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37 résultats trouvés
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Les ventes de véhicules neufs au Canada, en baisse depuis septembre 2008, ont fléchi de près de 15% en décembre dernier. Pour en lire plus...
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Trois secteurs porteurs au Québec Canada Industrie des télécommunications Informatique Véhicules et matériels de transport Francophone, proche de l'immense marché états-unien, proposant une fiscalité intéressante et une main d'oeuvre hautement qualifiée, le Québec a de quoi séduire les candidats à l'export... et à l'implantation définitive. Pour ceux que le rêve américain tente toujours, nous avons sélectionné trois secteurs parmi les plus prometteurs. L'aérospatiale et l'aéronautique Cette industrie « pèse » 12 milliards de dollars canadiens (CAD. Elle regroupe 42 000 employés et 235 entreprises. La présence de grands donneurs d'ordres, chefs de file mondiaux (Bell Helicopter, Bombardier, CAE, Pratt and Whitney…) dont les ventes représentent 70 % de l'ensemble de l'industrie, soit 8 milliards de CAD, explique en partie le succès de cette industrie qui regorge de marchés de niche. Par exemple, le Québec est une plateforme de premier choix pour pénétrer le très lucratif marché des avions légers aux Etats-Unis. Automobile et matériel de transport 800 entreprises, 7,2 milliards de CAD de chiffre d’affaires : des chiffres élevés pour un pays qui ne construit aucune voiture ! Regroupant l’automobile, les véhicules commerciaux, les véhicules récréatifs et le matériel ferroviaire, cette industrie bénéficie d’une masse critique d’entreprises et d’une abondance de matières premières en particulier l’aluminium dont le Québec est le quatrième producteur mondial. Le marché des pièces détachées représente 75 % de la production dont la moitié est exportée aux USA. Multimédia Toute l’activité de production de contenus numériques interactifs est représentée au Québec : les jeux électroniques bien sûr, mais aussi les effets spéciaux, l’animation 2 et 3D, la publicité ou encore les services internet. La présence de grands éditeurs comme Ubisoft, Eidos (SCI), A2M ou encore Beenox Studios (Activision) y est pour beaucoup. Mais il faut aussi compter sur les 3000 diplômés par an en sciences informatiques. Une gageure pour un territoire qui ne compte que 7 millions d’habitants (dont la moitié à Montréal). Sophie Creusillet http://www.lemoci.com/node/15557
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Après avoir bâti leur industrie en mettant en valeur une multitude de produits, les publicitaires québécois doivent maintenant passer à une nouvelle étape et se vendre eux-mêmes. Pour en lire plus...
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Des téléviseurs branchés aux téléphones intelligents, le Consumer Electronics Show a été marqué par des nouveautés qui font de plus en plus de place au contenu vidéo tiré d'Internet. Pour en lire plus...
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Du multilogement plutôt qu'une industrie par Stéphane St-Amour C'est sur le terrain en friche à l'intersection nord-ouest du boulevard Saint-Martin et de la rue Montgolfier (à gauche dans le bas de la photo) que s'élèvera, au printemps, un bâtiment contigu de deux et quatre étages, qui abritera jusqu'à un maximum de 46 unités d'habitation. Du multilogement plutôt qu'une industrie À la dernière assemblée de consultation publique, un groupe de citoyens avait à choisir pour éventuel voisin entre un bâtiment multifamilial d'une quarantaine de logements et une industrie. Le projet de règlement sur la table vise à modifier le zonage au quadrant nord-ouest du boulevard Saint-Martin et de la rue Montgolfier, dans le quartier Chomedey. Face à ce terrain en friche se dressent cinq maisons unifamiliales isolées, dont les propriétaires s'étaient déplacés à l'hôtel de ville pour tenter de réduire la hauteur du bâtiment de quatre étages que souhaitent y ériger les promoteurs, représentant la compagnie Pontmax inc. «Si on dit non à ça, on va se retrouver avec une industrie à la place», leur a clairement signifié le maire Gilles Vaillancourt. En fait, si le zonage actuel limite la construction résidentielle à des bâtiments unifamiliaux, bi et trifamiliaux, le zonage permet également l'implantation industrielle dans ce secteur avoisinant l'autoroute 13. Pour rassurer les voisins, qui se montraient inquiets, le maire a fait valoir les «avantages» que présentait le bâtiment proposé par rapport à un immeuble de 3 étages. «Il s'agit d'un immeuble LEED [leadership en matière d'énergie et d'environnement] avant-gardiste avec garage intérieur [au moins 25 % des cases de stationnement devront être aménagées dans le sous-sol du bâtiment], ascenseur et système géothermique», a-t-il décliné, faisant valoir «la qualité du projet». «C'est vous qui prendrez la décision; on peut oublier le projet», a rappelé M. Vaillancourt aux citoyens, qui semblaient se rallier au projet de règlement, lequel est soumis au processus d'approbation référendaire. Outre un minimum de 1,5 case de stationnement par logement dont 25 % en souterrain, les exigences imposées aux promoteurs les contraignent notamment à limiter l'accès aux aires de stationnement exclusivement par la rue Montgolfier, à respecter une zone tampon de 18 pieds aménagée le long d'une zone industrielle (sauf vis-à-vis une allée d'accès) et à planter arbres et arbustes en bordure du boulevard Saint-Martin Ouest et de tout terrain résidentiel. Appelés à participer à la discussion, les promoteurs et leur architecte Frédéric Giasson ne savaient toujours pas si les unités du bâtiment seraient vendues en copropriété ou mises en location. Si tout va comme ils le souhaitent, le projet serait mis en chantier au printemps prochain. --------------------------- Plus de politiciens devraient mettre leur culottes et remettre les nimby à leur place... bravo M. Vaillancourt.
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Industrie automobile : Compressions chez Fiat, Nissan et Mitsubishi
un sujet a posté mtlurb dans L'actualité
La déprime économique mondiale frappe durement le secteur de l'automobile. Mises à pied et compressions se multiplient chez les grands fabricants de véhicules comme Nissan, Fiat ou Mitsubishi. Pour en lire plus...-
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Au moment où Ottawa et Toronto s'apprêtent à aider financièrement l'industrie automobile, un rapport laisse entendre que l'effondrement de cette industrie pourrait entraîner la perte de centaines de milliers d'emplois au pays. Pour en lire plus...
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La banque montréalaise n'échappe pas à la tendance lourde de son industrie: ses profits ont reculé à 27,3 M$ à son quatrième trimestre. Pour en lire plus...
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La Commission de la construction du Québec prévoit que son industrie parviendra à se maintenir malgré la crise financière en raison des investissements gouvernementaux dans les infrastructures. Pour en lire plus...
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L'industrie automobile de l'Ontario va perdre de son ampleur et d'autres d'emplois vont disparaître même si les constructeurs en difficulté reçoivent de l'aide publique, a affirmé le premier ministre de la province. Pour en lire plus...
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Publié le 16 novembre 2008 à 08h08 | Mis à jour à 08h09 Aider l'Ontario? Alain Dubuc La Presse Le premier ministre ontarien David McGuinty se bat pour convaincre le gouvernement fédéral de participer à un plan de sauvetage de l'industrie automobile, dont les déboires frappent durement sa province. Les conservateurs, pourtant peu portés sur ce genre d'intervention, envoient des signaux indiquant qu'ils vont sans doute se laisser convaincre. Il y a beaucoup d'argent en jeu. Peut-être un milliard. Comment réagir? En principe, il y a un rituel canadien pour la chose. Au Québec, il faut être contre, parce que l'auto, c'est en Ontario. De la même façon que les Ontariens dénoncent invariablement le soutien à l'aérospatiale, même si cette aide a donné des fruits. Ou que les gens de l'Ouest s'indignent des règles sur les brevets qui favorisent une industrie pharmaceutique concentrée à Montréal. À l'inverse, le torontois National Post, allergique à l'aide étatique, a marché sur ses principes cette semaine pour appuyer une aide à l'automobile. Bref, la loi du clocher. Il faudrait pouvoir s'extraire de cette logique paroissiale. L'effondrement de l'industrie automobile est une catastrophe pour l'Ontario, dont c'est la principale industrie, qui compte pour le quart de ses exportations. C'est ce qui fait que la province voisine est plus malmenée que le Québec par la conjoncture. Si, par exemple, le Conference Board estime que l'Ontario frôlera la récession mais que le Québec l'évitera, c'est largement parce que l'Ontario est plombé par son industrie automobile tandis que le Québec est soutenu par son aérospatiale. On peut parfaitement comprendre que le gouvernement canadien en vienne à conclure qu'il ne peut pas abandonner à son sort l'Ontario, la principale province canadienne et son coeur industriel. Le Québec ne doit pas non plus être indifférent, en raison de l'intégration des deux économies. Les difficultés ontariennes vont nous toucher. Voilà pour les grands principes et les bons sentiments. Mais ce sera compliqué. Tout d'abord, il faut rappeler que ce n'est pas l'industrie automobile qui est en crise, mais les trois géants américains, GM, Ford et Chrysler. Par exemple, Honda, qui fabrique ses Civic au Canada, n'est pas au bord du gouffre. Leurs problèmes, même s'ils ont été amplifiés par la crise financière et ses effets sur la demande, remontent à bien plus loin. Ils s'expliquent largement par une structure de coûts intenables, l'inefficacité d'une gestion qui multipliait les marques, une stratégie désastreuse qui a misé sur des modèles déphasés. Une aide à cette industrie est certainement une sorte de prime à l'incompétence. Pour cette raison, l'argument de McGuinty et du chef néo-démocrate Jack Layton, qui s'indignent du fait que l'on aide les banques et pas l'automobile, ne tient pas la route. Le soutien aux banques s'inscrit dans un effort global pour enrayer la crise financière. Ce n'est pas une aide aux banques, qui sont en bonne santé, mais une intervention pour faciliter le crédit. Et elle ne coûtera rien au Trésor public. Ce n'est pas un débat théorique. En aidant GM, on soutient une entreprise pratiquement en faillite. Les deux autres grands ne vont pas tellement mieux. La doctrine contemporaine veut que l'on évite de soutenir des canards boiteux. GM n'entre même plus dans cette catégorie; parlons plutôt d'un volatile en état avancé de décomposition. Le risque est donc énorme que les fonds injectés ne fassent que retarder l'échéance, et que l'on gaspille inutilement des fonds publics. Voilà pourquoi une aide à cette industrie n'a de sens que si celle-ci amorce une restructuration substantielle, de son organisation, de sa stratégie de développement, de sa capacité d'innover, de sa volonté de réduire l'impact environnemental des véhicules, de ses coûts, notamment salariaux. Ce qui mène à un autre problème. Le Canada abrite des filiales des trois grands, sans pouvoir décisionnel, sans influence sur les orientations stratégiques de la maison mère. Les choix vont être faits aux États-Unis par les Américains et pour les Américains. D'autant plus que le président désigné, Barack Obama, en faveur d'un plan de sauvetage, contrairement à George W. Bush, risque de lui donner une coloration protectionniste et l'assortir de conditions pour protéger les jobs des Américains. Une aide canadienne doit donc réussir à s'inscrire dans une dynamique nord-américaine, avec toutes les difficultés que cela implique. Bref, il faut faire quelque chose pour l'automobile. Mais quoi? Les obstacles sont énormes et il sera difficile de concevoir un plan de relance qui soit équitable, intelligent et efficace, qui ne dilapide pas les fonds publics. adubuc@lapresse.ca
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Cette industrie a besoin d'une aide immédiate de l'État pour espérer survivre et n'est pas en état d'attendre fin janvier que Barack Obama s'installe au volant de la première économie mondiale. Pour en lire plus...
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300 travailleurs de l'usine de pièces Nemak Essex Aluminium de Windsor seront mis à pied en février. Pour en lire plus...
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L'allemand Daimler fermera en 2009 son usine de fabrication de camions Sterling, à St. Thomas entraînant la perte de plus de 600 emplois. Pour en lire plus...
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Une poignée d’entrepreneurs québécois ont réussi à préserver un morceau de la future industrie gazière québécoise du grappin des multinationales. Jean-Yves Lavoie, président et chef de la direction de Junex, est l’un d’eux. Pour en lire plus...
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Le fabricant de poutres lamellées Temlam possède deux usines en Abitibi-Témiscamingue, à Amos et Ville-Marie. Près de 200 travailleurs sont touchés. Pour en lire plus...
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Des travailleurs forestiers réclament qu'Ottawa prenne des mesures pour résoudre la crise qui mine leur industrie. Pour en lire plus...
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La privatisation des hippodromes du Québec et le choix de la firme Attractions Hippiques pour relancer cette industrie sont passés au peigne fin en commission parlementaire par les députés de l'opposition. Pour en lire plus...
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