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  1. Le PIB de Laval a atteint 10,5 G$ en 2006 Mais sa valeur par habitant demeure nettement inférieure à celui du Québec par Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 4 novembre 2007 à 6:54 Le PIB de Laval a atteint 10,5 G$ en 2006 Mais sa valeur par habitant demeure nettement inférieure à celui du Québec La valeur des biens et services produits dans la région de Laval en 2006 a atteint le seuil de 10,5 milliards de dollars, soit l’équivalent de 4 % du PIB québécois. Comme ce fut le cas en 2004 et 2005, la croissance économique lavalloise s’est maintenue l’année dernière au-dessus de la moyenne provinciale. Par contre, le PIB au prix de base nominal par habitant est nettement moins favorable lorsqu’on compare la région à l’ensemble de la province. «Le PIB par habitant se chiffre à 27 805 $ à Laval contre 34 586 au Québec», indique l’économiste de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ), Jean Laneville. Dans la mise en rang des 17 régions administratives de la province, Laval fait piètre figure, se classant au 11e rang. Niveau de vie élevé Par contre, il faut savoir que le PIB régional ne reflète aucunement le niveau de vie des habitants dans les régions limitrophes à la grande région métropolitaine, considérant la très grande mobilité des travailleurs. On en donne pour preuve le revenu personnel par habitant des Lavallois qui s’élevait en 2006 à 32 063 $, soit le quatrième plus élevé au Québec derrière le revenu personnel moyen des habitants de la Montérégie, de Montréal et de la Capitale Nationale. Quant au chapitre du revenu d’emploi par habitant, seuls les Montérégiens gagnent plus que les Lavallois. Selon l’Institut de la statistique du Québec, le revenu d’emploi par habitant s’établissait en 2006 à 24 117 $.
  2. Après le Griffix, voici le Square THÉMIS une marque dans Griffintown, construit par Immobilier Thémis Square Inc situé entre la rue Murray et Wellington, à quelques pas de la rue de la Montagne, et du cœur de Montréal. Une résidence à l'architecture résolument moderne dotée de matériaux nobles et robustes ou le temps n'aura pas de prise. Un immeuble de 18 étages comprenant 128 unités qui offre a ses habitants des perspectives imprenables sur le fleuve ou sur le centre ville selon les orientations des appartements aux généreuses ouvertures et pourvus de grands balcons. Le Thémis Square s'inscrit telle une empreinte construite pour durer. http://www.stellium-immobilier.ca/web/Stellium_CA/427-actualite-produit-et-services.php?cat=107&item=17439
  3. Toronto baisse encore plus que nous. C'est vrai qu'ils partent drôlement en avance! Par contre, j'aimerais bien que l'on tienne compte dans ces statistiques des sièges sociaux d'organisations internationales (ONG, etc.) non financières ou commerciales. À ce chapitre, si je ne m'abuse, Montréal, avec ses quelques 70 HQ (et il s'en ajoute de nouveaux occasionellement), surpasse toute autre ville canadienne (bien je je ne connaisse pas les chiffres exacts des autres). Il n'y a pas que la finance qui participe du rayonnement d'une ville! Quand les décisions nationales et internationales se prennent ici, peu importe que ce soit une cie de jeux vidéos, de finance ou l'OACI, ça imprime une marque partout, et celle-ci vient de chez nous! Alors, mettons tous ensembles les Sièges sociaux: 81 (financiers/commerciaux) + 70 (approx. ONG et +) = 151. C'est pas mal mieux pour nous non? Ce calcul ne fera pas l'unanimité, mais je maintiens qu'on devrait trouver un moyen d'entrer ces éléments dans le l'équation. Le débat est lancé. Amusez-vous. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201110/12/01-4456307-sieges-sociaux-un-gagnant-quatre-perdants.php
  4. http://www.cyberpresse.ca/international/europe/201109/08/01-4432471-ils-ont-dit-non-aux-bouchons.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accueil_POS4 Publié le 08 septembre 2011 à 05h00 | Mis à jour à 09h16 Ils ont dit non aux bouchons Agnès Gruda La Presse Vous trouvez que, en inversant le sens de quelques rues, le maire Luc Ferrandez a transformé le Plateau-Mont-Royal en enfer sur terre? Pourtant, des villes comme Zurich, Bordeaux, Stockholm ou Copenhague font la vie autrement plus dure aux automobilistes. Surprise: les gens en redemandent. Mais attention. Tout est dans la manière. Depuis une vingtaine d'années, la ville de Zurich a tout fait pour dissuader ses habitants de prendre leur auto pour se rendre au centre-ville. De nouveaux feux de circulation ont poussé le long de voies de moins en moins rapides. Les conducteurs de tramway peuvent les faire virer au vert, ce qui ralentit encore la circulation. La Ville a aussi éliminé les passages piétonniers souterrains, qui laissaient la voie libre aux autos. Elle a fait la guerre aux parkings, transformé des voies rapides en coquettes promenades et imposé une limite de 30 km/h dans les quartiers centraux. L'automobile n'y règne plus en maître sur les cyclistes et les piétons. Dimanche, les Zurichois ont été appelés par référendum à approuver la nouvelle phase de ce virage vert. D'ici à quelques années, la limite de 30 km sera étendue à tout le centre-ville. En une décennie, la place du «char» dans les transports urbains passera de 36 à 26%. Êtes-vous d'accord avec cet objectif? a demandé la Ville à ses habitants. La vaste majorité a répondu oui. Comment a-t-on fait pour faire passer la pilule? Les automobilistes zurichois sont-ils masochistes au point de vouloir souffrir davantage? Pas vraiment. Le secret de Zurich, c'est que les responsables n'ont pas fait que manier le bâton pour chasser les autos. Ils avaient aussi une carotte. Le nouveau réseau de tramways figure «parmi les plus modernes de la planète», selon Walter Hook, de l'Institute for Transports and Development, à New York. Autrement dit, de plus en plus de Zurichois ont laissé leur auto au garage pour prendre le tram. Et ils ont aimé ça. La révolution de Bordeaux C'est aussi un projet de tramway qui a lancé le virage vert amorcé par Bordeaux en l'an 2000. Trois lignes de tramway, totalisant 44 km, convergent aujourd'hui vers le centre-ville. Une trentaine de kilomètres seront ajoutés d'ici à quelques années. Pendant trois ans, le centre-ville de Bordeaux a été transformé en vaste chantier qui a causé bien des grincements de dents. «C'étaient des travaux gigantesques, les gens ont râlé, mais aujourd'hui, si on demandait aux Bordelais de revenir à l'époque d'avant le tramway, il n'y en aurait pas beaucoup pour dire oui», dit Benoît Lasserre, directeur régional du quotidien Sud-Ouest. Il faut dire que, parallèlement au tramway, la ville s'est refait une beauté. Elle a ravalé ses façades noircies et piétonnisé une grande partie de son centre-ville. Les voies rapides le long de la Garonne ont été réaménagées en promenades. La place Pey-Berland, en plein coeur du centre-ville, était autrefois tellement encombrée d'automobiles qu'il était presque impossible de la traverser à pied. Aujourd'hui, elle est le royaume des habitants et des touristes qui viennent admirer sa cathédrale. Seuls les résidants ont encore le droit de rouler au centre de la ville. Tout compte fait, les Bordelais sont contents des résultats. «Avant, Bordeaux était une ville assez désagréable, orientée vers la voiture, avec beaucoup de trafic et de pollution», dit Claude Mandrau, ingénieur à la Communauté urbaine de Bordeaux, qui a suivi le dossier depuis le début. Aujourd'hui, la place de l'auto est tombée de 80 à 65%, et les gens reviennent habiter en ville: les grands boulevards périphériques sont toujours congestionnés. «Parfois, ça prend une heure pour avancer de deux kilomètres», dit Benoît Lasserre. Ce n'est pas le paradis. Mais le centre-ville s'est transformé. Et pour le mieux. Le secret de ce succès? La Ville a écouté les râleurs. Une commission d'indemnisation a dédommagé les commerçants qui ont perdu des revenus à cause des travaux. On a multiplié les assemblées publiques pour expliquer le projet aux habitants. «L'important, c'est d'offrir un projet cohérent et logique», dit Claude Mandrau, qui n'en revient pas de voir à quel point les Bordelais ont sauté... dans le tramway, pour changer leurs habitudes. «Je croyais que ça allait prendre une génération!» Pourtant, quand je lui raconte la minirévolution du Plateau, Claude Mandrau est sceptique: «Mais qu'est-ce qu'il a offert en échange aux automobilistes, votre maire écolo? Imaginez si tous les arrondissements faisaient la même chose que lui... Peut-être même que les émissions de gaz carboniques augmenteraient, à cause des bouchons.» La recette du succès Y a-t-il une recette magique pour diminuer le nombre d'autos sans faire hurler de rage? Oui, dit Florence Junca-Adenot, professeure en études urbaines à l'UQAM. «D'abord, il faut un plan cohérent qui permet de savoir où on va. Puis, il faut agir de concert avec la population. Et il faut faire adhérer les commerçants.» «Il faut un objectif à long terme clair, soutenu par la population», renchérit Jerry Dobrovolny, directeur des transports à la Ville de Vancouver. Dans son plan adopté en 1994, Vancouver a décidé de donner priorité aux piétons et aux cyclistes plutôt qu'aux automobilistes. Elle a accru l'offre de transports publics, transformé les places de stationnement en parkings pour vélos ou en arrêts de bus. La part de l'auto en ville a reculé pour atteindre 60% (elle est de 63,3% à Montréal). Prochaine étape: passer à moins de 50%. Globalement, les Vancouverois sont d'accord. Mais chaque fois qu'une décision donnée touche une rue en particulier, les réactions sont fortes, reconnaît M. Dobrovolny. «Les transports, ça rejoint les valeurs des gens. Dès qu'on y touche, des gens rationnels deviennent tout à fait irrationnels.» Ça ne vous rappelle rien?
  5. Le 31 décembre dernier, dans leur immense casino de verre fraîchement rénové, les habitants de Windsor et bon nombre d'Américains venus les rejoindre ont défoncé l'année avec le célèbre animateur américain Jay Leno. Pour en lire plus...
  6. Le nombre de mises en chantier recule en décembre 9 janvier 2009 - 09h54 Presse Canadienne Le nombre de mises en chantier d'habitations a légèrement diminué au Canada en décembre dernier, passant de 178 000 en novembre à 177 300, selon la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Ces données, qui sont désaisonnalisées et annualisées, c'est-à-dire des chiffres mensuels corrigés des variations saisonnières et multipliés par 12 afin de refléter le rythme d'activité sur un an, comprennent les résultats observés dans les régionales rurales du pays ainsi que dans les centres urbains, soit ceux ayant une population de 10 000 habitants et plus. Pour les centres urbains seulement, le nombre de mises en chantier est passé de 150 800 en novembre, à 150 100 en décembre. Au Québec, pour les centres urbains, toujours en données désaisonnalisées annualisées, une baisse a aussi été enregistrée. Le nombre de mises en chantier y était de 36 700 en décembre, comparativement à 42 000 en novembre. En Ontario, toujours dans les centres urbains, le nombre de mises en chantier est passé de 55 500 en novembre à 60 300 en décembre. Dans la région de l'Atlantique, 8400 mises en chantier ont été enregistrées en novembre, contre 8100 en décembre. Dans l'Ouest, dans les Prairies, 26 800 mises en chantier ont été inscrites aux livres en novembre, contre 25 100 en décembre. Enfin, en Colombie-Britannique, le nombre de mises en chantier a augmenté tout comme en Ontario, passant de 18 100 en novembre, à 19 900 le mois suivant. En données réelles, pour l'ensemble du Canada, le nombre de mises en chantier d'habitations en décembre dernier par rapport à décembre 2007, pour les régions rurales et les centres urbains, a diminué, passant de 13 506 à 12 407. Pour les centres urbains seulement, il est passé de 11 157 à 10 487. Au Québec, pour les centres urbains, il a augmenté, passant de 2668 en décembre 2007 à 2747 en décembre 2008. En Ontario, toujours pour les centres urbains, il est passé de 3484 à 4097. Dans l'Atlantique, le nombre réel de mises en chantier pour les centres de 10 000 habitants et plus est passé de 651 en décembre 2007, à 574 en décembre dernier. Dans les Prairies, 2237 mises en chantier ont été enregistrées en décembre 2007, contre 1578 en décembre 2008. En Colombie-Britannique, on parlait de 2117 mises en chantier en décembre 2007 et de 1491 en décembre 2008. Toronto: 42,212 / 33,293 / +27% Montréal: 21,927 / 23,233 / - 6% Vancouver: 19,591 / 20,736 / - 6% Calgary: 11,438 / 13,505 / -15% Ottawa-Gatineau: 10,302 / 9,294 / +11% Edmonton: 6,615 / 14,888 / -56% Québec: 5,457 / 5,284 / +3% Hamilton: 3,529 / 3,004 / +17% Winnipeg: 3,009 / 3,371 / -11% Kitchener: 2,634 / 2,740 / -4% London: 2,385 / 3,141 / -24% Saskatoon: 2,319 / 2,380 / -3%
  7. Montréal capitale canadienne de vols de véhicules La Presse Canadienne Ottawa 15 décembre 2008 | 12 h 05 Plus de 22 400 véhicules motorisés ont été volés en 2007 dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal. C'est à Montréal qu'il se vole le plus de véhicules au Canada, en chiffres absolus, mais Winnipeg trône tout en haut du palmarès quand on tient compte de la densité de la population. Plus de 146 100 véhicules à moteur (voitures, camions, motocyclettes, bateaux, motoneiges...) ont été dérobés en 2007 au pays, selon Statistique Canada, soit une moyenne d'environ 400 par jour. Le taux de vols de véhicules a ainsi connu une baisse de 9 pour cent, un quatrième recul annuel consécutif. Statistique Canada a précisé dans un communiqué que, «selon la police et les compagnies d'assurances, cette diminution s'explique entre autres par l'utilisation accrue de dispositifs d'immobilisation électroniques dans les véhicules récents et par les programmes de prévention du vol d'automobiles qui ciblent les jeunes». Plus de 22 400 véhicules motorisés ont été volés en 2007 dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal. Un taux de 601 vols de véhicules par 100 000 habitants lui confère le huitième rang sur 27 au Canada. Mais Montréal est au premier rang sur six au Québec. Suivent dans l'ordre les grandes régions de Trois-Rivières, Sherbrooke, Gatineau, Saguenay et Québec. La RMR de Winnipeg est première au pays, avec pas moins de 1714 vols par 100 000 habitants, pour un total de plus de 12 500 vols.
  8. Le Québec échappe au recul de la construction 8 décembre 2008 - 09h36 Presse Canadienne La construction résidentielle a progressé au Québec au cours du mois de novembre dans les centres de 10 000 habitants et plus. C'est ce qui ressort des résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d'hypothèques et de logement. Au total, en données réelles non ajustées, 4005 habitations ont été mises en chantier le mois dernier, comparativement à 3126 un an auparavant. L'augmentation est de 28%. Selon l'enquête, les mises en chantier dans le segment des logements collectifs (maisons jumelées ou en rangée et appartements) étaient en forte progression, soit de 65%, comparativement au mois de novembre de l'an dernier. Dans la catégorie des maisons individuelles, le bilan de novembre, soit 1218 mises en chantier, présente un déclin de 15% en regard du même mois en 2007. De janvier à novembre, 38 339 habitations ont été mises en chantier dans les centres de 10 000 habitants et plus au Québec. Il s'agit d'un niveau semblable à celui enregistré à la même période l'an dernier, soit 38 212. Pour l'ensemble du Canada, dans les centres urbains - soit les agglomérations de 10 000 habitants et plus -, le nombre réel de mises en chantier en novembre dernier s'est replié substantiellement par rapport à la même période en 2007. Il est passé de 17 816 en novembre 2007 à 12 780 en novembre 2008.
  9. La construction résidentielle a progressé au Québec au cours du mois de novembre dans les centres de 10 000 habitants et plus, indique la SCHL. Pour en lire plus...
  10. Les mises en chantier au Québec sont en recul un peu partout dans la province. Et c’est dans les centres de 10 000 habitants et plus que la baisse se fait surtout sentir. Pour en lire plus...
  11. Recul de la construction résidentielle au Québec 11 août 2008 - 09h39 Presse Canadienne Les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé par rapport à juillet 2007; elles ont régressé de 12%. La construction résidentielle a reculé au Québec en juillet, selon les dernières données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Au total, 3122 mises en chantier ont été dénombrées dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus, soit 3% de moins qu'en juillet 2007 alors que 3232 unités avaient été commencées. Les résultats de juillet dernier sont à l'image des statistiques observées depuis le début de l'année, c'est-à-dire qu'ils dénotent une croissance des mises en chantier de logements collectifs et une baisse de celles de maisons individuelles, a mentionné la SCHL, en publiant ces données. Ainsi, 1756 logements collectifs ont été entamés dans les centres de 10 000 habitants et plus, une augmentation de 5% par rapport à juillet 2007. De leur côté, les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé par rapport à juillet 2007; elles ont régressé de 12%. C'est le cinquième mois consécutif qu'un repli est observé dans ce segment de marché. Au total, 1366 maisons individuelles ont été commencées en juillet 2008, comparativement à 1556 un an plus tôt.
  12. Le Québec agité par une nouvelle ruée vers l'or Ludovic Hirtzmann 21/07/2008 | Mise à jour : 07:49 | . Alors que l'once d'or vaut près de 1 000 dollars, l'Abitibi-Témiscamingue est en pleine effervescence. Les habitants de la ville de Malartic, située sur un gisement, déménagent. Montréal Le 9 juillet dernier, à cinq heures du matin, des camions de la compagnie minière canadienne Osisko ont déménagé les deux premières maisons d'un quartier résidentiel de Malartic, une bourgade de 4 000 habitants, située à 600 kilomètres au nord de Montréal. Osisko a découvert l'été dernier un gigantesque gisement de 8,4 millions d'onces d'or, précisément sous un quartier de Malartic. Les Québécois ont décidé de déplacer leurs habitations pour permettre à Osisko d'exploiter une mine à ciel ouvert dont la durée de vie est estimée à vingt ans. Près de 200 maisons seront déplacées au cours des dix-huit prochains mois. L'entreprise minière montréalaise devra de plus reconstruire une école, une maison de retraite et une garderie. Au Québec, les maisons sont en bois et une opération de déplacement d'un quartier entier est relativement facile. « C'est l'aboutissement d'une longue période de consultation avec les résidents et les élus », a déclaré le président et chef de la direction d'Osisko, Sean Rosen. Hausse de la valeur des maisons Le déménagement du quartier de Malartic coûtera 82 millions de dollars à Osisko. La société versera une petite prime de 5 000 dollars aux habitants qui ont accepté de déménager. Certains propriétaires ont préféré vendre leur demeure à Osisko. Si, selon la direction de la société minière, près de 95 % des expropriés ont approuvé l'entreprise, le projet ne fait pas l'unanimité. Une habitante, Rachel Rivard, a déploré que le processus d'expropriation ait déjà commencé alors que, s'est-elle plainte au quotidien montréalais La Presse, « les études d'impact ne sont pas encore terminées ». Ce n'est qu'à l'automne, après une série d'audiences publiques et un avis du ministère de l'Environnement, qu'Osisko saura si elle a le feu vert pour l'exploitation minière. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, confie au Figaro que « seuls huit citoyens n'ont pas accepté pour l'instant de déménager. Pourtant, les conditions sont avantageuses. Osisko paie 25 % de plus que le prix du marché à ceux qui veulent vendre. Pour les autres, les maisons sont placées sur des terrains plus grands ». Malartic est une ville minière, née d'un gisement découvert en 1935 et exploité jusqu'en 1985. *En Abitibi-Témiscamingue, une ré*gion* grande comme deux fois la Belgique, peuplée d'environ 150 000 personnes, la hausse des cours du métal jaune a mené de nombreuses compagnies minières à multiplier les prospections depuis deux ans. Fernand Carpentier ajoute que « 400 emplois seront créés, avec une priorité donnée aux gens de Malartic. C'est une bonne affaire pour notre ville. Depuis l'annonce du projet il y a deux ans, la valeur des maisons a augmenté de 35 % ». Dans les années trente, l'Abitibi-Témiscamingue avait déjà connu une fièvre de l'or. L'une des principales villes de la région s'appelle d'ailleurs Val d'Or. Le vice-président des finances d'Osisko, Bryan Coates, optimiste, conclut : « On espère faire couler l'or vers la fin de 2010. » http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2008/07/21/04012-20080721ARTFIG00235-le-quebec-agite-par-une-nouvelle-ruee-vers-l-or-.php
  13. CANNES (AFP) - Les projets de villes nouvelles les plus audacieux, insolites mais aussi écologiques en préparation dans le monde ont été présentés cette semaine à Cannes au salon immobilier du Mipim, qui ferme ses portes vendredi. Architectes, urbanistes et promoteurs immobiliers sont venus en nombre à ce rendez-vous annuel international, où le ticket d'entrée est de 1.500 euros, présenter les maquettes des cités qu'ils projettent d'installer sur des terres vierges ou à reconquérir. Ces projets sont aussi l'occasion de mettre en oeuvre des innovations en matière d'économies d'énergie et de recyclage des déchets et de l'eau. En plein milieu du désert à 20 minutes de la mer, près de Dubai, se construit "Palisades", une cité qui doit accueillir, en 2010, plus de 55.000 habitants. La ville sera "victorienne", agrémentée d'"arcades comme la Place des Vosges à Paris", explique un porte-parole de son promoteur émirati, Pearl Properties. Quelque 30% des 140 hectares seront paysagés avec des cascades d'eau, venue d'usines de dessalement d'eau de mer. Et, argumente le vendeur: Palisades est "situé à côté de The Lost City, un parc d'attraction avec des répliques des sept merveilles du monde, mais aussi la Tour Eiffel". Mais ce luxe a un prix, 230.000 dollars pour un appartement en duplex avec une seule chambre. Après les îles artificielles en forme de palmiers de Dubai, l'émirat de Bahreïn se lance, sur sa côte sud, dans la création d'îles en forme de poissons. Sur ce qui n'est que du sable, une ville entière va naître autour de ces îles reliées par 16 ponts et sur lesquelles chaque maison, en front de mer, aura sa propre piscine. Un golf viendra s'y ajouter entre mer et désert, une marina pourra accueillir 400 yachts. Plus de 60.000 personnes y sont attendues. A plus d'un million d'euros, toutes les grandes maisons sont déjà vendues. En Russie, où la pollution est sujet d'inquiétude, à 10 kilomètres de la ville industrielle d'Ekaterinburg se bâtit une ville nouvelle "écologique", Akademia City, qui devra accueillir à l'horizon 2024 quelque 350.000 habitants sur 1.300 hectares, selon le promoteur russe Renova. Le cabinet d'architectes français Valode et Pistre qui en a conçu les plans explique qu'il a sélectionné toutes les solutions écologiques pour "un nouvel art de vivre" dans cette région où les températures varient de -40°C en hiver à +35°C en été. L'eau, la végétation et les bâtiments s'y marient harmonieusement. Partout, la forêt entre dans la cité, les plus hautes constructions de 25 étages sont à la périphérie, tous les parkings seront en sous-sol. Quelque 30 kilomètres de voies seront réservées aux piétons et aux cyclistes. De tels projets sont à l'étude pour quatre autres sites en Russie. Sur les bords de la Mer Noire, Novomikhailovsky Posad est censé offrir, selon la présentation de sa maquette, "un monde empli d'amour" où "l'intelligence, la santé et les émotions" doivent permettre "une nouvelle manière de vivre" pour les 100.000 habitants qui y sont attendus. Des hôtels pourront recevoir 6.000 touristes par an. Un parc d'attractions sous-marin est prévu au beau milieu de la ville. Enfin, sur la côte orientale de la Mer Noire, la région de Sochi, candidate pour les Jeux Olympiques d'Hiver en 2014, prévoit un programme de 12 milliards de dollars d'infrastructures comportant, outre les installations sportives, un plan d'envergure pour créer une Riviera située entre mer et montagne.
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