Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'helene'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

11 résultats trouvés

  1. Repairs to Hélène de Champlain building force eatery to shut Restaurant's owner plans to close it down when lease expires at end of 2009 ALAN HUSTAK, The Gazette Published: 8 hours ago The building that houses the Hélène de Champlain restaurant on Île Ste. Hélène needs massive repairs, and the restaurant will close for good in 16 months when its lease expires. Pierre Marcotte, the French- language television personality who has leased the red sandstone building from the city since 1983, says the property needs between $3 million and $5 million in repairs. "We have no choice but to close," he said. "The city has decided not to renew its lease after 2009 in order to undertake the repairs. That could take a year or more to complete. The electrical and heating systems are outdated, and major repairs to the building itself are necessary." Initially meant to be a sports pavilion, the island chalet was built during the Depression as a Quebec government make-work project. It was designed by Émile Daoust to resemble a Norman château, and the grounds were landscaped by Frederick Todd. It was turned over to the city in 1942 and in 1955 became a municipal restaurant, but didn't get a liquor licence until 1960. In 1966, Mayor Jean Drapeau had the building redone as the official residence for Expo 67's Commissioner-General, Pierre Dupuy. It also had a hall of honour next to the main dining room that was used by Drapeau as a reception centre for visiting dignitaries and heads of state. The reception for French President Charles de Gaulle was held in the chalet after he delivered his controversial "Vive le Québec libre" speech. Even though the restaurant proved to be a money-loser, Drapeau kept its five dining rooms open until 1977, when they were closed because of a labour dispute. They reopened in 1981. Marcotte said he does not plan to renew his lease, and no one is certain what will happen to the building once the repair work is done. In the past, there has been talk of converting the site into a hotel for high rollers at the Montreal Casino. ahustak@ thegazette.canwest.com
  2. Bonjour Ã* tous, alors voilÃ* depuis quelques temps je lis de plus en plus d'articles et de commentaires sur l'urbex. les photos me font rever! et j'aimerais vraiment commencer Ã* explorer. Seulement je ne connais personne avec de l'experience. J'ai trouvé cet article qui parle d'une exploration pour "débutant" Urbex pour debutant a Montreal - Les voyages de Seth et Lise Je serai assez tentée de commencer comme ça. Est ce que ça tenterait quelqu'un qu'on prépare une sortie? Helene
  3. Dany Laferrière entre à l'Académie française L'écrivain d'origine haïtienne Dany Laferrière est le premier Québécois à faire son entrée à l'Académie française. Il a été élu au premier tour jeudi, à Paris, par les membres de la célèbre institution. L'auteur de Comment faire l'amour avec un Nègre sans se fatiguer a été préféré à cinq autres candidats : Catherine Clément, Yves-Denis Delaporte, Arthur Pauly, Jean-Claude Perrier et Georges Tayar. À 60 ans, Dany Laferrière devient le plus jeune membre à siéger sous la coupole. Il occupera le fauteuil numéro deux, autrefois dévolu à Montesquieu et, plus tard, à Alexandre Dumas fils et laissé vacant par Hector Bianciotti. La secrétaire perpétuelle de l'Académie française, l'historienne Hélène Carrère d'Encausse, avait personnellement sollicité la candidature de l'écrivain, qui faisait figure de favori pour l'homme de lettres français Bernard Pivot. Quelques minutes après être devenu « immortel » (c'est ainsi que l'on appelle les membres de l'Académie française), Dany Laferrière a réagi depuis sa ville natale, Port-au-Prince, en Haïti, où il a appris la nouvelle. Il a tenu à clarifier un point : non, il ne déménagera pas à Paris, même si, de son propre aveu, « il ne tient jamais en place ». — Dany Laferrière S'il affirme ne pas vouloir « chambouler quoi que ce soit » en entrant à l'Académie française, il reconnaît que le simple fait de poser sa candidature était un chamboulement en soi. Hélène Carrère d'Encausse avait même consulté l'actuel Président de la République française, François Hollande, le protecteur de l'institution, sur le cas de ce candidat ni français, ni parisien, né en Haïti et installé à Montréal. Vérification faite, les statuts de l'Académie française n'incluent aucune condition quant à la nationalité des candidats à l'Académie. Et pour Hélène Carrère d'Encausse, « la nationalité, c'est la langue ». — Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuelle de l'Académie française Fondée par le cardinal Richelieu il y a 378 ans, l'Académie française est composée de 40 membres, les « immortels », élus à vie par leurs pairs, qui ont pour mission de surveiller la langue française et de concevoir le dictionnaire de référence, qui en est à sa neuvième édition. Rappelons que Dany Laferrière a dû fuir la dictature des Duvalier en Haïti en 1976. Installé à Montréal, il publie son premier roman, Comment faire l'amour avec un nègre sans se fatiguer, en 1985, et connaît un succès immédiat (il a été traduit en 14 langues). Une dizaine de romans suivront, faisant de Dany Laferrière une figure marquante de la littérature québécoise. Il a reçu de nombreuses distinctions, dont le Prix du gouverneur général en 2006 pour son album jeunesse Je suis fou de Vava (La Bagnole) et le prix Médicis, en 2009, pour L'énigme du retour (Éditions du Boréal). Son vingtième et plus récent roman, Journal d'un écrivain en pyjama (Mémoire d'encrier), se veut une sorte d'adresse complice aux aspirants écrivains. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2013/12/12/004-dany-laferriere-academie-francaise.shtml
  4. Dégradation accrue de l'abordabilité au Canada Publié le 29 octobre 2013 à 10h39 | Mis à jour à 10h39 Maxime Bergeron La Presse (Montréal) Le marché immobilier canadien est moins abordable qu'il ne l'a été en moyenne depuis 25 ans, indiquent de nouvelles statistiques publiées mardi matin. Selon le Mouvement Desjardins, «l'indice d'abordabilité» a reculé presque partout au pays pendant le troisième trimestre, conséquence directe du rebond récent des ventes de maisons. «Les prix des propriétés, qui ont progressé plus rapidement que les revenus des ménages au troisième trimestre, ainsi que la légère remontée des taux hypothécaires expliquent cette détérioration», souligne Hélène Bégin, l'économiste principale du groupe. Desjardins calcule son indice d'abordabilité en faisant le ratio entre le revenu disponible moyen des ménages et le revenu nécessaire pour obtenir une hypothèque sur une résidence au prix moyen. De toutes les villes canadiennes, c'est maintenant à Sherbrooke où le marché immobilier est le moins abordable, indique le rapport. Les maisons y sont certes moins chères qu'à Vancouver ou Toronto, mais les salaires y sont aussi nettement inférieurs. Vancouver est la deuxième ville la moins abordable du pays, suivie de Québec et Trois-Rivières. Remontée récente Les ventes résidentielles sont reparties à la hausse dans plusieurs villes de pays au printemps, après le coup de frein enregistré à l'été 2012. «La remontée des taux hypothécaires au cours de l'été a provoqué un effet d'empressement auprès des acheteurs, souligne Hélène Bégin. Plusieurs d'entre eux sont passés à l'action craignant que les taux hypothécaires montent davantage.» La remontée des prix enregistrée depuis le début de 2013, combinée à la hausse des taux, a contribué à réduire encore davantage l'abordabilité pour une majorité de Canadiens. La valeur moyenne d'une propriété s'établissait à 386 000$ au pays en septembre, une hausse de 8,8% sur un an. La reprise est si fulgurante que le ministre des Finances, Jim Flaherty, compte rencontrer sous peu les principaux promoteurs du pays pour mieux comprendre les causes de ce nouveau boom. Il dit cependant ne «pas vouloir interférer» dans le marché, comme il l'a déjà en resserrant à quatre reprises les règles d'emprunt depuis 2008. Au Québec, la progression des prix a été beaucoup plus modérée et des reculs commencent même à être enregistrés dans certains secteurs. Le «surplus de copropriétés» est à blâmer pour ces baisses, souligne Hélène Bégin. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201310/29/01-4704879-degradation-accrue-de-labordabilite-au-canada.php
  5. The Ville Marie borough has given the go-ahead for a major facelift of the Helene de Champlain pavilion on St. Helen's Island - the building that until a six months ago housed the Helene de Champlain Restaurant. It will undergo a 10-million dollar expansion and upgrade this fall. After the facelift it will house a restaurant affiliated with the prestigious Relais et Chateaux chain as well as a cooking school and library. http://www.cjad.com/node/1174275
  6. Le Québec sur une mauvaise pente * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 13:00 Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. Selon Desjardins, l’économie québécoise s’est engagée sur une mauvaise pente, et cela devrait perdure durant les trois à six prochains mois. L'Indice précurseur Desjardins (IPD) a d'ailleurs perdu 0,7% en janvier, ce qui représente une quatrième diminution mensuelle consécutive pour l'IPD. Cette nouvelle chute indiquerait que l'économie québécoise est maintenant engagée dans un sérieux ralentissement qui devrait, selon Desjardins, se poursuivre pour au moins trois mois. Plusieurs autres facteurs économiques pointeraient également dans la même direction comme les livraisons manufacturières, les ventes des détaillants, celles des grossistes et la consommation. Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. « Même si la réduction des taux hypothécaires a donné du tonus à la composante habitation en janvier, ce secteur continuera de s'affaiblir, soutient Hélène Bégin, économiste senior chez Desjardins. La détérioration de l'économie sera donc assez généralisée, de sorte que le PIB réel diminuera de 1,3 % en 2009. » Alors que la composante consommation de l'IPD s'est considérablement détériorée, coulée par les nombreuses mises à pied et par l'affaiblissement de la confiance, la composante habitation a quant à elle rebondi de 1,0 % en janvier sous l'impulsion de la réduction des taux hypothécaires. Mais la reprise n'est toutefois pas pour demain dans ce secteur puisque tous les autres indicateurs ont poursuivi leur tendance à la baisse. La diminution des indicateurs avancés continuerait d'affaiblir la composante exportation de l'IPD : « Voilà qui confirme que le climat économique se détériorera davantage pour les exportateurs québécois, prévient Hélène Bégin. Le repli des expéditions à l'étranger sera plus important en 2009, car la relance nord-américaine tardera à venir. » En dernier lieu, la composante financière de l'IPD est demeurée négative en janvier puisque, selon Desjardins, l'indice boursier Québec-30 a diminué de 6,3 % durant la période. Dans une nouvelle tentative de stimuler le marché du crédit, la Banque du Canada a de nouveau réduit son taux directeur ce matin à 0,5%. « Il s'agit bien entendu d'un nouveau creux historique, explique Hélène Bégin. Ce bas niveau des taux directeurs s'explique par la récession qui prend de l'ampleur au pays et par la faiblesse de l'inflation qui approche maintenant les 1 %. »
  7. Le Québec est en récession, estime Desjardins Éric Desrosiers Édition du vendredi 06 février 2009 La crise s'annonce moins grave qu'en 1991 Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le Québec est probablement en récession depuis le mois de novembre, estime le Mouvement Desjardins. Ce recul de l'économie devrait durer au moins jusqu'à l'été, mais s'annonce moins grave que la dernière crise, il y a 18 ans. Les statistiques officielles sur le produit intérieur brut (PIB) pour le mois de novembre au Québec ne seront pas connues avant le 25 février. Les plus récentes données sur le marché du travail, la consommation, le secteur immobilier, les exportations et les marchés financiers permettent cependant de conclure que l'économie québécoise a déjà commencé à se contracter, a affirmé hier le Mouvement Desjardins, au moment de dévoiler la plus récente lecture de son Indice précurseur. Ces statistiques donnent en effet à penser qu'après avoir fait du surplace en octobre, le PIB réel a reculé en novembre de 0,5 % à 1 %. «Ce recul devrait marquer officiellement le début de la récession au Québec», a noté Hélène Bégin, économiste senior de l'institution financière. Il faudra toutefois patienter encore quelques mois, a-t-elle dit, pour avoir une idée plus précise de l'ampleur de la récession. Pour le moment, l'économiste a dit s'attendre à un recul de 0,5 % du PIB réel pour l'ensemble de l'année 2009, soit une baisse relativement modeste en comparaison de la dernière, qui avait été de - 2,7 % en 1991. Sombres statistiques Faisant la synthèse de plusieurs statistiques économiques, l'Indice précurseur Desjardins (IPD) a fléchi de 0,8 % au mois de décembre. Cette baisse était la troisième consécutive, le mois d'octobre ayant accusé un premier recul de 0,5 %, et le mois de novembre une autre chute de 0,7 %. Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le marché du travail a aussi reculé, avec 7400 pertes d'emplois en décembre qui ont fait grimper le taux de chômage de 7,2 % à 7,3 %. «D'autres mises à pied sont attendues d'ici le printemps, a prévenu Hélène Bégin, ce qui fera grimper le taux de chômage autour de 8,5 %.» La chute du nombre de transactions sur le marché immobilier a amené, jusqu'à présent, une stabilisation du prix des maisons, a observé l'économiste. Mais «une détérioration plus importante de la conjoncture économique risque de provoquer une situation de surplus qui pourrait entraîner des baisses de prix». Après les 11 premiers mois de 2008, les exportations québécoises accusaient un retard de 3,6 % par rapport à la même période l'année d'avant. À voir la gravité de la crise aux États-Unis, la situation continuera à se dégrader. Dans l'espoir d'aider la reprise économique, la Banque du Canada a déjà réduit son taux directeur à un niveau jamais vu de 1 %. «Étant donné l'assombrissement des perspectives économiques au pays et le repli de l'inflation, une autre diminution est prévue en mars», a annoncé Hélène Bégin.
  8. Le Québec tiendra-t-il le coup? * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 10:53 Le secteur des exportations représente un maillon faible, selon Desjardins. Photo : Photos.com L’économie québécoise serait à l’abri d’une récession profonde selon les dernières analyses publiées par Desjardins. La force du marché du travail et du marché immobilier contribuerait jusqu’ici à contrebalancer le manque de confiance des consommateurs québécois. Selon Desjardins, peu de statistiques seraient actuellement compatibles avec le scénario d'un début de profonde récession. Pour l'instant, le marché de l'emploi demeure solide ce qui permet de soutenir pour l'instant les dépenses de consommation. De plus, le peu de dépendance que le Québec entretient envers le secteur de l'automobile devrait s'avérer utile pour l'économie. « Le manque de vigueur récent de l'économie québécoise est pour l'instant insuffisant pour provoquer des mises à pied massives d'une ampleur semblable à celles des deux dernières récessions, soutient Hélène Bégin, économiste senior chez Desjardins. Notre scénario table sur une hausse d'environ 1,5 % des dépenses en biens et services au dernier trimestre de 2008 et au premier trimestre de 2009, soit la moitié de la croissance observée en première moitié d'année. » Elle demeure toutefois prudente et ne ferme pas la porte à une détérioration plus importante de la situation : « Étant donné le faible niveau actuel de la confiance, une baisse de la consommation est possible, ce qui plongerait l'économie du Québec en véritable récession. » Quant au marché immobilier local, bien qu'il n'ait pas connu le même genre de bulle spéculative que son homologue américain, il n'est pas complètement à l'abri de la tempête actuelle. Un peu partout, la demande a ralenti de façon significative dans le segment haut de gamme, qui est d'ailleurs plus vulnérable à une baisse de prix. « Plutôt que de réduire la cadence de la construction, les conditions économiques moins favorables ont pour effet de déplacer la demande vers les produits moins dispendieux tels que les maisons jumelées et les copropriétés », précise Hélène Bégin. Les exportations connaissent également des temps difficiles, la chute de la demande américaine leur a fait prendre un plongeon important durant les derniers mois. En effet, le déficit commercial a par conséquent atteint un niveau record de plus de 25 milliards (en termes réels), ce qui tranche avec le surplus du début de la décennie. « Il s'agit du maillon faible qui distingue le cycle actuel de l'économie québécoise et qui entraînera cette fois-ci une légère récession », prédit Hélène Bégin. On serait toutefois très loin des conditions qui prévalaient lors de la dernière grande récession de 1990. En effet, le contexte général est nettement plus favorable qu'à cette époque et à moins que le marché du travail se détériore significativement, entraînant la consommation et le marché immobilier dans son sillon, la demande intérieure devrait rester cette fois en territoire positif Articles de l'industrie
  9. mtlurb

    Parlez d'argent!

    Comment les couples instaurent-ils la gestion de leurs finances ? «Spontanément, les gens nous disent que les choses se sont mises en place naturellement, qu'ils n'en avaient jamais vraiment parlé, qu'ils ont décidé à un moment donné de partager certains comptes...», relate Hélène Belleau. Pour en lire plus...
  10. Dans l'ouvrage publié sous sa codirection, L'Usage de l'argent dans le couple: pratiques et perceptions des comptes amoureux, Hélène Belleau, professeure à INRS-Urbanisation, Culture et Société, a dressé le portrait des quatre modes de gestion des couples québécois. Pour en lire plus...
  11. Les 1,9 milliard de dollars que Québec versera sous peu aux 360 000 employés de l’État visés par le règlement sur l’équité salariale soutiendront les dépenses de consommation et atténueront le ralentissement appréhendé de l’économie québécoise en 2007, prévoit le service des Études économiques de Desjardins. «Bien que ces montants ne touchent qu’une partie des employés de l’État, l’ampleur des sommes en jeu alimentera les dépenses de consommation au Québec en 2007, ce qui permettra d’éviter un essoufflement trop marqué», écrit l’économiste Hélène Bégin, dans un document intitulé Point de vue économique publié la semaine dernière. Au cours d’un entretien, Mme Bégin a indiqué qu’en se basant sur des études préalables, Desjardins estime qu’environ le tiers du 1,9 G$ * 633 M$ * sera affecté à des dépenses de consommation. «Le reste passera en impôts et en épargne», a-t-elle dit. Cette injection d’argent dans l’économie permettra aux dépenses de consommation de progresser de 2,8%, soit 0,2% ou 0,3% de plus que prévu, croit-elle. «L’écart de pourcentage peut paraître insignifiant, mais on parle de gros sous», a soumis Mme Bégin. Les dépenses de consommation * qui comptent pour 60% de l’économie québécoise * ont surpris en 2006 avec une hausse de 3,1%. Ralentissement dans l’emploi Mais une régression prévue dans la création d’emplois (30 000 en 2007, la plus faible progression depuis 1995), provoquée par un ralentissement de l’économie américaine et un recul des exportations, fera passer la hausse des dépenses de consommation sous la barre du 3%. L’année 2008 sera meilleure, prévoit Desjardins, parce que l’économie américaine devrait prendre du mieux, et le PIB du Québec gonflera de 2,3%, un score plus robuste que le 1,1% attendu cette année. Hélène Bégin note que l’impact de l’équité salariale continuera de se faire sentir sur l’économie québécoise au cours des prochaines années. Le montant de 1,9G$ * qui devrait être versé d’ici la fin mars * ne constitue en effet que la portion rétroactive du règlement sur l’équité salariale. Les salaires annuels des 360 000 personnes visées * des fonctionnaires et des travailleurs de la santé et de l’éducation * seront aussi augmentés de plus de 2000$ en moyenne. «Selon les estimations contenues dans le budget de cette semaine, les hausses salariales liées à l’équité salariale totaliseront 720M$ en 2007-2008, 809M$ en 2008-2009 et 825M$ en 2009-2010», explique Hélène Bégin.
×
×
  • Créer...