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  1. http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/379343/un-nouveau-quartier-pour-les-riches-ou-pour-tout-le-monde Un nouveau quartier pour les riches ou pour tout le monde? 29 mai 2013 07h46 | Marco Fortier | Le blogue urbain Photo : Société immobilière du Canada (SIC) Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Ce quartier vaut de l’or. À deux pas du centre-ville de Montréal, grand comme 120 terrains de football, le Bassin Wellington a le potentiel d’accueillir 3 millions de pieds carrés de bâtiments, soit une superficie équivalente à deux fois la Place Ville-Marie. Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Sans faire de bruit, la Société immobilière du Canada (SIC) a appelé le mois dernier les promoteurs immobiliers à soumettre des projets pour redonner vie à ce secteur au passé industriel. La SIC a confié ce mandat de relance au groupe financier Brookfield. On en sait bien peu sur les intentions de Brookfield et de la SIC, une société d’État qui a pour mission de développer les terrains du gouvernement fédéral. Mais déjà, des groupes communautaires de Pointe-Saint-Charles montent au front pour éviter que le Bassin Wellington soit offert à un promoteur privé sans véritable débat public. Ne pas répéter Griffintown « Il reste tellement peu de terrains publics dans ce secteur, ils ont tous tellement été bradés au profit d’entreprises privées, que nous demandons un développement qui réponde aux besoins réels des Montréalais », dit Karine Triollet, du groupe communautaire Action-Gardien. Elle dit craindre une répétition de ce qu’elle considère comme « les erreurs de Griffintown », le quartier voisin : la construction de milliers de condos vendus à prix d’or, sans tenir compte des 80 % de Montréalais qui n’ont pas les moyens de s’y installer. « Un maigre 15 % à 20 % de logements communautaires, c’est insuffisant », dit-elle. Karine Triollet n’est pas contre le développement économique, mais elle dit souhaiter une vaste réflexion sociale avant de lancer ce nouveau chantier. On verra dans les prochains mois si les groupes communautaires auront été entendus. Ou si l’épaisseur du portefeuille sera le principal critère pour choisir les résidants.
  2. Publié le 22 juin 2009 à 12h48 | Mis à jour à 17h17 Souhaitant mieux coordonner leurs efforts dans la lutte contre les changements climatiques, les groupes environnementaux de la planète ont décidé de se regrouper et de faire de Montréal l'épicentre de cette nouvelle alliance internationale. Le gouvernement Charest, Équiterre et Montréal international ont annoncé lundi la création du tout nouveau secrétariat de la Campagne internationale action climat (CIAC), dont le quartier général s'établira dans la métropole. Ce bureau, où n'oeuvreront que quatre employés, aura pour mandat de coordonner certaines des plus importantes activités militantes à venir aux quatre coins de la planète dans la prochaine année : Bangkok et Barcelone (rencontres préliminaire sur le climat), Pittsburgh (G-20), New York (assemblée des Nations Unies), etc. L'objectif est d'accroître la pression sur une douzaine de pays connus pour leur timide engagement en faveur d'une réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin qu'ils s'engagent à ratifier un accord international ambitieux, lors de la Conférence de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre prochain. Nommément, le Brésil, l'Inde, l'Arabie saoudite, la Pologne, le Japon et le Canada se retrouvent dans cette liste. «L'objectif est que ces pays s'entendent sur un accord international, à Copenhague, a précisé la ministre québécoise de l'Environnement, Line Beauchamp. Pour cela, nous devons rejoindre certains États clés, certains États stratégiques, afin de les convaincre de l'importance d'une telle entente.» Idée d'Équiterre L'idée de créer la Campagne internationale action climat a été lancée par Équiterre en 2006. Le Québec a ensuite accepté de verser 300 000 $, l'année suivante, afin qu'elle se concrétise. Après quoi la principauté de Monaco, le gouvernement britannique et certaines grandes fondations internationales ont accepté de se joindre à l'effort, qui se chiffre aujourd'hui à environ 10 millions de dollars. Le gouvernement fédéral, pour sa part, n'a rien versé, ce qui lui a d'ailleurs attiré certaines critiques, lors du point de presse des différents partenaires. La création du secrétariat du CIAC s'inscrit dans une vaste campagne appelée tcktcktck (à prononcer tic, tic, tic, comme une horloge), qui doit prendre de l'ampleur au fur et à mesure que la conférence de l'ONU sur les changements climatiques approchera. Une vingtaine de groupes font partie de cette coalition, dont Oxfam, Greenpeace, le Conseil mondial des églises, Global Humanitarian Forum, Union of Concerned Scientists et le Pew Environment Group. Il existait déjà des regroupements, comme Kyoto plus, Power Up et le Réseau action climat, mais les groupes environnementaux estimaient nécessaire de mettre sur pied une coalition dont l'unique mandat est d'encadrer le travail sur le terrain : manifestations, mobilisation, etc. «Le constat est qu'il manquait quelque chose, à l'international, pour s'assurer qu'il y ait un accord en décembre, qu'il soit ratifié et mise en oeuvre rapidement», a précisé Steven Guilbeault, d'Équiterre. Les bureaux du secrétariat seront situés au centre-ville et déménageront éventuellement dans la future Maison du développement durable, qui sera construite rue Sainte-Catherine, à côté du Théâtre du Nouveau Monde. Par ailleurs, Greenpeace a frappé un grand coup, lundi en Europe, en publiant à la fois une fausse édition du International Herald Tribune (50 000 copies, principalement à Bruxelles) ainsi qu'un faux site web, en tout point pareil à celui du journal (on y retrouve même de fausses publicités, à s'y méprendre). En manchette de cette édition datée du 19 décembre 2009, on aperçoit les chefs d'État de France, Nicolas Sarkozy, et d'Allemagne, Angela Merkel, tout sourire à la suite d'un accord ambitieux survenu à Copenhague...
  3. L'Autre St-Jean: des appuis et des critiques Martin Croteau La Presse La Fête nationale doit être célébrée en français, affirme l'Association culturelle Louis-Hébert, commanditaire du spectacle L'Autre St-Jean, qui confirme avoir exigé le retrait de deux formations musicales parce qu'elles chantent en anglais. Cette décision a été vertement critiquée par des artistes et des membres de la communauté anglophone, mais plusieurs organisations souverainistes l'ont appuyée. «Ce que nous voulons, ce sont des groupes qui chantent en français le jour de la Fête nationale», a affirmé Mathieu Bouthillier, vice-président de l'Association culturelle Louis-Hébert. Tous les ans, cet organisme composé de bénévoles reçoit des fonds publics pour organiser les festivités de la Saint-Jean dans Rosemont. Cette année, sa direction a décidé de confier la programmation artistique de la fête à l'entreprise C4, qui a invité Malajube, Vincent Vallières, Les Dales Hawerchuck et Marie-Pierre Arthur, mais aussi Lake of Stew et Bloodshot Bill, deux groupes anglophones. M. Bouthillier dit avoir appris la présence de ces deux derniers groupes mercredi dernier au cours de la conférence de presse qui annonçait le programme. Dès le lendemain, il a sommé le producteur de les en retirer, sans quoi il annulerait sa commandite. Certains militants ont aussi menacé de tenir une manifestation le soir du spectacle. Une réunion tenue vendredi n'a pas permis de trouver un compromis. Pour M. Bouthillier, c'est donc officiel : les Anglos ne seront pas de la fête. «Pour nous, le dossier est clos», a-t-il affirmé. Mario Beaulieu, président du Comité de la Fête nationale de Montréal, est également intervenu auprès des producteurs pour faire modifier le programme. Dans les derniers jours, son organisme avait reçu plusieurs plaintes de militants mécontents. Il dit ne pas s'opposer à ce que des artistes anglophones participent aux festivités de la Saint-Jean, à la condition qu'ils se produisent en français. «Ils sont québécois et on les accepte comme québécois, a-t-il indiqué. On n'a absolument rien contre le fait qu'ils chantent en anglais. Mais la Fête nationale, ça se passe en français.» Le Mouvement national des Québécois, qui reçoit 3,6 millions de Québec pour financer quelque 750 spectacles à l'occasion de la Fête nationale, a refusé de commenter le cas précis de L'Autre St-Jean. Son porte-parole, Julien Beaudry, affirme toutefois que l'argent versé pour ces spectacles doit avant tout contribuer à la promotion de la langue française. «On pense que, deux jours par année, on célèbre notre Fête nationale, a-t-il indiqué. Qu'on la célèbre en français, deux jours par année, ce n'est pas trop demander.» «Honteux» Mais ces arguments n'ont pas convaincu certains membres de la communauté anglophone. Jack Jedwab, directeur général de l'Association des études canadiennes, affirme que le comportement de ces groupes est «honteux». En agissant ainsi, ils envoient un «message de rejet» à tous les Québécois qui parlent l'anglais. «Ça stigmatise la communauté anglophone, ça donne l'impression que, pour être québécois, il faut chanter strictement en français, a-t-il dénoncé. J'ose croire que, pour la Fête nationale, on veut inclure toutes les composantes de la société.» Les artistes déçus Les artistes qui devaient monter sur scène avec Lake of Stew et Bloodshot Bill sont déçus de la tournure des événements. Dave Ouellet, alias MC Gilles, devait animer la soirée. Ce souverainiste convaincu était emballé à l'idée que des anglophones célèbrent la Saint-Jean aux côtés d'artistes francophones. «Je trouvais ça le fun qu'un groupe anglophone ait le réflexe, quand on parle de la Fête nationale, de participer le 24 juin plutôt que le 1er juillet», a-t-il déploré. Même son de cloche du côté du groupe Malajube, dont l'agent n'a pas mâché ses mots. Selon Gourmet Délice, tous les artistes à l'affiche étaient ravis de partager la scène avec des anglophones. «Les gars de Malajube sont allés jouer en français partout dans le monde, a-t-il souligné. Ils ne comprennent pas pourquoi il y aurait un problème à jouer avec des gens qui sont nés ici. Pourquoi il n'y aurait pas de show en anglais? Je trouve que c'est de l'étroitesse d'esprit.»
  4. Le géant japonais Panasonic traverse, à l'instar des autres grands groupes nippons de l'électronique, une crise majeure qui le force à supprimer 5% de ses effectifs et à fermer 27 usines à travers le monde. Pour en lire plus...
  5. Les groupes américains de distribution ont révélé jeudi l'étendue du désastre pour leurs ventes cruciales de la période des fêtes de fin d'année. Pour en lire plus...
  6. Les grands groupes automobiles ont tous rapporté des baisses importantes de leurs ventes de voitures en décembre clôturant une année horrible aux États-Unis. Pour en lire plus...
  7. La compagnie aérienne américaine Delta Air Lines, qui vient de fusionner avec sa concurrente Northwest Airlines, prévoit de demander des modifications dans les commandes que les deux groupes ont chacun passé à l'avionneur Boeing. Pour en lire plus...
  8. Les dirigeants des trois groupes automobiles américains plaident devant la commission bancaire du Sénat pour obtenir une nouvelle rallonge de 25 G$ US. Pour en lire plus...
  9. Les groupes de distribution ont annoncé jeudi un effondrement de leurs ventes en octobre aux États-Unis, attestant que la crise frappe maintenant les Américains au portefeuille. Pour en lire plus...
  10. Le gouvernement du Québec débloque 25000$ pour favoriser la participation des groupes environnementalistes aux audiences du BAPE sur le projet de complexe hydroélectrique La Romaine. Pour en lire plus...
  11. Le fabricant de la voiture Nano abandonne son usine de Singur, au Bengale, après des mois de conflit avec des groupes de paysans expropriés. Pour en lire plus...
  12. Ces acquisitions dotent la firme montréalaise d'une équipe multidisciplinaire de quelque 200 professionnels de l'ingénierie dans des secteurs de la sidérurgie et autres procédés industriels. Pour en lire plus...
  13. Les actionnaires de Northwest Airlines ont approuvé jeudi le projet de fusion avec Delta Air Lines, rapprochant un peu plus les deux groupes américains de la création de la plus grande compagnie aérienne au monde. Pour en lire plus...
  14. Trois groupes environnementaux lancent ce mercredi une pétition en ligne pour s'opposer à un projet de pipeline destiné à importer du pétrole issu des sables bitumineux à Montréal. Pour en lire plus...
  15. Siège social à Montréal Imperial Tobacco Canada célèbre son centenaire cette année Mise en ligne 11/01/2008 08h33 Siège social à Montréal - Imperial Tobacco Canada célèbre son centenaire cette année La PRESSE CANADIENNE Imperial Tobacco Canada amorce des célébrations pour souligner son centenaire. Fondée le 11 juin 1908, cette entreprise demeure encore un chef de file de l'industrie canadienne du tabac. L'entreprise, dont le siège social est situé à Montréal, est détenue par la British American Tobacco (BTI) depuis l'année 2000. Elle emploie directement 793 personnes. Au cours de ses cent ans d'existence, l'entreprise est restée implantée dans son quartier d'origine, Saint-Henri. Elle y a bâti sa première usine et y a établi son nouveau siège social en 2002 à proximité de l'usine originale, qui a fermé ses portes il y a près de quatre ans. Imperial Tobacco Canada estime qu'au fil des ans, elle a été déterminante dans l'évolution du patrimoine artistique, culturel, sportif, de la mode et des services communautaires. Sa fondation se consacre aujourd'hui aux arts et à la culture, aux soins des aînés et à l'éducation. Dans un communiqué, le pdg d'Imperial Tobacco Canada, Benjamin Kemball, a souligné l'esprit novateur des employés qui ont contribué à en renforcer les assises. Après 100 ans, Imperial Tobacco Canada entend continuer à reconnaître et identifier les besoins des fumeurs adultes canadiens et répondre à leurs attentes. Alors que l'entreprise lance les festivités de cet anniversaire, des groupes de santé manifestent leur réprobation. Pour Louis Gauvin, porte-parole de la Coalition québécoise pour le contrôle du tabac, ces 100 ans de souffrances humaines inutiles et évitables ne peuvent pas être passées sous silence. Différents représentants de groupes de santé ont décidé de rendre hommage ce vendredi à la mémoire des centaines de milliers de personnes qui sont décédées à cause des produits d'Imperial Tobacco. Ils manifesteront en après-midi, à 14h30, à deux pas du siège social du cigarettier.
  16. Du jamais vu depuis 45 ans Mise à jour le vendredi 21 décembre 2007, 11 h 49 . À la veille de recevoir des milliers de visiteurs pour son 400e anniversaire, Québec s'affiche comme l'une des villes les plus sécuritaires en Amérique du Nord. La police de Québec n'a répertorié aucun meurtre sur son territoire au cours de l'année 2007. Le responsable des communications au Service de police de Québec, le capitaine Lucien Gravel, indique qu'une année sans meurtre sur le territoire de la ville de Québec ne s'est pas produite depuis 1962. Le dernier meurtre sur lequel les enquêteurs se sont penchés a été perpétré le 31 octobre 2006. Une jeune femme, Catherine Bourbonnière, avait été retrouvée sans vie dans son appartement du quartier Saint-Roch. En 2006, sept meurtres avaient été commis à Québec, permettant tout de même à la capitale nationale d'afficher l'un des plus bas taux d'homicides au Canada. À titre de comparaison, la ville d'Ottawa a été le théâtre de 14 meurtres depuis le début de l'année 2007. « Ça devient un peu une fierté, puis une joie de dire qu'on n'a pas eu de drame, soit dans le milieu familial ou même dans d'autres milieux, que ce soit le milieu criminel par exemple. Quand on est capables de passer une année sans meurtre, on peut être satisfaits du travail accompli », souligne le capitaine Gravel. Le nombre de tentatives de meurtre a aussi diminué, passant de 12 en 2006, à 8, cette année. La police explique ce bilan par son virage vers une police de proximité, pour se rapprocher des citoyens. L'absence de groupes criminels organisés et le fait que les groupes de motards n'ont pas sévi à Québec depuis plusieurs années justifient aussi ce bilan. Les enquêteurs ont ainsi plus de temps pour travailler sur d'autres types de crimes, comme les agressions sexuelles, les voies de fait ou les meurtres non encore résolus. http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2007/12/21/001-quebec_pas_meurtre_n.shtml
  17. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/12/20071206-163400.html Lutte aux GES Montréal accueillerait un organisme international La Presse Canadienne Par Jocelyne Richer 06/12/2007 16h34 Lutte aux GES - Montréal accueillerait un organisme international © Ryan Remiorz (PC) Montréal pourrait bien devenir la plaque tournante internationale de la lutte aux changements climatiques, selon ce qu'a appris La Presse Canadienne, jeudi. Un nouvel organisme environnemental d'envergure internationale, et voué spécifiquement à la lutte aux gaz à effet de serre (GES), pourrait bientôt avoir pignon sur rue à Montréal, si les promoteurs du projet gagnent leur pari. Avec à leur tête Équiterre et l'appui de Montréal international, des groupes écologiques québécois mènent présentement leur cabale pour que Montréal accueille cet organisme, dont le mandat serait à la fois de coordonner et d'accélérer la lutte internationale aux changements climatiques. Les groupes écologiques présents jusqu'à la semaine prochaine à Bali, en Indonésie, pour la conférence des Nations unies sur les changements climatiques, en profitent pour promouvoir ce projet, qui est encore embryonnaire. Le but consiste à créer une vaste coalition de groupes et d'organismes prônant la réduction des gaz à effet de serre. «Ce qu'on souhaite, c'est structurer encore plus les efforts de mobilisation à l'échelle internationale, mieux structurer nos actions», a expliqué en entrevue téléphonique, depuis Bali, un porte-parole d'Équiterre, Jean-François Nolet. Équiterre, qui souhaite voir le dossier aboutir rapidement, a obtenu récemment une subvention de Montréal international pour pousser le dossier. Montréal international vise le rayonnement de la métropole à travers le monde, en cherchant à attirer chez nous des organismes internationaux. Déjà, neuf organisations internationales vouées à la défense de l'environnement ont abouti à Montréal. Le projet piloté par Équiterre viendrait «conforter cette masse critique», a indiqué jeudi le porte-parole de Montréal international, Louis Arsenault, confirmant l'intérêt de la métropole pour ce type d'initiatives, sans vouloir commenter le projet comme tel. Compte tenu que l'importance de l'enjeu «ne fait plus de doute» partout sur la planète, «toute initiative sérieuse, valable» sera appréciée, a-t-il ajouté. De son côté, Équiterre se montre optimiste et enthousiaste. «On a un certain leadership dans la création d'une organisation, d'une mobilisation, d'une sensibilisation, sur les changements climatiques», a commenté M. Nolet, en souhaitant voir Montréal projeter une image verte aux quatre coins de la planète. «Montréal peut être une plaque tournante au niveau environnemental. (...) Le Québec est un peu la Californie du nord», selon lui. «On ne peut pas perdre ce pari de réduire les gaz à effet de serre et de contrôler les changements climatiques. Il y a un mouvement mis en branle tellement important que de perdre ce pari-là semble à ce moment-ci impossible», a-t-il dit. Un des mandats du futur organisme, qui n'a toujours pas de nom, serait par exemple de trouver du financement pour mener à bien des campagnes de sensibilisation entreprises dans différents pays, explique M. Nolet. «Il se passe plein de choses en Inde, en Chine, en Turquie, en Pologne. Comment on peut s'assurer que ces initatives-là perdurent durant les prochaines années pour s'assurer d'une réponse politique à la question des changements climatiques?», se demande-t-il.
  18. Point de vue français venant des Inrocks : M Pour Montréal : premier jour On redécouvre, à chaque visite, Montréal la grande ; diverse, moderne, attirante. En automne, la lumière sublime de Stockholm. Excitante comme un petit New York. Douce et élégante comme Paris, un grand et franc sourire en plus . La ville des magasins de disques – ils pullulent, ils épatent. De Chinatown à Saint-Denis, des rues calmes du ravissant et cool Plateau aux imposants gratte-ciels du centre d’affaires, dans chacun de ses bars, de tous les pores de ses érables rougissants, sur tous ses visages radieux et aimables, on a senti la vibration particulière, unique, puissante, qui l’anime. Car Montréal bouge. Elle bouge vite, elle bouge sans arrêt, semble toujours bouger dans la bonne direction. Depuis Constellation, depuis surtout la mise en orbite d’Arcade Fire, le monde regarde Montréal avec envie et curiosité : Montréal est un passionnant laboratoire. Le cul entre deux chaises, la langue entre deux mondes. Ses groupes ont la puissance, un certain sens de la franchise et de l’innocence de l’Amérique du Nord, ils ont aussi la classe, l’intelligence plus tordue et consciente d’elle même des têtes d’affiche européennes. La qualité et l’image. Montréal est une scène : tout le monde, ici, connaît tout le monde, tout le monde joue avec tout le monde, les idées circulent, la musique s’aère. Montréal aime ses groupes. Et le fait savoir. Pensé par Martin Elbourne, responsable de Glastonbury et The Great Escape à Brighton, réalisé sur place avec maestria par Avalanche Production et placé sous le patronage surprise de la locale Melissa Auf Der Maur, M Pour Montréal est le porte-voix du laboratoire. Un sacré tremplin : seize groupes se croisent sur deux jours et dans deux salles, certains resteront peut-être dans l’ombre, d’autres, nous sommes prêts à le parier, baigneront bientôt dans une intense lumière. Des délégués venus du monde entier –journalistes, tourneurs, responsables de labels- sont là pour assister à l’éclosion, l’aider s’ils le peuvent. Rien d’un pesant raout industriel : à l’image de la ville qui l’accueille, tout dans le festival est intime, amical, agréable. Un tremplin, et un concours. Un prix récompensera le groupe élu par les professionnels. La première soirée s’achève. Six heures de décalage sous les yeux, une poutine qui stagne quelque part dans le bide, et une vague petite inquiétude qui squatte l’esprit : il est temps de choisir. Elire, trier, juger, sous-peser : c’est une affaire pour la tête. C’est pourtant, d’abord, le cœur qui parle. Bruyant, affolé, il hurle, se soulève, s’alourdit, s’envole pour Torngat - probablement l’une des plus belles choses entendues depuis quelques longues lustres. Trois garçons, l’un d’entre eux gravitant autour de Belle Orchestre ou d’Arcade Fire, trois multi instrumentalistes, des morceaux sans voix, entre Robert Wyatt et la library music des années 70 - une musique de film fantasmatique, la bande-son de paysages formidables, la traduction sonore d’émotions trop belles et complexes pour être formalisés par le langage. Le cœur parle, mais les muscles aussi. Ils se tendent et explosent pour We Are Wolves, autre grosse révélation de la première soirée. Le Canada a ses Klaxons : entre brûlures rocks et rondeurs électroniques, dans un long et épuisant rush, We Are Wolves est une diabolique machine à danser, la tête en vrac, les jambes mélangées, les yeux révulsés. Trois jeunes types impressionnants, un grand concert enflammé et un puissant spectacle visuel -ils portent tous, au-dessus de la tête, une immense tête de squelette en bois. We Are Wolves sera bientôt immense. Les muscles se sont aussi pas mal exprimés, et beaucoup crampés, pour Les Breastfeeders ; ahurissante troupe rock et grand groupe de scène, à la fois terriblement rêche et furieusement pop, entre les Ramones et B-52’s. Le concert va vite, semble ne jamais vouloir s’arrêter, ne jamais prendre de direction trop facilement établie ; les morceaux épuisants et exaltants allument un petit incendie à refrain, un danseur fou fait le spectacle –immense. Un dernier organe s’est joliment mis en branle lors de cette première soirée : les zygomatiques. L’épuisement, total, n’en aura pas eu raison : Numéro#, le TTC du cru, s’est chargé de les réactiver. Ironique, méchamment efficace, le duo auto-déclaré punk aurait mérité un public un peu plus massif ; ses coups de boutoirs électroniques, son pseudo crunk hilarant et sa belle tenue sur scène pourraient, aucun doute là-dessus, faire se soulever quelques dizaines de tonnes de chairs en fusion.
  19. La Caisse de dépôt achète Legacy Hotels Photo: La Presse Canadienne /Jacques Boissinot Château Frontenac Le chic Château Frontenac, à Québec, le Royal York, à Toronto, et le Château Laurier, à Ottawa, changeront sous peu de propriétaires. En effet, la Caisse de dépôt et placement du Québec s'est entendue, jeudi, en collaboration avec les groupes Westmont Hospitality et InnVest Real Estate Investment Trust, pour acheter la chaîne Legacy Hotels pour 2,5 milliards de dollars. Legacy Hotels faisait l'objet, depuis plusieurs mois, de la convoitise de différents groupes d'investisseurs intéressés par une très prestigieuse collection d'hôtels regroupés sous les bannières Fairmont et Delta. Le Royal York, à Toronto Le groupe Fairmont Hotels & Resorts, acquis en 2006 par un prince saoudien pour 4,5 milliards de dollars, a accepté de céder à la Caisse de dépôt les 20,4 % des droits de vote qu'elle possède dans Legacy. L'accord du principal détenteur de parts dans ces hôtels ouvre la voie à la transaction. Fairmont devrait cependant demeurer le gestionnaire principal de 13 des 25 établissements de Legacy pour les 50 prochaines années. La Financière Banque Nationale estimait, voilà quelques mois, la valeur du Château Frontenac à 155 millions de dollars. Le Royal York, pour sa part, vaudrait 293 millions et le Reine Elizabeth, à Montréal, quelque 208 millions de dollars. Le Château Laurier, finalement, vaudrait pour sa part 108 millions de dollars.
  20. 27 avril 2007 - Presse Canadienne Les exportations internationales de marchandises du Québec, en dollars constants désaisonnalisés et aux prix de 1997, ont reculé de 8,6% en février dernier par rapport au mois précédent. Selon l'Institut de la statistique du Québec, dix des 25 principaux groupes de produits exportés par le Québec ont enregistré une augmentation en février, notamment les instruments de mesure, les camions et tracteurs routiers, les moteurs d'avion, ainsi que les machines et le matériel de bureau. Parmi les 15 groupes en baisse, le principal est, de loin, celui des avions. Il est suivi entre autres par le bois d'oeuvre résineux, les demi-produits en bois, le papier journal, de même que le cuivre et ses alliages. Les exportations vers les États-Unis ont diminué de presque 14% en février. Les avions expliquent une grande partie de ce mouvement. Les exportations québécoises d'électricité vers les États-Unis ont aussi subi un recul en février, tant par rapport à janvier 2007 que comparativement à février 2006. Pour leur part, les camions et tracteurs routiers ont connu une hausse de 25%.De leur côté, les exportations québécoises vers l'Europe ont augmenté de 8% en février. Les moteurs d'avion, les instruments de mesure, de médecine et d'optique et le papier journal sont parmi les principaux groupes de produits qui ont accru leurs exportations vers l'Europe. Les exportations vers l'Asie ont également augmenté en février, après avoir enregistré une baisse en janvier. Les moteurs d'avion connaissent la plus forte augmentation. Quant aux importations internationales de marchandises du Québec, elles ont augmenté de 0,8% en février par rapport au mois précédent. Dix-sept des 25 principaux groupes de produits importés par le Québec présentent des hausses en février, en particulier le cuivre et ses alliages, le pétrole brut, les ordinateurs, le groupe des minerais, des concentrés et des déchets métalliques, ainsi que les produits chimiques organiques. Parmi les huit groupes en baisse, les tubes électroniques et semi-conducteurs, les avions, l'équipement et le matériel de télécommunication, de même que les boissons non distillées accusent les principaux reculs. Les importations en provenance des États-Unis ont augmenté de presque 8% en février après un recul marqué en janvier. Les automobiles, les camions et tracteurs routiers et les produits chimiques organiques sont les groupes de produits qui enregistrent les plus fortes hausses de leurs importations en provenance de nos voisins du Sud. Les importations venant d'Europe affichent une baisse de 4% en février après une légère hausse en janvier. Les produits chimiques organiques, les boissons non distillées et les effets personnels et articles ménagers connaissent les plus fortes baisses, tandis que les dérivés du pétrole enregistrent une très forte hausse par rapport à janvier. Les importations en provenance d'Asie ont diminué en février. Les tubes électroniques et semi-conducteurs, les vêtements de dessus tricotés et les autres vêtements et accessoires vestimentaires accusent les reculs les plus prononcés. Cependant, les importations de pièces d'avion asiatiques ont presque doublé en février par rapport à janvier 2007.
  21. Kruger doit confirmer, cet après-midi, un investissement de 200M$ à son usine de Trois-Rivières. Le projet vise la construction d'un atelier de désencrage, c'est-à-dire des installations pour traiter le papier déjà utilisé afin de le transformer à nouveau en pâte. Cet atelier de désencrage sera le plus gros au Québec. Ce faisant, Kruger va devenir le premier recycleur de papier et de fibres de la province. Quelque dizaines d'emplois seraient ainsi créés. Le papier recyclé est de plus en plus en demande en raison des pressions des groupes environnementaux. Ca fait plus de 10 ans que Kruger songe à investir dans un tel projet, mais elle n'y avait pas donné suite jusqu'à maintenant. L'annonce va se faire en compagnie du premier ministre Jean Charest et d'une brochette de ministres.
  22. Augmentation des exportations internationales du Québec en novembre Québec, le 26 janvier 2007 – Les exportations internationales de marchandises du Québec, en dollars constants désaisonnalisés et aux prix de 1997, progressent de 2,3 % en novembre 2006 par rapport au mois précédent. Elles surpassent par ailleurs de 1,0 % leur volume cumulé des 11 premiers mois de 2005. C’est ce qu’indique l’information diffusée aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec sur le commerce international de marchandises en base douanière. Quatorze des 25 principaux groupes de produits exportés par le Québec ont enregistré une augmentation en novembre, notamment les machines et le matériel de bureau, les pièces d’avion, les moteurs d’avion, ainsi que les instruments de mesure. Parmi les 11 groupes en baisse, l’aluminium, les avions, de même que le matériel et l’outillage, présentent les principaux reculs. En novembre, après trois mois de lente progression, les exportations vers les États-Unis, mesurées en dollars courants non désaisonnalisés reculent d’un peu plus de 2 %. Les exportations d’aluminium et de cuivre se maintiennent à un niveau élevé, tandis que les ventes d’avions s’accroissent de façon significative par rapport à octobre. Mais plusieurs produits encaissent un recul notable, notamment le matériel et l’outillage, les métaux précieux, les pièces d’automobile et les vêtements. De leur côté, les exportations vers l’Europe régressent d’un peu moins de 4 %. Les ventes d’avions et d’aluminium enregistrent de très forts reculs, mais les ventes de cuivre, d’instruments de mesure, de déchets de fer et de papier journal connaissent une progression importante. Quant aux exportations vers l’Asie, après une baisse marquée en octobre, elles augmentent de façon notable en novembre. Les avions, les viandes, les minerais et concentrés de zinc, la pâte de bois et les produits chimiques organiques affichent les hausses les plus importantes. Mais plusieurs autres produits présentent également des gains importants par rapport au mois précédent. Baisse des importations en novembre Les importations internationales de marchandises du Québec, en dollars constants désaisonnalisés et aux prix de 1997, diminuent de 3,3 % en novembre par rapport au mois précédent. Toutefois, elles surpassent de 5,2 % leur volume cumulé des 11 premiers mois de 2005. Dix des 25 principaux groupes de produits importés par le Québec présentent des hausses en novembre, en particulier les avions, les minerais, les concentrés et les déchets métalliques, le pétrole brut et les pièces de véhicules automobiles. Parmi les 15 groupes en baisse, les tubes électroniques et les semi-conducteurs, les médicaments, les ordinateurs, le cuivre et ses alliages, ainsi que les dérivés du pétrole, accusent les diminutions les plus notables. Les importations en provenance des États-Unis, mesurées en dollars courants non désaisonnalisés, chutent de plus de 11 % en novembre. Les automobiles, les camions, les tubes électroniques et les semi-conducteurs, les produits chimiques organiques, les médicaments ainsi que le mazout encaissent les plus fortes baisses. Les importations provenant d’Europe régressent de plus de 6 %, ce qui porte à quatre le nombre consécutif de baisses mensuelles. On observe bien une augmentation des achats de pétrole brut, de boissons et de produits chimiques organiques, mais plusieurs produits subissent une baisse importante, notamment les dérivés du pétrole, les médicaments, les pièces d’avion et les machines industrielles. De leur côté, les importations en provenance d’Asie, après une légère hausse en octobre, reculent de plus de 6 %. Les achats de vêtements représentent le principal facteur de ce recul. Valeur des exportations et des importations, en dollars courants non désaisonnalisés, Québec, 2005 et 2006, cumulatif de janvier à novembre Exportations Importations 2005 2006 2005 2006 M$ Total 64 949 67 343 70 522 73 643 25 principaux pays (incluant É.-U.) 62 042 64 361 61 973 64 411 10 principaux pays (incluant É.-U.) 59 221 60 902 51 830 53 243 États-Unis 52 647 52 481 23 100 22 915 25 principaux produits 40 691 42 477 45 888 48 840 10 principaux produits 27 092 29 047 33 762 35 849 http://www.stat.gouv.qc.ca/salle-presse/communiq/2007/janvier/janv0726a.htm
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