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23 résultats trouvés

  1. Le Devoir: http://www.ledevoir.com/politique/montreal/398500/%E2%80%8Bbudget-2014-de-la-ville-de-montr%C3%A9al-hausses-de-taxes-moyennes-de-2-8 La Presse: http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201401/29/01-4733596-budget-sous-controle-taxes-en-hausse-a-montreal.php
  2. La ville vient de s'entendre avec les cols bleus mais il reste aux cols bleus à entériner l'entente. Pour l'Instant il n'y a pas grand détail mais à croire M. Applebaum ce serait une bonne chose pour la ville. J'espère qu'il a raison parce qu'on sait bien que les syndiqués obtiennent toujours la grosse part su gâteau et que les citoyens finissent par payer avec des hausses de taxes. Maintenant il reste à négocier avec les pompiers et les policiers. J'espère que la ville va tenir sont bouts et forcer les pompiers/policiers à faire des concessions importantes. Mais j'en doute malheureusement !!! http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201210/11/01-4582343-entente-historique-avec-les-cols-bleus-de-montreal-.php
  3. La "taudisation" du marché locatif Comme à chaque année, lorsque la période du renouvellement des baux arrive, accompagnant la nouvelle année jusqu’à la fin mars, la Régie du logement y va de ses « suggestions » de hausses de loyer. À chaque année, et 2012 ne fera malheureusement pas exception, le même scénario se répète, à savoir des hausses insignifiantes (0,6%,1 dans le cas le plus répandu soit un chauffage électrique assumé par le locataire) et suivit de près pas la parade des organismes de défense des droits des locataires qui crient à l’injustice sociale. Cette année encore, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) souligne que « … toute hausse additionnelle ne ferait qu’aggraver leur problème (des locataires) d’incapacité de payer ». Rien de moins. Il résulte de cette situation qu’un nombre grandissant de propriétaires sont aux prises avec des immeubles à la rentabilité vacillante ou carrément déficitaire. C’est le cas de cette dame qui, récemment, me racontait avoir acheté un plex en 2007 et devoir y injecter quelque 250$ par mois de sa poche et ce, malgré un taux de location actuellement de 100%, dont les locataires, à ses dires, ont « chacun leur caractère ». Imaginez la situation des investisseurs immobiliers qui désirent acheter un immeuble en 2012 à 15 fois les revenus bruts et parfois plus… Comment réussir à simplement couvrir ses dépenses lorsque les augmentations suggérées sont quatre à cinq fois inférieures à l’inflation? Dans de telles circonstances, comment envisager que ces propriétaires puissent gérer leur immeuble autrement qu’en faisant du « patchage »? Pour sa part, Me Robert Soucy, porte-parole de l’Association des propriétaires du Québec (AQP) mentionnait : « Les propriétaires ne font pas l’entretien parce qu’ils n’ont pas assez d’argent et ils n’investissent pas dans leurs immeubles parce que ce n’est pas rentable. ». Un beau cercle vicieux à l’intérieur d’un cadre règlementé. Le parc immobilier au Québec est vieillissant. Un investissement massif en travaux de réfection et de rénovation, qui plus est pendant plusieurs années, est à la fois nécessaire et urgent. Toutefois, en contraignant les propriétaires à d’infimes hausses des revenus locatifs, à mon avis, la Régie du logement cause plus de tort que de bien. http://www.lesaffaires.com/blogues/martin-provencher/la-taudisation-du-marche-locatif/540261 ----------- Cet article tiré du site de les affaires démontre un réel problème sur l'état du marché locatif au Québec, et sur le pourquoi il se construit presque pas de locatif à montréal comparativement aux condos.
  4. À la veille du dévoilement du bilan de la Caisse de dépôt et placement du Québec, une étude actuarielle obtenue par Radio-Canada démontre que le gouvernement Charest ne pouvait pas ignorer que des hausses de tarif seraient presque inévitables. Pour en lire plus...
  5. Dans un contexte économique difficile, et en pleine négociations avec ses employés, le maire Régis Labeaume présente un budget prudent et limite les hausses de taxes à l'inflation. Pour en lire plus...
  6. Salaires: augmentations zéro 9 décembre 2008 - 06h00 La Presse Claude Picher Un travailleur québécois qui gagnait 30 000 $ en 1985 en empoche aujourd'hui 52 903 $ si ses augmentations salariales, au fil des années, ont été identiques à la moyenne. En 23 ans, son salaire a donc augmenté de 76%, ce qui paraît fort impressionnant. Ces chiffres, et ceux qui vont suivre, sont calculés à partir de données publiées hier par le ministère du Travail et l'Institut de la statistique du Québec. Or, ces montants ne tiennent pas compte de l'inflation. C'est ce que les experts appellent des chiffres nominaux. Ils ne reflètent donc pas la réalité, puisque l'inflation, année après année, vient gruger les augmentations salariales. Si vous obtenez 2% d'augmentation, mais que les prix à la consommation grimpent également de 2%, votre pouvoir d'achat demeure inchangé. En soustrayant la croissance de l'inflation de la croissance salariale nominale, on obtient un portrait fidèle de la situation. Par exemple, en 1986, les augmentations salariales moyennes au Québec ont atteint 3,7%. Cette année-la, par contre, l'indice des prix à la consommation a grimpé de 4,7%. En termes réels, le pouvoir d'achat des travailleurs, en dépit de leurs hausses salariales, a donc diminué en moyenne de 1%. Et voici maintenant ce qui s'est passé, en termes réels, entre 1985 et 2008. Le salaire moyen, au Québec, a augmenté d'à peine un dixième de un pour cent ! Cela signifie qu'en tenant compte de la hausse des prix à la consommation, le salarié qui gagnait 30 000$ en 1985 en gagne aujourd'hui 30 033$. Autrement dit, les travailleurs québécois ont réussi à préserver leur pouvoir d'achat, ce qui est bien, mais ils ne se sont pas enrichis, ou si peu. La nouvelle n'est pourtant pas aussi sombre qu'il n'y paraît. Les montants que nous venons de voir sont exprimés avant impôts. Depuis 1985, Québec et Ottawa ont annoncé d'importantes baisses d'impôts, en grande partie ciblées sur les ménages à revenus faibles ou moyens. Pour les contribuables dont les revenus sont inférieurs à 50 000$, le revenu personnel disponible (l'ensemble des revenus de toutes provenances, moins les ponctions fiscales et contributions sociales de toutes sortes) a donc augmenté, ce que confirment d'autres études. Au Québec, les baisses d'impôts étaient particulièrement axées sur les familles. Un jeune couple à revenus moyens, avec deux ou trois enfants, a donc toutes les chances d'avoir augmenté son pouvoir d'achat même si l'inflation est venue gruger ses augmentations salariales. En revanche, un cadre célibataire qui gagne 75 000$ a très probablement un pouvoir d'achat inférieur à celui de 1985. Comme le montre clairement le tableau dans la page, la croissance salariale en termes réels est demeurée négligeable, et parfois même négative, pendant toute la période étudiée. Au début des années 80, alors que l'inflation dépassait les 4%, les hausses salariales ne parvenaient pas à rattraper les hausses de prix. Ainsi, un salaire de 30 000$ en 1985 se situait en moyenne à 35 230$ quatre ans plus tard; mais sous l'effet de l'inflation, ce montant ne valait en réalité que 29 788$. Ainsi, malgré des hausses salariales de 17% en quatre ans, les travailleurs se sont légèrement appauvris à cette époque. Pendant toute la période, 1994 ressort comme la meilleure année, alors que les 30 000$ de 1985 valaient en termes réels 30 650$. Mais ce chiffre est un leurre qui camoufle une mauvaise nouvelle. Cette année-là, l'économie québécoise a connu une période de déflation, c'est-à-dire que les prix, au lieu de monter, descendaient. Ainsi, les augmentations sala riales moyennes de 1994 se situaient en moyenne à 0,4%, mais comme les prix à la consommation ont reculé de 1,4% à la même époque, le pouvoir d'achat des salariés a augmenté de 1,8%. Au premier coup d'oeil, on peut se dire que c'est bien agréable de voir les prix descendre, mais en réalité, la déflation est un véritable fléau, pire que l'inflation. En période de déflation, tout le monde (consommateurs, entreprises) reporte ses achats à plus tard en espérant que les prix vont continuer à chuter. Les stocks invendus s'accumulent . Les entreprises ferment, l'économie est paralysée. À travers toutes ces variations, ce qu'il importe de retenir, c'est qu'en 2008, les salaires, à quelques poussières près, sont en termes réels au même niveau que 23 ans auparavant.
  7. Même si tous les économistes prévoient depuis plusieurs mois que le Canada entrera en récession, les ventes de détail ont enregistré de fortes hausses en septembre. Pour en lire plus...
  8. Monique Jérôme-Forget a refusé hier de s'engager à ce que les contribuables ne soient pas touchés par des hausses de cotisations aux régimes d'assurances publics. Pour en lire plus...
  9. Le repli marqué du secteur des produits automobiles a mis un terme à une séquence de cinq hausses mensuelles consécutives des ventes en gros au Canada au mois d'août. Pour en lire plus...
  10. Les ventes des fabricants au Canada ont affiché une diminution notable de 3,7% au mois d'août après avoir connu quatre hausses mensuelles consécutives. Pour en lire plus...
  11. Les places boursières européennes et asiatiques sont pour la plupart en baisse après deux jours de reprise. Pour en lire plus...
  12. Au lendemain d'une importante intervention des banques centrales et d'une réaction mitigée, les marchés boursiers nord-américains attaquent la séance de jeudi avec de modestes hausses. Pour en lire plus...
  13. mtlurb

    Gérer les

    Si personne ne s'entend sur le prix du pétrole dans un an, il y a un consensus sur les fluctuations et hausses de prix à venir. Le prix du gaz naturel variera tout autant. Pour en lire plus...
  14. Les baisses de deux des dix composantes ont été suffisamment importantes pour neutraliser les faibles hausses de sept autres composantes. Pour en lire plus...
  15. Des hausses de production des centrales hydroélectriques et de la centrale alimentée en gaz naturel font partie des raisons qui expliquent les retour des profits. Pour en lire plus...
  16. La montée continue, mais le rythme d'ascension ralentit. Le prix moyen des maisons de la région de Montréal continuera de croître dans la seconde moitié de l'année, mais avec plus de modération. Pour en lire plus...
  17. Les automobilistes excédés de l'essence à 1,50$ le litre devront prendre leur mal en patience. Pas seulement le temps de leurs vacances estivales, mais bien pendant quelques années. Pour en lire plus...
  18. Les quelque 40 000 clients résidentiels qui effectuent des paiements égaux subiront dès le mois prochain des augmentations de tarifs de 15 à 20%. Pour en lire plus...
  19. Les taux hypothécaires ne devraient pas connaître une hausse importante au cours des prochains mois, soutient le Mouvement Desjardins. Pour en lire plus...
  20. Malgré les hausses successives du prix de l'essence à la pompe et les fluctuations du prix du baril de pétrole sur les marchés boursiers, le prix des denrées alimentaires n'a pas subi de hausses fulgurantes. Pour en lire plus...
  21. Frais d'université Diminution des hausses (Archives) Une enquête de Statistique Canada, rendue publique jeudi, révèle qu'en moyenne les frais de scolarité ont augmenté de 2,8 % au premier cycle universitaire, en 2007-2008, pour les étudiants à plein temps. L'an passé, la hausse était de 3,2 %, tandis qu'elle atteignait en moyenne de 4,3 % pour la dernière décennie. Les étudiants de premier cycle ont déboursé en moyenne 4524,00 $ en frais de scolarité en 2007-2008, comparativement à 4400,00 $ l'année précédente Ces frais ont augmenté dans six provinces, y compris au Québec, où ils étaient gelés depuis plus de dix ans. C'est au Nouveau-Brunswick (4,8 %), au Québec (4,8 %) et en Ontario (4,4 %) que les hausses ont été les plus fortes. Les frais de scolarité les plus élevés sont enregistrés en Nouvelle-Écosse, où les étudiants de premier cycle ont payé en moyenne 5878,00 $. Aucune surprise, les étudiants du Québec n'ont payé en moyenne que 2025,00 $, soit moins de la moitié de la moyenne nationale. Frais de scolarité par provinces 2007-2008 Terre-Neuve-et-Labrador 2633,00$ Île-du-Prince-Édouard 4440,00 $ Nouvelle-Écosse 5879,00 $ Nouveau-Brunswick 5733,00 $ Québec 2025,00 $ Ontario 5381,00 $ Manitoba 3384,00 $ Saskatchewan 4774,00 $ Alberta 4964,00 $ Colombie-Britannique 4855,00 $
  22. Pas de hausses de taxes à Montréal a dernière campagne électorale, à geler le «fardeau fiscal global». (Photo Armand Trottier, archives La Presse)"> Le président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, Frank Zampino (à gauche), peut compter sur 31 millions de dollars supplémentaires pour boucler son budget 2008. Le maire Gérald Tremblay (à droite) s’était engagé, lors de la dernière campagne électorale, à geler le «fardeau fiscal global». Photo Armand Trottier, archives La Presse Sébastien Rodrigue La Presse Pour la troisième année consécutive, l’administration Tremblay-Zampino prévoit équilibrer son prochain budget sans augmenter le fardeau fiscal des contribuables, confirme le président du comité exécutif et responsable des finances, Frank Zampino. La Ville de Montréal anticipe des surplus budgétaires de près de 84 millions alors que le budget 2007 prévoyait plutôt 53 millions. Frank Zampino peut donc compter sur environ 31 millions supplémentaires pour boucler son budget 2008, a-t-on appris. «Si tout va bien, je pense qu’on sera en mesure cette année de déposer un budget avec un fardeau fiscal qui ne sera pas augmenté», prédit-il. La Ville de Montréal présente son budget à la fin du mois de novembre et l’adopte avant la pause du temps des Fêtes. Le maire Gérald Tremblay s’est engagé lors de la dernière campagne électorale à geler le «fardeau fiscal global». Le maire avait même récrit le budget 2006 après avoir prévu des hausses de taxes dans la première version. Les arrondissements pourraient tout de même adopter une taxe locale, comme l’ont fait quatre arrondissements en 2007. Les surplus s’expliquent notamment par des revenus plus importants (20 millions) en droits de mutation immobilière. La Ville a aussi été plus chanceuse que prévu dans la contestation des évaluations foncières, ce qui dégage environ 20 millions de dollars. Montréal bénéficie enfin des conséquences du gel de l’embauche décrété en 2006. L’administration Tremblay-Zampino a mis en place un programme pour réduire les dépenses de 100 millions par année et éliminer 1000 postes par attrition d’ici 2009. «On prévoit des économies de 35 millions, dont environ 30 millions au chapitre de la rémunération», explique M. Zampino. Les effets du nouveau rôle d’évaluation continueront néanmoins de se faire sentir en 2008. À Montréal, la valeur des propriétés augmentera progressivement pendant quatre ans. En 2008, la moitié de l’augmentation de la valeur foncière sera donc appliquée. Les propriétaires qui font l’objet de hausses plus importantes que la moyenne auront donc une hausse de leur impôt foncier, tandis que ceux en-dessous de la moyenne bénéficieront d’une réduction. Par ailleurs, Montréal a déjà annoncé son intention de maintenir tels quels les tarifs des parcomètres en 2008 après deux années de hausses consécutives. Pour respecter sa promesse de ne pas augmenter l’impôt foncier durant son second mandat, Gérald Tremblay s’était notamment servi des parcomètres afin d’augmenter les revenus en 2006 et en 2007. Les revenus des parcomètres ont ainsi crû de 30 millions de dollars, avec lesquels on a financé l’opération propreté. Le responsable des finances ajoute que son administration prévoit aussi maintenir ses investissements dans la rénovation des infrastructures en 2008. En 2007, les investissements dans les infrastructures s’élevaient à un peu plus de 700 millions. Le programme triennal d’immobilisation prévoyait cette année 126 millions pour le réseau d’eau potable et 145 millions pour les rues. L’administration avait aussi prévu la création d’un fonds de 180 millions en trois ans pour financer des projets d’envergure. En 2008, Montréal pourrait compter sur de nouvelles sources de revenus comme la taxation des stationnements commerciaux et des billets de spectacle si le projet de loi 22 est adopté. À l’instar des grandes villes canadiennes, l’administration Tremblay-Zampino demande toutefois au gouvernement Harper de lui remettre une portion de la taxe de vente au lieu d’en réduire le pourcentage comme il l’avait promis aux dernières élections. Si les finances de la Ville de Montréal vont bien, il en va autrement de celles de la Société de transport de Montréal. La STM anticipe en 2007 un déficit de 17,9 millions qui s’ajoutera au déficit accumulé de 13,6 millions figurant à son dernier rapport financier. M. Zampino indique que Montréal pourrait augmenter sa contribution annuelle à la STM ou encore utiliser ses surplus pour combler ce déficit. La STM pourrait aussi entreprendre un exercice de rationalisation d’ici la fin de l’exercice financier.
  23. Presse Canadienne 04/07/2007 Le coût moyen des logements a augmenté d'un peu plus de 4 pour cent à Montréal et Québec. Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec a sondé des locataires et constate que les locataires de Montréal ont reçu de leur propriétaire des demandes moyennes d'augmentation de loyer de 4,4 pour cent lors de la dernière période de renouvellement des baux. Dans la grande majorité des cas de l'échantillon étudié, le chauffage était aux frais des locataires et les logements n'avaient pas subi de réparations majeures. L'indice d'ajustement des loyers de la Régie du logement était de 0,8 pour cent. Selon les cas recensés à Québec, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2 pour cent. Citant la Société canadienne d'hypothèque et de logement, le regroupement rappelle que de 2000 à 2006, le coût des logements a augmenté de 25 pour cent dans la région de Montréal et de 23 pour cent dans la région de Québec. Selon le porte-parole du regroupement, André Trépanier, il ne fait pas de doute que l'actuelle intervention de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer.
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