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  1. La chaîne de dépanneurs Alimentation Couche-Tard (ATD.B) a reconnu lundi que sa volonté d'accroître sa présence aux États-Unis pourrait se réaliser par l'acquisition de certaines des 2000 stations-service dont Shell prévoit se départir au cours des prochaines années. «Nous sommes toujours intéressés par n'importe quel actif disponible aux États-Unis pouvant s'intégrer dans notre réseau déjà existant», a indiqué le directeur financier de l'entreprise, Richard Fortin. «Si Shell est vraiment intéressée à vendre certains actifs et nous les offre, nous pourrions être intéressés.» M. Fortin a ajouté que plusieurs publications avaient rapporté que Shell, le troisième plus important exploitant de stations-service et de dépanneurs aux Etats-Unis, voulait se départir de certains de ses éléments situés dans des marchés importants. Jessy Hayem, de Valeurs mobilières Desjardins, a indiqué dans une note de recherche que Couche-Tard entretenait une relation solide avec Shell et occupait une position favorable afin de faire une offre pour certains des actifs de la société pétrolière. Selon elle, l'entreprise pourrait s'intéresser à des stations situées dans des marchés de Houston, Dallas, Portland et Sacramento. Shell entend compléter la vente d'ici au troisième trimestre de 2009. M. Fortin a affirmé n'avoir reçu aucune nouvelle de Shell à propos des ventes projetées et ne peut dire si son entreprise a l'intention de présenter une offre dès la première occasion. Il a ajouté que sa stratégie était d'ajouter des stations dans des marchés où son entreprise est déjà présente. «Nous n'achèterons pas 50 stations-service qui seraient perdues dans des marchés où nous sommes inexistants», a-t-il dit. Alimentation Couche-Tard, dont le siège est à Laval, a fait l'acquisition de 286 points de vente de Shell dans le cadre de trois différentes transactions, en 2004 et 2006. La chaîne prévoit acheter 250 magasins durant l'exercice fiscal 2008, un chiffre largement inférieur à celui des 413 acquisitions effectuées en 2007, l'entreprise préférant concentrer son attention sur l'intégration des quelque 200 magasins acquis de Shell en décembre dernier. M. Fortin a indiqué que son entreprise pouvait utiliser ses marges de crédit et des excédents de trésorerie pour faire des acquisitions.
  2. Pierre-André Normandin La Presse L'augmentation du nombre de décès de piétons sur les routes du Québec incite Montréal à maintenir l'interdiction du virage à droite au feu rouge, a indiqué le maire Denis Coderre. <!-- .excerpt --> La Société d'assurance automobile du Québec a présenté hier le bilan routier sur les routes de la province. Si le nombre de décès a globalement diminué l'an dernier, une hausse de 40 % a été observée chez les piétons. Le maire de Montréal estime que ce bilan peu reluisant met fin au débat lancé par certains maires de l'île pour permettre le virage à droite au feu rouge, comme ailleurs dans la province. « C'est clair qu'il n'y aura pas de virage à droite à Montréal. Ça met le couvercle », a indiqué Denis Coderre ce matin. Pas question de revenir sur cette décision, a-t-il ajouté. « Montréal reste ferme sur cette question. » http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201704/05/01-5085560-le-bilan-routier-scelle-le-sort-du-virage-a-droite-a-montreal.php<strike></strike>
  3. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  4. http://auto.lapresse.ca/technologies/201507/29/01-4888911-la-route-de-demain-prefabriquee-en-plastique-recycle.php Publié le 29 juillet 2015 à 09h46 | Mis à jour à 09h46 La route de demain: préfabriquée en plastique recyclé? Denis Arcand La Presse La route de demain sera faite de plastique recyclé et l'âge d'or de l'asphalte achève, prédit la société néerlandaise VolkerWessels, qui vient de rendre publique sa technologie PlasticRoad. VolkerWessels affirme que ses routes de plastique recyclé se construiraient et s'entretiendraient bien plus rapidement que les routes d'aujourd'hui. Les travaux routiers seraient plus courts: ils se mesureraient en semaines, pas en mois. Et ils seraient moins fréquents. La clef? La préfabrication en usine de segments modulaires et leur installation sur un simple lit de sable. Les routes de plastique dureront trois fois plus longtemps que nos voies asphaltées d'aujourd'hui, et ce, avec un entretien minime, affirme la compagnie. Comme une piste Scalextrix «L'idée est de mouler les segments pour qu'ils s'imbriquent les uns dans les autres. La largeur idéale est d'environ 3,5 m, soit la largeur d'une voie routière», a indiqué à La Presse Simon Jorritsma, conseiller développements nouveaux et techniques spéciales chez InfraLinq, la filiale asphalte de VolkerWessels. «On pourrait aussi faire des pistes cyclables», ajoute-t-il. Autre avantage, le concept PlasticRoad prévoit un espace creux toujours accessible où on pourrait faire passer le câble, les fils électriques alimentant les lampadaires et les feux de circulation, l'aqueduc, les tuyaux d'égout et d'eau de pluie et, un jour, l'infrastructure électronique permettant la conduite autonome des voitures de demain. L'asphalte est un excellent revêtement routier, mais les problèmes liés au pétrole et les besoins nouveaux auxquels font face les entrepreneurs exigent de nouvelles solutions, estime Simon Jorritsma. «Le plastique est une alternative durable très supérieure et ouvre la porte à toutes sortes d'autres innovations, comme la production d'électricité, le chauffage des routes, des surfaces de roulement moins bruyantes et la construction modulaire», écrit-il. Plastique recyclé à 100% «Notre intention est d'utiliser seulement du plastique recyclé», sans adjuvant d'hydrocarbures, a indiqué à La Presse M. Jorritsma, qui fait remarquer que 55% du plastique produit dans le monde est brûlé dans des incinérateurs. «C'est du gaspillage d'incinérer le plastique si on peut le réutiliser et lui donner un usage nouveau de haute qualité [...] pour faire des routes.» Dans une région comme le Québec, avec ses températures extrêmes, une route de plastique tiendrait-elle le coup? «La structure routière PlasticRoad n'est pas affectée par la température ni la corrosion; elle résiste facilement à des températures allant de -40 à 80 degrés Celsius», écrit M. Jorritsma. Épandage de sel Pour ce qui est du sel et du gel, VolkerWessels n'a pas encore de certitude: «Nous voulons développer un prototype avec les bons partenaires et faire des expériences et des tests», a-t-il indiqué à La Presse. Il ajoute que la société travaille sur un système de tuyaux permettant de stocker la chaleur solaire absorbée par la route, et de chauffer la route assez pour éviter le gel (et le sel) aux températures modérées. La PlasticRoad a un autre argument intéressant, compte tenu des scandales récents dans la construction au Québec: ce sera «beaucoup plus facile de vérifier la qualité de la route (rigidité, écoulement des eaux, etc.)». La question de l'adhérence, surtout au froid, est un élément majeur: «Premièrement, on va voir si on peut rendre antidérapant le plastique lui-même. Si ça ne marche pas, on pourrait intégrer du sable ou du gravier dans la surface de roulement», a indiqué M. Jorritsma. Et combien coûterait la Plastic Road? «À ce stade-ci, on ne peut pas encore parler du coût par kilomètre», a répondu M. Jorritsma. La ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a déjà signalé son intérêt à faire un projet-pilote sur ses rues urbaines. M. Jorritsma ajoute que plusieurs villes sont intéressées à participer à des projets-pilotes, dans plusieurs pays du monde.
  5. Saputo regarde du côté de l’Australie 21 juillet 2008 - 11h19 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Saputo (SAP) est parmi les trois acheteurs potentiels à vouloir mettre la main sur la laitière Australian Dairy Farms. Il s’agirait d’une acquisition de près de 1 G$. C’est ce que rapporte Bloomberg qui relaie l’information de l’Australian Financial Review. Le géant Parmalat et la coopérative australienne Murray Goulburn seraient également sur les rangs. Click here to find out more! Pour Saputo, il s’agirait d’une première incursion dans le marché australien. Ces offres ont été déposées vendredi dernier après que Dairy Farmers a indiqué que ses profits allaient dépasser la hausse prévue initialement de 15 à 25%. La direction de l’entreprise n’a pas voulu commenter la possible transaction à LaPresseAffaires.com. Outre le Canada, Saputo possède en ce moment des usines aux États-Unis, en Argentine, en Allemagne et au Royaume-Uni. À la Bourse de Toronto, vers midi, l’action de Saputo pointait à 27,07 $ en hausse de 9 cents.
  6. Complexe de la rivière Romaine Un branchement de 1,5 milliard Mise à jour le vendredi 20 juin 2008, 17 h 36 . Hydro-Québec a présenté cette semaine son projet de transport électrique pour le futur complexe de la Romaine aux populations de Sept-Îles et de la Minganie. La construction de 500 kilomètres de lignes de transport électrique pour brancher les quatre centrales est maintenant évaluée à 1,5 milliard, soit 500 millions de plus qu'en 2006. Cette augmentation est surtout attribuable, selon la société d'État, aux frais de financement et d'intérêts. Hydro-Québec a aussi modifié son tracé à la suite de consultations, ce qui permet d'éviter une bonne partie d'une réserve faunique, des sentiers de ski de fond, des chalets et la route 138. La porte-parole de la société d'État, Marie-Julie Roy, indique que le tracé traverse la 138 à une seule place, soit au poste Arnaud. « C'était très important pour nous de préserver le paysage en abord du fleuve », indique Mme Roy. Les lignes de transport seront érigées à partir de 2011 si la construction du complexe de la Romaine commence l'an prochain comme prévu. Les retombées économiques régionales de la construction des lignes de transport sont évaluées à 128 millions de dollars. « Ce sont essentiellement des contrats, entre autres du déboisement, de la sous-traitance, de la main-d'oeuvre, de l'achat local et également des possibilités d'hébergement », explique Mme Roy. En moyenne, le chantier embauchera 90 travailleurs par année pendant 10 ans. Hydro-Québec poursuit ses pourparlers avec les Innus de Mingan et de Sept-Iles-Malioténam sur le versement de redevances puisque les lignes de transport passeraient au-dessus de leur territoire ancestral. La société d'État déposera son étude d'impact l'an prochain. Hydro-Québec souhaite construire un complexe hydroélectrique d'environ 1500 mégawatts (MW) sur la rivière Romaine, au nord de Havre-Saint-Pierre. Les centrales pourraient entrer en service en 2013-2015. Le projet est évalué à 6,5 milliards de dollars. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/20/010-romaine-transport.asp?ref=rss
  7. http://www.985fm.ca/economie/nouvelles/sears-canada-supprime-plus-de-1600-postes-pres-de-294144.html TORONTO - Sears Canada (TSX:SCC) a annoncé mercredi une nouvelle vague de licenciements touchant plus de 1600 travailleurs, dont près de la moitié à Montréal. Le détaillant a indiqué avoir supprimé 283 emplois dans ses entrepôts à travers le pays, espérant ainsi simplifier ses activités logistiques. Sears Canada a en outre dévoilé qu'il impartirait le travail de ses trois centres d'appels pour clients à Toronto, Montréal et Belleville, en Ontario, une décision qui éliminera 1345 emplois au cours des neuf prochains mois. Selon le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa, un total de 771 employés devraient donc subir une mise à pied au centre de contacts clients et au centre de logistique situés dans cet arrondissement montréalais. Le président et chef de la direction de Sears Canada, Doug Campbell, a indiqué que les suppressions d'emplois sont nécessaires à la santé de l'entreprise. «Les décisions de ce genre ne sont pas prises sans une réflexion profonde. (...) Nous planifions pour l'avenir de Sears Canada, et prenons des mesures maintenant qui nous permettront de continuer de servir nos clients», a-t-il fait valoir. Sears Canada tente de réduire ses coûts et d'améliorer ses activités dans le cadre d'un plan de redressement de trois ans visant à s'ajuster à la forte concurrence du secteur du détail. La société a fermé certains de ses magasins les plus en vue et réduit le nombre d'employés dans l'ensemble de ses activités. Les entrepôts touchés par les mises à pied les plus immédiates sont situés à Calgary, Montréal, Belleville et Vaughn, en Ontario, et en banlieue de Vancouver, a précisé le porte-parole Dan Madge. IBM deviendra fournisseur indépendant pour les services à la clientèle, les activités téléphoniques en anglais étant établies aux Philippines et celles en français émanant d'un bureau en Europe, a indiqué le porte-parole Vince Power. Sears Canada réduit l'ampleur de ses centres d'appel depuis plusieurs années. Depuis l'an dernier, Sears Canada a vendu les baux de certains de ses principaux emplacements, et a été plus agressif dans sa réduction du nombre d'employés dans l'ensemble de ses activités, allant des postes au siège social jusqu'aux services aux clients.
  8. 07/08/2012 Mise à jour: 7 août 2012 | 15:11 Ajuster la taille du texte Le boom touristique montréalais décortiqué Le renouveau du tourisme montréalais analysé par deux de ses acteurs. Au début des années 1990, la ville faisait pâle figure sur la scène touristique. Le Biodôme et le Casino n’existaient pas et le Vieux-Port n’avait pas encore été réaménagé. Vingt-cinq ans plus tard, Montréal est méconnaissable. Le tourisme a bondi de 56% et la ville a connu le plus gros boom hôtelier de la décennie en Amérique du Nord avec 3000 chambres de plus (+16%). La ville figure désormais dans des dizaines de palmarès et concurrence des villes comme Barcelone et Berlin dans le créneau de ville relax et créative. Comment y est-on arrivé? «Tout a commencé en 1992 par les célébrations du 350e anniversaire de fondation de Montréal», indique Pierre Bellerose, porte-parole de Tourisme Montréal. Pour l’occasion les différents paliers de gouvernement ont mis la main à la poche. L’ancien vélodrome des Jeux olympiques de 1976 est devenu le Biodôme, le Vieux-Port s’est transformé en zone touristique et l’ancien pavillon de la France à l’Expo 67 est devenu le Casino de Montréal. Ces trois pôles d’attraction touristiques cumulent aujourd’hui à eux trois 13 millions de visiteurs par an, selon les données compilées par Tourisme Montréal. «Mais la grande réussite aura été de créer de nouveaux quartiers pour unifier le tout», ajoute M. Bellerose. Sur l’autoroute Ville-Marie en partie recouverte, le Quartier international a été créé. En plus d’accueillir de nouvelles tour à bureaux et le Palais des congrès et ses milliers de congressistes, le Quartier international permet de combler le no man’s land qui existait entre le Vieux-Montréal et le centre-ville. Le même travail est actuellement fait avec le Quartier des spectacles. L’Adresse symphonique, la place des Festivals et le 2.22 deviennent des pôles d’attraction pour les touristes, même si certains reprochent la trop grande place laissée au béton dans le concept de réaménagement. L’autre grande force de Montréal est d’avoir su suivre la voie de la diversification du tourisme. «Avant les touristes formait un bloc plutôt homogène pour ne pas dire monolithique; aujourd’hui c’est différent il faut faire du tourisme à la carte», illustre Ruby Roy, présidente du CA de l’Association professionnelle des guides touristiques de Montréal (APGT). Il y a 20 ans, Mme Roy était l’une des seules à faire des tours à vélo. Aujourd’hui, 15% des 150 membres de son association offrent une telle option. Montréal s’est aussi positionnée avec succès comme une destination gaie par excellence derrière San Francisco. Elle est en voie de faire de même du côté gastronomique et l’année 2012 s’annonce comme une année record pour le nombre de croisières jetant l’ancre à Montréal. L’apport de Bixi au tourisme doit aussi être souligné. «Grâce à BIXI, des secteurs moins bien desservis par le transport en commun, comme le canal Lachine, bénéficient d’un afflux de touristes», indique M. Bellerose. Selon les statistiques de l’organisme 8% des touristes ont utilisé le service en 2011. Les legs gouvernementaux liés au 375e anniversaire de Montréal en 2017 seront-ils aussi profitables? Le porte-parole de Tourisme Montréal n’en est pas sûr. «Je ne crois pas qu’on verra naître de nouvelles institutions, l’idée c’est plutôt de faire croître ce qu’on a déjà», dit-il. Parmi les mesures déjà annoncées, signalons la création d’une promenade le long du fleuve au niveau du parc Jean-Drapeau, la rénovation de la place des Nations et la mise en valeur des fondations de l’ancien parlement en aménageant un corridor souterrain à partir du musée Pointe-à-Callières dans un ancien égout pluvial. 5% d’insatisfaits Chaque année, Montréal compte 5% de visiteurs qui ne conseilleront absolument pas Montréal comme destination touristique. «Que ce soit des touristes venus visiter de la famille à Montréal ou des gens d’affaires, ils ont en commun de venir à Montréal par obligation et de ne pas aimer les grandes villes», indique M. Bellerose. La propreté, les embouteillages ou le fait de ne pas arriver à être accueilli en français dans certains commerces figurent parmi les principaux irritants. 32M$ C’est le budget annuel de Tourisme Montréal qui emploie 80 personnes. Les deux tiers de cette somme proviennent de la taxe de 3,5% sur les chambres d’hôtel. Des tours qui détonnent Quelques tours guidés qui sortent du lot. Avec un Montréalais. Des visites personnalisées données par des habitants d’ici. On est particulièrement intrigué par celle-ci : Jouer au golf avec un pro. Saveurs et arômes du Vieux-Montréal. Ou comment découvrir, en mangeant, que la culture amérindienne influence certains de nos plats. Tours guidés vélo et yoga de Fitz et Follwell. Pour les touristes granos qui s’assument. http://journalmetro.com/actualites/montreal/135379/le-boom-touristique-montrealais-decortique/
  9. Les entreprises Simon Property Group, Calloway (T.CWT.UN) et SmartCentres ont annoncé mardi la construction l'an prochain d'un complexe «Premium Outlet Center» à Mirabel, au nord de Montréal. Le centre commercial sera érigé sur le chemin Notre-Dame, près de l'autoroute des Laurentides, ont indiqué les firmes dans un communiqué. Les détails financiers n'ont pas été rendus publics. La première phase du projet comprendra 350 000 pieds carrés de superficie locative et 80 magasins. Sa construction devrait débuter en 2013. Le premier «Premium Outlet Center» au Canada doit ouvrir à l'été 2013 à Halton Hills, en Ontario. Le concept est d'offrir de la marchandise haut de gamme à prix réduit. Le maire de Mirabel, Hubert Meilleur, a indiqué que le projet permettrait de développer une partie des terrains du Lac Mirabel. Il a offert «la pleine collaboration» de la ville aux promoteurs. Simon Property Group, qui se présente comme la plus importante société immobilière au monde, exploite 70 Premium Outlet Centers, dont 57 aux États-Unis, un à Porto Rico, huit au Japon, deux en Corée, un en Malaisie et un au Mexique. Calloway est l'un des plus importants fonds de placement immobilier au Canada alors que SmartCentres est une entreprise canadienne privée qui a construit plus de 200 centres commerciaux. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201205/22/01-4527515-un-nouveau-centre-commercial-sera-construit-a-mirabel.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9
  10. Le géant franco-américain Yoplait sollicite l'aide du gouvernement du Québec pour son projet de construction d'une nouvelle usine de yogourt. L'entreprise a amorcé à cet effet des démarches avec le bras financier du gouvernement, Investissement Québec, indique le registre des lobbyistes. On envisage de demander une subvention, un prêt et des crédits d'impôt, précise la fiche d'information, publiée jeudi dernier. ttp://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/agroalimentaire/201203/19/01-4507119-yoplait-demande-laide-de-quebec-pour-une-nouvelle-usine.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  11. Un investissement de 120 M $ L'UdeS projette de construire deux tours à Longueuil Claude Plante La Tribune Sherbrooke L'Université de Sherbrooke construira tout près de la station de métro de Longueuil un complexe universitaire qui commandera l'investissement de 120 millions $ en deux phases. Le projet comporte l'érection de deux tours, l'une de 17 étages et l'autre de 12 étages, ce qui représente quelque 45 000 m2 de plancher. Ce premier complexe universitaire sur la Rive-Sud permettra à l'Université d'y loger son Campus de Longueuil dès 2008 pour répondre aux besoins croissants de la population longueuilloise et montérégienne, indique un communiqué. La première phase, de l'ordre de 75 millions, comprend la tour universitaire de 17 étages et un atrium qui seront ouverts en 2008, a-t-on indiqué en conférence de presse à Longueuil lundi avant-midi. La seconde phase, de l'ordre de 45 millions, consiste en une tour de 12 étages dont la construction pourrait débuter d'ici cinq ans en fonction du développement des activités du Campus de Longueuil, a indiqué le recteur de l'Université de Sherbrooke, Bruno-Marie Béchard. Active en Montérégie depuis plus de quatre décennies, l'Université de Sherbrooke a fondé son Campus de Longueuil en 1989. Il compte aujourd'hui quelque 10 000 personnes en lien avec les neuf facultés de l'Université, aux niveaux du baccalauréat, de la maîtrise comme du doctorat. Le Campus de Longueuil offre plus de 90 programmes, majoritairement en formation continue pour les professionnels en exercice, en plus de loger des activités de recherche, notamment en collaboration avec l'Hôpital Charles LeMoyne, affilié à l'Université de Sherbrooke, et plusieurs organismes et entreprises de la Montérégie.
  12. '' MONTRÉAL - La fumée des multiples feux de forêt qui font rage au Québec présentement a enveloppé Montréal dans la nuit de dimanche à lundi. La ville de Québec a également été envahie par la fumée dimanche soir en raison ce ces nombreux incendies qui sévissent dans plusieurs régions du Québec. Plus tôt dans la journée, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) avait indiqué qu'il fallait s'attendre à ce qu'au cours des prochains jours, des cendres et de la fumée descendent le long du corridor Québec-Montréal. Un scénario qui ne représente aucun risque, assure-t-on. Selon le porte-parole de la SOPFEU, Marcel Trudel, cet écran visible de smog était normal compte tenu de la situation. Toutefois, plusieurs résidants inquiets ont pris d'assaut les lignes téléphoniques pour se faire rassurer. La SOPFEU croise les doigts et espère que la pluie prévue pour lundi viendra aider les pompiers à maîtriser les 52 incendies toujours actifs. Huit brasiers sont toujours hors de contrôle et leur taille va en augmentant. Au total, plus de 83 000 hectares de forêt sont touchés par les feux. M. Trudel a indiqué dimanche que pour l'heure, les conditions météorologiques compliquent le travail des sapeurs puisque les vents sont importants, que le soleil est au rendez-vous et que le combustible des feux est sec. Il a demandé à la population de cesser de téléphoner à la SOPFEU, car les lignes de l'organisation sont saturées. Au total, c'est environ 1200 personnes qui sont à pied d'oeuvre pour combattre les flammes sur le territoire québécois. Plusieurs sapeurs viennent de diverses provinces canadiennes et des États-Unis. Leur priorité est de protéger les villages menacés par les brasiers a souligné M. Trudel. Celui qui menace la réserve de Wemotaci, en Haute-Mauricie, demeure le plus préoccupant, mais les combattants des flammes réussissent à contenir son avancée. Le personnel de la SOPFEU a par ailleurs été évacué de la réserve de Wemotaci, notamment en raison des forts vents. Les évacués de trois communautés autochtones de cette partie du territoire devront prendre leur mal en patience pour encore quelques jours, même si quelques-uns ont pu réintégrer leur domicile samedi, a fait savoir le porte-parole de la Croix Rouge Vincent Ostiguy. Il a par ailleurs indiqué que son organisation avait mis en place un centre d'hébergement à LaTuque pouvant accueillir jusqu'à 325 personnes. De son côté, la porte-parole de la Sûreté du Québec Éloïse Cossette a rappelé que la police avait mis en place des points de blocage sur les routes 1, 10, 22 et 25 afin d'interdire toute circulation sur ses artères dans les secteurs touchés par les feux. Autres détails sur les feux de forêt et carte de l'interdiction des feux à ciel ouvert disponibles sur le site de la SOPFEU'' Ça sent le feu de camp ! je sens que ça va freaker à Montréal aujourd'hui !
  13. Danielle Bonneau La Presse Adieu mer d'asphalte et immenses terrains sous-utilisés le long du boulevard Newman, à proximité du Carrefour Angrignon et de la station de métro du même nom. L'arrondissement de LaSalle a récemment changé son règlement de zonage pour donner naissance au Quartier Angrignon et permettre la construction d'immeubles résidentiels de six, douze et même seize étages selon les endroits. Tout un changement pour cette ancienne municipalité réputée pour ses plex! Le but visé: se servir du pouvoir d'attraction de la station de métro Angrignon pour donner un nouveau souffle au secteur environnant selon les principes du TOD (Transit Oriented Development ou développement axé sur le transport en commun). Environ 3000 nouveaux logements de diverses typologies pourraient ainsi s'ajouter au cours des prochaines années dans le nouveau quartier. «En ceinturant le boulevard Newman d'édifices de haute densité, nous pourrons rentabiliser les infrastructures existantes, obtenir de nouveaux revenus et conserver un compte de taxe intéressant pour les LaSallois, indique la mairesse, Manon Barbe, responsable du transport au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal. Cela nous permettra d'offrir un nouveau type d'habitation qui n'existait pas à LaSalle, à l'exception de résidences pour personnes retraitées.»» Les premières tours Les Tours Angrignon, du Réseau Sélection, situées à côté de la station de métro Angrignon, ont été les premiers édifices en hauteur de l'arrondissement. Les deux premières tours, inaugurés en 2004 et 2005, comptent chacun 16 étages. Le troisième immeuble locatif, en construction, aura 12 étages. S'inscrivant dans la vision de l'arrondissement, cette phase III est le premier projet à se concrétiser dans le Quartier Angrignon. «Nous avons voulu construire des tours en hauteur pour que notre clientèle, formée de retraités actifs, profite de la très belle vue sur les environs, explique Réal Bouclin, président du Réseau Sélection. Ce site est intéressant pour l'ensemble des services offerts à proximité, que ce soit le Carrefour Angrignon, les commerces le long du boulevard Newman, le parc Angrignon et la station de métro. Celle-ci est très pratique pour ceux qui viennent visiter leurs proches.» D'autres projets sont à l'étape de la conception. Les Constructions G. Melatti, entreprise familiale très active à LaSalle depuis plus de 40 ans, veut réaliser un complexe haut de gamme d'environ 300 unités, répartis dans trois immeubles de 12 étages. Ceux-ci devraient être construits à l'intersection des boulevards Newman et des Trinitaires, à côté des Tours Angrignon. «LaSalle est en transition, indique avec satisfaction Gino Melatti Junior. Il faut construire en hauteur, dans certains secteurs, pour être compétitif avec les autres arrondissements.» En 2008, selon les données de la Société d'hypothèques et de logement (SCHL), il n'y a eu que 50 mises en chantiers résidentielles à LaSalle, comparativement à 105 à Lachine, 139 à Verdun et 355 dans le Sud-Ouest, note Gilles Dubien, directeur général de la Chambre de commerce et d'industrie du Sud-Ouest de Montréal, active dans les quatre secteurs. Absence de terrains «Il n'y a plus de terrains à développer, renchérit l'architecte Michel Langlois, un des directeurs du conseil d'administration de la chambre. Il faut s'inspirer de ce qui se fait à New York, Boston et Vancouver, et densifier comme on ne l'a jamais fait. Les jeunes, d'ailleurs, sont prêts à habiter dans des complexes d'habitation en hauteur, souvent très attrayants, quand ils sont à proximité d'une station de métro.» Un projet d'environ 300 unités, qui serait construit à l'intersection du boulevard Newman et de la rue Léger est à l'étude. Un autre promoteur est par ailleurs intéressé à changer la vocation du terrain anciennement occupé par l'usine Domfer (voir la carte). Environ 1000 logements pourraient y être construits dans des immeubles de quatre à seize étages. «Plusieurs terrains, comme celui de Domfer, doivent être décontaminés, ce qui augmente le prix du terrain, indique Sylvie Champagne, chef de la division de l'urbanisme de l'arrondissement de LaSalle. Il faut densifier pour répartir les coûts. Plutôt que d'y aller un projet à la fois, nous avons élaboré un concept global pour que le Quartier Angrignon devienne un véritable milieu de vie.»
  14. Bâtiment rébarbatif au premier coup d'oeil, Climatisation et chauffage urbains de Montréal (CCUM) cache pourtant dans ses entrailles un bijou d'architecture industrielle. Un véritable «Beaubourg intérieur», selon la firme Humà - design + architecture, chargée de lui refaire une beauté. La première phase est achevée: la mise en lumière de ses machineries, signée en collaboration avec Erick Villeneuve de Novalux. «On s'est concentré sur l'expression vers la ville de ce "Beaubourg intérieur" de la machinerie», explique Jean Beaudoin, qui travaille avec Stéphanie Cardinal chez Huma. Méconnu des Montréalais, CCUM fournit le chauffage à une vingtaine d'édifices du centre-ville, de la tour de la Bourse à la place Ville-Marie, en passant par l'École de technologie supérieure et l'hôtel Reine Elizabeth. Construite en 1947 dans ce qui n'était alors qu'un champ, cette centrale thermique est aujourd'hui enclavée entre l'autoroute Bonaventure et le viaduc du Canadien Pacifique. Mais demain, quand l'autoroute sera abaissée pour faire place au quartier Bonaventure (QB), elle trônera ni plus ni moins à l'entrée de la ville. «On ne peut pas rester de même, s'exclame en riant le directeur de l'établissement, Jean-Claude Michel. On va avoir l'air d'une usine d'Europe de l'Est restée debout après une explosion nucléaire!» D'autant plus que cet emblème du passé met le cap sur l'avenir en abandonnant le mazout au profit du gaz naturel, plus propre. On installe actuellement une nouvelle chaudière qui fonctionnera entièrement au gaz naturel. «Le mazout, on ne veut plus en utiliser, juste en cas d'avarie», précise M. Michel. Jusqu'ici, CCUM fonctionnait en mode biénergie pour profiter des variations de prix de chaque carburant. «Il faut valoriser la centrale comme icône urbaine en résonance avec le quartier en devenir, indique M. Beaudoin. Et [CCUM] est en train de se repositionner comme la façon économique de chauffer les quartiers, en ligne avec le développement durable.» Jardin des vapeurs En écho à son principal mode de chauffage (la vapeur à haute pression) et aux émanations de vapeur issues de la combustion du gaz naturel — «On est une usine à nuages», dit joliment le directeur —, un jardin des vapeurs accessible au public sera éventuellement aménagé au nord du bâtiment. Une passerelle mènera à une terrasse (l'ancien pont de livraison du charbon) ayant une vue imprenable sur le centre-ville. «On veut que le bâtiment évolue en fonction de ce que devient le quartier», prévient M. Beaudoin, dont les plans s'arrimeront à ceux du QB, en chantier dès l'an prochain. Le jardin se prolongera par une promenade sous arcades le long de la rue Nazareth, où pourrait être documentée l'histoire du lieu. La dernière phase consistera à insérer le haut du bâtiment dans un écrin de verre. «Ces panneaux seront développés selon des technologies nouvelles qui consolideront l'offre énergétique de CCUM», indique M. Beaudoin. Car les ambitions de CCUM ne sont pas qu'esthétiques. L'entreprise, qui appartient moitié à Gaz Métropolitain, moitié à Dalkia (filiale du géant français Veolia), entend à la fois se faire connaître auprès du public et se trouver de nouveaux clients dans le futur QB. «On voudrait utiliser nos surplus d'énergie — on a environ de 10 à 15 % de pertes — pour atteindre une efficacité de 100 %», précise M. Michel. CCUM est d'ailleurs sur le point de faire son entrée sur le marché des crédits carbone. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/286846/la-centrale-thermique-de-montreal-se-refait-une-beaute
  15. En se rendant à Vancouver pendant les Jeux olympiques, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, avait indiqué qu’il allait en profiter pour s’informer des initiatives vancouvéroises qui marchent en matière de transport en commun, d’urbanisme et de fiscalité. En voici cinq qui mériteraient d’être étudiées d’après notre journaliste, Mathias Marchal, qui revient de Vancouver. -------------------------------------------------------------------------------- 1. Trolleybus avec porte-vélos: Vive le cocktail transports! -------------------------------------------------------------------------------- À Vancouver, 15 % du réseau est électrifié. Si le système de fils qui alimente les 240 autobus est coûteux et pas forcément esthétique, il permet de réaliser des économies d’énergie et évite 20 000 ton-nes d’émissions de gaz à effet de serre par an. Pour les cyclistes, deux porte-vélos sont installés à l’avant sur la totalité de la flotte d’autobus. Pourquoi? «Ça convainc les usagers qui habitent loin d’une ligne d’autobus de choisir ce moyen de transport, car ils gagnent ainsi du temps», précise Drew Snider, porte-parole de Translink, la STM de Vancouver. Problème avec les phares À Montréal, on n’a pas retenté l’expérience depuis que la Société de l’assurance automobile du Québec a signalé qu’une telle installation réduisait l’efficacité des phares. «On a éprouvé ce problème à Vancou*ver, mais il a été rapidement corrigé avec les fabricants», indique M. Snider. Quant aux trolleybus, on pourrait les voir, en site protégé, sur la fameuse ligne Pie-IX qui doit voir le jour d’ici 2014, indique la STM. «On envisagera cette possibilité au cours des travaux, mais il y a de fortes chances que la ligne soit parcourue au début par des autobus au diesel», précise Isabelle Tremblay, porte-parole de la STM. Read more:http://www.journalmetro.com/linfo/article/496516--cinq-idees-a-importer-de-vancouver-pour-stimuler-montreal
  16. Martin Croteau La Presse L'escouade policière Marteau a investi les locaux du Groupe F. Catania en lien avec le Faubourg Contrecoeur, hier, alors que le ton continue de monter entre la firme et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au sujet de ce projet immobilier de l'est de Montréal. En matinée, des agents de la Sûreté du Québec, appuyés par des policiers de Longueuil, ont investi le siège social de l'entreprise à Brossard. Ils y ont rencontré des dirigeants et des employés de la compagnie en plus de consulter certains documents. Selon nos sources, la perquisition est liée au Faubourg Contrecoeur, le projet immobilier qui se trouve au coeur du scandale qui a ébranlé la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) dans les derniers mois. Par l'entremise de la SHDM, la Ville de Montréal a vendu au Groupe F. Catania cet immense terrain à l'est de l'autoroute 25. L'évaluation municipale était de 31 millions de dollars, mais la SHDM l'a vendu au prix de l'évaluation marchande de 19 millions. Elle a déduit de ce prix divers frais, dont 11 millions pour la décontamination du terrain. Or, des enquêtes ont établi que la décontamination pourrait avoir coûté beaucoup moins cher - entre 5,9 et 7 millions. L'été dernier, la nouvelle direction de la SHDM a donné jusqu'au 31 janvier au Groupe F. Catania pour lui fournir les factures de la décontamination. La firme a demandé un délai jusqu'au 28 février, mais elle n'a toujours pas rendu les documents, a récemment révélé à La Presse le directeur général de la SHDM, Guy Hébert. Cette sortie a indisposé le Groupe F. Catania, qui a expédié une lettre à la SHDM pour l'aviser qu'elle ne fournirait pas les documents demandés tant que le travail de décontamination ne serait pas terminé, c'est-à-dire à la fin de l'été. «L'idée était que ça allait se négocier entre eux et non sur la place publique, a indiqué le porte-parole de la firme, Philippe Roy. La relation s'est refroidie et le Groupe F. Catania a décidé de ne pas remettre toutes les factures à la SHDM et d'attendre la fin de la décontamination.» La SHDM évaluera donc ses options dans les prochains jours. «Parce qu'on n'a pas encore les documents demandés, on a décidé de confier le dossier à nos procureurs», a indiqué son porte-parole, André Bouthillier.
  17. 18 juin 2007 Depuis le 18 juin, l'aéroport Montréal-Trudeau doit affronter la concurrence américaine avec l'ouverture du premier aéroport bilingue anglais-français à Plattsburgh, situé à une heure de la métropole. Sur son site web, l'Aéroport international de Plattsburgh est présenté comme l'aéroport américain de Montréal. Plattsburgh se définit d'ailleurs comme « la banlieue américaine de Montréal », « la porte d'accès dans le couloir Québec-New York ». Les gestionnaires de l'aéroport souhaitent convaincre les touristes et les gens d'affaires québécois qui s'envolent pour les États-Unis et les Caraïbes de prendre l'avion à Plattsburgh plutôt qu'à Montréal. Ils espèrent même que 70 % de la clientèle viendra de Montréal. La curiosité est au rendez-vous car les autorités de l'aéroport indiquent que le site web reçoit en moyenne 30 000 clics par jour.L'aéroport s'affiche comme un aéroport bilingue, qui a des installations de pointe, qui est situé à une heure à peine de Montréal, et qui offre un stationnement gratuit. Le journal web Flash Floride indique que les billets sont beaucoup moins chers qu'à l'aéroport Montréal-Trudeau, et que le voyageur épargne sur la taxe. À titre d'exemple, il est indiqué qu'un billet Plattsburgh-Orlando ne coûtera que 198 $ comparativement à Montréal-Orlando qui coûte 351 $ en plus des taxes. Sans prendre de détour, le journal indique nettement ses préférences: « L'aéroport de Montréal va manger les pissenlits par les racines et ce sera tant pis. À force de toujours vouloir charger le gros prix et taxer les citoyens, ces derniers trouvent d'autres solutions ». L'aéroport a été aménagé sur une ancienne base militaire désaffectée. Sa piste de 4 km de long peut accueillir des gros porteurs. Si le service aérien est limité au cours des premiers mois, une expansion n'est pas pour l'instant prévue.
  18. GM dérape vers la faillite 12 novembre 2008 - 06h32 Bloomberg General Motors (GM), qui écoule des liquidités à la vitesse grand V et dont les ventes chutent aux États-Unis, dérape de plus en plus vers la faillite, tandis que la société attend de voir si l'industrie de l'auto obtiendra de nouveaux prêts du gouvernement. Seule l'aide de Washington peut empêcher l'effondrement du premier constructeur automobile aux États-Unis, soutiennent différents analystes, dont Joseph Amaturo, de Buckingham Research Group. Hier, l'action de GM a plongé pour la cinquième séance de suite. Il se peut aussi que la réorganisation de GM sous la protection de la cour ne soit pas possible parce que le resserrement du crédit a tari le financement. «Une faillite stratégique n'est pas une option pour GM», avance Mark Oline, analyste en matière de crédit de Fitch Inc., à Chicago. «La question est de savoir si la société marche ou ne marche pas», ajoute-t-il. La perspective d'une liquidation forcée fait en sorte que la quête d'un nouvel emprunt auprès de Washington devient un enjeu encore plus crucial, la société ayant indiqué vendredi dernier qu'elle pourrait être à court de liquidités dès la fin de la présente année. Le 30 septembre dernier, GM disposait de 16,2 milliards US, alors que le constructeur en avait 21 milliards US à la fin de juin. Il faut à GM 11 milliards US pour régler ses factures mensuelles. «Une faillite ne réglerait pas nos problèmes immédiats de liquidités», a souligné Renee Rashid-Merem, porte-parole de GM. «Ce n'est pas une option pour GM parce que cela crée plus de problèmes que ça n'en résout», a-t-elle ajouté. Les ventes de GM aux États-Unis, qui ont chuté de 21% au cours du dernier trimestre et de 45% en octobre, «subiraient un coup terrible» si l'entreprise devait aller en faillite, a dit vendredi dernier Rick Wagoner, PDG de GM, au cours d'une entrevue à Bloomberg Television. M. Wagoner, 55 ans, sabre des emplois et ferme des usines après des pertes de près de 73 milliards US depuis la fin de 2004. Il a indiqué à la revue spécialisée Automotive News que GM a besoin d'un programme d'aide avant que le président élu Barack Obama entre à la Maison-Blanche en janvier. Barack Obama a soulevé directement auprès du président sortant George W. Bush la question d'une aide immédiate de l'État fédéral aux constructeurs automobiles américains en pleine dépression, a indiqué hier son entourage. M. Obama a évoqué cette question lundi lors de ses premières discussions approfondies avec M. Bush à la Maison-Blanche depuis sa victoire le 4 novembre, a dit un collaborateur, confirmant sous le couvert de l'anonymat des informations de la presse. Il se peut que les investisseurs aient déjà conclu que GM ne tiendra pas la route. Hier, le titre a glissé de 44 cents US, ou 13,1%, à 2,92$US, à la Bourse de New York. Cela a poursuivi la descente amorcée lundi à un creux de 59 ans après que Deutsche Bank eut estimé que l'action de GM ne vaudra peut-être plus rien dans un an. GM, Ford et Chrysler ont réclamé une aide de 50 milliards US pour faire face au pire marché de l'auto en 17 ans, ont indiqué des personnes familières avec les discussions. Cette somme s'ajouterait aux 25 milliards US approuvés en septembre pour aider les constructeurs à rééquiper leurs usines pour construire des véhicules moins énergivores. «Il y a de plus en plus de soutien à Washington, au Congrès, à l'idée d'une aide gouvernementale à GM et aux autres constructeurs», estime Bruce Zirinsky, coprésident de la filiale de restructuration financière de Cadwalader, Wickersham&Taft, à New York. «La question est de savoir comment cela sera fait, ajoute-t-il, et à quel prix pour les actionnaires et les créanciers.» Entre-temps, l'agence de notation financière Fitch Ratings a annoncé hier avoir abaissé de six crans la note de dette de long terme du groupe américain de services financiers GMAC, contrôlé à 49% par General Motors et à 51% par Cerberus. La note a été fixée à «CC», reflétant un risque probable de non-remboursement, comparativement à «B+» auparavant. Cette note est sous «surveillance négative», ce qui signifie que Fitch envisage de l'abaisser encore. Standard and Poor's avait également abaissé cette note vendredi, à «CCC». Fitch estime que si GMAC devenait une banque et pouvait prétendre au plan de recapitalisation par le Trésor américain, il le jugerait «positivement», mais qu'il restait «un certain nombre d'obstacles (...), en particulier dans l'actionnariat actuel, ainsi que la levée de capitaux pour satisfaire aux exigences» de ce statut.
  19. Nakheel, le plus important promoteur immobilier sur la planète, construira un théâtre de 1800 places spécialement à l'intention du Cirque du Soleil sur The Palm Jumereirah, un site exceptionnel situé à Dubaï dans les Émirats Arabes. Le Cirque du Soleil et Nakheel ont signé hier une entente de 15 ans qui prévoit que ce spectacle, le premier spectacle permanent du Cirque présenté à l'extérieur des États-Unis, du Japon et de la Chine, prendra l'affiche à l'automne 2010. Soulignons que ce partenariat s'inscrit dans la foulée du succès remporté par Quidam, un spectacle de tournée du Cirque du Soleil qui a été présenté au début 2007 devant plus de 100 000 personnes sous l'immense chapiteau installé au Ibn Batuta Mall. " Dubaï est l'une des villes qui se développent le plus rapidement au monde. Comme toute ville connaissant un tel essor et se voulant une destination internationale du 21e siècle, Dubaï a besoin d'installations culturelles et municipales. Avec plus de 30 hôtels cinq étoiles (plus de 14 000 chambres), The Palm Jumeirah était l'endroit tout indiqué pour accueillir le Cirque du Soleil ", a indiqué le sultan Ahmed Bin Sulayem, président exécutif de Nakheel. Le président et chef de la direction du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre, se réjouit de la signature de cette entente qui permettra à l'entreprise de développer un nouveau marché. " Nous sommes constamment à l'affût de nouveaux marchés pour des spectacles permanents, mais ce n'est pas facile de trouver un endroit où le taux d'achalandage est suffisant " a expliqué M.Lamarre qui se dit confiant que cette nouvelle production saura captiver l'imagination de millions de spectateurs comme c'est le cas avec O, un spectacle permanent présenté à Las Vegas qui a été vu par plus de six millions de personnes en huit ans.
  20. Les prix de vente des logements neufs au Canada au mois de mai ont reculé de 0,1%, selon les données de Statistique Canada. Pour en lire plus...
  21. Selon le PDG La crise financière est finie, dit la RBC 11 juin 2009 - 07h43 Olivier Bourque Argent La crise financière est terminée et le marché du crédit s’est rétabli, a indiqué hier Gordon Nixon, PDG de la Banque Royale du Canada. M. Nixon a fait cette remarque lors du Forum économique international des Amériques qui se déroule à Montréal jusqu’à aujourd’hui. Devant des reporters, le chef de l’institution financière a indiqué que la crise financière est terminée. «Nous retournons maintenant vers un environnement beaucoup plus normal», a-t-il souligné. Ces commentaires rejoignent en plusieurs points l’analyste plutôt optimiste de différents intervenants de la conférence. Mardi, le PDG de General Electric avait surpris le parterre d’affaires en proposant une analyse particulièrement jovialiste sur la situation économique mondiale. Celui avait notamment indiqué qu’il était grand temps pour les entreprises d’investir dans la recherche et le développement faisant référence notamment aux énergies vertes. Selon Bloomberg qui était présent à la Conférence, M. Nixon a toutefois expliqué que la pente sera dure à remonter. «L’économie a encore du chemin à faire. Il y a des signes d’amélioration, mais c’est encore un environnement économique difficile», a-t-il souligné. M. Nixon a également mis un frein sur de possibles acquisitions américaines. «Il y a eu un mythe selon lequel nous avons eu plusieurs occasions pour faire des acquisitions. En fait, cela ne s’est jamais présenté», a soutenu M. Nixon. Selon lui, l’incertitude entourant l’économie a plutôt créé des difficultés supplémentaires pour les acheteurs et un manque de vendeurs des actifs des banques américaines.
  22. Québec Bachand prévoit 70 000 pertes d’emploi Agence QMI 01/06/2009 17h26 Le ministre des Finances du Québec, Raymond Bachand, estime que la crise économique entraînera la perte de 70 000 emplois dans la province. Rencontré lundi midi après s’être adressé à l’association des MBA du Québec, il a évalué à «32 000, et peut-être un peu plus» le nombre de mises à pied dans la province depuis octobre 2008. Selon lui, d’ici la fin de la crise, «près de 70 000 postes auront été perdus au total». C’est la première fois que le nouveau ministre des Finances, qui est en poste depuis le 8 avril, évoque de tels chiffres. Il a toutefois indiqué que celle qu’il remplace, Monique Jérôme-Forget, disposait des mêmes estimations lors de la présentation du dernier budget. «Plus ça dure, plus les entreprises sont forcées de faire des coupures », a-t-il observé, en s’empressant toutefois d’ajouter que « ce calcul n’est pas une science exacte » et que « le Québec s’en sort mieux que les autres provinces canadiennes». Chiffres conservateurs? Pour Carlos Leitao, économiste en chef à la Banque Laurentienne, les chiffres avancés par le ministre sont fort plausibles, et pourraient même être un peu conservateurs. «D’octobre 2008 à avril, nous avons évalué à 72 000 le nombre de pertes d’emploi. Sur une période d’un an, jusqu’en octobre 2009, on parle de 80 000 coupures», dit-il, joint au téléphone par 24 heures. Selon Raymond Bachand, la récente appréciation du dollar canadien, qui a clôturé lundi à 91,7 cents américains, peut expliquer les difficultés de l’économie québécoise. «Le protectionnisme d’Obama» Dans le secteur des infrastructures, le ministre blâme plutôt «le protectionnisme d’Obama» pour le ralentissement des exportations vers nos voisins du sud. «Plusieurs entrepreneurs que je rencontre ont des problèmes avec ça. On travaille activement avec le gouvernement du Canada, et aussi avec des délégations aux États-Unis», a-t-il indiqué. En avril, 22 000 nouveaux emplois ont été créés au Québec, mais le taux de chômage s’est accru pour atteindre 8,4% en raison de l’augmentation de la population active.
  23. Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
  24. Aéroports de Montréal - De grands projets en chantier Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 11 et du dimanche 12 avril 2009 Mots clés : Chantier, Projets, Aéroports de Montréal, Investissement, Transport, Montréal L'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau a investi 300 millions de dollars pour la construction du tout nouveau secteur des départs. Quelque 300 millions de dollars. C'est l'investissement qui a été nécessaire pour la construction du tout nouveau secteur des départs de l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau vers les États-Unis, dont l'ouverture est prévue le 20 mai. Mais ce n'est pas tout. Aéroports de Montréal a bien d'autres projets en développement, comme la navette ferroviaire et l'harmonisation du réseau routier. Les nouvelles installations de départ vers les États-Unis de l'aéroport Montréal-Trudeau doivent améliorer le parcours des passagers de différentes façons. D'abord, s'ils devaient auparavant traîner leurs valises jusqu'aux douanes américaines, les passagers devront maintenant les déposer dès l'enregistrement au comptoir de la compagnie aérienne. «Les passagers se rendront ensuite à la sécurité canadienne, dotée d'un tout nouveau système de détection des explosifs à la fine pointe de la technologie, puis, enfin, à la douane américaine», indique Henri-Paul Martel, vice-président, ingénierie et construction, d'Aéroports de Montréal. «Cette nouvelle façon de faire permettra aux douaniers américains de se retrouver devant des passagers déjà sécurisés. Un système automatisé permettra également aux douaniers d'avoir accès à une photo des bagages et à leur poids, et ce sont eux qui auront le dernier mot quant à savoir si les bagages embarqueront dans l'avion.» Grâce à ces modifications, l'aéroport Montréal-Trudeau se conformera aux nouvelles exigences de sécurité des autorités américaines. Les passagers aussi devraient être satisfaits des nouvelles installations, d'après M. Martel. «Le chemin parcouru sera simplifié et raccourci, ce qui était un élément important à améliorer pour la clientèle. Au lieu d'arriver à l'extrémité de la jetée, les passagers arriveront au milieu, par une nouvelle porte.» L'investissement de 300 millions de dollars a aussi servi à l'aménagement d'un stationnement souterrain et de l'enveloppe de la future gare de la navette ferroviaire qui desservira le centre-ville et l'ouest de la ville. Navette ferroviaire Le projet de navette ferroviaire à l'aéroport Montréal-Trudeau ne date pas d'hier. Mais, depuis la fin 2007, les choses progressent plus rapidement. En effet, différents acteurs intéressés à développer le projet -- Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport, la Ville de Montréal, la Communauté métropolitaine de Montréal, Transports Québec et Transports Canada -- se sont alors réunis et travaillent maintenant ensemble. «Pour arriver à réaliser le projet, ça va beaucoup mieux lorsqu'on travaille tous ensemble plutôt que chacun de son côté», affirme Henri-Paul Martel. Aéroports de Montréal croit que, cet été, on devrait avoir choisi le tracé du train. Deux options sont envisagées actuellement. Le tracé du CN, avec la Gare centrale, ou celui du CP, avec la gare Lucien-L'Allier. Toutefois, d'un côté comme de l'autre, les voies ferrées actuelles sont largement achalandées par les trains de marchandises. De nouveaux corridors seront donc construits exclusivement pour les passagers. En attendant d'être prêt à installer le quai, Aéroports de Montréal se sert de l'espace de la future gare comme autre stationnement. C'est bien beau, les stationnements, mais déjà 12 000 espaces sont disponibles à l'aéroport Montréal-Trudeau, et Aéroports de Montréal considère que c'est amplement suffisant. «Nous n'avons pas l'intention d'augmenter encore le nombre de places de stationnement et nous croyons qu'il est grand temps d'améliorer l'accès à l'aéroport Montréal-Trudeau par un moyen de transport beaucoup plus écologique que la voiture. D'où l'intérêt de la navette ferroviaire», affirme Christiane Beaulieu, vice-présidente, affaires publiques, d'Aéroports de Montréal. De plus, la navette ferroviaire permettrait de garantir le temps d'accès à l'aéroport, et ce, peu importe l'état de la circulation ou de la météo. «Nous voudrions que le trajet dure au maximum une vingtaine de minutes et que les départs s'effectuent également toutes les 20 minutes environ», indique M. Martel. Les passagers de l'aéroport Montréal-Trudeau pourront profiter de la fiabilité et de la rapidité de la navette ferroviaire, mais les nombreux employés de l'aéroport pourront aussi laisser leur voiture à la maison pour se rendre au travail. «La navette ferroviaire, c'est une tendance mondiale. Toutes les grandes villes d'Europe ont la leur. Toronto est en train de travailler sur le projet et Vancouver l'aura sous peu. Nous souhaitons la même chose pour Montréal», indique Henri-Paul Martel. Harmonisation du réseau routier Le réseau routier qui dessert l'aéroport Montréal-Trudeau bénéficiera aussi de changements importants. En effet, Transports Québec réaménagera le rond-point Dorval, un investissement de 224 millions de dollars. «Les travaux préliminaires ont déjà été réalisés, se réjouit M. Martel, mais ce mois-ci on commencera les travaux permanents.» Le nouvel échangeur sera élargi et comportera de l'espace pour les voies ferrées destinées aux passagers. De plus, le passage de l'autoroute 20 à l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau sera grandement simplifié. L'investissement du gouvernement du Québec est important, mais Aéroports de Montréal devra aussi faire sa part. «Nous allons investir 100 millions de dollars pour effectuer des travaux sur le territoire de l'aéroport. Nous devrons raccorder nos routes à celles de Transports Québec et nous construirons aussi trois viaducs. De plus, nous devrons refaire les entrées de nos stationnements», indique M. Martel. Des travaux importants, donc, mais qui, d'après Aéroports de Montréal, sont nécessaires pour être achevés à la reprise économique prévue en 2010 ou 2011. Parce que, actuellement, l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau n'est pas des plus accessibles. «Nous en sommes tout à fait conscients, et d'ailleurs, la première entente de construction d'un nouvel échangeur que nous avons signée remonte à 1996, indique Mme Beaulieu. Ça fait longtemps que nous voulons améliorer l'accès à l'aéroport et nous sommes prêts à passer à l'action.» http://www.ledevoir.com/2009/04/11/245173.html (11/4/2009 8H40)
  25. Le voyagiste rationalise ses activités Transat supprime 53 emplois administratifs 21 avril 2009 - 17h38 LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- Transat A.T. (TRZ.B) supprime 53 emplois administratifs à Montréal, Toronto et Vancouver pour améliorer l'intégration de ses activités, a indiqué mardi le voyagiste. Plus de détails suivront.
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