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  1. 5300 milliards par an de «subventions» à l'industrie des carburants fossiles Publié le 25 mai 2015 à 11h56 Quand vous aurez fini de lire ce paragraphe, les gouvernements du monde auront déjà payé un million de dollars à l'industrie des carburants fossiles, selon le FMI. C'est ce que représentent 5300 milliards de dollars par an, ou 10 millions de dollars chaque minute. C'est davantage que ce que tous ces gouvernements paient en santé. L'évaluation a fait d'autant plus sursauter cette semaine qu'elle provient du Fonds monétaire international (FMI), rarement soupçonné de pencher à gauche. Dans leur analyse, les experts du FMI qualifient ces chiffres de « choquants ». En tout, les compagnies pétrolières et gazières bénéficieront donc en 2015 de subventions directes, d'incitatifs fiscaux et de cadeaux indirects totalisant 5300 milliards. Cela dit, bien que les médias aient abondamment employé le mot « subvention » en traitant cette nouvelle depuis mardi, les « vraies » subventions, c'est-à-dire les sommes versées à l'industrie sous différentes formes (incluant des réductions de taxes), représentent 500 de ces milliards. Le reste, selon les calculs contenus dans le rapport publié le 18 mai, est constitué en bonne partie des coûts engendrés par la pollution sur l'environnement et sur la santé, coûts ensuite assumés par les gouvernements. Des « externalités » coûteuses Ces derniers coûts sont ceux que les économistes appellent, dans leur jargon, des « externalités ». Le calcul des externalités - positives ou négatives - sert parfois à justifier l'imposition d'une taxe sur un produit (les cigarettes, par exemple) ou un remboursement d'impôt (lors d'un don à un organisme de charité par exemple). Externalités et subventions représentent dans ce cas-ci 6,5 % du produit national brut (PNB) mondial. Le chiffre est plus élevé que dans une estimation de 2013 du FMI, non à cause de l'inflation, mais en raison de tout ce qui a été inclus dans les externalités - et qui ouvre la porte à la critique. Comment, par exemple, calcule-t-on dès aujourd'hui les coûts des changements climatiques? Toutefois, en se basant uniquement sur le calcul du présent rapport, la facture totale a augmenté de 3 milliards par année entre 2011 et 2014. Le mythe des carburants fossiles « peu coûteux » est détruit Le FMI ne questionne pas seulement le gigantisme de l'impact qu'ont les carburants fossiles sur l'économie. Il questionne sa logique purement économique : les subventions directes ou indirectes sont à un tel niveau qu'elles découragent les investisseurs tentés de financer d'autres formes d'énergies. Commentant l'étude dans le journal The Guardian, l'économiste britannique Nicholas Stern s'insurge : « Cette importante analyse détruit le mythe que les carburants fossiles sont peu coûteux, en nous montrant quels sont les véritables coûts. Il n'existe aucune justification pour ces énormes subventions aux carburants fossiles, qui déséquilibrent le marché et endommagent l'économie, particulièrement dans les pays les plus pauvres. » Le rapport évalue que de mettre fin à ces cadeaux serait une façon efficace de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre. Et de renvoyer le prix du pétrole à sa juste valeur. Et de sauver 1,6 million de vies par année : une estimation du nombre de morts évitables causées par la pollution de l'air. À eux seuls, la Chine (2300 milliards) et les États-Unis (700) contribuent pour plus de la moitié de la facture, suivis de très loin par la Russie (335 milliards), l'Union européenne (330) et l'Inde (277). http://www.lapresse.ca/environnement/201505/25/01-4872368-5300-milliards-par-an-de-subventions-a-lindustrie-des-carburants-fossiles.php
  2. Le Devoir rencontre Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie - L’austérité, quelle idée toxique! L’un des impacts de l’accroissement des inégalités de revenu a été la perte d’influence de la population sur ses dirigeants politiques et leur médecine économique de droite, dénonce le prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz. Le monde est aujourd’hui aux prises « avec une terrible maladie » qui ravage notamment l’Europe et les États-Unis : l’austérité, a déclaré vendredi le célèbre économiste en entrevue au Devoir. « Nous savons pourtant, depuis la Grande Dépression, que l’austérité ne fonctionne pas. Le Fonds monétaire international [FMI] en a refait la démonstration plus récemment [lors des dernières crises monétaires] en Amérique latine et en Asie, et c’est à nouveau le cas actuellement en Europe. Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie. C’est comme si les gouvernements avaient cessé d’écouter. » Le professeur d’économie de l’Université Columbia, à New York, devait s’adresser quelques minutes plus tard aux militants du NPD réunis en congrès ce week-end à Montréal. Ancien chef des conseillers économiques du président américain Bill Clinton, ex-économiste en chef de la Banque mondiale et corécipiendaire, en 2001, du « prix Nobel d’économie », il est devenu, petit à petit, l’un des grands pourfendeurs de l’idéologie économique de droite. Loin de jouer les vedettes, il se prête simplement et avec le sourire à la pluie de questions du journaliste qui cherche à tirer le maximum des quelques minutes qui lui ont été allouées. Avertissement : idées toxiques Cet entêtement à maintenir coûte que coûte le cap sur des politiques d’austérité est quand même étonnant de la part de gouvernements élus quand on sait le mécontentement que sèment ces politiques dans la population. Joseph Stiglitz l’attribue à l’un des nombreux effets pervers de l’autre grand problème qui occupe le plus son attention ces jours-ci. « L’accroissement des inégalités de revenus va de pair avec un accroissement des inégalités politiques. Notre démocratie s’en retrouve déformée. » Cela s’observe, entre autres, selon lui, par la traduction parfois bien imparfaite du vote aux élections en nombre de représentants élus, par l’influence démesurée des pouvoirs de l’argent sur les médias, ainsi que par la redoutable efficacité de la droite « à vendre ses idées ». « Si on peut vendre des produits toxiques, comme la cigarette, qui tuent des gens, on peut aussi vendre des idées toxiques, comme l’austérité. » Les idéologues de droite ont développé toutes sortes de trucs pour cela, comme le recours à des analogies accrocheuses, mais tendancieuses. « On va dire, par exemple : les familles savent qu’elles doivent vivre selon leurs moyens. Pourquoi les gouvernements ne le pourraient-ils pas ? Ça semble raisonnable, sauf que le temps dont on dispose et l’ampleur des conséquences en cause ne sont vraiment pas les mêmes. » Le prix de l’inégalité Les conséquences de cette médecine de cheval devraient pourtant nous crever les yeux, dit-il. L’Italie ne s’est jamais portée aussi mal depuis les années 30. Les économies grecque et espagnole sont objectivement en dépression. Les millions de chômeurs européens sont un spectaculaire gaspillage de capital humain dont le continent ne se remettra pas avant 10 ans. Les politiques d’austérité se font plus discrètes aux États-Unis, quoique bien réelles. Le secteur public accuse un déficit de 2,5 millions d’emplois depuis la crise alors que la création d’emplois dans le secteur privé est toujours anémique. Tout cela ne fait qu’aggraver le problème des inégalités, déplore l’Américain. « On ne parle pas seulement des inégalités de revenus, mais aussi de l’inégalité des chances d’améliorer son sort par son travail et son talent : le grand mythe au coeur du rêve américain », dit cet auteur de nombreux ouvrages, dont le plus récent est justement intitulé : Le prix de l’inégalité. La richesse médiane des familles américaines a reculé de 40 % depuis la crise et est revenu à ce qu’elle était il y a deux décennies. « L’économie n’a pas fait son travail pour la plupart des Américains. Cela montre que les politiques comme la déréglementation, le recul de la fiscalité progressive et le rétrécissement du filet social ont un prix. » Si certains gouvernements restent dans le déni, d’autres commencent à essayer de corriger la situation. Joseph Stiglitz cite en exemple les pays d’Europe du Nord, mais aussi le Brésil, qui a réussi en 20 ans à réduire des niveaux d’inégalités très élevés à coups de développement économique et de politique sociaux. « La bonne nouvelle, c’est que ça fonctionne. Cela montre qu’il n’est pas seulement question de forces économiques, mais aussi de la façon dont nous décidons d’influencer ces forces économiques. » Les leçons oubliées de la crise La faillite de Lehman Brothers et la Grande Récession ont provoqué un déchaînement de promesses de changements dans le fonctionnement du secteur financier, comme de l’économie en général. « Les progrès ont été décevants », estime Joseph Stiglitz. Certaines règles ont été resserrées, mais le monde bancaire en est ressorti encore plus concentré qu’il ne l’était. La récente découverte de la manipulation du Libor - un indice au coeur de l’immense marché des produits dérivés - et la restructuration chaotique de la dette grecque ont montré comment le fonctionnement de la finance échappe encore à presque tout le monde. L’économiste américain a été content d’entendre le président Obama faire référence, dans son dernier discours sur l’État de l’Union, au relèvement du salaire minimum, aux programmes d’éducation préscolaire et au problème de l’endettement étudiant. « C’est un scandale, 1000 milliards. On a des jeunes qui sortent des universités plus endettés que jamais et dont la formation ne leur permet pas de se trouver un emploi. Ils se retrouvent avec une dette, mais sans actif. Quand une bulle immobilière éclate, on se retrouve aussi avec une dette, mais il nous reste au moins une partie de l’actif. » La situation en Europe le désespère. Si la crise de l’euro a forcé les gouvernements européens à reconnaître certaines lacunes de leur ambitieux projet, il leur manque toujours une union bancaire, une union budgétaire, une stratégie de croissance commune ou encore une politique industrielle commune. Facteur d’espoir En 2008, le président français, Nicolas Sarkozy, a eu l’idée de créer une commission d’experts « sur la mesure des performances économiques et du progrès social », à la tête de laquelle il a placé Joseph Stiglitz. Son rapport concluait que le produit intérieur brut (PIB) était un indicateur bien imparfait du progrès des peuples. « Le rapport a eu un énorme succès populaire, se réjouit-il. La résonance de notre message montre que les gens ne veulent pas d’une poursuite aveugle de la croissance du PIB, mais une amélioration de leur qualité de vie, un partage de la richesse et un modèle de développement qui est durable. Je crois que c’est un facteur d’espoir. » http://m.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/375627/l-austerite-quelle-idee-toxiqu
  3. Aucune idée ou placer ce fil: http://www.newswire.ca/fr/story/938135/investissement-du-federal-au-port-de-montreal-une-bonne-nouvelle-pour-ameliorer-la-position-concurrentielle-de-montreal MONTRÉAL, le 15 mars 2012 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le vice-président du comité exécutif et responsable des grands projets et du développement économique, M. Richard Deschamps, saluent la décision du gouvernement fédéral d'investir près de 16 M$, par l'entremise du Fonds sur pour les portes d'entrée et les passages frontaliers, au Port de Montréal afin d'optimiser les aires de manutention de conteneurs dans les secteurs Maisonneuve et Viau et d'améliorer le système de navigation dans le chenal du fleuve Saint-Laurent. Cet investissement s'inscrit dans un projet dont les coûts totaux sont de 40 M$ et qui générera plus de 150 emplois, à terme. « Le Port de Montréal a été, au cours de son histoire, l'une des principales portes d'entrée du continent nord-américain et il continue de jouer le rôle de principale plaque tournante du système canadien de transport des marchandises pour l'Est du pays. Tout investissement visant à maintenir et à améliorer sa position concurrentielle est, évidemment en soi, une bonne nouvelle, a indiqué le maire de Montréal. Il est maintenant à souhaiter que la proposition du Port concernant L'Assomption sera le prochain investissement annoncé, notamment dans le cadre de la Porte continentale. » « Le développement du Port est primordial et il est l'une des clés de la relance économique de l'Est de Montréal. Nous avons d'ailleurs fait de la Cité portuaire un projet prioritaire du Plan d'action économique de l'Est, dévoilé en octobre dernier », a ajouté M. Deschamps. Rappelons que le conseil municipal a adopté, le 20 février dernier, une déclaration sur le développement du Port. Il a ainsi été résolu : • de réaffirmer la volonté de la Ville de Montréal de voir se développer des fonctions logistiques de calibre mondial dans l'ensemble de la région métropolitaine, incluant un pôle logistique dans le secteur de L'Assomption; • d'affirmer son intérêt à explorer, avec l'ensemble des acteurs publics et privés intéressés, les hypothèses d'expansion supplémentaire du Port et des activités qui y sont liées sur certains sites à l'est du pôle L'Assomption ; • de demander aux gouvernements du Québec et du Canada d'inclure dans la stratégie de Porte continentale des interventions destinées à faciliter les échanges commerciaux entre la région métropolitaine de Montréal et ses principaux marchés d'exportation aux États-Unis; • de demander aux gouvernements du Québec et du Canada de reconnaître explicitement le rôle névralgique de la plaque tournante montréalaise dans le système continental de transport des marchandises et dans l'organisation du commerce international canadien et nord-américain ; • de demander en conséquence aux deux gouvernements d'ajuster le plus rapidement les montants prévus dans leurs dépenses d'immobilisation respectives - et en particulier dans les immobilisations prévues dans la stratégie de Porte continentale - pour appuyer les efforts des partenaires montréalais pour consolider et renforcer les activités de transport de marchandises à Montréal, et pour y développer rapidement des fonctions logistiques de calibre mondial.
  4. Publié le 20 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Candidature au Forum universel des cultures: Québec affronterait Amman Ian Bussières Le Soleil (Québec) La Ville de Québec déposera cette semaine, avec l'appui des gouvernements du Québec et du Canada, sa candidature afin de présenter en 2016 le cinquième Forum universel des cultures, un événement de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). Ce grand rendez-vous international comporte trois axes prioritaires, à savoir la diversité culturelle, le développement durable et le développement pour la paix qui sont mis en valeur grâce à des colloques, des séminaires, des congrès, des ateliers, des camps de la paix, des expositions, un spectacle permanent et une kyrielle d'activités culturelles. Le budget prévu pour la tenue du Forum à Québec est de 100 millions $, soit 90 millions $ en 2016 et 10 millions $ répartis sur la période de 2011 à 2015 pour les activités pré-Forum. C'est moins de la moitié des 230 millions $ prévus pour le quatrième Forum qui aura lieu à Naples en 2013. Le premier Forum universel des cultures, tenu à Barcelone en 2004, avait coûté 433 millions $. La part des gouvernements Si Québec obtient l'événement, les gouvernements provincial et fédéral assumeront chacun 40 % de la facture, alors que la Ville de Québec contribuera pour 8 %. Les commandites représenteront 9 % du budget, tandis que 2,5 % proviendra de la vente d'entrées et 0,5 % de la vente de produits dérivés. «Nous voulons y aller avec un budget plus modeste que Naples», a déclaré hier l'attaché de presse du maire Régis Labeaume, Paul-Christian Nolin, soulignant que plusieurs investissements majeurs avaient déjà été réalisés à Québec pour les festivités du 400e en 2008. Les villes intéressées ont jusqu'au 31 décembre pour poser leur candidature et, déjà, Paul-Christian Nolin a signalé qu'Amman, capitale et métropole de la Jordanie, figurait parmi les adversaires potentielles de Québec, de même qu'une ville de Belgique. «Nous avons fait beaucoup de travail dans ce dossier, mais on restera discret sur le thème que nous proposerons et les grands éléments de notre candidature d'ici le 31 décembre», a enchaîné M. Nolin. Dans un document de la Ville de Québec dont Le Soleil a obtenu copie, on apprend cependant qu'il a été décidé de ne pas ajouter un thème abstrait et général, comme la connaissance pour le Forum de Monterrey en 2007 ou la mémoire du futur pour celui de Naples. Dans sa candidature, Québec utilisera plutôt «un thème transversal qui soit aussi concret que significatif pour Québec et à partir duquel tous les axes et formats peuvent être abordés». Un comité directeur comptant parmi ses membres Patrick Caux d'Ex Machina, Lili-Anna Peresa de la Fondation One Drop, John R. Porter du Musée national des beaux-arts du Québec, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, Michel Venne de l'Institut du Nouveau Monde et Jean Morency de SSQ Groupe financier a aussi été mis en place pour établir les bases de la candidature. Il est appuyé par Marie Albertson, embauchée cet été comme secrétaire administrative de la mise en candidature, et Denis Ricard, secrétaire général de l'Organisation des villes du patrimoine mondial, qui consacre 15 % de son temps comme conseiller personnel du maire sur les questions de stratégie politique et internationale et sur la recherche d'appuis à la candidature de la ville. Québec a également réalisé des missions auprès des comités organisateurs de tous les forums passés et à venir afin de mieux cerner la teneur de l'événement et auprès de la Fondation du Forum, qui évaluera le dossier de mise en candidature. Annonce en 2011 Si Québec est retenue parmi les trois villes finalistes, une délégation du comité de sélection de la Fondation du Forum se rendra dans la capitale entre février et avril, et Québec saura si sa candidature est retenue entre septembre et décembre. L'annonce publique s'effectuera lors de la cérémonie de clôture du troisième Forum, qui aura lieu à Valparaiso, au Chili, le 7 janvier 2011.
  5. Un milliard de dollars pour les infrastructures municipales - Québec et Ottawa promettent d'agir rapidement La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Les municipalités qui poussaient les hauts cris devant l'état de leurs conduites d'eau depuis des années verront peut-être enfin la lumière au bout du tunnel. Les gouvernements fédéral et provincial ont précisé hier les modalités du programme PRECO pour le renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées. Ce programme sera doté de 700 millions, soit 350 millions de la part de chacun des deux ordres de gouvernement. À cette somme, les municipalités ajouteront leur part, pour totaliser un milliard sur deux ans. Québec et Ottawa veulent y aller rondement, cette fois, surtout après avoir entendu les doléances des municipalités, qui ont des projets dans leurs cartons depuis des années et qui attendaient qu'Ottawa et Québec s'entendent. L'aide financière sera disponible en 2009-2010 et 2010-2011 et sera octroyée en fonction des longueurs et des diamètres des conduites d'eau existantes. Le versement de l'aide financière sera effectué après la démonstration que les conduites ont été effectivement renouvelées, indique la documentation du gouvernement du Québec. La ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau a promis que les choses iront rapidement. «Le délai de traitement sera rapide. Nous prenons l'engagement dans un délai de deux semaines de donner une réponse positive aux municipalités», a-t-elle dit. Mais les besoins sont tels, les conduites si vétustes, dans certains cas, que le programme ne permettra de combler qu'une partie des besoins. Le Québec abrite plus de 80 000 kilomètres de conduites souterraines, a noté la ministre des Affaires municipales. Relance économique Le premier ministre Jean Charest a présenté le programme PRECO dans un cadre plus large de contribution à la relance économique, puisque cela crée des emplois dans la construction et dans les secteurs connexes. «Les gouvernements, dans le contexte de ralentissement économique, cherchent à faire des programmes d'infrastructure. Et c'est souvent le premier choix pour plusieurs raisons, d'abord parce que le besoin est là, mais, en plus, c'est un investissement stratégique, qui nous permet à plus long terme de structurer notre économie, d'améliorer notre qualité de vie», a expliqué le premier ministre.
  6. GM et Chrysler doivent présenter leur plan de restructuration aux gouvernements canadien et ontarien vendredi. Les deux constructeurs pourraient réclamer davantage que les 4milliards déjà offerts. Pour en lire plus...
  7. Les deux grands constructeurs américains doivent présenter leur plan de restructuration aux gouvernements canadien et ontarien vendredi. Une étape déterminante pour l'avenir d'une industrie en perte de vitesse. Pour en lire plus...
  8. Le constructeur automobile General Motors n'a pas encore accepté les conditions de l'appui financier des gouvernements fédéral et de l'Ontario pour ses activités au Canada. Pour en lire plus...
  9. Le président de la Réserve fédérale des États-Unis, Ben Bernanke, a estimé mardi que son institution disposait encore «d'outils puissants» contre la crise, et a jugé essentiel que les gouvernements coopèrent pour la combattre. Pour en lire plus...
  10. Ce ne sont pas tant les erreurs des Trois Grands que la politique commerciale nord-américaine qu'il faut blâmer pour les problèmes de l'industrie, disent les leaders syndicaux. Pour en lire plus...
  11. Les grands acteurs du marché pétrolier, qu'il s'agisse de spéculateurs, de pétrolières ou encore de gouvernements, profitent à l'heure actuelle des prix très bas de l'or noir pour engranger d'importantes réserves. Pour en lire plus...
  12. Chrysler menace de fermer des usines au Canada 9 décembre 2008 - 07h14 Presse Canadienne Chrysler Canada aurait tout récemment averti qu'à défaut d'aide financière de 1,6 G$ CAN des gouvernements, le constructeur automobile pourrait fermer deux de ses usines d'assemblage de véhicules en Ontario. La production serait alors transférée dans des usines situées aux États-Unis, ce qui signifierait l'abolition d'environ 8000 emplois directs, principalement dans les villes de Windsor et de Brampton. Le Globe and Mail rapporte que Chrysler a brandi cet avertissements aux deux gouvernements la semaine dernière. Ensemble, les trois grands fabricants nord-américains de véhicules, General Motors, Ford et Chrysler, réclament une aide totale de 6 G$ des gouvernements d'Ottawa et de Toronto. Click here to find out more! Certains observateurs canadiens de l'industrie automobile craignent que si l'aide du gouvernement américain aux constructeurs est particulièrement alléchante, l'absence de soutien significatif du Canada pourrait inciter les constructeurs à concentrer davantage leurs activités d'assemblage aux États-Unis.
  13. Chrysler Canada aurait tout récemment averti qu'à défaut d'aide financière de 1,6 G$ CAN des gouvernements, elle pourrait fermer deux usines d'assemblage en Ontario. Pour en lire plus...
  14. Publié le 27 novembre 2008 à 14h46 | Mis à jour à 14h51 Les Premières nations veulent déclarer leur souveraineté Rémi Nadeau La Presse Canadienne Québec Le chef libéral Jean Charest trouvera les autochtones sur son chemin s'il veut concrétiser son plan Nord. Exaspérées du manque d'écoute des gouvernements du Canada et du Québec, l'Assemblée des Premières nations du Québec et du Labrador a annoncé, jeudi, qu'elle prépare une déclaration unilatérale de sa souveraineté sur le territoire. En conférence de presse à Québec, le chef du conseil de bande de Pessamit, Raphaël Picard, a prévenu M. Charest que s'il est reporté au pouvoir, son plan Nord ne se réalisera pas sans qu'il ait reconnu l'intégrité territoriale des Premières nations. Le chef de la communauté Kitigan Zibi en Outaouais, Gilbert Whiteduck, a même évoqué le recours possible aux barrages routiers si les gouvernements canadien et québécois continuent de faire la sourde oreille aux revendications des autochtones. Le chef de l'Assemblée des Premières nations du Québec, Ghislain Picard, a qualifié «d'échec total» la relation entre les gouvernements et les autochtones et a lancé cet avertissement au parti qui sera choisi pour diriger le Québec le 8 décembre: «Tenez-bien votre chapeau, parce que les indiens s'en viennent». Les leaders autochtones, qui ont rencontré la presse au terme d'une assemblée tenue à Québec, prépareront leur déclaration de souveraineté, assortie d'un plan de réalisation, au cours des trois prochains mois.
  15. Le constructeur automobile demanderait cette somme aux gouvernements afin de se relever de la crise financière. Pour en lire plus...
  16. Sur fond de récession occidentale et de crise financière mondiale, les chefs des gouvernements du groupe des 20 grandes économies du monde (G20) se réunissent pour la première fois aujourd'hui à Washington. Pour en lire plus...
  17. La Fédération canadienne des contribuables exhorte les gouvernements fédéral et ontarien à ne plus venir à la rescousse des constructeurs automobiles du pays. Pour en lire plus...
  18. Le gouvernement fédéral devrait permettre aux institutions du pays de combattre au même niveau que leurs concurrentes étrangères, qui bénéficient d'un soutien de leurs gouvernements, estime le Mouvement Desjardins. Pour en lire plus...
  19. Le Mouvement Desjardins demande au gouvernement fédéral de ne pas désavantager les institutions financières canadiennes dans la crise financière actuelle, par rapport à leurs concurrentes étrangères, qui bénéficient d'un «soutien musclé» de leurs gouvernements. Pour en lire plus...
  20. Le tourisme a généré des revenus de 19,7 G$ l'an dernier pour les différents gouvernements au Canada, en hausse de 4,3% par rapport à 2006. Pour en lire plus...
  21. Les prix du pétrole poursuivaient leur rebond mardi, poussés à la hausse par les mesures engagées par les différents gouvernements face à la crise financière, le rebond des places boursières, et le recul du dollar. Pour en lire plus...
  22. Les gouvernements et banques centrales ont sorti les gros canons depuis samedi afin de stabiliser le système financier. Pour en lire plus...
  23. L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo était en hausse de 9,64%, mardi une demi-heure après l'ouverture, gagnant 798,25 points à 9074,86 points, après les interventions massives des gouvernements européens et américain pour rétablir la confiance. Pour en lire plus...
  24. Les prix du pétrole rebondissaient nettement à l'ouverture à New York, dopés par un regain de confiance après les multiples interventions des gouvernements. Pour en lire plus...
  25. La paralysie du marché interbancaire persistait vendredi, aucune des mesures des banques centrales et gouvernements n'ayant pu ramener la confiance. Pour en lire plus...
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