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  1. Le jeudi 9 octobre 2014, en présence de la mairesse de la Ville de Longueuil, Madame Caroline St-Hilaire, de Madame France Dubé, conseillère à la Ville de Longueuil, de Monsieur Mathieu Duguay, président Société de gestion Cogir, de l’équipe de Jazz Longueuil, des cadres de Société de gestion Cogir et des résidents de Jazz Longueuil, se tenait la cérémonie de pelletée de terre protocolaire marquant le début de la construction de la tour II de la résidence privée pour aînés JAZZ Longueuil. Du même coup, la capsule temporelle contenant divers objets et souvenirs des résidents actuels de Jazz Longueuil a été scellée officiellement. Cette capsule sera installée dans la structure de béton de la tour II avec à son bord, à tout jamais, une petite partie de l'âme des résidents de la phase I. Résidence importante située au cœur de Longueuil, Jazz Longueuil s’agrandit pour accueillir une clientèle d’aînés autonomes de l’agglomération et ses environs. En plus d’offrir plus de 180 nouveaux logements au look contemporain, cette nouvelle résidence offrira des services à valeurs ajoutées à sa clientèle existante et future. Ce projet d’agrandissement, nécessitant un investissement de près de 30 millions de dollars, créera jusqu’à 26 nouveaux emplois. Située face à l’Hôpital Pierre-Boucher et à proximité de tous les services, la résidence Jazz Longueuil était louée à pleine capacité depuis quelques années. L’ajout de la tour II permettra d’offrir des opportunités de location à plusieurs aînés de la grande région qui désirent goûter à l’expérience Jazz. La construction de cette nouvelle tour sera réalisée entièrement par Société de gestion Cogir, l’un des plus importants gestionnaires d’immeubles au Québec. http://www.jazzlongueuil.ca ----
  2. Ceci peut paraitre anodin pour certain, mais j'ai travaillé en gestion de portefeuille pour l'industrielle alliance en tant qu'étudiant (stage d'été) en 2002. À ce moment la compagnie avait +/- $8 milliards en actif sous gestion. Avec cette transaction, elle passe maintenant à $75 milliard, donc presque 10 fois plus en 14 ans. Excellente croissance. L'Industrielle Alliance rachete HollisWealth a la Banque Scotia | Services financiers Publié le 05 décembre 2016 à 17h59 | Mis à jour le 05 décembre 2016 à 17h59 L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia. Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $. HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada. La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia. Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain. L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $. Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre. L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $.
  3. J'ai besoin d'un coup de main pour me trouver un stage en gestion immobilière. L'entreprise qui devait m’accueillir à renoncé à son engagement à quelques heures du début du stage. Je suis étudiant finissant en gestion immobilière. Je recherche un entreprise qui désirait participer à ma formation en m’accueillant comme stagiaire en gestion immobilière. Avez-vous des suggestions à me faire ou estes-vous de ceux qui pourrait recevoir un stagiaire pour quelque temps. On dirais que le mots stagiaire fait peur aux employeurs. Je suis un candidat avec de l'expérience en construction et en gestion. ]LinkedIn en parle, accédez au lien Article LinkedIn; Merci de votre attention
  4. La firme montréalaise Groupe WSP Global (Tor., WSP) a annoncé mercredi l'acquisition de Mouchel Consulting pour approximativement 75 millions de livres sterling, soit 120,4 millions $ CAN. Mouchel Consulting compte environ 2000 employés, la plupart dans des bureaux répartis au Royaume-Uni et en Irlande, ainsi que dans quelques bureaux au Moyen-Orient. Mouchel Consulting est la division de services de génie-conseil de Mouchel Limited. Elle offre une gamme de services tout au long du cycle de vie de projets: élaboration de politiques, planification et conception, et suivi du rendement, principalement en transport, en environnement et en gestion de l'eau. La firme mène des activités au Royaume-Uni et au Moyen-Orient. WSP croit que l'acquisition de Mouchel Consulting renforcera sa présence dans le secteur des infrastructures publiques au Royaume-Uni, plus particulièrement pour ce qui est de la conception d'autoroutes, des systèmes de transport intelligents et des réseaux d'aqueduc réglementés, marchés où WSP cherchait à augmenter sa présence. WSP compte parmi les plus grandes firmes de services professionnels au monde. WSP acquiert Mouchel Consulting pour 120,4M$ | LesAffaires.com
  5. http://www.finance-investissement.com/nouvelles/industrie/pourquoi-montreal-est-elle-un-joueur-de-classe-mondial-en-matiere-d-investissement-alternatif/a/63049
  6. http://www.cbre.ca/EN/Pages/Home.aspx?redirect=true [h=1]À notre sujet[/h][h=2]L’immobilier local. À l’échelle mondiale.[/h][h=3]NOTRE ENTREPRISE CANADIENNE[/h] CBRE a démarré ses opérations canadiennes en 1983 sous le nom de Coldwell Banker Canada Inc. Son premier bureau a été établi au centre-ville de Toronto, suivi d’autres dans le nord de Toronto et à Vancouver. Depuis, l’entreprise a pris de l’expansion et comptait, déjà en 1994, plusieurs bureaux à l’échelle du pays, notamment dans toutes les grandes villes. Elle a également élargi la portée de ses opérations en offrant des services d’actifs, de courtage, corporatifs, d’évaluation, de financement hypothécaire et de recherche et conseil, entre autres. En 2001, l’entreprise s’est dirigée vers la gestion d’installations et l’immobilier d’entreprise en formant un consortium avec O & Y Enterprises. L’année 2004 a vu l’acquisition de 100 % des intérêts pour ouvrir la voie à la création des services de gestion CB Richard Ellis dont le mandat fut d’offrir des services immobiliers complets pour des entreprises canadiennes très réputées et prestigieuses. CBRE a été reconnue en 2005 comme une des entreprises ayant la meilleure culture par la firme de recrutement canadienne Waterstone Human Capital. Elle continue d’attirer les meilleurs jeunes professionnels. En 2006, CBRE a fait l’acquisition de la Trammell Crow Company, ce qui renforcé son pouvoir d’influence et sa capacité à fournir des services intégrés, y compris immobiliers, pour la gestion des comptes clients dont les entreprises, les organismes institutionnels, de soins de santé et gouvernementaux. En 2007, CBRE est devenue la première entreprise de services immobiliers à annoncer ses projets visant à devenir neutre en carbone avant 2010. Elle a même lancé une importante initiative pour aider ses clients à adopter des programmes écoénergétiques dans les espaces qu’elle gère à travers le monde – soit une superficie de 1,7 milliard pi2. La même année, CBRE a été déclarée « une des 50 meilleures entreprises de sa catégorie » et « une des 40 entreprises les plus généreuses » par BusinessWeek. Elle a même obtenu la 33e position dans le palmarès Fortune des 100 entreprises connaissant la croissance la plus rapide. Aujourd’hui, les 20 bureaux de CBRE L​​imitée au Canada comptent environ 2 079 employés répartis d’un océan à l’autre. [h=3]À PROPOS DE CBR​E[/h] Le groupe CBRE, inc. (NYSE: GBC), coté comme entreprise Fortune 500 et S & P 500, dont le siège social se situe à Los Angeles, est la plus importante firme de services immobiliers commerciaux et d’investissement au monde (selon les revenus de 2014). L’entreprise compte environ 52 000 employés (excluant les affiliés) et dessert les propriétaires d’actifs immobiliers, les investisseurs et les occupants à partir de plus de 370 bureaux à travers le monde (excluant les bureaux affiliés). CBRE offre des conseils stratégiques pour la réalisation de transactions de vente et de location, des services corporatifs, de gestion immobilière, d’installations et de projet, de financement hypothécaire, d’évaluation et services-conseils, de développement, de gestion d’investissement, ainsi que de recherche et consultation. Visitez notre site Web au http://www.cbre.com.​​​
  7. La métropole dispose désormais d’une centaine d’indicateurs de performance pour se mesurer à 5 autres villes d’envergure comparables (Calgary, Ottawa, Québec, Toronto et Winnipeg) : une première! Au cours de la dernière année, les données de 111 indicateurs de performance ont été analysées par le Service de la performance organisationnelle (SPO) en collaboration avec plus d’une vingtaine d’unités administratives des services centraux et arrondissements. Aujourd’hui mises à la disposition du public en toute transparence, ces données permettront aux citoyens et aux employés de pouvoir évaluer la performance de la Ville. Elles contribueront également à faciliter la prise de décision ainsi que l’amélioration des pratiques au sein de l’organisation. Montréal s’évalue et se compare Les résultats des ces indicateurs de performance sont issus de deux démarches d’étalonnage : l’une avec le ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire du Québec (MAMOT), qui demande chaque année les résultats de 17 indicateurs de performance ; l’autre avec l’Ontario Municipal Benchmarking Initiative (OMBI), pour lesquels 94 indicateurs de performance ont été produits. Notons que Montréal et Québec sont les seules villes québécoises à diffuser publiquement leurs résultats par rapport au MAMOT. L’analyse et la publication de ces données n’auraient pas été possibles sans la collaboration entre l’équipe de professionnels en intelligence d’affaires du SPO, une trentaine d’experts des différents domaines d’activités de la Ville et ceux de quelque 13 autres municipalités de l’OMBI. Les résultats analysés des indicateurs de performance sont présentés, d’une part pour Montréal seule, d’autre part pour Montréal comparée à Calgary, Ottawa, Québec, Toronto et Winnipeg. Ces résultats sont répertoriés en 18 domaines d’activités qui relèvent des champs de compétence de la Ville de Montréal, soit : affaires juridiques; approvisionnement; bibliothèques; communications, relations avec les citoyens et greffe; culture; développement, urbanisme et réglementation; environnement et gestion des matières résiduelles; gestion de l’eau; gestion immobilière; infrastructures routières; matériel roulant et ateliers; police; ressources humaines; ressources financières; sécurité incendie; stationnement; technologies de l’information et transport en commun. Pour consulter les résultats http://ville.montreal.qc.ca/vuesurlesindicateurs/
  8. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  9. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201506/01/01-4874186-a-quand-de-meilleures-protections-pour-les-proprietaires-de-condos.php Publié le 01 juin 2015 à 08h37 | Mis à jour à 08h44 À quand de meilleures protections pour les propriétaires de condos? Le gouvernement ontarien a déposé le 27 mai un projet de loi qui prévoit notamment des balises pour les charges de copropriété dans les nouveaux immeubles, pour éviter les mauvaises surprises aux propriétaires. Isabelle Ducas La Presse Alors que l'Ontario s'apprête à resserrer les règles du secteur de la copropriété, les propriétaires de condos québécois attendent toujours de meilleures protections pour assurer le bon entretien de leurs immeubles et leur saine gestion financière. Des mesures recommandées par des experts il y a déjà quelques années. Balises nécessaires «Le projet de loi déposé par le gouvernement ontarien va exactement dans le sens de ce qu'on a proposé dans notre rapport déposé en 2012», souligne la notaire Christine Gagnon, qui a coprésidé le Comité consultatif sur la copropriété, créé par le ministère de la Justice. «Mais au Québec, nos recommandations n'ont toujours pas eu de suites.» Le groupe mettait en lumière d'importantes lacunes dans la gestion des appartements en copropriété, lesquelles peuvent provoquer de graves difficultés financières pour les propriétaires, et proposait des solutions pour y remédier. Les risques des condos Fonds de prévoyance insuffisant pour assurer le bon entretien de l'immeuble. Imposition de cotisations spéciales de plusieurs milliers de dollars quand des travaux majeurs sont nécessaires d'urgence. Charges de copropriété trop basses annoncées par les constructeurs, qui grimpent ensuite. Risque pour les acheteurs de perdre leur acompte après avoir acheté un condo sur plan, en cas de faillite du promoteur. Connaissances insuffisantes des administrateurs d'associations de copropriétaires. Les solutions proposées Quelques recommandations du Comité consultatif sur la copropriété: Instaurer une sorte de «Régie de la copropriété», avec un tribunal pour régler les conflits et un rôle d'information sur le droit de la copropriété. Protéger les acomptes versés par les acheteurs de condos sur plan. Instaurer une garantie obligatoire contre les défauts de construction (les plans de garantie obligatoire actuels ne couvrent pas les immeubles de plus de quatre étages). Réglementer les sommes à amasser dans le Fonds de prévoyance pour assurer l'entretien régulier. Imposer un carnet d'entretien pour planifier les travaux futurs. Améliorer la formation des administrateurs de condos. Obliger les syndicats de copropriété à transmettre de l'information plus complète aux acheteurs potentiels sur l'état de l'immeuble et de ses finances. Améliorer la surveillance sur les chantiers de construction résidentiels. Projet de loi en préparation Ces recommandations sont restées lettre morte jusqu'à maintenant, mais pourraient trouver bientôt leur utilité. «On travaille sur un projet de loi sur la copropriété, mais comme il y a énormément de chantiers au ministère de la Justice et dans l'ensemble du gouvernement, on ne sait pas quand il pourra être déposé», dit Jolianne Pronovost, attachée de presse de la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée. Les problèmes sont toujours aussi criants pour les propriétaires de condos, qui s'adressent souvent aux tribunaux à la suite de vices cachés, de mauvaise gestion financière ou de litiges entre voisins. «Les immeubles ne rajeunissent pas, alors ils nécessitent de plus en plus de travaux coûteux, souligne Me Christine Gagnon. Les gens ont un budget limité, ils empruntent à la limite de leur capacité. Comme la compétition est forte, les promoteurs annoncent des frais de condo très bas. Mais ils augmentent ensuite parce qu'ils sont insuffisants pour assurer l'entretien.» L'Ontario va de l'avant Le gouvernement ontarien a déposé le 27 mai un projet de loi qui prévoit notamment: Des balises pour les charges de copropriété dans les nouveaux immeubles, pour éviter les mauvaises surprises aux propriétaires. Une nouvelle Autorité du secteur des condominiums, pour régler rapidement les litiges et les prévenir le plus possible. Des règles de gestion financière plus strictes. Une formation obligatoire pour les copropriétaires qui siègent aux conseils d'administration. Des exigences de formation et de permis pour les gestionnaires professionnels de condos. Le nombre de propriétaires de condos au Québec a grimpé de 42 % entre 2006 et 2011 147 900 en 2006 210 060 en 2011 13 % Proportion des ménages vivant dans un logement en copropriété dans la région de Montréal, soit 212 885. Parmi ceux-ci, 71 % sont propriétaires et 29 % sont locataires 60 % Les copropriétés représentent 60 % des mises en chantier résidentielles dans la région de Montréal.
  10. http://tourismexpress.com/nouvelles/le-palais-des-congres-de-montreal-rafle-l-or-a-l-international
  11. Publié le 08 septembre 2014 à 15h25 | Mis à jour à 15h25 Montréal aura son «transport intelligent» Sara Champagne La Presse C'est maintenant officiel. La Ville de Montréal met en branle son Centre de gestion de mobilité urbaine (CGMU). Ce sera «le coeur et le cerveau» des systèmes de transport intelligent, a précisé le responsable du transport au comité exécutif de la Ville, Aref Salef, en point de presse. Comme le révélait La Presse ce matin, il est question d'un centre de gestion du trafic en temps réel grâce à environ 700 caméras couvrant tout le territoire de l'agglomération. Un projet de 25 millions sur dix ans. Avec plus de 700 kilomètres de fibre optique, qui permettront l'accès à internet sans fil partout sur l'île. Le centre de gestion permettra notamment de gérer à distance des feux de circulation, des panneaux à messages variables, ou d'intervenir rapidement en cas d'incident pour éviter des bouchons majeurs. Montréal aura aussi à l'oeil les entraves occasionnées par des travaux. Sans oublier la coordination lors de grands évènements, comme les festivals. «On pourra, par exemple, déplacer des cols bleus ou des techniciens si on constate que des cônes orange non autorisés perturbent la circulation. Éventuellement, les opérations de déneigement seront mieux contrôlées grâce à des GPS qui seront installés dans les véhicules cet hiver», ajoute Harout Chitilian, vice-président du comité exécutif et responsable de la Ville intelligente. Le CGMU sera à l'oeuvre cet automne avec 200 caméras routières, déjà installées sur le réseau, notamment boulevard René-Lévesque. Au début, le centre sera opérationnel 16 heures par jour, 5 jours sur 7. Mais d'ici 2017, 500 autres caméras seront installées. Interrogé au sujet de la sécurité des données, M. Salef a assuré que Montréal n'a pas l'intention de jouer au «Big Brother.» «Les caméras n'enregistrent pas, et il n'est pas possible d'effectuer de gros plans sur les gens ou les plaques de circulation. De plus, les images s'effacent après une minute», a-t-il expliqué. La prochaine étape pour l'administration municipale sera d'élaborer un plan stratégique de mise en oeuvre de son centre de gestion du trafic. Il est prévu d'embaucher une douzaine de personnes. Des liens avec une dizaine de partenaires, dont le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le Service incendie Montréal (SIM), ont déjà été convenus. Encore là, on assure que l'équipe du CGMU n'a pas l'intention de jouer les justiciers masqués, tout en précisant que les autorités auront accès aux images.
  12. http://www.informateurimmobilier.com/ https://www.facebook.com/informateurimmobilier?ref=ts L'informateur Immobilier commercial (infolettre et site Internet)www.informateurimmobilier.com L’informateur Immobilier commercial est une infolettre très ciblée, doublé d’un site Internet, qui s’adresse aux abonnés des magazines de JBC Média. Il fait connaître les dernières nouvelles ayant trait à l’immobilier commercial, industriel et multirésidentiel, ainsi qu’au droit immobilier, à la gestion des bâtiments et au développement urbain de même que des opportunités d’affaires et d’investissements dans différentes régions du Québec. Nominations, acquisitions, nouveaux projets, statistiques, rapports de marché, plans d’urbanisme, résultats des fonds de placement immobilier et plus encore.
  13. Montréal, capitale de l’entrepreneuriat culturel Montréal, avec ses nombreux festivals et spectacles, est reconnue comme une capitale culturelle. Au niveau entrepreneurial, elle n’est d’ailleurs pas en reste: la ville regorge d’industries créatives et le domaine des arts y est florissant. Professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal, Louis Jacques Filion en parle avec passion. «Aussitôt qu’on discute d’entrepreneuriat au Québec, il y a une onde négative, commence-t-il par constater. Or, Montréal est une des villes les plus vibrantes de la planète, particulièrement pour ce qui est de l’entrepreneuriat culturel.» Il rappelle, par exemple, que le grand patron de MGM a déjà mentionné que le succès de Las Vegas reposait sur Montréal, puisque 80% des billets qui y sont vendus sont issus de la créativité de la métropole québécoise. M. Filion définit l’entrepreneuriat culturel comme étant composé de gens jouant un rôle d’innovation dans le domaine des arts et de la culture, plus particulièrement par le développement de produits et de services. Le domaine culturel peut par ailleurs prendre plusieursfor*mes: édition, humour, musi*que, danse, jeux vidéos etc. «Montréal est notamment devenue un incontournable pour l’industrie du jeu vidéo, et le modèle de l’humour québécois sert d’inspiration ailleurs dans le monde», souligne le professeur au HEC. «Montréal regorge d’un bassin de travailleurs autonomes de très grand talent, souvent dans le milieu culturel», affirme Éric Fournier, partenaire et producteur exécutif chez Moment Factory et président de la Table d’action en entrepreneuriat de Montréal (TAE). Il ajoute cependant que la métropole a le potentiel d’aller encore plus loin, puisque l’accent est beaucoup plus porté sur la création que sur la diffusion de ce talent. «Il faut passer du talent brut individuel à des regroupements qui vont cumuler ensemble leur talent pour aller vendre à l’étranger», déclare M. Fournier. «Il est temps de sortir de la morosité et de réaliser tout le potentiel de l’entrepreneuriat culturel au Québec!» – Louis Jacques Filion, professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal Dans le cadre de ses travaux, la TAE vise d’ailleurs à promouvoir la création de PME par les travailleurs autonomes. Éric Fournier rappelle que même si plus de 80 organismes ont pour vocation de soutenir les entrepreneurs, les règles fiscales en place n’encouragent pas l’entrepreneuriat. Les travailleurs autonomes et sous-traitants dans le milieu culturel sont donc à la merci des projets et ont de la difficulté à s’organiser. Une chose est sûre, il est important de continuer à promouvoir et soutenir l’entrepreneuriat culturel. «Les pays où les arts se développent sont des pays où il y a beaucoup de liberté. Ça amène une dynamique de créativité dans la société et ouvre à la diversité», conclut Louis Jacques Filion. Le goût du risque Éric Fournier rappelle par ailleurs qu’au delà des programmes universitaires formels, l’entrepreneuriat est un état d’esprit. «Oui, les études peuvent aider, mais c’est avant tout quelque chose qui se vit. L’essence de l’entrepreneurship, c’est le gout du risque», mentionne le producteur exécutif chez Moment Factory. Gestion des arts La Chaire de gestion des arts Carmelle et Rémi-Marcoux aux HEC réalise et publie des recherches sur la gestion des arts. Parallèlement, l’université offre aussi plusieurs possibilités de formation en gestion des arts, notamment: DESS en gestion d’organismes culturels Maîtrise en management des entreprises culturelles Maîtrise internationale en management des arts Doctorat en administration, avec profil en marketing et management des arts, industries culturelles et des médias http://journalmetro.com/plus/carrieres/531576/montreal-capitale-de-lentrepreneuriat-culturel/
  14. via LaPresse : Publié le 19 juin 2014 à 10h42 | Mis à jour à 12h05 Coderre présente ses 11 «chantiers» pour rendre la Ville plus performante KARIM BENESSAIEH La Presse Une Ville plus efficace, où les lourdeurs administratives et les dédoublements seraient éliminés, tout cela en 11 «chantiers» qui permettraient de générer des millions de dollars en économie. C'est en substance le plan qu'a proposé ce matin le maire Denis Coderre devant une audience conquise de quelque 600 personnes d'affaires, réunies dans une salle du Vieux-Montréal. De la diminution des accidents de travail à la revue du déneigement et passant par la simplification des soumissions et un meilleur taux de réalisation des travaux, ses 11 chantiers ratissent large. «Vous devriez vous réjouir : on vient de vous dire qu'on va s'assurer que les choses sont efficaces, et qu'on est capables de sauver des coûts sans avoir à augmenter les revenus, c'est-à-dire les taxes, a résumé en point de presse le maire Coderre. Il y a un exercice qui va se faire, toutes les grandes métropoles l'ont fait, et elles sauvent de l'argent. Nous, on va sauver le maximum.» 750 indices de performance Même si les termes semblent quelque peu abstraits, le maire assure qu'il s'agit d'une initiative bien concrète. «C'est tellement concret qu'ils l'ont fait à Toronto, où on sauve jusqu'à 400 millions par année. Si on organise toute la question de l'absentéisme, d'accidents de travail, à Québec, ils ont sauvé jusqu'à 12 millions.» L'administration Coderre mise beaucoup sur son chantier numéro un, l'adhésion à l'Ontario Municipal Benchmarking Initiative (OMBI) qui permettra à Montréal de se comparer avec 16 autres villes canadiennes. «Ce sont des mesures de gestion, des mesures d'efficience. Comment on peut mesurer l'efficacité, comment on est capables de s'assurer qu'il y a une meilleure coordination. Il y a à peu près 750 indices de performance qu'on peut appliquer, des indicateurs précis qui nous permettent en fin de compte de voir s'il y a des dédoublements, si c'est performant, si c'est nécessaire.» Il a rappelé que son administration s'était déjà engagée à réduire 10% des effectifs au cours des cinq prochaines années, soit 2200 emplois, ce qui permettra d'économiser deux milliards en dix ans. Ces économies seraient réinjectées dans les infrastructures de la métropole. Les 11 chantiers Harmonisation et simplification des devis de soumissions Augmentation du nombre et de la qualité des projets d'immobilisations réalisés Optimisation de la gestion des revenus et des paiements Simplification du processus décisionnel Implantation de la gestion par activités Réduction des maladies professionnelles et des accidents du travail Augmentation de la productivité du Service du matériel roulant et des ateliers Amélioration des processus d'acquisition et d'entretien des immeubles Accroissement de l'efficience des activités liées aux matières résiduelles Rationalisation des inventaires Optimisation des activités de déneigement.
  15. La SAQ, avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal, prévoient la construction d'une nouvelle succursale sur une partie du terrain de stationnement proche de la bâtisse de Première Moisson.
  16. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  17. Microsoft achète la division affaires de l’entreprise lavalloise InCycle Software pour un montant qui n’a pas été dévoilé. Plus précisément, Microsoft achète la division InRelease, qui conçoit des solutions de gestion de développement continu d’applications. Grâce à cette acquisition, le numéro un mondial du logiciel dit vouloir «élargir son offre de solutions de développement des opérations utilisant Microsoft Visual Studio et Team Foundation Server.» Visual Studio est un ensemble d’outils qui permet de développer des applications Web, alors que Team Foundation Server est un système de développement collaboratif de logiciels. «L'acquisition d'InRelease ajoutera des capacités de gestion de lancement aux solutions de gestion du cycle de vie des applications (application lifecycle management, ou ALM en anglais) et de développement des opérations offertes par Microsoft, ce qui aidera les clients à offrir de meilleures applications plus rapidement et plus efficacement», a expliqué l’entreprise de Redmond dans un communiqué. «InRelease a été conçu comme un complément aux fonctionnalités existantes de Visual Studio. Nous sommes très heureux qu'il fasse maintenant partie d'une solution d'ALM intégrée dont tous les clients Visual Studio pourront bénéficier», déclare Claude Remillard, président d'InCycle Software. Fondée en 2002, InCycle Software possède des bureaux à Laval, New York, San Francisco et Seattle. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/microsoft-achete-a-laval/558304#.Uaz00thKR5F
  18. Finances: Montréal grimpe encore en grade Publié le 25 mars 2013 à 12h17 | Mis à jour à 12h17 La réputation de Montréal comme place financière grimpe encore d'un cran dans le classement des «centres financiers mondiaux» réalisé par une firme spécialisée de Londres, et dont les résultats sont discutés ce midi lors d'une conférence du CORIM. (Conseil de relations internationales de Montréal) Montréal se classe maintenant au 16e rang parmi les principales villes d'activités financières dans le monde. C'est un rang de mieux que le classement de l'an dernier, mais aussi neuf de mieux qu'il y a six ans. Toutefois, selon le principal auteur du classement, Mark Yeandle, directeur du Z/yen Group de Londres, le progrès de Montréal risque de stagner si la métropole québécoise n'y met pas plus d'efforts ciblés de coordination et de promotion. En fait, Montréal subit encore un «déficit de réputation» au niveau international, en dépit de ses avantages concrets comme ville financière d'envergure intermédiaire, a expliqué M. Yeandle en entrevue avec La Presse Affaires, ce matin. «Les attributs du secteur financier à Montréal demeurent sous-estimés et méconnus dans le milieu de la finance internationale. C'est une question de moyens de promotion, mais aussi des choix que Montréal doit faire et promouvoir envers les types de services financiers où elle a de vrais avantages concurrentiels, a expliqué Mark Yeandle. «C'est inutile de chercher à rivaliser des gros centres financiers comme Londres, New York et même Toronto, qui font partie du top-10 mondial. À mon avis, Montréal devrait cibler les secteurs où elle a déjà le plus de capacités. La gestion d'avoirs financiers, par exemple, où Montréal pourrait même concurrencer des pays comme la Suisse, qui perd peu à peu son avantage du secret bancaire.» Dans le secteur des produits dérivés, ajoute M. Yeandle, la spécialisation de la Bourse de Montréal est porteuse d'un bon potentiel alors que ce marché migre de plus en plus des transactions privées (au comptoir) vers des marchés mieux supervisés et plus transparents. Un bémol, toutefois. «La spécialisation des produits dérivés requiert un bon mélange de talents en finances, mais aussi en technologies. C'est très différent des talents requis en gestion d'avoirs », souligne Mark Yeandle, ce qui suggère un défi additionnel de gestion pour les principaux intervenants en finance à Montréal. Autres détails et commentaires dans le cahier Affaires de La Presse de mardi. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201303/25/01-4634540-finances-montreal-grimpe-encore-en-grade.php
  19. Recyc-Québec Les Québécois produisent moins de déchets Agence QMI Jean-Luc Lavallée 11/12/2012 17h49 Les Québécois ont produit 746 kg de déchets par habitant en 2011, une baisse significative de 14,5 % par rapport à 2008. Il s'agit de la diminution la plus importante observée depuis vingt ans. Ces nouvelles statistiques réjouissent Recyc-Québec, qui a rendu public mardi son bilan 2010-2011 de la gestion des matières résiduelles. Trois ans plus tôt, à titre comparatif, les Québécois produisaient 872 kg de matières destinées à l'enfouissement ou à l'incinérateur par personne, soit 126 kg de plus. En 2011, près de 5,9 millions de tonnes de matières résiduelles ont été éliminées au Québec. Ces chiffres incluent les déchets domestiques et les déchets humides (boues municipales). En tonnage brut, cela représente une baisse de 13 %. «Nous devons être très fiers des progrès accomplis, cette baisse inédite confirme que le Québec poursuit la tendance de réduction», a dit la PDG de Recyc-Québec, Ginette Bureau. L'objectif de 700 kg, fixé pour 2015 dans la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles semble à portée de main. Autre chiffre percutant : le nombre de lieux d'élimination en activité a diminué de 75 % depuis 2008. Si les Québécois produisent moins de déchets, ils recyclent forcément davantage. En 2010, les 38 centres de tri de la province ont franchi le cap du million de tonnes (1 041 000 tonnes) de matières récupérées. Cela représente une augmentation de 13 % en deux ans. Le taux global de mise en valeur des matières issues de la collecte sélective résidentielle a atteint 59 % (75 % pour le papier et le carton, 53 % pour le verre, 37 % pour le métal, 16 % pour le plastique). L'objectif est d'atteindre 70 % en 2015. Seule ombre au tableau : les résidus verts et alimentaires prennent encore le chemin de la poubelle dans 88 % des cas. Ces matières compostables occupent toujours le haut du pavé au chapitre de l'élimination puisqu'elles représentent 41 % des matières destinées à l'enfouissement ou l'incinération. Globalement, le taux de récupération des matières organiques (en incluant les boues) se situe à seulement 18 %, à des années-lumière de l'objectif ambitieux de 60 % pour 2015. Recyc-Québec reconnaît d'ailleurs l'ampleur de la tâche. «C'est vraiment le défi des prochaines années pour le Québec que d'essayer de gérer ses matières organiques», a indiqué Erwanne Plisson, conseillère en communication chez Recyc-Québec.
  20. Fiera Immobilier, une division de Fiera Capital, met la main sur le gestionnaire de placements immobiliers Roycom. Les détails de la transaction n'ont pas été dévoilés. En achetant cette firme située à Halifax, Fiera Immobilier ajoute 500 M$ à son actif sous gestion afin de créer une plateforme d'investissement en placements immobiliers axée sur les fonds communs et de services de gestion de comptes distincts pour les clients institutionnels. « Grâce à notre association avec Roycom, nous avons trouvé le partenaire dont nous avons besoin pour nous aider à lancer notre entreprise et à commercialiser de nouveaux produits », déclare Stuart Lazier, chef de la direction de Fiera Immobilier, par voie de communiqué. Fondé en 1976, Roycom est un gestionnaire de placements spécialisé en acquisitions, gestion d'actifs, gestion immobilière, services de location et en aliénation d'actifs. Stuart Lazier occupera le poste de chef de la direction et Rob Roy, l'actuel président de Roycom, deviendra président de la nouvelle entité. Ils dirigeront une équipe de 12 professionnels établis à Halifax et Toronto. « Notre mission consistera à mobiliser et à motiver notre équipe de façon à générer des bénéfices pour nos investisseurs et bâtir la confiance en un avenir prometteur », mentionne Stuart Lazier, dans un communiqué. « Notre priorité numéro un est de nous assurer que les besoins de nos clients actuels sont pleinement satisfaits », ajoute-t-il. « Fiera Immobilier possède maintenant l'équipe, la plateforme et la feuille de route qui nous permettront d'accéder à une position dominante dans le secteur de la gestion d'investissements immobiliers », indique Jean-Guy Desjardins, président du conseil, chef de la direction et chef des placements de Fiera Capital, par voie de communiqué. Créé en 2011, Fiera Immobilier est une coentreprise établie par Fiera Capital et Axia Investments dans le but d'édifier une plateforme de services en placements immobiliers destinée aux investisseurs institutionnels.
  21. Le Palais des congrès de Montréal accueille le plus important événement de l’Année polaire internationale. 2012-04-03 Le Palais des congrès de Montréal se prépare à accueillir la Conférence API 2012 Année polaire internationale du 22 au 27 avril 2012. Quelques 4 000 spécialistes du climat provenant de plus de 60 pays sont attendus pour cet événement qui générera des retombées économiques de près de 9 millions de dollars dans la métropole québécoise. Tenue sous la thématique De la connaissance à l’action, la conférence prévoit attirer l’attention de la communauté internationale sur les régions polaires, les changements globaux et les enjeux environnementaux, sociaux et économiques qui y sont reliés. Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal, souligne: « L'équipe du Palais des congrès de Montréal est fière de contribuer au succès d’un événement aussi prestigieux dont la tenue à Montréal est possible notamment grâce à l’abondance de centres de recherche et d’établissements d’enseignement supérieur dans la métropole. En plus des retombées économiques importantes, la conférence générera des retombées intellectuelles inestimables par les ateliers, discussions et les rencontres qui s’y tiendront ». Tenue pour la première fois en 1882, l’Année polaire internationale s’est produit seulement quatre fois depuis sa fondation. En 2012, grâce au soutien du Dr. Michel Béland, co-président sortant du comité international mixte pour l’année polaire 2007-2008, la 4e Année polaire internationale se conclura à Montréal par la troisième et dernière conférence réunissant des scientifiques du monde entier. Dr. Béland, aussi d’Environnement Canada et Président de la Commission des sciences de l’atmosphère de l’Organisation Météorologique Mondiale, est un membre exécutif du Club des Ambassadeurs du Palais des congrès de Montréal aussi actif au sein de son comité consultatif. Pour sa part, Nicole Ménard, ministre du Tourisme, affirme : « L’engagement des ambassadeurs locaux contribue de façon exceptionnelle au rayonnement international de Montréal auprès des gens d’affaires. Nous tenons à souligner l’implication du Dr. Béland et du comité local dans l’effort qu’il ont consacré à valoriser Montréal et le Québec dans le choix d’une destination reconnue pour la qualité de ses chercheurs et spécialistes dans le domaine ». Événement certifié écoresponsable Les organisateurs de la conférence ont choisi d’organiser un événement écoresponsable certifiée en vertu de la Norme québécoise BNQ 9700-253 en gestion responsable des événements. L'obtention de cette certification démontre que la conférence a été planifiée en fonction des exigences en matière de développement durable. Plus spécifiquement, les considérations environnementales ont été à la base de la sélection des fournisseurs, la gestion de matériel, de l'énergie et de l'eau, la gestion des matières résiduelles, la sélection des aliments et la gestion des moyens de transport. À propos du Palais des congrès de Montréal Le Palais des congrès de Montréal a pour mission de solliciter et d’accueillir des congrès, des expositions, des conférences, des réunions et d'autres événements. Institution publique à vocation commerciale, le Palais des congrès génère d’importantes retombées économiques pour le Québec et contribue fièrement, depuis plus de 28 ans, au partage des connaissances de même qu’au rayonnement international de Montréal à titre de destination de premier plan. Pour de plus amples renseignements sur le Palais des congrès de Montréal, consultez notre site Internet à http://www.congresmtl.com. http://www.congresmtl.com/fr/nouvelles/communiques-item.aspx?id=241
  22. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  23. Je viens tout juste de trouver ce curieux projet sur internet, dont la date de réalisation est inconnu mais qui se retrouve dans la section Réalisation du site et qui est plus récent que la Cité du Commerce Électronique (2006). Le site en question est celui de Imso Inc., une entreprise qui se spécialise dans l'acquisition, la gestion et la mise en valeur d'immeubles commerciaux et industriels et d'édifices à bureaux. http://www.imsoinc.com/ ---------------------------------------------- •Nom: Bassin Peel •Année de réalisation: en cours •Adresse: Bassin Peel, Montréal •Catégorie: Bureaux, commerces, hôtels et loisirs •Superficie: 1 000 000 pc •Type: Acquisition, promotion et gestion
  24. Profession : chef d'escale à Montreal vendredi 7 octobre 2011 Montréal est la deuxième escale la plus importantes du réseau international Air France KLM après New-York. Marc Lachapelle y est chef d'escale pour le groupe. Ce métier revêt de multiples facettes : accueil des passagers, traitement des bagages, gestion du fret... Le chef d'escale est garant du respect des règles de sécurité et de sûreté des vols en liaison avec les équipage. Il supervise également l'administration ainsi que la gestion de ses équipes. http://corporate.airfrance.com/fr/presse/actualites/article/item/profession-chef-descale-a-montreal/ http://corporate.airfrance.com/fr/presse/mediatheque/videos/les-metiers/profession-chef-descale-a-montreal/
  25. Relance du Mont Orford: un hôtel et des lofts verts Publié le 09 mai 2011 à 05h00 | Mis à jour le 09 mai 2011 à 08h59 * Hélène Baril La Presse (Montréal) Des lofts aux murs de verre, complètement autonomes en énergie, équipés de lits et de baignoires sur rails qui peuvent sortir dehors par beau temps. De drôles d'habitations apparaîtront au pied du mont Orford. «Et il y aura des vélos qui produiront de l'électricité pour avoir accès à l'internet», ajoute Alain Chagnon, président du Vertendre, entreprise immobilière qui participe à une autre tentative de relance du mont Orford. Le Vertendre et Gestion Soroma, la société qui gère le centre de ski et le club de golf au nom du gouvernement québécois, sont devenus récemment propriétaires de 20% de ces deux actifs. L'autre actionnaire est la MRC de Memphrémagog, qui a acquis pour 1$ une part de 80% de la nouvelle société d'économie mixte créée pour tenter de donner un nouveau souffle à cette station touristique qui a connu plus que sa part de déboires depuis sa création, il y a 70 ans. C'est une occasion qu'attend depuis très longtemps Alain Chagnon, dont la famille a déjà réalisé plusieurs projets immobiliers dans la région immédiate du mont Orford. Depuis 2004, les Chagnon ont réuni 1000 acres de terrains au pied de la montagne, un secteur qu'ils ont commencé à aménager sous le nom de Vertendre. En s'associant avec la MRC de Memphrémagog, ils ont obtenu ce qui leur manquait pour continuer ce lotissement: un lien qui reliera leur secteur au domaine skiable, sur le versant ouest de la montagne. Ce lien fera débloquer des investissements d'une dizaine de millions de dollars dans de nouvelles activités de plein air, mais surtout dans l'immobilier, a fait savoir M. Chagnon lors d'un entretien avec La Presse Affaires. «On pense à 900 unités d'habitation au total», dit Alain Chagnon. En plus des 200 lofts accrochés à la montagne, il y aura des maisons individuelles et un hôtel de 200 chambres, le tout construit dans le respect de la nature et de l'environnement. Cet hôtel pourrait être géré par le Club Med. «Le Club Med a toujours un intérêt dans le projet», affirme le promoteur. L'autre intéressé par le projet d'hôtel est l'artiste Heinz Julen, qui a conçu l'hôtel Backstage de Zermatt, en Suisse. L'hôtelier qui s'associera au Vertendre ne misera ni sur les bars ni sur les discothèques pour attirer des clients, assure Alain Chagnon. «Plutôt sur les cerfs et les porcs-épics», dit-il. Qui paiera? La MRC de Memphrémagog a retenu une seule des trois propositions qui lui ont été faites pour relancer le mont Orford, celles du Vertendre et de Gestion Soroma. Les deux autres groupes intéressés ont été disqualifiés parce qu'ils n'ont pas réussi à réunir 1,5 million en garantie. Les deux offres rejetées sont celles de la Coopérative de solidarité du Mont-Orford, regroupement local, et de Camp Fortune, entreprise qui exploite une station de plein air dans l'Outaouais. Contre leur 1,5 million, Vertendre et Gestion Soroma ont obtenu 20% d'une entreprise dont les actifs sont estimés à 7,5 millions et dont la MRC est l'actionnaire majoritaire. C'est donc à la MRC que revient la responsabilité de préserver l'intégrité du territoire du parc national du Mont-Orford. Il n'y aura ni constructions, ni nouvelles pistes de ski, ni rien d'autre sur le territoire du parc, qui est protégé, affirme Guy Joron, directeur général de MRC. Rien, à part les «quelques pylônes» nécessaires au lien vers le Vertendre, précise-t-il. Le coût des projets d'aménagement de la station touristique sera assumé par la société d'économie mixte qui, en tant que propriétaire d'actifs estimés à 7,5 millions et sans aucune dette, pourra emprunter les fonds nécessaires. Alain Chagnon ajoute que la société pourra profiter des programmes gouvernementaux d'aide à l'investissement. Il ne prévoit pas de conflit entre les intérêts collectifs de la MRC et les intérêts privés du Vertendre et de Gestion Soroma. «Si on y trouve notre compte, tout le monde y trouvera son compte», espère-t-il. Parce qu'il vit et travaille dans la région et que ses enfants vont à l'école du coin, Alain Chagnon se dit prêt à prendre plus de risques qu'un promoteur de l'extérieur. «Si on perd de l'argent pendant deux ans, je ne vais pas m'en aller ailleurs», assure-t-il. Après la faillite et les disputes, les projets de vente et de privatisation qui n'ont pas abouti, le gouvernement du Québec a finalement réussi à se débarrasser du problème du mont Orford. Une ère nouvelle commencera le 1er juin, date à laquelle la société d'économie mixte commencera officiellement ses activités.
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