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  1. Financer la venue d'événements sportifs internationaux à Montréal, renoncer au péage sur le pont Champlain, des centaines de millions pour le transport en commun, les routes et le logement social: le maire Denis Coderre a présenté sa liste d'épicerie aux partis fédéraux dans le cadre de la campagne électorale. La liste de la Ville de Montréal compte pas moins de 26 demandes, dont plusieurs requièrent des millions d'Ottawa. Le maire a présenté cette liste alors que les chefs des principaux partis commenceront à défiler à l'hôtel de ville. «On a besoin d'entendre les partis, on ne veut pas juste des consultations plates. On veut vraiment que les chefs se prononcent s'ils croient vraiment en Montréal», a déclaré le maire Coderre ce matin lors d'une réunion du comité exécutif. Le chef du Parti libéral du Canada Justin Trudeau rendra ainsi visite à Denis Coderre, avec qui il s'entretiendra des demandes de Montréal en matière fédérale. Une rencontre avec le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe est prévue le 14 septembre et ce n'est qu'une question de temps avant que des dates soient fixées avec le chef du NPD Thomas Mulcair et la chef du Parti vert Elizabeth May. Le cabinet du maire dit n'avoir toujours pas reçu de réponse de l'entourage du premier ministre sortant et chef du Parti conservateur, Stephen Harper. «Le message a toujours été passé avec Stephen Harper, s'il ne vient pas, il manque quelque chose», a déclaré le maire Coderre lors de sa rubrique hebdomadaire du mercredi. «Peu importe, on est en contact continuellement avec Denis Lebel (le lieutenant politique de Harper au Québec) et si le chef du Parti conservateur croit en Montréal, ça va nous faire plaisir de l'accueillir.» Demandes de Montréal Transport en commun 200 millions récurrents pour Montréal -Financement pour les projets de SLR sur le pont Champlain et le Train de l'Ouest Infrastructures 342,5 millions pour Montréal sur 10 ans Postes Canada Rétablissement de la livraison du courrier à domicile Logement social Tripler les montants alloués à Montréal, pour les faire passer de 8 à 24 millions 185 millions annuellement pour la construction, l'entretien et la rénovation de logements sociaux Sécurité Rétablir un Fonds de financement des services policiers de 10 millions par an Financement annuel de 1 million pour le Centre montréalais de prévention de la radicalisation Femmes autochtones Mettre en place une commission d'enquête sur la disparition de femmes au Canada Développement économique Maintien de l'aide au secteur aérospatial de Montréal Davantage de soutien aux grappes industrielles de Montréal 375e anniversaire de Montréal Contribution directe aux festivités du 375e, Ottawa ayant mit 110 millions dans les festivités du 400e de Québec Pont Champlain Abandon du péage sur le futur pont Champlain Port de Montréal Transférer la responsabilité du Vieux-Port à la Ville Soutien du projet de restauration de la Gare maritime Iberville et de la jetée Alexandra Métropole internationale Financement d'événements sportifs internationaux Radio-Canada Réinvestir dans Radio-Canada Sites d'injection supervisée Respect de la décision de la Cour suprême http://www.lapresse.ca/actualites/elections-federales/201509/02/01-4897254-denis-coderre-presente-sa-liste-de-demandes-aux-partis.php
  2. Serais-ce une petite récompense pour avoir envoyé une majorité de fédéralistes à Ottawa ? Nouvelle distribution des sièges aux Communes Des députés fédéraux de plus pour le Québec Agence QMI 18/10/2011 19h47 OTTAWA — Pour détendre l’atmosphère et éviter les contestations judiciaires, Ottawa envisage un nouveau scénario dans le dossier de la redistribution des sièges aux Communes. Selon des sources gouvernementales sûres, le Québec (75 sièges) pourrait finalement hériter de deux sièges de plus alors que l’Ontario et la Colombie-Britannique devraient se contenter de moins de sièges que prévu. C’est ce qui ressort d’une rencontre entre le premier ministre canadien Stephen Harper et le premier ministre ontarien Dalton McGuinty vendredi dernier. On ne parlerait donc plus de 30 sièges supplémentaires aux Communes, mais plutôt de 26. L’Ontario devrait gagner 13 sièges de plus, l’Alberta, six, et la Colombie-Britannique, cinq. Le nombre total de députés aux Communes passerait de 308 à 334 et non plus à 338. La dernière version du projet de loi C-12, mort au feuilleton lors de la dissolution des chambres, prévoyait 18 sièges pour l’Ontario, sept pour la Colombie-Britannique et cinq pour l’Alberta. Le premier ministre McGuinty a reconnu que sa province devrait peut-être se contenter de moins de sièges. Le calcul final dépend des résultats du recensement de 2011, attendus en janvier ou février prochain. Entre-temps, le NPD a proposé mardi que le poids politique du Québec aux Communes ne tombe jamais sous la barre de 24,35 % des sièges. Un projet de loi a été déposé à cet effet. Dans cette configuration, le Québec gagnerait environ quatre sièges. Le député néo-démocrate Thomas Mulcair, candidat à la course à la succession de Jack Layton, a estimé que c’est la meilleure façon de donner «un contenu réel» à cette idée de «nation québécoise au sein d’un Canada uni» proposée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper et adoptée à l’unanimité aux Communes en 2006.
  3. http://www.rds.ca/hockey/chroniques/281190.html http://tsn.ca/nhl/story/?id=288991
  4. Quebec vows to fight national securities plan RHEAL SEGUIN Globe and Mail Update September 18, 2008 at 4:11 PM EDT For the second consecutive day, the Quebec government waded into the federal election campaign against Conservative policies, lashing-out today at the Harper government's proposal to create a national securities commission. Quebec Finance Minister Monique Jérôme-Forget warned that in the event of a majority Conservative government in Ottawa bent on creating a national securities commission, all provinces and territories except Ontario will fight the decision right-up to the Supreme Court of Canada. The confrontation, she predicted, would disrupt markets and create havoc for investors. “The protection of investors is a provincial jurisdiction,” she said. “I suspect they (a Harper government) are going to come-up with legislation. They are going to implement such a securities commission. We are going to appeal. We're going to go as high as the Supreme Court. There's going to be disruption in the market.” The Minister added that Canada's financial leaders underestimate the impact if Ottawa moves to unilaterally impose changes without provincial consent. Ontario remained the only province to support the federal initiative. All the others propose to harmonize regulations through what they call a “passport” system, where companies can file a prospectus for approval in one province or territory and have it automatically accepted by all the others. There are currently 13 provincial and territorial securities commission. She predicts that a national securities commission will only create another layer of bureaucracy by adding a 14th commission, creating confusion for investors. “People won't know where to go. The market will want to know who's in charge. There will be a court challenge right up to the Supreme Court because the provinces argue is their jurisdiction,” Ms. Jérôme-Forget said. “Quebec isn't alone. You have British Columbia, Alberta, Manitoba, the Atlantic provinces. They are all on side.” Improvements to the current system are needed, she added, such as finding ways to accommodate restrictions imposed by the Charter of Rights and Freedoms. In the past, that has created obstacles for prosecutors who want to use confidential information held by regulator bodies in pursuing criminal cases such as fraud. “We don't want to change the Charter but we have to find ways to share the information,” she said. Backed by two international studies, the Minister argued that Canada's current securities regulations are among the best in the world and that there was no need to change the system. The comments came at the conclusion of a federal-provincial meeting of ministers responsible for their respective securities commissions. Her charge against the Harper government's intrusion in a provincial jurisdiction comes on the heels of severe criticism by Quebec this week against other Conservative policies. On Wednesday, Cultural and Communications Minister Christine St-Pierre scoffed at federal Heritage Minister Josée Verner's suggestion that if Quebec wanted more funding for culture it should use its own money. “We've increased budgets (for culture) by 25 per cent. We're already doing our share,” Ms. St-Pierre said in referring to the $45-million in federal cutback in programs including those aimed at promoting Canadian and Quebec culture abroad. The cutbacks sparked widespread criticism from Quebec's cultural community including world renowned theatre artist Robert Lepage, who said the Harper government was discouraging home grown artists from seeking prominence abroad by locking them into a “cultural prison.” Ms. Jérôme-Forget also challenged the Conservative party's claim that it has fixed the fiscal imbalance between Ottawa and the provinces, especially after signing a multi-billion agreement for infrastructure projects. “Obviously for me it's not enough. Post-education (money) for all provinces has not been settled. ” Ms Jérôme-Forget said. “There was a great move done by Mr. Harper….but for post secondary education there is still room to manoeuvre.” Despite mounting tensions over a growing number of issues, the Quebec government stopped short of calling Mr. Harper's vision of open federalism a failure. “The objective of federalism isn't to say: ‘If I don't get everything, I'll slam the door.' You have to build alliances and on occasion force your position and try to influence others. It's normal to have differences,” she said.
  5. Les taux de réduction des gaz à effet de serre atteints l'an dernier sont 10 fois moins élevés que les prévisions des conservateurs à Ottawa, montre un rapport d'Environnement Canada. Pour en lire plus...
  6. Vers une seule commission canadienne... Mise à jour le lundi 12 janvier 2009 à 8 h 19 Les marchés financiers canadiens sont régis par 13 agences provinciales et territoriales, mais un seul organisme national pourrait bientôt prendre le relais. Selon le quotidien The Globe and Mail, des experts recommandent au ministre des Finances Jim Flaherty de créer une seule commission des valeurs mobilières au Canada. Tom Hockin, le président du Groupe d'experts sur la réglementation des valeurs mobilières, publiera et expliquera ses conclusions lundi après-midi, à Vancouver. Le Groupe d'experts a été mis sur pied par le ministre Flaherty il y a près d'un an. Le mandat des experts est de proposer des mesures pour améliorer la réglementation des valeurs mobilières au Canada. Au mois de novembre, le gouvernement minoritaire du conservateur Stephen Harper réaffirmait son intention de s'engager dans la voie d'une seule commission, tout en laissant aux provinces opposées au projet la possibilité de s'y soustraire. Le Québec et l'Alberta font partie des opposants tandis que l'Ontario défend depuis longtemps l'idée d'un organisme unique. Le Globe and Mail rapporte que les experts proposeront au ministre Flaherty de suggérer aux provinces d'adhérer volontairement à la nouvelle instance nationale. Si elles refusent, le ministre aura la possibilité d'offrir aux entreprises d'adhérer à la réglementation nationale. Le fédéral pourrait aussi contester devant les tribunaux l'entêtement des provinces à maintenir en force leur réglementation sur les valeurs mobilières. Les conclusions du Groupe risquent fort d'irriter certaines provinces qui tiennent à leurs pouvoirs en matière réglementaire. La ministre des Finances du Québec Monique Jérôme-Forget croit qu'en tentant d'enlever ce pouvoir aux provinces à la faveur d'une seule commission des valeurs mobilières au Canada, le gouvernement Harper remettrait en question le fédéralisme d'ouverture qu'il prône depuis son arrivée au pouvoir. Le premier ministre Stephen Harper a convoqué ses homologues des provinces et territoires à une rencontre le 16 janvier, à Ottawa. La réglementation des marchés financiers fait partie de l'ordre du jour des discussions, tout comme l'accélération des investissements en infrastructure, l'élimination des barrières au commerce interprovincial et le développement des communautés autochtones. Tom Hockin est un ancien ministre d'État aux Finances et ex-président de l'Institut des fonds d'investissement du Canada. Parmi les six autres membres du Groupe figure Denis Desautels, ancien vérificateur général du Canada.
  7. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
  8. Petite révolution touristique [La Chine approuve la promotion du Canada comme destination touristique] Malorie Beauchemin, envoyée spéciale La Presse Publié le 04 décembre 2009 à 05h45 | Mis à jour le 04 décembre 2009 à 07h28 Le premier ministre Stephen Harper a fait ses premiers pas jeudi sur la Grande Muraille de Chine. Photo: PC (Pékin) À la Grande Muraille de Chine, les touristes sont nombreux, à Badaling, même par un petit matin glacial du mois de décembre. Il y a même quelques Canadiens, de Colombie-Britannique, rencontrés par hasard, et qui arborent fièrement les mitaines rouges des Jeux olympiques de Vancouver 2010. Le premier ministre Stephen Harper est, quant à lui, venu faire quelques pas, avec son épouse Laureen, sur l'imposante structure qui s'étend sur près de 6700 km dans le nord de la Chine. Sa réaction devant l'immensité de la construction humaine tient en un mot : «Incroyable !» Si les Canadiens sont nombreux à visiter l'empire du Milieu chaque année, le flux inverse de touristes pourrait augmenter de façon exponentielle prochainement. En marge de la visite du premier ministre Stephen Harper en sol chinois, le gouvernement de Pékin a annoncé, jeudi, qu'il accordait au Canada le statut de destination approuvée par les autorités chinoises, facilitant et encourageant ainsi des dizaines de milliers de touristes éventuels à voyager de l'autre côté du Pacifique. La mesure pourrait donc représenter une mine d'or pour l'industrie touristique canadienne ; des revenus potentiels de 100 millions de dollars par année, estime Ottawa. L'imposante population chinoise - 1,3 milliard d'habitants - et l'accession, pour de plus en plus d'entre eux, à des conditions de vie qui permettent ce genre de voyage à l'étranger feront très certainement saliver les agences de tourisme. Le Canada compte aussi 1,3 million de citoyens d'origine chinoise, dont la plupart ont encore de la famille dans l'empire du Milieu. Ainsi, la nouvelle mesure pourrait attirer de 40 000 à 50 000 touristes chinois supplémentaires au Canada chaque année, évalue le gouvernement fédéral. «Cela pourrait faire augmenter le tourisme chinois de 50 %», s'est réjoui Stephen Harper, à l'issue de rencontres bilatérales avec le président Hu Jintao et le premier ministre chinois Wen Jiabao. «Ça va grandement profiter au Canada et ça arrive au moment opportun, surtout à l'approche des Jeux olympiques», a-t-il ajouté à la fin de la deuxième journée de son voyage en sol chinois, son premier depuis qu'il est entré en poste, il y a presque quatre ans. Le gouvernement fédéral avait fait la demande aux autorités chinoises en 2005. Depuis cette date, des dizaines de pays ont été ajoutés à la prestigieuse liste des destinations approuvées, dont les États-Unis, en 2008. «Ça aurait dû se faire il y a quatre ans, mais ça n'a pas été le cas à cause de l'attitude du gouvernement Harper envers la Chine. Les États-Unis et la plupart des pays européens ont déjà obtenu le même statut. Quand la Chine a signé (jeudi matin), elle a montré de la bonne volonté», a critiqué Loïc Tassé, politologue spécialiste de la Chine qui enseigne à l'Université de Montréal. Cinq protocoles d'entente La Chine et le Canada ont aussi annoncé, à l'issue des rencontres diplomatiques, la conclusion de cinq protocoles d'entente ; sur les changements climatiques, sur la coopération culturelle, sur la recherche et la formation dans le domaine agricole, sur les ressources minérales et sur le transport maritime. En matière d'environnement, notamment, les deux gouvernements ont convenu de collaborer dans leurs efforts pour «atténuer les changements climatiques et s'y adapter». L'accord survient à quelques jours de l'ouverture de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques, à laquelle les premiers ministres canadiens et chinois participeront. Dans une déclaration commune, les deux pays ont convenu d'accroître le commerce bilatéral, qui se chiffrait en 2008 à plus de 53 milliards. Le Canada importe toutefois quatre fois plus qu'il exporte en Chine et doit donc convaincre les autorités chinoises d'acheter davantage de produits et services canadiens. Les deux pays ont par ailleurs aussi fait l'annonce de l'ouverture prochaine d'un nouveau consulat de la Chine à Montréal. Le premier ministre Harper a souligné qu'une «nouvelle ère» s'ouvrait entre les deux pays. La déclaration commune des deux gouvernements va plus loin, en ajoutant que les nouvelles mesures prises sont «des nouvelles façons d'accroître l'interaction entre les populations» et qu'elles favoriseront «une circulation accrue de touristes, d'élèves et de gens d'affaires entre les deux pays». Après une journée très politique, le premier ministre Harper visitera aujourd'hui la Cité interdite, au coeur de Pékin, avant de se rendre en soirée à Shanghai prononcer un important discours économique. Puis, son voyage en Asie se poursuivra à Hong-Kong avant de se terminer à Séoul, en Corée du Sud. - Avec la collaboration de Vincent Brousseau-Pouliot http://www.cyberpresse.ca/dossiers/harper-en-chine/200912/03/01-927425-petite-revolution-touristique.php Une très grosse nouvelle pour le Canada (mais surtout pour Toronto-Vancouver, qui sont bien plus connues que Montréal dans ce coin-là)
  9. Quebec leads Canadian economic rebound: Charest By Mike De Souza, Canwest News ServiceAugust 14, 2009 CHELSEA, Que. —Quebec Premier Jean Charest, said Friday the Quebec economy is in better shape than the rest of the country because its infrastructure spending is flowing while deficits are lower than other jurisdictions. The Quebec economy is in better shape than the rest of the country because its infrastructure spending is flowing while deficits are lower than other jurisdictions, including the federal government, Premier Jean Charest said here Friday. Charest made the comments standing next to Prime Minister Stephen Harper as they announced a new phase in a construction project extending a highway leading north from Ottawa through the Outaouais region in Quebec. "It is true that Canada's economy has done better than the vast majority of countries in the world and within Canada, Quebec's economy has done better than the average economies in Canada," said Charest. "The size of our deficit is smaller than the size of the federal government's deficit or the deficit in Ontario." Federal opposition parties have criticized the Harper government's infrastructure stimulus plan, arguing that money is not flowing out the door fast enough for projects to begin construction. Charest said that billions of dollars are already flowing into the Quebec economy from infrastructure and energy investments totalling more than $40 billion over the next five years. "We had growth in 2008 and yes we'll have a slowdown, and yes we've lost jobs but overall, Quebec's economy has done better," said Charest. "Why? because we invested in infrastructure and energy and because we have a long-term vision." He noted that even the Obama administration's $800-billion stimulus plan has not yet had an impact. "Not a lot of money in the United States has yet reached the point where the investment is happening," said Charest. "In fact, very little of that money has gone out the door." Harper said that there is still work to be done to ensure that Canada breaks out of the recession rapidly and moves into a strong position. "Canada has not gotten out of this global recession," said Harper. "We must continue our efforts and persevere. Now is not the time for political instability. It is the time to continue to focus on our economy." © Copyright © Canwest News Service
  10. Fête nationale Stephen Harper cède les terrains de l'Assemblée nationale à la province Mise à jour : 24/06/2009 21h53 Le chef conservateur Stephen Harper a fait une promesse pour la Fête nationale. Le premier ministre a profité de son passage à Québec pour annoncer qu'il souhaitait accéder à la demande répétée du gouvernement québécois, soit de céder à Québec les terrains de l'Assemblée nationale, qui appartiennent actuellement au gouvernement fédéral. Actuellement, toutes les législatures du Canada sont situées sur des terrains qui leur appartiennent, sauf l'Assemblée nationale. Les lots visés sont ceux sur lesquels sont érigées les statues des anciens premiers ministres René Lévesque et Robert Bourassa, celui qui se trouve en bordure de l'avenue Honoré-Mercier et celui où a été installée la fontaine de Tourny, devant le parlement.
  11. Festival international de jazz de Montréal - Deux jours de plus et cinq mégaconcerts extérieurs Le Devoir Caroline Montpetit Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : Stevie Wonder, Ben Harper, Festival international de jazz de Montréal, Musique, Montréal, Québec (province) Le président-directeur général du Festival international de jazz de Montréal, Alain Simard, a annoncé hier que les festivaliers pourront bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés plusieurs spectacles Photo: Jacques Grenier Ce sont Ben Harper et ses Relentless7 eux-mêmes qui feront la clôture de la programmation gratuite du Festival international de jazz cette année, en se présentant à 21h30 sur la scène General Motors de la Place des festivaliers, que Stevie Wonder aura inaugurée 13 jours plus tôt. En ce 30e anniversaire de son existence, le Festival international de jazz de Montréal s'offre en effet deux jours de programmation supplémentaires, en plus de présenter des spectacles dans deux nouveaux espaces de diffusion, la maison du festival Rio Tinto Alcan et sa salle Astral, inaugurées pour l'occasion, et la Place des Festivals, où sera érigée la scène General Motors. Ces deux très gros spectacles extérieurs s'ajouteront à trois autres, dont un spectacle réunissant Patrick Watson, Lhasa de Sela et Guy Nadon, ainsi que quelques invités-surprises, le 5 juillet à 21h. Deux jours plus tard, le public pourra applaudir plusieurs artistes qui s'étaient produits dans le documentaire Rocksteady: the Roots of Reggae, qui explorait les racines du reggae en Jamaïque. Juste avant le spectacle de Ben Harper et ses Relentless7, les amateurs de rythmes cubains sont conviés à la scène Rio Tinto Alcan, où se produira une Fiesta Cubana, où l'on attend les Afro-Cuba All stars et Los Van Van. Le festival fait en effet cette année de nombreux réaménagements géographiques, du fait de la construction de nouveaux espaces, et des aménagements liés à l'érection du quartier des spectacles. Il ne s'agit de rien de moins que la maison du festival Rio Tinto, qui compte une nouvelle salle de spectacle de 350 places, un restaurant, le Balmoral qui accueillera également des séances de jam en fin de soirée, une salle de presse qui se transformera cet automne en galerie d'art, et une médiathèque qui offrira au public gratuitement, aussi à partir de l'automne, les archives du festival depuis ses débuts. Hier, le président-directeur général du festival, Alain Simard, annonçait par ailleurs que les festivaliers pourraient cette année bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés de nombreux spectacles, dont les mégaconcerts mentionnés plus haut. Le Salon de guitare déménagera pour sa part ses pénates au Palais des congrès de Montréal, tandis que le Salon des instruments prendra place pour sa part au nouveau village de la musique, à l'angle du boulevard De Maisonneuve et de la rue De Bleury. C'est là aussi que l'on présentera une exposition mettant en valeur les pochettes de la collection Blue Note, à travers le temps, en première partie du festival. Parmi les très nombreux concerts gratuits qui jalonneront le festival, mentionnons Vic Vogel qui rendra hommage aux grands noms du jazz, une soirée spéciale pour saluer les 50 ans de la mort de Billie Holiday, le 6 juillet, avec Kim Richardson, et à 21h, le 3 juillet, Florence K présentera La noche de Lola avec ses musiciens, un spectacle spécialement conçu pour le 30e anniversaire du festival. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254073.html
  12. L'ex-gouverneur de la Banque centrale du Canada croit que l'institution qu'il dirigeait et le gouvernement Harper abordent la crise actuelle avec des lunettes roses. Pour en lire plus...
  13. Le premier ministre prononce actuellement un discours à saveur économique devant la Chambre de commerce de Brampton. Selon lui, le Canada est le pays le mieux placé pour affronter la crise qui secoue le monde. Pour en lire plus...
  14. Le gouvernement Harper annonce la création, dans son budget des dépenses, d'un fonds d'urgence de 3 milliards de dollars destiné à stimuler l'économie. Pour en lire plus...
  15. En vue de la visite du président Obama, le premier ministre Charest a demandé à son homologue fédéral Stephen Harper de faire la promotion de l'hydroélectricité afin que les États-Unis modifient leur politique sur les grands projets. Pour en lire plus...
  16. CAE on deck for $500-million defence program By David Pugliese , Canwest News ServiceFebruary 13, 2009 11:02 AM Prime Minister Stephen Harper will be in Montreal Friday where he is expected to announce a new aerospace training facility that will provide work to CAE and other high-tech firms in Canada. The contract to CAE and its partners, which could over time be worth up to $500 million, arrives at a time when the Harper government needs to be seen to provide work and create jobs for Canadians during the recession. Last year, the government selected CAE as the winner of a Defence Department program known as the Operational Training Systems Provider or OTSP. But the actual awarding of the contract was delayed, at first by the election and then by other political developments. OTSP will see the creation of aerospace training facilities to teach Canadian Forces aircrews how to fly new transport planes and helicopters, as well as aircraft to be bought in the future for search and rescue. It is unclear at this point how many new aerospace jobs will be created. Montreal-based CAE, one of the world’s largest aviation simulation firms, had been deemed by the federal government as the only qualified bidder for the program. Defence officials privately say the OTSP program, which will include new training facilities and simulators at different locations in the country, will provide the air force with a common infrastructure for teaching crews on a number of aircraft. The project would run over the next 20 years and include training on new C-130J transport aircraft and other planes that will be purchased in the future. The final value of the deal will depend on how much training for various aircraft fleets will be eventually be included. The initial deal for CAE will focus on the C-130J aircraft and is expected to be worth around $250 million. The CAE team that will work on the project includes Xwave Defence and Aerospace in Ottawa; MacDonald Dettwiler of Richmond, B.C.; NGRAIN of Vancouver; Atlantis Systems International of Brampton, Ont.; Bombardier of St-Laurent, Que., and: Simgraph of Laval, Que. The announcement is seen by the Tories as a good news story as the Harper government has faced criticism from domestic aerospace and defence firms for not spending enough money in Canada. The government has earmarked more than $8 billion for new aircraft purchased from U.S. firms but Canadian companies have complained they have seen little work from those projects. On Thursday, parliamentarians were also calling for stricter oversight on how the Defence Department spends tax dollars after yet another internal audit found a lack of management oversight on a major equipment support project. The Ottawa Citizen reported that Defence Department auditors concluded the government has no idea whether it is getting value for money from a Canadian Forces communications project worth more than $290 million because it is not enforcing the terms of the contract. Defence Minister Peter MacKay found himself answering questions in the Commons from both the NDP and Liberal parties about ongoing problems with military procurement and the growing secrecy over such troubled deals. But according to MacKay the department has strict review policies already in place. “The procurement process is accountable and is transparent,” he noted. But Liberal defence critic Denis Coderre pointed out that previous audits had raised concerns about multi-billion dollar equipment purchases. “Clearly there needs to be big changes made on how this department can be made more accountable and responsible,” added NDP defence critic Dawn Black. “They spend billions and billions of dollars and Canadians have a right to know about what is going on.”
  17. Le premier ministre Stephen Harper salue les déclarations du président Barack Obama, selon qui le protectionnisme est une source potentielle de conflits commerciaux. Pour en lire plus...
  18. Le gouvernement Harper déposera un budget déficitaire de 34 G$ pour la prochaine année financière, 2009-2010, selon un haut responsable du gouvernement. Pour en lire plus...
  19. Stephen Harper a estimé lundi que Barack Obama devrait donner la priorité à la stabilisation des marchés financiers aux États-Unis, pour le bien de l'économie mondiale. Pour en lire plus...
  20. Raymond Chrétien doute qu'Obama veuille renégocier l'ALENA 17 janvier 2009 - 11h08 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Malgré ses promesses électorales, Barack Obama n'ouvrira pas l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), selon l'ancien ambassadeur Raymond Chrétien. Le nouveau président américain profiterait ainsi de sa première visite officielle à l'étranger au Canada dans quelques semaines afin de rassurer le premier ministre Harper au sujet de l'ALENA. «Oubliez la renégociation de l'ALENA. «En privé, M. Obama va probablement dire à M. Harper qu'il a dit qu'il voulait renégocier l'ALENA durant la campagne électorale en Ohio et au Michigan, mais qu'il est conscient que c'est impossible car on l'a informé des conséquences pour l'économie américaine. (...) Les Américains n'achètent pas chez nous pour nos beaux yeux. Ils le font parce que ça sert leurs intérêts», dit M. Chrétien, qui fut ambassadeur du Canada à Washington de 1994 à 2000. Les primaires L'ALENA a failli faire dérailler la campagne de Barack Obama durant les primaires démocrates. En février dernier, un de ses conseillers a informé des diplomates canadiens que son patron n'avait vraiment pas l'intention de renégocier l'ALENA contrairement au discours qu'il tenait devant les électeurs. L'affaire est parvenue aux oreilles des médias canadiens par le biais du chef de cabinet du premier ministre Harper, Ian Brodie, qui s'est échappé lors d'une conversation à bâtons rompus avec des journalistes lors du huis clos du dernier budget fédéral. M. Brodie a dû démissionner de son poste de chef de cabinet du premier ministre. Même si l'avenir de l'ALENA ne semble pas en danger, l'administration Obama pourrait être tentée de retourner à un plus grand protectionnisme économique sous l'influence du Congrès démocrate. "Il y a un danger pour nous: que le nouveau Congrès démocrate passe des lois susceptibles d'aider l'économie américaine. Un ralentissement Les élus du Congrès vont être moins chauds sur le libre-échange. Il y aura un ralentissement, sinon un arrêt, du processus de libéralisation économique. «Heureusement pour le Canada, nous avons déjà l'ALENA», dit M. Chrétien, conseiller stratégique du cabinet d'avocats montréalais Fasken Martineau depuis sa retraite du corps diplomatique fédéral en 2004. Même si la question de l'ALENA devait ne pas être à l'ordre du jour de la première rencontre officielle Obama-Harper, l'ancien ambassadeur est convaincu que les leaders canadien et américain discuteront surtout d'économie. «Ils discuteront de l'état de l'économie nord-américaine, dit M. Chrétien. Peut-être même que M. Obama va vouloir en savoir davantage sur le système bancaire canadien. Si j'étais M. Harper, je lui décrirais les avantages de ce système qui a fait ses preuves.» Autre point à l'ordre du jour de la rencontre Obama-Harper: la frontière canado-américaine. «Les Américains prennent toutes leurs décisions à travers le prisme de la sécurité, dit M. Chrétien. Ils ne vont pas cesser d'être fermes mais ils seront peut-être plus compréhensifs afin de rendre la frontière plus fluide pour les échanges commerciaux.» Une cérémonie suivie Raymond Chrétien suivra avec attention la cérémonie d'investiture de Barack Obama mardi à Washington, lui qui a participé à celle de Bill Clinton en 1996 comme ambassadeur du Canada. Selon Raymond Chrétien, l'homme le plus important pour l'économie canadienne au sein de l'administration Obama est le représentant au Commerce (U.S. Trade Representative), Ron Kirk. Ancien maire de Dallas, il est un fidèle de la première heure de Barack Obama. «Ce poste n'est pas le poste le plus visible mais c'est le plus important dans l'administration américaine pour les Canadiens, dit M. Chrétien. Le représentant au Commerce s'occupe des dossiers de nature commerciale comme le bois d'oeuvre. Il doit suivre les instructions de l'administration mais aussi surtout des membres influents du Congrès.»
  21. Le premier ministre discutera de l'impact environnemental des sables bitumineux avec le nouveau président américain. Pour en lire plus...
  22. Les JO 2010 de Vancouver en péril ? publié le 13/01/2009 à 07h06 Les Jeux Olympiques de Vancouver (Canada) doivent se dérouler en 2010, mais déjà, la ville manque d’argent... Le coût total de l’opération s’avère double de celui estimé au départ du projet! Le gouvernement canadien ne versera aucune somme supplémentaire pour l'organisation des jeux Olympiques d'hiver de Vancouver en 2010, malgré d'importants dépassements de coûts, a averti lundi le Premier ministre Stephen Harper. “ Nous n'allons pas fournir de fonds additionnels et nous n'allons pas assumer les coûts supplémentaires ”, a déclaré M. Harper lors d'une conférence de presse tenue à Vancouver (Colombie-Britannique, ouest). Quelque 450 millions de dollars (369 M USD) manquent à la ville de Vancouver pour finir de payer le village olympique de False Creek, dont le coût total de la construction avoisine le milliard de dollars (820 M USD). Le Premier ministre canadien a toutefois rappelé qu'Ottawa règlerait “ le problème des coûts de la sécurité ” estimés à 175 millions de dollars lors de l'attribution des jeux, en 2003, mais qui devraient plutôt atteindre un milliard de dollars.
  23. Les deux provinces pourraient demander à la Cour suprême du Canada de trancher au sujet de la création, par le gouvernement Harper, d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  24. Les pertes d'emplois catastrophiques dévoilées hier par les États-Unis sont «troublantes» a reconnu le premier ministre Stephen Harper. Au terme d'une table ronde avec des dirigeants d'entreprise québécois, le chef conservateur a dit craindre que les problèmes économiques de nos voisins du Sud se propagent chez nous. Pour en lire plus...
  25. Le pays est en meilleure position que d'autres pays industrialisés pour faire face à la récession actuelle et devrait en sortir plus vite, a estimé le premier ministre. Pour en lire plus...
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