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  1. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  2. Sortie d'usine prévue (08/2013) Tata Motors en Inde Que feront les compagnies pétrolières pour l'arrêter ? ? (les pouvoirs publics trouveront une parade pour ne pas homologuer ce véhicule en Europe et en Amérique du nord). > Il s'agit d'un moteur automobile qui fonctionne avec de l'air. Tata Motors en Inde a prévu que la voiture à air pourrait sillonner les rues indiennes en août 2013. La voiture à air comprimé, développée par l'ex-ingénieur de Formule 1 Guy Nègre de MDI basée au Luxembourg, utilise l'air comprimé pour pousser les pistons de son moteur et faire avancer la voiture. Les constructeurs français ont, bien sûr, refusé de la produire, laissant aux Indiens cette opportunité. La voiture à air comprimé, appelée «Mini CAT» pourrait coûter autour de 365757 roupies en Inde soit 8177$, c'est à dire 5 225 EUR La Mini CAT qui est un simple véhicule urbain léger, avec un châssis tubulaire, un corps en fibre de verre qui est collé pas soudé et alimenté par l'air comprimé. Un microprocesseur est utilisé pour contrôler toutes les fonctions électriques de la voiture. Un petit émetteur radio envoie des instructions à l'éclairage, clignotants et tous les autres appareils électriques sur la voiture. Qui ne sont pas nombreux. La température de l'air pur expulsé par le tuyau d'échappement se situe entre 0 -15 degrés en dessous de zéro, ce qui le rend approprié pour une utilisation pour le système de climatisation intérieur sans avoir besoin de gaz ou de perte de puissance. Il n'y a pas de clé, juste une carte d'accès qui peut être lue par la voiture depuis votre poche. Selon les concepteurs, il en coûte moins de 50 roupies (1 EUR = 69 roupies) par100 km, c'est à peu près un dixième du coût d'une voiture fonctionnant au gaz. Son kilométrage est d'environ le double de celui de la voiture électrique la plus avancée, un facteur qui en fait un choix idéal pour les automobilistes urbains. La voiture a une vitesse de pointe de 105 km/heure (c'est parfait puisqu'il ne faut pas dépasser le 90 voire le 70 Km/h et 50 en ville) ou 60 mph et aurait une autonomie d'environ 300 km ou 185 miles. Le remplissage de la voiture aura lieu dans les stations service adaptées avec des compresseurs d'air spéciaux. Remplir ne vous prendra que deux à trois minutes et coûtera environ 100 roupies (1 EUR= 69 roupies) et la voiture pourra faire encore 300 kilomètres. Cette voiture peut également être remplie à la maison Il faudra alors 3 à 4 heures pour remplir le réservoir, mais cela peut se faire pendant que vous dormez. Le réservoir se recharge sur une simple prise électrique en 4h pour un coût de 1,50 euros et permet une autonomie de 150 km. Elle se penche actuellement sur une pompe à air comprimé, ce qui permettrait de faire un plein du réservoir en 3 minutes chrono pour un coût d'environ 2,50 euros. Parce qu'il n'y a pas de moteur à combustion, le changement d'huile (1 litre d'huile végétale) n'est nécessaire que tous les 50.000 km ou 30.000 miles. Grâce à sa simplicité, il y a très peu d'entretien à faire sur cette voiture. Cette voiture à air semble presque trop belle pour être vraie.
  3. Junex: il n'y a pas que l'électricité 7 février 2007 - 06h00 Le Soleil Gilbert Leduc Junex (JNX), rencontre avec le président Jean-Yves Lavoie Jean-Yves Lavoie débarque de Houston. Il assistait, la semaine dernière, à un congrès réunissant plus de 17 000 joueurs des secteurs pétrolier et gazier. Des représentants des gouvernements de plusieurs provinces y participaient. Pas de trace, cependant, d'un quelconque émissaire du gouvernement du Québec. Sa société d'État - Hydro-Québec - a récemment mis sur la tablette sa filiale Pétrole et gaz et le programme de recherche prévoyant des investissements de plus de 300 millions $ d'ici 2010. «Pour plusieurs, l'électricité est la seule source d'énergie que peut produire le Québec. Chez Junex, nous travaillons à démontrer qu'il y a aussi du potentiel pour le pétrole et le gaz naturel», affirme Jean-Yves Lavoie, président et chef de l'exploitation de cette entreprise de Québec spécialisée dans l'exploration gazière et pétrolière. Au cours des dernières années, Junex - qui détient les droits d'exploration sur plus de quatre millions d'acres situés dans le bassin géologique des Appalaches - s'est attardé à mettre en valeur ses terrains, à réaliser des études géophysiques et à faire des présentations devant des sociétés savantes. Tout ça dans l'espoir d'attirer des partenaires de l'extérieur. Ententes Ce travail a porté ses fruits puisque Junex a conclu, l'an dernier, des ententes avec deux sociétés américaines qui vont investir environ 20 millions $US au cours des deux prochaines années. Au moment de la visite du Soleil dans les bureaux de Junex, le vice-président aux affaires corporatives, Dave Pépin, montrait un communiqué de presse diffusé, la semaine dernière, dans lequel Talisman Energy, de Calgary, annonçait que l'entreprise allait commencer la production de gaz naturel dans l'État de New York et plus particulièrement dans le bassin géologique des Appalaches. Tiens, tiens... De plus en plus, selon Jean-Yves Lavoie, les géants nord-américains de l'énergie cherchent des hydrocarbures sur le continent plutôt que d'aller chercher au Moyen-Orient. Il ne faut donc guère se surprendre de l'intérêt de l'industrie pour les sables bitumineux de l'Alberta. Le shale gas - ces gaz non conventionnels que l'on trouve dans le corridor entre Québec et Montréal - en font saliver également plusieurs. Plusieurs chaudrons sur le feu Junex a fondé sa stratégie sur la conclusion de partenariats afin de réduire les risques financiers associés à la recherche de gaz naturel et de pétrole. "Tranquillement, nous commençons à regarder les marchés de l'Ontario et du Nord-Est américain", a indiqué M. Lavoie. Pour le moment, toutefois, l'entreprise pilote de nombreux projets au Québec. À une vingtaine de kilomètres de Gaspé, l'entreprise est associée avec Bernard Lemaire - patron de Cascades - dans le projet de production de pétrole et de gaz de Galt. "Nous venons de terminer un quatrième forage. Deux pompes de production sont déjà installées." Le pétrole tiré du puits Galt numéro 3 a permis à Junex de réaliser des ventes de 150 000 $. L'entreprise a déjà investi environ 2 millions $ dans un autre projet - celui de la baie des Chaleurs -, où elle possède un permis d'exploration qui couvre une superficie de plus d'un million d'acres. "Aucun puits n'a jamais été creusé", informe Jean-Yves Lavoie en signalant que les études géophysiques réalisées démontraient un "potentiel intéressant". Toujours en Gaspésie, Junex est partenaire avec Pétrolia dans un projet qui permettrait de produire 34 barils de pétrole par jour. Pour "payer l'épicerie", la compagnie continue de pomper de la saumure dans la région de Bécancour qui est utilisée comme déglaçant l'hiver et abat-poussière l'été. "Nous évaluons la possibilité d'en faire une exploitation industrielle", fait-il remarquer en signalant que la vente de ce liquide représentait, l'an dernier, une somme de 750 000 $. JunexAnnée de fondation : 1999 Direction : Jean-Yves Lavoie, président et chef de l'exploitation, et Jacques Aubert, président du conseil et chef de la direction Secteur d'activité : exploration gazière et pétrolière Chiffre d'affaires : 3 millions $ Nombre d'employés : il varie entre 15 et 40 Symbole boursier : JNX (TSX de croissance) Valeur de l'action : 96 ¢ Adresse : 3075, chemin des Quatre-Bourgeois, bureau 103, Québec Téléphone : 418 654-9661 Télécopieur : 418 654-9662
  4. Une autre grue est apprue dans le ciel de l'île Paton... maintenant 5 grues! Une tour assez ordinaire mais massive. Fait par construction Khoury. http://www.ekhouryconstruction.com/ Condominiums de luxe dans le secteur Ile Paton, directement sur le bord de la Rivière des Prairies avec vue sur la Rivière des Mille-Îles - Unités sur 1 ou 2 étages, de 1 à 10 chambres à coucher 800 à 5000 pc - Finition de grande qualité - Piscine creusée 4 saisons à eau salée et spa - Salle d’exercices - Salle de réception - Concierge sur place - Espace de stationnement intérieur - Espace de rangement au sous-sol - Système de sécurité avec caméra - Foyer au gaz - Air climatisé central - Couvert par la garantie des maisons neuves
  5. https://www.facebook.com/22avril2012 http://22avril.org/ Dominic Champagne prépare «un printemps québécois» Le comédien et metteur en scène appelle à une mobilisation générale le 22 avril Isabelle Paré 15 février 2012 Actualités culturelles Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir Dominic Champagne Tout ça l'assassine... À tel point que le comédien et metteur en scène Dominic Champagne, connu pour son engagement contre l'exploitation des gaz de schiste, appelle les Québécois à descendre dans la rue le 22 avril prochain pour crier l'urgence d'assurer une exploitation durable et sensée des richesses naturelles du Québec. C'est à l'occasion de sa nomination à titre d'Artiste pour la paix 2011 hier matin, que Dominic Champagne a rendu public son projet citoyen, en ébullition depuis plusieurs mois. Le retrait du Canada de l'accord de Kyoto, en décembre dernier, a eu l'effet d'une bombe chez le comédien déjà connu pour ses sensibilités écologiques et politiques. «En décembre dernier, on était 200 à manifester à la place du Canada, alors que je m'attendais à une foule monstre. J'ai dit à un copain: "C'est 100 000 qu'on devrait être!"», raconte M. Champagne, qui invite les citoyens à dire leur ras-le-bol par rapport à la dépossession des richesses naturelles du territoire québécois. Gaz de schiste, développement du Plan Nord, projets miniers, gaziers autant que pétroliers: le coauteur du brûlot politique Tout ça m'assassine, présenté à la Place des Arts l'automne dernier, déplore que les Québécois assistent impuissants au pillage de leurs ressources énergétiques et minières. «Il faut se rassembler pour dire notre attachement à ce bien commun. Il ne s'agit pas seulement d'être CONTRE, mais de redire les valeurs auxquelles on aspire. J'en fais une affaire de justice, au-dessus des partis et des groupes de pression», affirme-t-il. Apolitique, le mouvement a déjà son site (22avril.org), sa page Facebook et son compte Twitter, invitant les citoyens à se rassembler lors du Jour de la Terre à 14h, dans un endroit qui reste à déterminer. Champagne en veut aux gouvernements qui, dit-il, se délestent de leurs responsabilités et, néolibéralisme oblige, n'exigent que des miettes aux sociétés étrangères qui exploitent le sous-sol québécois. «Il faut que cette exploitation se fasse au profit de tout le monde. Si on a su développer notre électricité et devenir des champions de la lutte contre les inégalités, pourquoi laisse-t-on le tiers des minières exploiter nos ressources sans redevances? On peut faire mieux!», tonne-t-il. À son avis, le Québec pourrait imiter la Norvège qui a sagement bâti une réserve de 600 milliards «pour les générations futures» en choisissant, il y a 40 ans, d'exploiter elle-même ses immenses réserves pétrolières. *** Des artistes pour la paix Dominic Champagne a été nommé hier Artiste pour la paix 2011 pour son engagement dans le débat sur les risques environnementaux posés par les gaz de schiste. À la même cérémonie, l'Association des artistes pour la paix a également remis à la danseuse et chorégraphe Margie Gillis, ainsi qu'à l'humoriste Yvon Deschamps, des prix hommage pour leur engagement dans diverses causes sociales et humanistes. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/342740/dominic-champagne-prepare-un-printemps-quebecois
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  7. Les taux de réduction des gaz à effet de serre atteints l'an dernier sont 10 fois moins élevés que les prévisions des conservateurs à Ottawa, montre un rapport d'Environnement Canada. Pour en lire plus...
  8. Bâtiment rébarbatif au premier coup d'oeil, Climatisation et chauffage urbains de Montréal (CCUM) cache pourtant dans ses entrailles un bijou d'architecture industrielle. Un véritable «Beaubourg intérieur», selon la firme Humà - design + architecture, chargée de lui refaire une beauté. La première phase est achevée: la mise en lumière de ses machineries, signée en collaboration avec Erick Villeneuve de Novalux. «On s'est concentré sur l'expression vers la ville de ce "Beaubourg intérieur" de la machinerie», explique Jean Beaudoin, qui travaille avec Stéphanie Cardinal chez Huma. Méconnu des Montréalais, CCUM fournit le chauffage à une vingtaine d'édifices du centre-ville, de la tour de la Bourse à la place Ville-Marie, en passant par l'École de technologie supérieure et l'hôtel Reine Elizabeth. Construite en 1947 dans ce qui n'était alors qu'un champ, cette centrale thermique est aujourd'hui enclavée entre l'autoroute Bonaventure et le viaduc du Canadien Pacifique. Mais demain, quand l'autoroute sera abaissée pour faire place au quartier Bonaventure (QB), elle trônera ni plus ni moins à l'entrée de la ville. «On ne peut pas rester de même, s'exclame en riant le directeur de l'établissement, Jean-Claude Michel. On va avoir l'air d'une usine d'Europe de l'Est restée debout après une explosion nucléaire!» D'autant plus que cet emblème du passé met le cap sur l'avenir en abandonnant le mazout au profit du gaz naturel, plus propre. On installe actuellement une nouvelle chaudière qui fonctionnera entièrement au gaz naturel. «Le mazout, on ne veut plus en utiliser, juste en cas d'avarie», précise M. Michel. Jusqu'ici, CCUM fonctionnait en mode biénergie pour profiter des variations de prix de chaque carburant. «Il faut valoriser la centrale comme icône urbaine en résonance avec le quartier en devenir, indique M. Beaudoin. Et [CCUM] est en train de se repositionner comme la façon économique de chauffer les quartiers, en ligne avec le développement durable.» Jardin des vapeurs En écho à son principal mode de chauffage (la vapeur à haute pression) et aux émanations de vapeur issues de la combustion du gaz naturel — «On est une usine à nuages», dit joliment le directeur —, un jardin des vapeurs accessible au public sera éventuellement aménagé au nord du bâtiment. Une passerelle mènera à une terrasse (l'ancien pont de livraison du charbon) ayant une vue imprenable sur le centre-ville. «On veut que le bâtiment évolue en fonction de ce que devient le quartier», prévient M. Beaudoin, dont les plans s'arrimeront à ceux du QB, en chantier dès l'an prochain. Le jardin se prolongera par une promenade sous arcades le long de la rue Nazareth, où pourrait être documentée l'histoire du lieu. La dernière phase consistera à insérer le haut du bâtiment dans un écrin de verre. «Ces panneaux seront développés selon des technologies nouvelles qui consolideront l'offre énergétique de CCUM», indique M. Beaudoin. Car les ambitions de CCUM ne sont pas qu'esthétiques. L'entreprise, qui appartient moitié à Gaz Métropolitain, moitié à Dalkia (filiale du géant français Veolia), entend à la fois se faire connaître auprès du public et se trouver de nouveaux clients dans le futur QB. «On voudrait utiliser nos surplus d'énergie — on a environ de 10 à 15 % de pertes — pour atteindre une efficacité de 100 %», précise M. Michel. CCUM est d'ailleurs sur le point de faire son entrée sur le marché des crédits carbone. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/286846/la-centrale-thermique-de-montreal-se-refait-une-beaute
  9. Les promoteurs du projet Rabaska pour l'établissement d'un port méthanier à Lévis ont finalement conclu un accord avec Gazprom pour un approvisionnement en gaz naturel à partir de 2014. Pour en lire plus...
  10. Publié le 11 mai 2009 à 16h10 | Mis à jour à 18h34 Le Québec se joint à la future Bourse du carbone François Cardinal La Presse Le gouvernement Charest fera un pas de plus vers la création d'un vaste marché du carbone nord-américain en déposant mardi un projet de loi en ce sens. Sans attendre Ottawa, Québec jettera les bases de sa participation au futur programme de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions de gaz à effet de serre, qui doit entrer en vigueur en 2012. Lors d'un discours prononcé mardi à Montréal, la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, précisera que la pièce législative qu'elle dévoilera au cours de la journée permettra au gouvernement de mettre sur pied une Bourse du carbone à Montréal, et d'y participer activement. Sous l'égide du Western Climate Initiative (WCI), ce futur marché financier devrait devenir le plus important système de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions en Amérique du Nord, le second au monde. En clair, cette future Bourse permettra l'échange de droits de polluer entre entreprises (celles qui émettent plus de 25 000 tonnes de gaz à effet de serre par année). Les émissions de ces dernières seront plafonnées, après quoi les mauvais élèves, qui ne réussiront pas à respecter la limite fixée, devront acheter des crédits aux bons élèves, qui auront émis moins de gaz à effet de serre que permis. «À ce jour, le Québec a surtout eu recours à des plans d'action qui contenaient des mesures de nature volontaire et incitative, a reconnu la ministre. Les réductions obtenues jusqu'ici sont fort appréciables, mais elles seront insuffisantes pour l'atteinte des cibles de réduction à long terme préconisées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).» Sans vouloir préciser ses intentions, la ministre a laissé entendre que le Québec se fixerait une cible de réduction plus ambitieuse, à l'horizon 2020, que celle préconisée par le WCI: moins 15 % sous le niveau de 2005.
  11. L'ancien sous-ministre du Trésor et ex-PDG de Gaz Métro serait nommé président de l'institution financière la semaine prochaine, selon le journal La Presse. Pour en lire plus...
  12. Le géant pétrolier français offre 617 millions de dollars pour l'acquisition de la société de Calgary, spécialisée dans la prospection, l'exploitation et la production de pétrole et de gaz naturel. Pour en lire plus...
  13. Gaz Métro est un distributeur gazier qui, au fil du temps, est aussi devenu un distributeur d'électricité et un producteur d'énergie éolienne. Disparates, les activités de Gaz Métro? Pour en lire plus...
  14. Ni la chute des prix de l'énergie ni la crise financière ne mettent en danger le projet de terminal de gaz naturel liquéfié que Gaz Métro et ses partenaires veulent construire à Lévis. Pour en lire plus...
  15. La Russie a ouvert mardi matin les vannes approvisionnant l'Europe en gaz, tenant ainsi sa promesse, mais le coeur du conflit gazier russo-ukrainien reste entier. Pour en lire plus...
  16. L'Union européenne (UE) a émis l'espoir mercredi d'une résolution de la crise gazière entre la Russie et l'Ukraine, qui l'affecte, grâce au déploiement d'observateurs internationaux. Pour en lire plus...
  17. De ce côté-ci de l'Atlantique, le bras de fer entre la Russie et l'Ukraine n'a aucun impact direct sur le prix du gaz naturel, mais indirectement, ce conflit contribue à faire augmenter le prix du pétrole et du gaz partout sur la planète. Pour en lire plus...
  18. L'Europe est frappée mardi de plein fouet par le bras de fer russo-ukrainien sur les prix du gaz, les livraisons de gaz russe via l'Ukraine ayant chuté de manière draconienne et ayant parfois même été totalement interrompues. Pour en lire plus...
  19. Les cours ont bondi jusqu'à 51,86 $ US à Londres, dopés par les tensions géopolitiques au Proche-Orient et par la réduction des livraisons de gaz à l'Europe. Pour en lire plus...
  20. La société en commandite a attiré un nombre record de nouveaux clients résidentiels, au cours de la dernière année, et réalisé des profits annuels en hausse. Pour en lire plus...
  21. Les temps sont difficiles pour le distributeur québécois Gaz Métro qui est plongé dans le rouge à son quatrième trimestre. Les revenus ont atteint 332 M$ durant cette même période. Pour en lire plus...
  22. Les entreprises ont consacré 8,6 G$ en 2006, au Canada, à la protection de l'environnement sous forme de dépenses d'exploitation et de dépenses en immobilisations. C'est ce qui ressort des données publiées lundi par Statistique Canada. L'industrie qui a consacré le plus à la protection de l'environnement, soit un montant de 2,8 G$, est celle de l'extraction de pétrole et de gaz. Pour en lire plus...
  23. L'Association canadienne des services pétroliers prévoit une importante baisse du nombre de forages en 2009 en Alberta. De leur côté, la Colombie-Britannique et la Saskatchewan connaîtront une augmentation de la quantité des puits de pétrole et de gaz naturel. Pour en lire plus...
  24. Publié le 03 novembre 2008 à 10h22 | Mis à jour à 10h25 GES par habitant : le Québec chef de file François Cardinal La Presse La bonne nouvelle : Le Québec affiche toujours le plus faible taux d'émissions de gaz à effet de serre (GES) par habitant au pays. La mauvaise : il a été incapable de réduire ses émissions ne serait-ce que d'une tonne au cours des 15 dernières années. Le ministère de l'Environnement a publié cet avant-midi les plus récents chiffres de l'Inventaire québécois des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que leur évolution entre 1990 et 2006. On y apprend entre autres que le Québec a vu ses émissions totales croître de 1,6 % depuis 1990, année de référence du protocole de Kyoto. Il s'agit de l'un des plus faibles taux d'augmentation au Canada, loin derrière la Saskatchewan (63,6 %), l'Alberta (36 %) et la Colombie-Britannique (27,4 %). Dans l'ensemble, le Québec émettait en 2006 quelque 84 Mt de GES, ce qui représente 11,7 % du total canadien. La province fait ainsi belle figure en comparaison avec l'Ontario et l'Alberta, qui émettaient respectivement 190 Mt (26,2 %) et 234 Mt (32,3 %) du bilan canadien des émissions de GES. Si l'on s'attarde plutôt aux émissions par habitant, le Québec fait meilleure figure encore. Depuis 1990, celles-ci ont diminué de 7 % pour s'établir à 11,1 tonnes par habitant. Si l'on s'attarde aux dernières années, de 2003 à 2006, la réduction atteint 5,5 %. «Le Québec présente déjà depuis plusieurs années le meilleur bilan d'émissions de GES par habitant au Canada et cette baisse additionnelle de nos émissions vient confirmer notre position parmi les chefs de file au Canada», a indiqué la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp. Le transport, c'est-à-dire l'ensemble des autos, des camions, des avions et des bateaux, est toujours le plus important émetteur au Québec, étant responsable à lui seul de 40 % des GES. Entre 2003 et 2006, les émissions de ce secteur ont crû de 0,6 %. L'industrie suit de près, émettant 33,6 % des gaz à effet de serre de la province. Puis vient le chauffage (résidentiel, commercial et institutionnel) au 3e rang, avec 12,5 % des émissions. Les secteurs de l'agriculture (7,5 %), des déchets (5,9 %) et de l'électricité (0,5 %) suivent La baisse des émissions depuis 2003 s'explique en grande partie par l'importante baisse constatée dans les secteurs du chauffage, soit 22,3 %. Cela fait une nette différence, étant donné que le chauffage, des résidences, des commerces et des institutions, provient de combustibles fossiles. On constate également des baisses dans le secteur industriel (2,6 %) et le secteur de l'agriculture (2 %).
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