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  1. Montréal, capitale de l’entrepreneuriat culturel Montréal, avec ses nombreux festivals et spectacles, est reconnue comme une capitale culturelle. Au niveau entrepreneurial, elle n’est d’ailleurs pas en reste: la ville regorge d’industries créatives et le domaine des arts y est florissant. Professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal, Louis Jacques Filion en parle avec passion. «Aussitôt qu’on discute d’entrepreneuriat au Québec, il y a une onde négative, commence-t-il par constater. Or, Montréal est une des villes les plus vibrantes de la planète, particulièrement pour ce qui est de l’entrepreneuriat culturel.» Il rappelle, par exemple, que le grand patron de MGM a déjà mentionné que le succès de Las Vegas reposait sur Montréal, puisque 80% des billets qui y sont vendus sont issus de la créativité de la métropole québécoise. M. Filion définit l’entrepreneuriat culturel comme étant composé de gens jouant un rôle d’innovation dans le domaine des arts et de la culture, plus particulièrement par le développement de produits et de services. Le domaine culturel peut par ailleurs prendre plusieursfor*mes: édition, humour, musi*que, danse, jeux vidéos etc. «Montréal est notamment devenue un incontournable pour l’industrie du jeu vidéo, et le modèle de l’humour québécois sert d’inspiration ailleurs dans le monde», souligne le professeur au HEC. «Montréal regorge d’un bassin de travailleurs autonomes de très grand talent, souvent dans le milieu culturel», affirme Éric Fournier, partenaire et producteur exécutif chez Moment Factory et président de la Table d’action en entrepreneuriat de Montréal (TAE). Il ajoute cependant que la métropole a le potentiel d’aller encore plus loin, puisque l’accent est beaucoup plus porté sur la création que sur la diffusion de ce talent. «Il faut passer du talent brut individuel à des regroupements qui vont cumuler ensemble leur talent pour aller vendre à l’étranger», déclare M. Fournier. «Il est temps de sortir de la morosité et de réaliser tout le potentiel de l’entrepreneuriat culturel au Québec!» – Louis Jacques Filion, professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal Dans le cadre de ses travaux, la TAE vise d’ailleurs à promouvoir la création de PME par les travailleurs autonomes. Éric Fournier rappelle que même si plus de 80 organismes ont pour vocation de soutenir les entrepreneurs, les règles fiscales en place n’encouragent pas l’entrepreneuriat. Les travailleurs autonomes et sous-traitants dans le milieu culturel sont donc à la merci des projets et ont de la difficulté à s’organiser. Une chose est sûre, il est important de continuer à promouvoir et soutenir l’entrepreneuriat culturel. «Les pays où les arts se développent sont des pays où il y a beaucoup de liberté. Ça amène une dynamique de créativité dans la société et ouvre à la diversité», conclut Louis Jacques Filion. Le goût du risque Éric Fournier rappelle par ailleurs qu’au delà des programmes universitaires formels, l’entrepreneuriat est un état d’esprit. «Oui, les études peuvent aider, mais c’est avant tout quelque chose qui se vit. L’essence de l’entrepreneurship, c’est le gout du risque», mentionne le producteur exécutif chez Moment Factory. Gestion des arts La Chaire de gestion des arts Carmelle et Rémi-Marcoux aux HEC réalise et publie des recherches sur la gestion des arts. Parallèlement, l’université offre aussi plusieurs possibilités de formation en gestion des arts, notamment: DESS en gestion d’organismes culturels Maîtrise en management des entreprises culturelles Maîtrise internationale en management des arts Doctorat en administration, avec profil en marketing et management des arts, industries culturelles et des médias http://journalmetro.com/plus/carrieres/531576/montreal-capitale-de-lentrepreneuriat-culturel/
  2. Une entrevue avec François Colbert, titulaire de cette nouvelle Chaire, ce matin à RC. Très intéressant: http://www.radio-canada.ca/emissions/medium_large/2012-2013/chronique.asp?idChronique=303681
  3. L'école HEC Montréal fait un constat qui tombe comme une tonne de briques sur le Québec: il souffre d'un «retard économique significatif et chronique» et d'un niveau de vie inférieur comparativement au reste du Canada et aux États-Unis. C'est la principale conclusion qui ressort de l'étude Productivité et prospérité au Québec publié vendredi par le Centre sur la productivité et la prospérité des HEC. Il ne s'agit pas de préjugés mais d'un bilan chiffré pour la période démarrant en 1981 et se terminant en 2008. Le produit intérieur brut québécois a crû de 73%. Pendant ce temps, celui des voisins ontariens s'accroissait de 112%, celui de l'ensemble du Canada de 105% et celui des États-Unis de 120%. Cela a fait reculer le poids économique du Québec de 3,5 points à 18,8% de 1981 à 2008. Pourtant, le poids démographique de la province allait reculer plus lentement, soit de 3,1 points à 23,3% à la fin de la même période... HEC calcule que le niveau de vie par habitant se situait à 38 897,99 $ en 2008 au Québec, ce qui est seulement 85,5% des 45 471,82 $ constatés en Ontario. L'étude note qu'un écart grandissant se creuse entre le Québec et les autres territoires recensés. Le rapport ne dépeint pas une province qui vit dans la misère. Toutefois, il avertit qu'«en dépit du fait que sa population jouit d'une qualité de vie qui peut être enviable, le Québec est néanmoins en perte de vitesse par rapport à ses voisins immédiats.» Le coeur du problème se trouve dans les gains de productivité, disent les HEC. Au sein des 20 membres de l'OCDE, seule la Suisse enregistre un gain inférieur à celui du Québec. Les États-Unis et le Canada se trouvent dans les bas fonds avec le Québec sur cet aspect. HEC estime que le problème de productivité se situe principalement dans les services. Ces derniers sont le principal moteur de croissance en matière de productivité et c'est là où le Québec est en retard, notamment dans le commerce de gros et le transport. Robert Gagné, directeur du Centre sur la productivité et la prospérité, blâme le phénomène sur un environnement qui ne favorise pas une plus grande efficacité. Il s'attarde à la technologie, à la formation, à la fiscalité et à la réglementation. Il ne tient toutefois pas des propos comparables à ceux de l'ancien premier ministre Lucien Bouchard, qui affirmait que les Québécois pourraient passer plus de temps au boulot. Et ce même s'ils travaillent 73 heures de moins par année que les Ontariens. «Cette faible productivité n'a pas sa raison d'être, dit M. Gagné. On peut faire le choix de ne pas travailler ou de moins travailler. Par contre, lorsqu'on est au travail, on ne peut pas faire le choix d'être moins productif.» Le directeur reconnaît qu'il ne peut pas proposer de solutions concrètes pour l'instant. «Les solutions viendront, je l'espère, des recherches que mènera le Centre au cours des prochaines années en matière de capital humain, des comportements des entreprises et de politiques publiques.» Étude : http://expertise.hec.ca/centre_productivite_prosperite/wp-content/aa-2008-01_bilan-1981-2008_fra_sept-2009_final_web.pdf Source: http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/09/20090925-123051.html
  4. Le MBA de HEC Montréal au Top 10 de Forbes Publié le 06 août 2009 à 07h46 | Mis à jour à 08h01 Nadielle Kutlu lapresseaffaires.com Pour une quatrième fois d'affilée, le MBA intensif offert à HEC Montréal figure au palmarès biennal des meilleurs MBA, excluant les États-Unis, répertorié par le prestigieux magazine Forbes. Ce MBA, d'une durée d'un an, occupe le 10e rang du palmarès. Près de 170 étudiants s'insrivent chaque année au MBA intensif de HEC Montréal. Et parmi ceux-ci «45% sont des étudiants étrangers (hors Canada)», précise la relationniste médias du programme, Céline Poissant. Le classement a été réalisé en tenant compte du rendement de l'investissement des diplômés, cinq ans après l'obtention de leur diplôme, en considérants des droits de scolarité et des revenus non touchés pendant leur scolarité. «Nous sommes particulièrement fiers que notre MBA se classe à nouveau parmi les meilleurs programmes offerts en dehors des États-Unis», affirme Jacques Roy, directeur du programme, par voie de communiqué. Cette année, quelque 17 000 diplômés de 2004 issus de 103 établissement partout dans le monde ont reçu le questionnaire de Forbes en vue de la préparation du classement. Le classement des MBA selon Forbes ( excluant les États-Unis) 1. Insead - France 2. IMD - Suisse 3. Instituto de Empresa - Espagne 4. Cambridge (Judge) - Royaume-Uni 5. Oxford (Said) - Royaume-Uni 6. City University (Cass) - Royaume-Uni 7. Lancaster - Royaume-Uni 8. SDA Bocconi - Italie 9. Cranfield - Royaume Uni 10. HEC Montréal - Canada
  5. Publié le 12/02/2009 N°1900 Le Point L'autre HEC est à 8 000 kilomètres de la France Attraction. Pourquoi les Français choisissent-ils HEC Montréal ? Marie-Sandrine Sgherri Germain était en prépa à Cannes quand il a entendu parler d'HEC Montréal pour la première fois. La copie d'un mail accroché dans la salle de repos des élèves attire son attention. « Un élève expliquait que tout se passait bien pour lui à Montréal. Je me suis demandé ce que signifiait cet "hec.ca". » Intrigué, Germain contacte l'exilé qui lui raconte l'autre HEC, une école de management située à Montréal qui délivre un bachelor sur le modèle américain, soit un bac + 4. « Je me suis renseigné sur lui. Etait-il nul, avait-il été viré de la prépa ? Pas du tout, il faisait partie des 5 premiers. » Alors, l'idée commence à faire son chemin dans la tête de Germain, excellent élève, mention TB à son bac ES, et que l'idée de voyager ne cesse de titiller. Tant et si bien qu'à l'époque il renonce à sa deuxième année de prépa et achève actuellement son baccalauréat en administration des affaires (BAA) à HEC Montréal. « Avec le recul, c'est un truc de fou... », s'amuse le jeune homme. Des regrets ? Pas le moindre ! « Je vais faire une année de master en France, à l'IEP Paris, par exemple. Mes chances d'y entrer par la voie internationale sont de 20 %, bien plus qu'au sortir du lycée. Mais il y a aussi le Celsa, ou l'Essec, ou encore un master d'affaires européennes à l'UISS à Rome, ou bien à l'université de Louvain... » Germain ne manque pas de projets et revient vers l'Europe avec un moral d'acier ! Pourtant, posons la question sans détour: suivre une formation au management en français, à 8 000 kilomètres de la France, alors que nos écoles de commerce délivrent un master reconnu internationalement, cela a-t-il un sens ? Pour environ 250 de nos jeunes compatriotes qui sont actuellement en BAA à HEC Montréal, la réponse est oui. Le fait est que l'offre est alléchante. Les Français paient les mêmes droits de scolarité que les Québécois, soit à peine 2 000 euros par an. « Les autres étrangers paient sept fois plus, s'exclame Kathleen Grant, directrice de la communication de l'école. C'est vraiment le best bargain du marché ! » Best bargain, vraiment ? La meilleure solution pour le savoir serait de soumettre l'école québécoise à nos critères de classement. Certes, sur un certain nombre d'entre eux, la comparaison serait délicate, mais pas sur tous. Mieux, si l'école acceptait de nous confier les mails de ses anciens élèves français diplômés en 2005, nous aurions pu comparer leur situation à celles des autres diplômés. Seulement voilà, HEC Montréal a décliné notre invitation. « Nous sommes une alternative nord-américaine, martèle Kathleen Grant. Nous ne souhaitons pas nous comparer aux écoles françaises. » Pour ses concurrentes hexagonales, la messe est dite : si l'autre HEC refuse la compétition, c'est bien qu'elle ne fait pas le poids ! Changer de vie. Pas si simple, pourtant. Car choisir HEC Mont-réal, c'est vouloir changer de vie. Changer de continent, s'adapter à une autre culture, affronter l'hiver canadien et renoncer à ramener son linge sale à maman tous les week-ends. A 18 ans, c'est un vrai dilemme ! Gagner 100 ou 1 000 euros de plus ou de moins qu'à la sortie d'une ESC du Top 10 importe peu et ce n'est pas Benjamin qui dira le contraire. Le jeune homme, coiffé à l'iroquoise, avait envie de respirer après une scolarité brillante, qui l'a mené en prépa à Janson-de-Sailly. « En deuxième année, j'ai eu une période de grosse remise en question », sourit-il. Dans un Salon étudiant, il apprend l'existence d'HEC Montréal, mais aussi qu'il est trop tard pour envoyer sa candidature ! « J'ai directement téléphoné à l'école, raconte Benjamin. Ma mention très bien au bac les a convaincus de faire une petite exception ! » Entre l'écrit et l'oral de la BCE, il sait que l'école l'accepte : « J'ai tout laissé tomber et je suis venu. Dans l'avion, je me disais : "Mais qu'est-ce qui m'a pris ! " » Choc culturel. Aujourd'hui, Benjamin ne sait toujours pas à quoi il a renoncé, mais il sait très bien ce qu'il a gagné ! Il anime un atelier intitulé Le choc culturel, où il explique aux Français débarqués de l'aéroport les mille et une erreurs qu'ils vont commettre et tente de leur éviter les plus grossières. Il est donc particulièrement bien placé pour expliquer en quoi venir à HEC Montréal constitue un vrai dépaysement. « Vous croyez les Québécois gentils. Pas du tout, ils sont souriants. Ce n'est pas pareil ! explique-t-il à ses compatriotes. En revanche, comme vous êtes français, ils sont persuadés que vous êtes des cadors aux fourneaux. Quant à draguer des filles, il y a deux écoles. Celles qui trouvent ça macho et qui détestent et celles qui trouvent ça macho, mais qui apprécient beaucoup. C'est risqué ! A vous de voir. » L'idée de cet atelier est né d'un projet d'association du même Benjamin. « Il y a deux ans, je suis allé voir la direction avec un projet d'assoc' des étudiants français. La direction a refusé pour ne pas créer un ghetto ! Mais ils m'ont proposé d'exposer aux autres les problèmes que je décrivais dans mon projet et de me payer pour ça ! » C'est la méthode américaine : les étudiants sont invités à prendre des responsabilités. Et, en effet, ils sont payés pour ça ! Ainsi Benjamin a découvert à son arrivée que la convention entre la Sécurité sociale française et le système québécois connaît quelques ratés en matière de remboursement des frais dentaires et optiques. Un classique ! Ni une ni deux, le voilà chargé par l'école de renégocier avec la caisse des Français de l'étranger le contrat de prise en charge des étudiants français. Parfaitement épanoui, quasi bilingue, Benjamin hésite maintenant entre rentrer au pays pour ajouter un master français à son CV et une première expérience à Montréal, où le marché du travail lui tend les bras. Partir ou s'installer ? C'est le choix de beaucoup des Français qui sont venus ici, et qui ont été séduits par le vent d'optimisme qui souffle sur Montréal, deuxième ville universitaire du continent nord-américain après Boston, multiculturelle, bilingue, et qui allie les valeurs du welfare state à l'audace des pionniers. Ce qui a le plus frappé les jeunes Français à leur arrivée : l'hiver ? bof ! « C'est pas un problème, l'hiver », tranche William. Plutôt la facilité avec laquelle on trouve un logement : « Les plus indécis mettent trois jours ! s'exclame Benjamin. Et demander une caution est interdit. » A les entendre, on dégote un travail à Montréal avec la même facilité qu'un appartement. Mariam, par exemple, diplômée dans six mois, n'a pas encore commencé à chercher : « Ce n'est pas la peine. Quand on est candidate, ils vous disent : OK, tu commences lundi ! » Jonathan Garnier n'a pas résisté à cette énergie. Le voilà installé dans un quartier trendy de la ville, à la tête de La Guilde culinaire, une entreprise où de grands chefs dispensent des cours de cuisine. « En France, on m'aurait ri au nez. Ici, les meilleurs chefs de la ville ont dit banco ! » Autre parcours, mais même réussite d'Emmanuel Bornand, un Savoyard qui, dès la fin de son BAA, a été recruté au département Stratégie et développement des affaires. Le jeune homme, qui a préféré traverser l'Atlantique après une première année de prépa, n'a pas non plus regretté son choix. Mais il prévient : « Contrairement à la France, où le nom de votre école suffit, ici les recruteurs vous demandent vos notes. Ils savent qu'il y a plusieurs HEC Montréal. Alors, il faut vraiment bosser. » Là encore, une pédagogie à l'américaine, où les cours sont réduits au minimum (15 heures par semaine), mais ne vont pas sans un investissement personnel important. C'est ce qui séduit le plus ces jeunes Français qui, dès le lycée, ont couru le risque. « Ici, on est traité autrement. On participe plus et, si le travail est excellent, on a d'excellentes notes ! » explique Laetitia. La jeune fille sort d'un obscur lycée de l'Eure. A côté d'elle, William, qui vient d'un minuscule établissement de Seine-et-Marne. Ils n'étaient pas des premiers de la classe ! Tout étonnés encore d'être là, ils ont le sentiment d'avoir beaucoup de chance. A les voir si confiants, on se dit qu'ils tiennent le bon bout !
  6. En collaboration avec HEC Montréal, nous publions notre chronique hebdomadaire sur les défis auxquels font face les entreprises au plan de la gestion. Pour en lire plus...
  7. Tous les intervenants rencontrés par La Presse l’ont affirmé : pour réussir en affaires à l’international, il faut temps, patience et persévérance. La plus grande erreur consiste à aller trop vite. « Beaucoup de PME agissent trop rapidement sans avoir pensé à toutes les conséquences et fait leur recherche. Ce n’est pas un coup de dé «, dit Antoine Panet-Raymond, conseiller principal aux projets internationaux, HEC Montréal. Pour en lire plus...
  8. Ni Jeff Rubin, ni HEC Montréal, ni The Economist ne voient d'autres possibilités. Le plan Paulson doit passer, surtout en raison de l'effet «bas de laine». Pour en lire plus...
  9. La crise financière soulève la question de la responsabilité des pouvoirs publics par rapport aux entreprises financières. Radio-Canada.ca en discute avec Jean Boivin, professeur à HEC Montréal. Pour en lire plus...
  10. Richard Guay, ex-prof aux HEC de Montréal, a été nommé par le conseil d'administration de la Caisse, hier, nomination entérinée par le gouvernement du Québec. Pour en lire plus...
  11. C'est ce que pense Louis Hébert, professeur à HEC Montréal. Selon lui, l'annonce de la réfection de Gentilly-2 est une bonne nouvelle pour le Québec. Pour en lire plus...
  12. Top Asian team at global business challenge 31 March 2008 NUS' MBA team beat more than 270 Asian teams to emerge the best in the continent at Cerebration 2008, with DBS as principal sponsor. The Competition is an annual global business challenge organized by the NUS Business School. The team finished second overall among the more than 450 participating teams from 200 business schools worldwide. HEC Montreal team emerged the champion, with the London Business School and McGill University completing the final field of four. Now in its fourth year, the competition gives MBA students a chance to devise global business expansion strategies for participating Singapore companies -- Brewerkz Restaurant and Microbrewery, Expressions International and Qian Hu Corp. Each team had to study its chosen firm and come up with strategies based on the firm’s unique profile and target market. This is the second straight year that the NUS team has finished second in the competition, reflecting the School’s global ranking of the top 100 business schools for its MBA program.
  13. Le MBA de HEC Montréal remarqué par Forbes 27 août 2007 - 12h11 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Agrandir Photo HEC Grossir caractèreImprimerEnvoyer Pour la troisième fois consécutive, HEC Montréal figure dans le palmarès biennal des meilleurs MBA hors États-Unis du magazine financier Forbes à paraître cette semaine. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');L’école de commerce montréalaise arrive dernière, au 11e rang sur 11, dans une liste des meilleurs MBA d’un an qui inclut des écoles prestigieuses comme Cambridge, Oxford et l’Insead. Avec HEC Montréal, l’Université Queen’s de Kingston est la seule école canadienne à figurer au classement, une place plus haut que HEC à la 10e place. Le classement de Forbes est basé sur le retour sur investissement obtenu par un étudiant après avoir complété son MBA. Sur la base de questionnaires envoyés à des finissants de la promotion 2002, le magazine a calculé qu’en moyenne l’étudiant inscrit aux HEC faisait 34 000$ par année avant de commencer son programme, et 86 000$ trois ans après l’avoir complété. C’est l’IMD, de Lausanne en Suisse, qui se situe au premier rang. Forbes a calculé que le salaire d’un étudiant «pré-MBA» s’élevait à 70 000$ et passait à 183 000$ deux ans après avoir eu son diplôme. 18 500 diplômés en 2002 de 102 établissements à travers le monde ont été sondés par la revue. Le directeur du MBA pour cadres de l’UQAM, Benoît Bazoge, se défend d’offrir un moins bon MBA qu’HEC. Il explique l’absence de son établissement du classement par le fait que le programme offert est exclusivement en français et est sensiblement différent. L’UQAM offre un MBA dit «executive» qui s’adresse à une clientèle plus âgée qui effectue le programme à temps partiel. Récemment, HEC Montréal s’était aussi classée dans une liste des meilleurs MBA établie par Business Week, où l’école arrivait cette fois au 20e rang sur 20 des meilleures écoles hors États-Unis. Âgé en moyenne de 30 ans, le candidat au MBA chez HEC est généralement issu des filières de l’administration, du génie ou des sciences, et possède une expérience de six ans sur le marché du travail. Kathleen Grant, directrice des communications et du recrutement chez HEC, fait valoir que le retour sur investissement est encore plus grand pour un étudiant québécois. S’il en coûte 21 000$ par année pour un étudiant étranger pour s’inscrire au MBA, les droits de scolarité ne s’élèvent qu’à 5000$ environ pour celui-ci. Le programme de MBA de HEC est offert en français, en anglais ou dans les deux langues. >>> Voyez le classement de Forbes.
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