécoise. Il constitue le lieu privilégié de production et de diffusion de l'information statistique officielle pour les ministères et organismes du gouvernement, et il est responsable de toutes les enquêtes d'intérêt général. << Sources : Réjean Aubé Tél. : 418 691-2411, poste 3142 Économiste Institut de la statistique du Québec Quynh-Van Tran Tél. : 418 691-2411, poste 3172 Économiste Institut de la statistique du Québec Centre d'information et de documentation Tél. : 418 691-2401 ou 1 800 463-4090 (sans frais d'appel au Canada et aux États-Unis) Site Web de l'Institut : http://www.stat.gouv.qc.ca >>
  16. L'économie québécoise était au neutre en octobre 23 janvier 2009 - 11h58 Presse Canadienne Le produit intérieur brut (PIB) du Québec est resté inchangé en octobre dernier par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés vendredi par l'Institut de la statistique du Québec. En septembre, il avait augmenté de 0,6% et en août, il avait reculé de 0,4%. En octobre, les industries productrices de biens ont généré une hausse de 0,7%, alors que les industries productrices de services ont vu leur production reculer de 0,3%. Dans l'ensemble, neuf industries sur 19, ce qui représente près de 50% du PIB québécois, ont montré des pertes dans leur production en octobre par rapport à septembre. Pour en lire plus...
  17. La compagnie annonce qu'elle et une sous-filiale sont en défaut de paiement vis-à-vis de leurs institutions prêteuses. Pour en lire plus...
  18. Alors qu'Ottawa prépare son plan de stimulation économique en vue du budget fédéral du 27 février, presque toutes les industries canadiennes tendent leur chapeau vers le ministre des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  19. Jig-A-World, de Montréal, achète le fabricant de sacs biodégradables Polyethics Industries, d'Orillia, en Ontario, et quadruple ainsi sa taille. Pour en lire plus...
  20. Dans un discours du Trône axé sur l'économie, le gouvernement Harper n'écarte pas un déficit l'an prochain, et prévoit un soutien aux industries automobile et aérospatiale. Il envisage aussi de réformer certaines institutions de la fédération. Pour en lire plus...
  21. Croissance du PIB réel aux prix de base du Québec 30 octobre 2008 - 10h46 Presse Canadienne Le produit intérieur brut (PIB) réel aux prix de base du Québec a augmenté de 0,5% en juillet. L'Institut de la statistique du Québec affirme que cette croissance est attribuable principalement aux industries productrices de biens qui affichent une forte augmentation de 1,1%. Les plus fortes croissances proviennent des secteurs de l'extraction minière et de l'extraction de pétrole et de gaz (5,1%), de l'agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse (2,4%) et des services publics (2,2%). La hausse de juillet est la cinquième au cours des 12 derniers mois et la troisième depuis le début de l'année. Au cours des sept premiers mois de 2008, les industries productrices de biens affichent cependant un recul de 1,5% par rapport à la période correspondante de 2007. Pour leur part, les industries productrices de services ont enregistré une hausse de 0,2% en juillet. Ces industries soutiennent la progression de l'économie depuis le début de l'année. Leur croissance est supérieure de 2,4% à celle des mêmes mois de l'année dernière. Pour en lire plus...
  22. Avec le ralentissement économique que connaissent les États-Unis, la haute couture fait grise mine, comme les autres industries du luxe. Pour en lire plus...
  23. Les industries d'extraction minière, pétrolière et gazière, ainsi que le secteur de la construction, ont été principalement à l'origine du repli. Pour en lire plus...
  24. Tembec Industries Files Bankruptcy as Foreign Firm (Update1) By Christopher Scinta Sept. 4 (Bloomberg) -- Tembec Industries Inc., a unit of Montreal-based Tembec Inc., filed for protection from U.S. creditors to implement the debt restructuring approved by a Canadian court in February. The company said in papers filed today in U.S. Bankruptcy Court in New York that its assets and debts exceed $1 billion. Tembec Industries filed under Chapter 15 of the U.S. Bankruptcy Code, saying it wants the debt restructuring that was approved by the Ontario Superior Court of Justice to govern U.S. creditors. Chapter 15 allows foreign companies to reorganize outside the U.S. while protecting them from U.S. lawsuits and creditor claims. Holders of more than 98 percent of the company's notes and 95 percent of its stock voted earlier this year in favor of the restructuring that swapped debt for new equity, Michel Dumas, the company's chief financial officer, said in a statement to the court. Tembec had to restructure its debt due to the rising value of the Canadian dollar, declining U.S. home construction, a glut of timber because of a beetle infestation in British Columbia and falling newsprint demand, according to court papers. Douglas Bartner, an attorney with Shearman & Sterling in New York that filed the petition, didn't immediately respond to a phone call seeking comment. Tembec produces about 1.7 billion board feet of lumber, 1 million tons of paper and 2.1 million tons of pulp a year, according to court papers. Virtually all of Tembec's assets are in Canada, so the reorganization plan approved by the Canadian court should govern, Dumas said. Tembec joins another Canadian wood-products company, Pope & Talbot Inc., in filing for U.S. Chapter 15 as a foreign entity. The case is In re Tembec Industries Inc., 08-13435, U.S. Bankruptcy Court, Southern District of New York (Manhattan). To contact the reporter on this story: Christopher Scinta in New York at cscinta@bloomberg.net. Last Updated: September 4, 2008 16:37 EDT
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