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  1. Isabelle Hudon est rendue là !? C'est passé inaperçu. ****************** La Financière Sun Life veut repartir à zéro avec le Québec 21 mars 2011 | 18h09 Caroline Pailliez Argent La nouvelle présidente de la Financière Sun Life, Isabelle Hudon, veut en finir avec cette image d’entreprise anglophone qui a tourné le dos aux Québécois au cours du premier référendum sur la souveraineté en 1978. Photo : Agence QMI « Des erreurs ont été commises. La Financière Sun Life a un long passé malheureux avec les Québécois, mais il est temps de passer à un autre chapitre », affirme Mme Hudon dans un entretien avec Argent. Devant l'adoption de la loi 101 par le gouvernement du Parti québécois et l'éventualité d'un référendum sur la souveraineté, la compagnie d'assurances avait déménagé son siège social à Toronto. L’affront hante l’assureur depuis. Avec la nomination d'Isabelle Hudon au poste de présidente de la Financière Sun Life Québec en août dernier, la compagnie démontre sa volonté de redorer son blason. « Les racines de la Financière Sun Life sont à Montréal », ajoute Mme Hudon dans un discours prononcé au cours du Cercle Canadien, lundi à Montréal. Les Québécois, aussi, semblent avoir tourné la page. La Financière Sun Life a été élue, il y a quelques semaines l’entreprise du secteur financier la plus admirée par les Québécois, selon le palmarès réalisé par Léger Marketing. « Nous sommes crédibles, nous offrons de bons produits et un service à la clientèle qui surpasse les attentes », justifie Mme Hudon. La Financière Sun Life a récemment multiplié les investissements auprès de la communauté québécoise. La compagnie a inauguré, mercredi dernier, une nouvelle scène au Monument- Nationale en partenariat avec l’École nationale de théâtre. D’après la directrice, l’entreprise a investi au cours de l’année 2010 près de 1,2 M$ dans des programmes philanthropiques. « Ces faits témoignent de notre profond attachement au Québec et surtout, de notre volonté de faire partie intégrante de son évolution socio-économique », conclut-elle La croissance est au Québec Le Québec représente le deuxième plus important marché du Canada, l’un de ceux qui connaît la croissance la plus rapide. Or avec la décision du gouvernement d’aller de l’avant avec un régime volontaire d’épargne-retraite, la compagnie d’assurance profite d’un nouveau mécanisme d’adhésion automatique. « Les employés sont inscrits automatiquement à un programme d’épargne-retraite. Toutefois, ils ont le choix de se désinscrire s’ils le souhaitent », explique-t-elle. Elle précise que là où le programme est implanté, très peu ont voulu s’en retirer. Avec une telle mesure, la Financière Sun Life s’assure un bassin énorme de nouveaux clients.
  2. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain choisit Michel Leblanc, directeur associé chez SECOR, pour devenir son grand patron. Pour en lire plus...
  3. La présidente sortante de la Chambre de commerce de Montréal devient présidente de l'agence de publicité. Pour en lire plus...
  4. Isabelle Hudon quitte la Chambre de commerce La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce de Montréal, Isabelle Hudon, va quitter ses fonctions le 31 octobre prochain. Par voie de communiqué, l'organisation a souligné que son conseil d'administration avait reçu et accepté la démission de Mme Hudon. > Plus de détails à venir http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200810/20/01-31205-isabelle-hudon-quitte-la-chambre-de-commerce.php Isabelle Hudon va relever «d'autres défis» Isabelle Hudon s'en va. La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce de Montréal quittera ses fonctions le 31 octobre prochain. Selon le communiqué de l'organisme, Mme Hudon «a choisi de relever d'autres défis». Le conseil d'administration a affirmé avoir reçu et accepté la démission de Mme Hudon. Celle-ci était à l'emploi de la Chambre de commerce depuis six ans. La présidente du Conseil d'administration de la Chambre, Hélène Desmarais, a voulu rendre hommage à Mme Hudon. «Elle s'est démarquée à la tête de la Chambre par son impressionnant sens du leadership qui s'appuie sur une compréhension solide des enjeux, son sens stratégique éminemment développé et ses capacités de gestion», a-t-elle indiqué. Plus de détails à venir... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081020/LAINFORMER/81020025/5891/LAINFORMER01
  5. La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon, démissionne. Elle quittera ses fonctions le 31octobre prochain. Pour en lire plus...
  6. La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce de Montréal quittera ses fonctions le 31 octobre prochain. Pour en lire plus...
  7. Gouvernement Hudon et Tremblay préoccupés par l'absence de Montréal Lia Lévesque PC 15/10/2008 17h45 La défaite de Michael Fortier, ministre reponsable de la région de Montréal, jumelée à l'absence d'élus conservateurs à Montréal, préoccupent le maire et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. En entrevue au lendemain du scrutin, la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon, s'est dite «déçue mais pas surprise» du résultat. «C'est une grosse perte pour Montréal», a-t-elle opiné. Montréal a donné 11 circonscriptions au Parti libéral du Canada, six au Bloc québécois et une au Nouveau parti démocratique. Le Parti conservateur n'y a rien récolté. Par voie de communiqué, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a dit juger «primordial que les intérêts de Montréal soient représentés et défendus au sein du cabinet du premier ministre du Canada». Encore mercredi matin, le premier ministre Stephen Harper a affirmé que son futur cabinet ne serait formé que d'élus, donc qu'il ne nommerait plus de non élu au poste de ministre, comme il l'avait fait en nommant M. Fortier au Sénat pour ensuite l'inclure au conseil des ministres. «J'ai dit que notre cabinet sera un cabinet d'élus. En même temps, quelqu'un sera nommé, comme c'est la tradition, comme ministre responsable de la grande région de Montréal pour des devoirs régionaux. C'est normal. Mais ce sera un de nos élus», a indiqué M. Harper, en conférence de presse à Calgary. Mme Hudon y voit une difficulté supplémentaire pour Montréal. «C'est évident que ça ne simplifie pas notre situation à Montréal. Quand les décisions se prennent, il faut être autour de la table. Et là, pour l'instant, il y a une absence.» Elle estime que cela va exiger davantage d'efforts du maire de Montréal, de la Chambre de commerce de Montréal, des différents organismes de représentation et de toute la société civile, afin de faire progresser les dossiers d'intérêt de Montréal, malgré ce contexte politique. «Il va falloir être ultra-présent et fort dynamique, la société civile, pour que le gouvernement continue d'investir et de garder un intérêt vif pour la métropole économique du Québec», a-t-elle dit. Le maire Tremblay a abondé dans le même sens. «Dans le contexte économique actuel, il est primordial de soutenir les initiatives et les projets de Montréal afin de contribuer à la stabilité économique du pays.» De son côté, le ministre responsable de la région de Montréal dans le gouvernement Charest, Raymond Bachand, s'est dit déçu que M. Fortier ait été battu. «C'est pour ça que j'étais intervenu pendant la campagne. Maintenant les électeurs ont fait leur choix et je suis sûr que le premier ministre Harper va trouver une façon dans son assignation de responsabilités pour que les intérêts économiques de la région de Montréal soient entendus. Je n'ai pas d'inquiétude qu'on va trouver une façon d'organiser les choses avec le gouvernement du Canada. Ca va devoir être une autre façon, tout simplement», a-t-il fait savoir. Mme Hudon rappelle que des dossiers montréalais d'importance attendent une action gouvernementale fédérale, comme le mégaprojet de la société du Havre, la réfection de l'autoroute Bonaventure et celle du pont Champlain. Dans le cas du Grand prix de Formule 1, un dossier que le ministre Fortier s'était engagé à défendre, juste avant sa défaite, Mme Hudon s'inquiète moins, parce qu'il ne s'agit pas que d'un dossier montréalais, mais d'un dossier canadien. Le Grand prix est en effet le Grand prix du Canada, mais qui se déroule à Montréal. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/federales2008/archives/2008/10/20081015-174518.html
  8. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2008/10/20081007-172135.html Isabelle Hudon exhorte Québec à ne pas imposer le français aux PME Jocelyne Richer PC 07/10/2008 17h21 Québec doit renoncer à imposer aux PME toute forme de coercition en faveur du français, selon la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. « Il faut à tout prix éviter de nouvelles mesures coercitives pour nos PME sur le fait français », a-t-elle fait valoir mardi, en point de presse, alors qu'elle se rendait aux bureaux du premier ministre Jean Charest pour discuter de ce sujet. « Le fardeau administratif serait trop lourd », selon elle. La rencontre entre Mme Hudon et le premier ministre visait à préciser l'ordre du jour du « rendez-vous des gens d'affaires » qui aura lieu à Montréal, vendredi, afin de voir par quels moyens Québec pouvait faire en sorte que les petites et moyennes entreprises (PME) fassent du français la langue d'usage dans ce secteur d'activités, 30 ans après l'adoption de la loi 101. Mme Hudon n'aura cependant pas à déployer beaucoup d'efforts pour convaincre le gouvernement d'y aller en douceur, car la ministre responsable du dossier linguistique, Christine St-Pierre, qui est à l'origine de l'événement de vendredi, a déjà déclaré qu'il n'était pas question d'ouvrir la loi 101 pour assujettir les entreprises comptant moins de 50 employés à l'application de la loi. Québec misera plutôt sur la bonne volonté des chefs de PME pour accroître l'usage du français en milieu de travail. Actuellement, les 240 000 PME du Québec n'ont aucune obligation légale de se franciser. Mme Hudon dit espérer que l'exercice de vendredi, coprésidé par elle et le premier ministre Charest, servira à concocter un plan d'action visant à étendre le français dans l'entreprise comme « langue de service, langue d'affichage et langue de travail ». Elle proposera surtout de mieux informer les dirigeants de PME sur les programmes gouvernementaux existants favorisant l'usage du français. « Notre but n'est pas d'être agressif, parce qu'on ne gagnera pas du terrain, en étant agressif sur le front de la langue », selon elle.
  9. Les fusions bancaires remises à l'ordre du jour 27 juin 2008 - 06h48 La Presse Hugo Fontaine Il faut mettre fin à l'interdiction des fusions bancaires, suggère le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence. Cette recommandation, comme celles annoncées hier dans La Presse Affaires sur la libéralisation des règles dans les secteurs du transport aérien et des télécommunications, fait partie des 65 propositions soumises hier au ministre fédéral de l'Industrie. C'est un rapport résolument tourné vers la concurrence mondiale et l'investissement étranger qu'ont présenté les cinq membres du Groupe d'étude, dont la présidente et chef de la direction de la chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. «Mais ce n'est pas une lumière verte pour toute fusion (bancaire), a précisé Isabelle Hudon au cours d'un entretien avec La Presse Affaires. Si deux banques proposent une fusion, il y aura toujours le Bureau de la concurrence qui aura à évaluer la transaction. On ne peut pas avoir un discours en faveur d'une concurrence forte et saine, et dire non à tout sur le front bancaire.» Click here to find out more! Le Groupe écrit que de plus grandes institutions financières permettraient de «soutenir plus efficacement la concurrence sur les marchés internationaux». Moins de restrictions Le rapport intitulé Foncer pour gagner propose que les investisseurs étrangers n'aient plus à démontrer qu'une transaction soit à l'avantage net du Canada afin qu'elle soit approuvée. Il reviendrait plutôt au ministre de démontrer qu'une transaction est contraire à l'intérêt national pour la bloquer. En d'autres mots, le Groupe veut renverser le fardeau de la preuve. «En recommandant ce changement ainsi que d'autres à la Loi sur Investissement Canada, le Groupe d'étude est bien conscient qu'en vertu de l'ALENA et d'autres engagements découlant de traités internationaux, le Canada ne peut amender la loi que pour diminuer, et non élargir, la portée de son application» est-il écrit dans le rapport. Ceux qui espéraient que l'on resserre les règles sur l'investissement étranger ne trouveront donc aucun réconfort dans le rapport. «À quelques exceptions près, nous n'avons pas eu cette demande durant les consultations», a noté Isabelle Hudon. Le Groupe recommande aussi de hausser les seuils d'examen des transactions à 1 milliard de dollars (au lieu de 295 millions), de sorte que seules les mégatransactions soient étudiées. En ce qui concerne le transport aérien, le groupe demande qu'on autorise jusqu'à 49% de propriété étrangère. Le groupe préconise aussi d'ouvrir la porte aux investissements étrangers dans les entreprises de télécommunications qui détiennent moins de 10% de parts de marché. «Quand on propose une plus grande ouverture, la réciprocité est très importante, dit Mme Hudon. Si on s'ouvre ici, il faut que ce soit ouvert dans les autres pays.» Le Groupe préconise aussi la mise en place d'un Conseil canadien de renforcement de la compétitivité. Réactions mitigées du milieu d'affaires Le Conseil du patronat du Québec, l'Association des banquiers canadiens et le Conseil canadien des chefs d'entreprise (CCCE) ont accueilli favorablement le rapport. «C'est de la musique à nos oreilles, a dit le président du CCCE, Thomas D'Aquino. Ce rapport est complet, élaboré, et d'une grande portée. Il s'agit d'une base de travail phénoménale pour transporter le Canada pendant le XXIe siècle.» Cet enthousiasme n'est cependant pas partagé par tous les gens d'affaires. La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI), qui entretenait pourtant de grands espoirs, est fort déçue. «C'est un rapport conçu pour les grandes entreprises», déplore le vice-président de l'organisme pour le Québec, Simon Prévost. Selon lui, plusieurs recommandations sont des sources d'irritation pour les PME, notamment celle qui prévoit que l'aide gouvernement devrait être axée sur les PME qui ont la volonté de devenir de grandes entreprises. «Ce rapport-là n'est pas rassembleur pour l'économie», résume M. Prévost. «La FCEI n'a pas déposé de mémoire au groupe», a répondu d'emblée Isabelle Hudon, qui assure que les intérêts des PME ont été pris en compte par le Groupe d'étude. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080627/LAINFORMER/806270791/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  10. Water plan for St. Lawrence unpredictable, critics charge Joint commission hearings. River levels might have to be artificially elevated, environmental coalition fears CHRISTOPHER MAUGHAN, The Gazette Published: 7 hours ago The environmental and economic impact of a proposed plan to change how water flows into the St. Lawrence River is potentially disastrous and in many ways unpredictable, critics said last night. The International Joint Commission - which manages how much water passes into the river from Lake Ontario - held public hearings in Montreal last night to discuss concerns about their proposal to allow water levels to rise and fall more sharply than they now do. The IJC is an independent, bi-governmental organization that manages the Great Lakes. It controls water flow to Quebec via the Moses-Saunders dam, which runs across Lake Ontario from Cornwall, Ont., to Massena, N.Y. Their commissioners have argued that more drastic changes in water levels would allow for the establishment of more diverse flora and fauna along Lake Ontario and the St. Lawrence. But at the hearings last night, critics seemed far from convinced that the proposal would result in a net environmental gain. "We haven't put enough effort into forecasting the different climate change scenarios," said Marc Hudon, a director at Nature Québec, an environmental coalition that represents 100 smaller groups. Hudon worried that the IJC plan would allow water levels on the St. Lawrence to drop so low that Quebecers would be forced to artificially elevate the water, which could cause major environmental problems. "If you have less water, you concentrate the contaminants in it," said Hudon, adding that even if the issue were addressed, the St. Lawrence would still suffer. "We would have to keep the levels up artificially by slowing the water down. That makes the water hot. When the water's hot, fish flip upside down - they can't survive." That's why Hudon is dead-set against the IJC's proposal, which is known as Plan 2007. A slightly modified proposal that takes wetland restoration into account shows promise, he said, but is too short on details to be adopted now. "We like the idea, but we don't want to go into it blind." Montreal executive committee member Alan DeSousa echoed Hudon's concerns about a lack of specifics. "We want to make sure we know what we're getting into and at this point we're not entirely sure we can say that," he told members of the IJC. "There remain many questions as to the potential impact of the various plans, especially downstream." DeSousa wondered whether the IJC had environmental contingency plans in place to deal with any serious environmental impact. "We don't have any information at this time as to the scope of the (IJC's) mitigation measures," he said. Marine transportation officials also expressed concerns, worrying about the potential impact on the economy. "Just a 10-per-cent loss of the (volume of) the seaway would result in 28 more days a year the seaway would have to be closed," said Kirk Jones, director of transportation services at Canada Steamship Lines. "Ten percent or 28 days could add up to $250 million in losses." Source http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=a37baa36-107d-4bc0-a482-78c6e52c158b
  11. Le vendredi 23 mai 2008 Un projet menace le Saint-Laurent Charles Côté La Presse Le fleuve Saint-Laurent risque de vivre des épisodes dévastateurs de sécheresse, au point de voir le lac Saint-Pierre disparaître, si les autorités canado-américaines adoptent le nouveau régime de gestion du débit actuellement à l'étude, selon Nature Québec. Ce nouveau régime est appelé à remplacer l'actuel, en place depuis 1958. Le débit du fleuve est contrôlé par un barrage international, Moses-Saunders, entre Cornwall en Ontario et Massena, New York. «Il y a énormément de monde qui s'intéresse à cette question en Ontario et aux États-Unis, dit Christian Simard, de Nature Québec. L'Ontario et l'État de New York se sont déjà prononcés en faveur du projet.» Joint par La Presse, le porte-parole de la ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), Line Beauchamp, a indiqué que la position du gouvernement du Québec à cet égard n'était pas encore déterminée. Urgence Pourtant, il y a urgence, affirme Marc Hudon, responsable de ce dossier à Nature Québec. «On tient pour acquis que l'eau va toujours être là, dit M. Hudon. Mais aujourd'hui, il y a l'incertitude des changements climatiques.» Le projet prévoit de plus grands extrêmes entre crues et étiages. Cela aurait pour effet d'imiter un régime plus naturel en amont du barrage, mais il y a des risques importants pour l'aval, dit M. Hudon. «Une diminution de débit sur le fleuve a beaucoup plus d'impact que sur un lac, dit-il. Ce n'est pas long que l'eau se retrouve dans le chenal de navigation.» Une réduction du volume d'eau dans le fleuve aurait toutes sortes d'impacts négatifs, selon M. Hudon. «C'est le volume d'eau qui permet de diluer la pollution des systèmes d'épuration municipaux ou de la pollution agricole, dit-il. S'il coule moins d'eau, on aura plus de difficulté à la traiter pour les aqueducs. Les contaminants seront plus concentrés. Il y aura même des sections du fleuve qui seront à sec où des sédiments contaminés seront exposés à l'érosion.» La proposition de nouveau régime doit être présentée en audience publique à Montréal le 17 juin et le 18 à Sorel.
  12. Hercule

    Havres

    La Société du Havre de Montréal enclenche les dernières études pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure MONTREAL, le 30 août /CNW Telbec/ - La présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal, Mme Isabelle Hudon, s'est réjouie de la confirmation d'une participation du gouvernement du Québec de 400 000 $ au projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville. L'annonce de cet investissement a été faite aujourd'hui par le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, M. Raymond Bachand, au nom de la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales et des Régions, Mme Nathalie Normandeau, en compagnie du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "La Société du Havre a délibérément fait le choix de s'astreindre à une planification stricte et rigoureuse au terme de laquelle Montréal bénéficiera non seulement d'une entrée de ville prestigieuse, mais également d'un lieu qui favorisera l'attraction d'investissements dans ce nouveau lien entre le centre-ville de la métropole et le fleuve Saint-Laurent. En joignant aujourd'hui ses efforts à ceux de la Société du Havre et de la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec nous permet d'accélérer la cadence et de franchir une nouvelle étape cruciale afin que puisse commencer, dès 2009, la préparation des plans et devis pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville", a déclaré la présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal et présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. C'est en effet au terme de cette phase d'avant-projet que commenceront les travaux d'infrastructures et de voirie, lesquels devraient se terminer en trois ans. Le respect de cet échéancier permettra d'offrir aux Montréalais une nouvelle entrée de ville prestigieuse dès 2012. "En conjuguant rigueur et ambition, c'est donc avec beaucoup de fierté que nous passons à cette importante étape avant le début des travaux. Ce faisant, nous confirmons notre choix collectif d'investir 90 M$ pour ce projet d'envergure plutôt que de dépenser 60 M$ pour maintenir une infrastructure vieillissante", a ajouté Isabelle Hudon. Rappelons qu'en avril dernier, la Société du Havre de Montréal dévoilait les conclusions positives des six études de faisabilité pour la transformation de l'autoroute Bonaventure en grande artère urbaine, à l'entrée du centre-ville. A la lumière de ces résultats, le maire Gérald Tremblay avait immédiatement enclenché l'avant-projet, une phase cruciale qui vise notamment à compléter toutes les analyses relatives aux coûts de construction, à la démolition des structures, à l'amélioration du domaine public, aux mesures de maintien de la circulation et aux moyens à mettre en place pour optimiser le transport collectif dans le corridor Bonaventure. La Société du Havre de Montréal est née dans le sillage du Sommet de Montréal au printemps 2002 avec l'appui financier des trois paliers de gouvernement. Son mandat était de proposer, pour le havre et les espaces qui l'entourent, les grandes lignes d'un plan d'intervention concerté, assorti d'une stratégie de mise en oeuvre et de financement. Au printemps 2004, elle dévoilait son rapport Vision 2025, une proposition pour l'avenir du havre qui s'est concrétisée dans un plan d'intervention réaliste dont la pierre angulaire est le réaménagement de l'autoroute Bonaventure.
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