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  1. Désenclaver, mais surtout décontaminer l’est de Montréal PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE Le développement de nouveaux tronçons du REM dans l’est de la ville et la construction de cinq nouvelles stations de métro sur la ligne bleue pour se rendre jusqu’à l’autoroute 25 permettront de désenclaver cette portion importante du territoire montréalais et de contribuer à sa revitalisation. JEAN-PHILIPPE DÉCARIELA PRESSE Zone industrielle négligée et défavorisée, l’est de Montréal cherche désespérément à revitaliser sa base économique, qui a subi une constante érosion depuis les 40 dernières années. Cette partie stratégique de l’île de Montréal qui souffre de sous-investissement chronique et qui porte un lourd passé environnemental pourrait toutefois redevenir un pôle industriel stratégique d’importance pour le Québec si on le désenclave et, surtout, si on le décontamine. Publié à 0h57 Mis à jour à 6h30 Une cinquantaine de personnalités du monde économique, social, culturel et environnemental ont pris publiquement position mardi pour que l’est de Montréal soit relié le plus rapidement possible au centre-ville et au reste du réseau montréalais par des infrastructures de transports en commun adéquates. Le développement de nouveaux tronçons du Réseau express métropolitain (REM) dans l’est de la ville et la construction de cinq nouvelles stations de métro sur la ligne bleue pour se rendre jusqu’à l’autoroute 25 permettront de désenclaver cette portion importante du territoire montréalais et de contribuer à sa revitalisation. Le prolongement d’infrastructures de transports en commun favorisera certes un meilleur développement immobilier puisqu’on cherchera toujours à densifier l’espace constructible autour des nouvelles stations de métro ou du REM, mais la décontamination de nombreux sites industriels m’apparaît tout aussi prioritaire. L’est de Montréal a été l’un des plus importants complexes industriels du XXe siècle. C’est là que se sont installés de grands groupes comme la Canadian Vickers, qui y construisait dans les années 1940 des aéronefs et des navires. En 1988, l’entreprise a mis fin aux activités de son chantier naval. À partir de 1912, la Canadian Steel Foundries y a exploité une usine de pièces coulées en acier destinées au secteur de l’énergie. Son usine a fermé en 2002. Le CP a déjà compté plus de 12 000 employés qui étaient affairés à transformer le minerai de fer en locomotives à son complexe Angus de l’est de Montréal. C’est aussi dans l’est de Montréal que se sont implantées les grandes sociétés pétrolières et pétrochimiques pour y transformer le pétrole brut en de multiples produits dérivés. Depuis le début des années 1980 et la rationalisation des activités de raffinage qui se sont concentrées dans de plus grandes installations, l’est de Montréal a successivement assisté à la fermeture des raffineries de BP, Esso, Golf et Texaco. En 2010, c’était au tour de Shell d’annoncer la fin des activités de sa raffinerie. Décontaminez, ils construiront La fin de ces activités industrielles, qui s’est accélérée au cours des 40 dernières années, a non seulement marqué le déclin économique de l’est de Montréal, mais elle s’est aussi soldée par le legs tout à fait indésirable d’une quantité industrielle de terrains contaminés. C’est une superficie de plus de 90 millions de pieds carrés de terrains qui sont disponibles dans l’est de Montréal, dont 48 millions dans le seul secteur industriel de Pointe-de-l’Île, mais on estime à 40 millions de pieds carrés les terrains qu’il faut décontaminer », me rappelle Jean-Denis Charest, président de la Chambre de commerce de l’est de Montréal. « On a longtemps sous-financé l’est de Montréal, et on se retrouve aujourd’hui avec des passifs environnementaux qu’il faut revitaliser. C’est une occasion de relancer les activités industrielles dans tout l’est de Montréal. Il y aurait près de 7 millions de pieds carrés à développer tout juste à proximité du port de Montréal », constate le PDG de la chambre de commerce. Une étude récente de la Communauté métropolitaine de Montréal signalait justement que la région souffrait d’une pénurie de terrains industriels à développer et son économiste en chef, Sylvain Giguère, pointait justement l’est de Montréal comme le grand potentiel de développement dans la grande région montréalaise. « Il faut être plus entrepreneurial dans notre approche. L’Est a été longtemps victime de scepticisme et de pessimisme, on veut changer cet état d’esprit », souligne Jean-Denis Charest. Le problème, c’est que les propriétaires de terrains contaminés dans l’est de la ville ne montrent aucun empressement à aller de l’avant, et ce, même si Québec a débloqué, il y a quatre ans, 100 millions à la Ville de Montréal pour financer jusqu’à 90 % des travaux de décontamination. À ce jour, seulement 13 millions ont été déboursés par la Ville et le programme doit se terminer d’ici la fin de l’année. À Montréal, on affirme que plus de 40 millions devraient être déboursés prochainement et on souhaite qu’une nouvelle tranche de 100 millions soit accordée pour poursuivre la démarche l’an prochain. Chose certaine, l’est de Montréal est bien positionné pour redevenir un axe industriel majeur puisqu’il est situé stratégiquement à proximité du port de Montréal et qu’il profite de nombreuses voies ferrées sur son territoire. Desservi par deux autoroutes importantes, la 40 et la 25, qui vont redevenir pleinement opérationnelles avec le parachèvement des travaux dans le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, l’est de Montréal est mûr pour une cure de jouvence, comme l’a été le corridor industriel du canal de Lachine dans les 30 dernières années. Il n’y a aucune raison pour que l’est de Montréal n’atteigne pas le niveau de développement que l’on observe dans l’ouest de la ville, où le tissu industriel s’est fortement diversifié là aussi, et ce, même si les infrastructures de transports en commun n’étaient pas optimales. Mais pour y arriver, les travaux de décontamination doivent s’intensifier et s’accélérer de façon importante. Avant tout parce que personne, pas même une entreprise, ne souhaite résider à proximité d’un site souillé et que Montréal a besoin de développer son plein potentiel sur l’ensemble de son territoire. Rectificatif : Dans une première version il était écrit qu'il y avait 90 millions de pieds carrés de terrains à décontaminer, il s'agissait plutôt de terrains vacants et 40 millions de pieds carrés à décontaminer. https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2023-05-24/desenclaver-mais-surtout-decontaminer-l-est-de-montreal.php
  2. http://axedumarche.com/ Quadrilatère Théodore/Rouen/Leclaire Ce projet est situé à l'emplacement d'un bâtiment industriel qui a été démoli cet été. De plus, il se situe juste à côté du tout nouveau parc linéaire.
  3. Ancienne usine CRANE dans Pointe St-Charles sur la rue St-Patrick pres de la piste cyclable du canal lachine un peu avant d'arriver a l'echangeur Turcot dans le sector de la rue Cabot. Ils sont entrain de refaire la maçonnerie et de changer les fenêtres. Très belle édifice industriel. Vont en faire des locaux pour des bureaux. Photo prise aujourd'hui le 16 septembre 2015
  4. http://www.limalofts.com Le Projet – Héritage du passé C’est en 1918, lors de la grande effervescence industrielle du canal Lachine, qu’est construit le grand entrepôt qui sera aujourd’hui la pierre d’assise du projet Limalofts. Ce bâtiment de grande valeur symbolique, surtout par sa façade principale, est un riche témoignage de l’héritage industriel et ouvrier montréalais. Le nouveau projet résidentiel redonnera un second souffle au bâtiment aujourd’hui abandonné, restaurant et mettant en valeur sa façade historique. Les nouveaux étages supérieurs proposeront dans leur architecture une relecture moderne du style industriel, annonçant leur vocation résidentielle avec subtilité. Grâce à votre logement double hauteur à aire ouverte, votre jardin sur le toit et une vue imprenable sur le centre-ville, les Limalofts vous offriront un environnement à votre image : branché, créatif et urbain.
  5. Une école moderne et lumineuse à Lachine The "abandoned anglophone school" in question is the Lachine High School from 1930. Looks like a great project.
  6. Lac Mirabel: les appels d'offres sont lancés Jean-Paul Charbonneau 11 août 2006 - 07h31L'audacieux projet Lac Mirabel franchit un important pas vers sa réalisation avec le lancement des appels d'offres pour la réalisation des plans et devis de la future sortie 28 de l'autoroute des Laurentides (15) qui lui procurera un accès direct. Les voies du viaduc qui surplombe la voie rapide à cet endroit seront doublées afin de permettre une meilleure circulation. C'est après presque deux ans de pourparlers que les municipalités de Mirabel et de Blainville et le ministère des Transports du Québec ont signé une entente tripartite sur le financement des travaux de construction de près de 12 millions de dollars qui commenceront au plus tard en avril prochain. La direction de Lac Mirabel a été consultée par la Ville de Mirabel, désignée comme maître d'oeuvre, et le MTQ. Cette décision était attendue avec impatience par les promoteurs de ce mégaprojet unique qui nécessitera des investissements de l'ordre de 425 millions de dollars. Lac Mirabel, qui devrait être terminé en 2008, a déjà loué la très grande majorité de ses locaux commerciaux. Cette nouvelle sortie et ses bretelles d'accès aideront également au développement des deux municipalités. Du côté de Mirabel, l'administration municipale compte agrandir le parc industriel. «Notre parc industriel actuel est rempli, il est urgent de procéder à un agrandissement afin de poursuivre notre développement. La demande est très forte», a mentionné le maire de cette municipalité, Hubert Meilleur. À Blainville, l'aménagement décongestionnera la sortie 25 en plus de favoriser le développement dans la partie nord de la ville de 47 000 habitants. «Notre parc industriel va profiter également de ce futur aménagement. Il était temps qu'une entente intervienne pour les deux municipalités», a indiqué le directeur général de Blainville, Paul Allard. Lors de l'entretien, M. Meilleur a déclaré que le projet Lac Mirabel n'entre aucunement en compétition avec le Faubourg Boisbriand (ancien site de General Motors) présentement en construction au carrefour des autoroutes 15 et 640, le centre commercial Place Rosemère et la série de magasins que l'on retrouve le long de la 15 à Saint-Jérôme; bien que le tout se trouve dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres. De plus, il existe un vaste projet pour le site de l'ex-aéroport de Mirabel qui comportera notamment des glissades d'eau d'un nouveau type. ----------------------------------------- The Lac Mirabel development, which will encompass more than 14 million square-feet and include 2.2 million square-feet of retail space. Le projet lac mirabel sera le plus gros en terme de superficie, mais pas le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: deuxième communiqué posté sur ce fil. Le super centre d'achats de Dubaï aura 9.6 millions de pieds carrés de locatif pour magasins sur un terrain de 12.1 millions de pieds carrés. De loin le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Dubai_Mall Les chiffres indiqués ici représentes les espaces à louer et non la superficie totale.
  7. Puisque c'est une étude, j'ignore si j'aurais du la mettre dans vision. Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. https://maps.google.com/maps?q=45.522022,-73.707404&ll=45.484718,-73.556643&spn=0.00859,0.021136&num=1&t=h&z=16
  8. Voilà une occasion pour Cataclaw de se faire aller les méninges! J'ai bien hâte de voir quel genre de projet il va y avoir là. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201011/01/01-4338036-un-parc-industriel-de-longueuil-change-de-vocation.php
  9. brubru

    101 St-Viateur

    Quoi faire des méga bloc industriel ? Lui il a trouvé la solution ! http://www.youtube.com/watch?v=jkczNuX33V4
  10. Petit projet situé sur la rue Wellington à Verdun et qui rempli bien un terrain vacant. De plus, il s'intègre bien dans le tissu urbain d'époque industriel de ce coin. http://w4455.ca/
  11. Salut ! J'ai une vision qui me trote dans la tête depuis un bout. Avant Après Je m'explique, je trouve que l'ancien incinérateur des carrières est très mal utilisé, il l'est pas !, je le trouve vraiment extra ! il est vraiment futuriste. Je trouve qu'il représente bien le Montréal industriel. Ma vision, un musée sur l'histoire industriel, à l'intérieur, des expositions de photo, des écran qui diffuse des documentaires sur le Montréal industriel. Les tours, je leurs installent des escaliers tournant avec un poste d'observation au sommet, le tout protégé par une tour de verre et une terrasse sur le toit. Le terrain devient un parc urbain. Mon plan n'est pas super, je vais l'améliorer.
  12. Le groupe industriel indien Tata lance officiellement la Nano, une automobile réduite à sa plus simple expression et destinée à la nouvelle classe moyenne indienne. Pour en lire plus...
  13. Le conglomérat industriel United Technologies, propriétaire entre autres de Pratt Whitney, supprimera quelque 11600 emplois en raison de la chute de ses ventes. Pour en lire plus...
  14. Mairesse de Drummondville depuis 1987, Francine Ruest Jutras incarne cette relation étroite entre élus locaux et monde des affaires. Pour en lire plus...
  15. Les ouragans Gustave et Ike ont soufflé fort sur les revenus et profits trimestriels du groupe industriel CVTech, de Drummondville. Pour en lire plus...
  16. Le conglomérat industriel allemand fait encore le ménage dans ses activités de télécoms, cédant 80% de sa division SHC. Pour en lire plus...
  17. Le géant industriel allemand réduit son personnel de 4,2% à l'échelle mondiale pour abaisser ses coûts. Pour en lire plus...
  18. Le géant industriel français a démenti formellement lundi envisager une alliance stratégique avec le groupe britannique. Pour en lire plus...
  19. La Presse Le jeudi 05 juillet 2007 Canadian Tire entend construire un des plus gros entrepôts en Amérique du Nord à l'ouest de l'île de Montréal. Le hic: il faudra d'abord faire disparaître des terres agricoles d'une superficie comparable à celle du parc du Mont-Royal. La MRC de Vaudreuil-Soulanges appuie avec grand enthousiasme le projet. Elle a déposé une demande de changement de zonage en ce sens devant la Commission de protection du territoire agricole. D'une rare envergure, l'entrepôt en question serait construit sur des terres agricoles de 181 hectares situées à Coteau-du-Lac (le parc du Mont-Royal, à titre comparatif, couvre 214 hectares). Il s'agit de terrains appartenant depuis peu au parc industriel Alta. Le projet, révélé hier par l'hebdomadaire Hudson Gazette, surprend par son ampleur. Il s'agirait en effet de la phase 2 du Centre de distribution que construit actuellement Canadian Tire, lequel doublerait carrément de superficie. Or, à lui seul, le bâtiment de la phase 1 deviendra à terme, avec ses 1,6 million de pieds carrés, «le plus gros bâtiment industriel au Canada», selon la firme chargée de la construction, Broccolini. Avec ses convoyeurs longs de 20 kilomètres, l'édifice principal constituera ainsi le coeur de la phase 1, aménagée sur un gigantesque terrain de 7,3 millions de pieds carrés. S'y ajouteront deux plus petits bâtiments, un centre d'entretien de l'équipement ainsi que de vastes espaces pouvant accueillir 1700 remorques, 800 voitures et 2000 conteneurs. «Il va sans dire que le bâtiment et les travaux sont d'une proportion inimaginable», précise Broccolini sur son site Internet. Or la seconde phase, prévue en terres agricoles, s'annonce tout aussi imposante que la première. «Canadian Tire souhaite ajouter 1,5 million de pieds carrés supplémentaires, ce qui donnerait un bâtiment de plus de 3 millions de pieds carrés, a précisé en entrevue le maire de Coteau-du-Lac, Robert Sauvé. Ce serait possiblement le plus gros bâtiment industriel en Amérique du Nord.» Et qu'en est-il de la perte des terres agricoles dans cette région réputée pour la richesse de ses sols? «Les terres sont effectivement riches dans la région, mais ce n'est pas le cas de celles qu'on demande, a précisé le maire. Il s'agirait de terres ayant une faible valeur.» Du côté de Canadian Tire, la porte-parole, Caroline Casselman, a refusé de commenter, se contentant de confirmer l'existence d'une «éventuelle phase 2». «Nous avons bien une option sur ce terrain, mais rien n'est officiel, a-t-elle dit. Il est donc prématuré d'en parler.» La circonspection du géant de la vente au détail n'est cependant pas partagée par la MRC, laquelle entend se battre pour que le projet voie le jour. Échaudées par les annonces de fermeture de Goodyear et de Gildan à Salaberry-de-Valleyfield, non loin, les 23 municipalités de la MRC ont toutes adopté une résolution d'appui au projet de Canadian Tire. «C'est sûr qu'il ne faut pas faire disparaître toutes les terres agricoles, reconnaît le préfet de la MRC de Vaudreuil-Soulanges, Normand Ménard. Ce n'est pas ça le but. Seulement, c'est un projet de grande envergure. Il ne faut pas le voir partir.» La crainte des maires est que des emplois partent vers Cornwall s'ils refusent le projet. Selon le Hudson Gazette, le préfet a soutenu à plusieurs reprises devant ses collègues, ces derniers mois, qu'une telle conclusion serait inévitable si Canadian Tire se voyait refuser son projet d'agrandissement. La résolution adoptée par chacune des municipalités précise ainsi que la Commission de protection du territoire agricole doit prendre «en considération la situation économique difficile de la région». En outre, on vante le «potentiel de développement» du parc industriel Alta, dont le président du Groupe Canam, Marcel Dutil, est actionnaire. Les audiences publiques ont déjà été remises à plusieurs reprises ces derniers jours. D'abord prévues pour l'été, elles ont été reportées, aux dernières nouvelles, au 19 septembre. Ni l'Union des producteurs agricoles ni le cabinet du ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, n'ont rappelé La Presse.
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